Collection Cocu. Le Poulain. Saison Vii (26/29)
Cest pour voir Maribelle, jeune pouliche venant de naître à mon arrivée que John mon amant mentraîne vers son écurie.
Il me prend fougueusement appuyer sur la barrière de lenclos de la maman et de sa fille quil me prend me faisant oublier ce que je viens dapprendre.
Il veut de nouveau convoler en justes noces avec lune des jeunes filles que chaque clan va lui présenter.
Je devrais men émouvoir, mais la folle de la chatte que je suis devenue serait un peu conne de refuser une dernière saillit dans cet endroit insolite.
Insolite, loin de là, car cest dans les mêmes circonstances que je me suis compromis avec le palefrenier de Duc, lui-même devenu mon amant et mayant offert ma fille Duchesse avant de mourir.
Duchesse tient ou est-elle, pourquoi Jules est là et pas elle ?
Mais la queue de John et surtout les trois voix que jentends reporte la question que jaurais pu poser à mon amant.
Trois voix, Jules et Élisabeth, la troisième est inconnue.
Je me redresse, pour voir, cest la jeune Lorna, la femme de Ronald Macdonald, qui est certainement enceinte.
- Voilà Maribelle, la jeune pouliche.
- Élisabeth, que fais-tu si quelquun venait.
- Ils sont tous à la fête à picoler, ton mari est déjà affalé au pied dun arbre à cuver toutes les pintes quil a déjà bues.
Quelle idée, conne, as-tu eue dépouser ce débris.
- Surtout après ce quil pense croire !
Javais trois jours de retard et je lui ai dit que jétais enceinte, mes règles sont apparues trois jours plus tard et depuis, il me protège espérant que je sois enceinte.
- Qui plus ait, avant que tu sois une femme honorable, jadore quand nous nous broutions nos chattes.
Jules défait ton kilt et allonge le sur le sol pour protéger nos ébats.
Jules sexécute comme un bon toutou, me montrant que depuis la dernière fois où je lai baigné en lui décalottant le gland, il a bien progressé sur ses attributs.
- Au quil est gros et grand, Ronald, jai du mal à le prendre dans ma bouche tellement il est petit pour quil bande et que je lui donne un héritier.
Je regarde John, il me met un doigt sur la bouche en membrassant dans le cou.
Serait-il complice de sa fille ?
Du moins quand elle se met nue devant lui, il semble trouver ça naturel.
- Tu vois fait comme moi, regarde ce que tu perds si tu restes fidèle à ton déchet.
Jules est en forme et il va te déchirer de plaisir comme il le fait pour moi et la dizaine de salopes quil tringle dans son pays.
- Jules, dix maîtresses à ton âge ?
- Mon grand-père était un baiseur très connu chez nous.
Lorsque mon père la quitté avec lamour de sa vie, cétait un PD, Duc a baisé ma mère et Duchesse, ma petite sur est née.
Élisabeth défait le kilt vert et jaune en défaisant son corsage après avoir retiré son écharpe.
La fille de John sallonge entraînant Lorna qui semble accepter ce quil va se passer.
- Encore une chose, Jules, qui ta dit que ta mère avait couché avec ton grand-père.
- Isabelle, ma grand-mère lautre jour quand je suis allé la voir.
- Ta grand-mère Jules, soit franc, tu las vu à peine trente minutes avant daller sauter la directrice de la maison de retraite où elle se trouve.
La salope, je suis sûr quelle a dit cela à mon fils pour me venger de coucher avec John.
Dommage que je sois dans limpossibilité de vivre ici de manière permanence, car sinon, je lui demanderais de surseoir à choisir lune des pucelles qui vont être présentées en fin daprès-midi.
Ce quà quoi, jassiste je lai déjà vu dans la partouze à Paris avec Magalie et Xavier lescort-boy de cette vieille pute.
Pardon, quand je dis vieille pute, ma belle-mère, pas Magalie
Lorna pose sa bouche sur la chatte de celui qui est à mon côté et son géniteur.
- Jules baise là, quelle sache ce quune vraie queue peut lui apporter.
- Élisabeth, je suis en période dovulation, il faut faire attention Jules.
- Bourre là et remplis sa chatte de ton foutre.
Si dans neuf mois votre fils naît, tu auras facile à faire croire à ton mari que cest lui qui enfin a réussi à avoir une progéniture.
Il est tellement bourré quil sera facile pour toi de lui faire croire que vous vous êtes isolé et quil ta satisfait tengrossant par la même occasion.
Je viens de découvrir la grosseur et le diamètre de mon fils, jai quelques réticences contrairement à John avec sa fille de voir mon fils bander.
