Caroline 4
Partie 4 :
- Bjour maman
- Bonjour ma grande.
Valentine, la plus jeune fille de Caroline, entrait dans la cuisine et se mettait à table avec sa mère pour le petit déjeuner. La jeune femme était sortie la veille avec des copains et avait un peu la tête dans le cul. Sa mère souriait en la voyant émerger de la sorte, elle lui rappelait ses 18 ans, période où elle était aussi beaucoup sortie.
- Tu tes levée tôt, tu aurais pu faire la grasse mat !
- Non, on a prévu une journée avec des potes et ils passent me chercher en début daprem. Jai plein de trucs à faire avant.
Caroline finit son café et partit prendre une douche puis se préparer. Le samedi, cétait les courses, du rangement, un peu de ménage le matin et si possible de la détente les après-midis.
Les corvées passées, Caroline et sa fille déjeunèrent après 13h00, Valentine avala sa salade en quatrième vitesse et partit avec ses amis. Caroline débarrassa, fit la vaisselle et se posa dans son canapé avec un roman. Elle aimait ces moments de tranquillité rien que pour elle. La maison était calme, seul un petit bruit de tondeuse à gazon entrait par la baie vitrée ouverte.
Caroline allongée dans son canapé sassoupit doucement, laissant tomber son livre sur le sol. La semaine avait été chargée professionnellement et émotionnellement, elle ne chercha pas à lutter contre le petit coup de mou.
Une petite heure assoupie sur le canapé fit le plus grand bien à Caroline, elle se fit couler un café pour se réveiller et comptait jardiner un peu juste après.
Elle buvait doucement son café chaud dans son jardin, regardant ce quelle allait faire quand la sonnette de lentrée retentit. Son café en main, elle alla ouvrir la porte, elle nattendait personne ce week end, cétait peut-être Valentine qui avait encore oublié ses clés, comme cela lui arrivait trop souvent.
Caroline ouvrit la porte et Bienvenu était devant elle.
- Salut ma salope. Cest pas mal chez toi.
- Euh
- Caroline bafouillait, elle butait sur chaque mot, surprise par cette visite imprévue.
Il commença par faire le tour du salon, puis alla sur la terrasse pendant que Caroline restait pétrifiée sur le pas de la porte, saccrochant à la poignée de toutes ses forces.
- Tu me sers aussi un café, je viens de me lever, jai bossé toute la nuit.
Caroline ferma la porte et partit faire couler un expresso, suivi par son visiteur.
- Elle est bien aussi ta cuisine.
- Merci mais quest-ce que vous faites ici, je suis chez moi, cest le week-end, il ne faut pas venir
- Tu nes pas venue à la boite hier soir.
- Ben non, jétais crevée et je navais pas envie de sortir
- Tu arrêtes de suite, une salope ça ne réfléchit pas, ça fait ce quon lui dit et cest tout.
- Mais
- Quoi ?
-
.
- Jai les couilles pleines et tu ne mas pas soulagé hier à ton bureau. Bon cest vrai, je navais pas envie de passer après un autre.
Caroline objecta
- Mais je suis chez moi et il y a ma famille qui
- Tes quune salope au boulot toi ? Non, ça ne marche pas comme cela.
Elle lui tendit son café quil prit avec un sourie narquois.
- Je crois que tu nas pas encore tout compris toi. Fais-moi visiter ta maison.
Caroline lui fit faire le tour de la maison en commençant par le bas.
- Et la haut ?
- Ce ne sont que les chambres, rien de plus.
- Fais voir
Caroline prit lescalier, suivi par Bienvenu qui profitait de loccasion pour lui mettre une main aux fesses.
- Ma chambre
- Dis donc, salope, pourquoi tu portes une culotte et un soutif ?
- Mais je suis chez moi et
- Non ! Javais dit plus rien
Le ton sec de la réponse ne souffrait pas de contradiction.
- Tu les ranges où tes culottes ?
Elle désigna du grand tiroir dans sa commode. Bienvenu louvrit dun geste ferme.
- Tu nécoutes pas ! Je pense quil faut taider à mieux appréhender la situation.
Lhomme prit un sac qui était rangé à côté de la commode et y vida tout le contenu du tiroir.
- Ten as dautres ailleurs ?
- Oui dans le tiroir de larmoire, il y a ceux qui sont un peu plus
- Plus quoi ?
Caroline neut pas le temps de répondre, Bienvenu avait déjà ouvert et regardait un à un les sous-vêtements.
- Ça je vais te laisser, tu pourras les porter de temps en temps.
Rouge de honte, elle regardait lhomme examiner ses culottes très sexy, celles quelle utilisait lors des jeux de séduction avec son ex-mari. Rien de très portable en temps normal pour elle, guêpières, string minimalistes ou culottes fendues ouvertes sur le sexe, navaient servi que pour leurs jeux dans lintimité de la maison.
- Cest quoi ces cachets sur la table de nuit ?
- Cest ma pilule
- Je croyais que tu nen prenais pas ?
- Jai recommencé pour ne pas risquer de tomber enceinte
- Donne tout
.
Caroline lui donna la boite entière.
- Tas une ordonnance aussi ?
Elle ouvrit le tiroir de la table de nuit et lui remit lordonnance de renouvellement du contraceptif.
- Une salope cest moi qui décide si elle peut être engrossée ou pas. Compris !
Il fit oui de la tête.
- Fais voir le reste de la maison !
- Non, il ny a rien dautres que les deux chambres des filles
- Ah ! Et elles sont bonnes tes filles ?
- Non, je vous interdis dy toucher
Bienvenu navait pas attendu la réponse pour visiter les autres chambres. Des photos des filles étaient en évidence sur leurs bureaux, Bienvenu les regarda mais ne fit aucun commentaire.
- Prends le sac et viens
Caroline prit le sac qui contenait tous ses sous-vêtements et le suivit au rez de chaussé.
- Fous toi à poil !
- Mais les voisins
- Pourquoi je dois toujours me répéter
.
Caroline enleva son tee shirt, baissa son pantalon en lin et sarrêta un peu interdite.
- La culotte et le soutif aussi, tu les mets dans le sac.
Elle dégrafa son soutien-gorge et le mit dans le sac puis fit glisser la culotte qui connut le même sort. Elle se tenait nue dans son salon, la baie vitrée ouverte, à la merci dun regard de voisin curieux qui passerait dans le chemin qui jouxte son jardin.
- Maintenant tu prends tout ça et tu le mets dans ton bac à bruler tes herbes du jardin, tu rajoutes de lalcool à brûler et tu y mets le feu
Caroline se baissa pour ramasser son tee shirt et son pantalon mais Bienvenu larrêta.
- Tu fais quoi ? Je ne tai pas dit de te rhabiller.
- Mais je suis nue et si un voisin me voit, je
- Si un voisin voit une salope à poil qui brûle ses sous-vêtements, je suis sûr quil va se taper une queue en pensant à toi après !
Et il éclata de rire en regardant Caroline. Il effaça son sourire et son bras désigna le bac en métal au fond du jardin.
Elle prit le sac, la bouteille dalcool à brûler, des allumettes et se pressa jusquau bac où elle vida le contenu du sac. Elle déversa toute la bouteille dalcool et y jeta une allumette. Le feu prit immédiatement, elle fit demi-tour et se rua vers lintérieur de la maison.
- Bonjour Caroline
Cétait Henri, le voisin de droit qui lui était fortement antipathique, elle ne lui jeta pas un regard mais lui répondit
- Bonjour Henri.