Quand je sens John bouger et entrer en moi sans le moindre bruit je dois mordre ma lèvre pour éviter dêtre découvert.
Je comprends son nombre de maîtresses quand je vois la puissance des coups de reins de Jules, identique à celle que John me donne me tenant par les flans.
Baiser en même temps et à quelques mètres de Jules, lidée était loin de traverser mon cerveau, pourtant je le fais sans plus me poser de questions.
La queue de mon amant memporte comme est emporté la jouissance des trois jeunes qui jouissent en même temps que nous.
Je mécroule sur les kilts évitant de voir la verge de mon fils sortir pleine de sperme de la chatte de la femme du vieux cocu.
- Merci Jules, grâce à toi, pour la première fois jai eu un orgasme !
Élisabeth chaque fois quil viendra en Écosse, tu pourras me le prêter.
- Jules est libre de baiser quil y veut, la seule chose que je pourrais te dire, cest les dates ou il sera ici.
- Jaurais grand plaisir à moccuper de vos petites chattes chères petites salopes.
Il est bientôt quinze heures, ton mari va se réveiller inutile quil se pose des questions et tu dois trouver le moyen quil te saute !
- Tu as raison, remettons nos kilts et allons voir nos hommes forts jetés des troncs darbres.
Ils quittent lécurie et à notre tour nous nous rajustons afin de rejoindre la fête.
Nous sortons à notre tour et je veux prendre, nous aussi le chemin de la fête.
- Non, pas par là, prend par ce passage, tu rejoindras la fête en sortant de la forêt comme si tu revenais de te promener.
Moi, je vais suivre le chemin que nos s viennent de prendre.
Une dernière chose, en ce qui concerne Élisabeth, je suis comme toi, cest la première fois que je suis dans cette situation même si je savais quelle est déjà femme.
Comme tu las constaté depuis que tu es arrivée, elle est souvent livrée à elle-même et cest difficile de réagir quand les choses sont déjà faites.
Nous nous séparons, pour ma part, jai limpression dêtre une jeune collégienne revenant davoir reçu son premier baiser.
Au détour dun chemin, dormant au pied dun arbre, le cocu est là.
Je manque de lui marcher dessus ce qui le réveil.
Je continue la route.
Quand jarrive, les groupes de kilts sont de plus en plus mélangés contrairement à ce matin où chaque clan était réuni.
- Marie, je peux vous parler !
- Bien sûr, monsieur Macdonald ?
- Appelez-moi Ronald.
- Comme vous mayant appelé Marie.
Il me prend le bras et nous rejoignons un groupe de personnes quil connaît.
- Ronald, il te les faut toutes !
Non, contant davoir épousé la plus belle fille de la région, il faut que tu séduises lamie française de John.
Cest à ce moment que je constate que celui qui vient de parler étant de dos, cest Alister, le contremaitre de lusine de whisky qui une nouvelle fois vient se mêler des affaires des autres.
- Ronald, merci davoir tenu compagnie à Marie pendant que jallais voir ma jeune pouliche.
- De rien John, faire la conversation à une dame dune telle culture, ce fut un plaisir.
- Alister, votre femme serait là, elle vous aurait dit de vous laver la bouche avec du savon pour que vous arrêtiez de mal juger les gens.
- Vous avez raison madame Marie, excusez-moi.
La passe darmes est brève et intense.
- Marie, avez-vous vu Lorna, ma femme, elle est enceinte et dès quelle séloigne, jai peur quil lui arrive quelque chose.
- Je suis là Ronald, je suis allée misoler.
- Je comprends inutile den dire plus, John allons démarrer le concours de lancé de troncs darbres.
- Attends, je vais faire une annonce.
John aussi prestement quil ma baisé, saute sur lestrade et prend le micro.
- Chers amis, nous allons changer lordre de la journée.
Jai compté le nombre de dames que je peux aligner pour le tir à la corde.
Il en manque une dans le clan Cromwell !
Après les lanceurs, je choisirais celle qui tirera en tête de mon clan, respectant ainsi la parité dans les équipes.
- Tu rigoles John, tu sais que tu vas choisir la jeune femme que mon clan va te présenter et en nous lautant, tu veux prendre lavantage sur le clan Grant.
Non loin de Carl Grant, une jeune femme pesant au bas mot 200 livres, semble être la jeune femme choisie à la manière quelle a de rougir.
Je suis sûr que John aura le respect de ma personne en évitant de mêler sa vie avec cette jeune femme loin dêtre la beauté à qui il a le droit.
Quand je vois Lorna et le vieux croûton à son bras la croyant être fécondé, je ferais tout pour lui éviter dépouser la mauvaise personne...
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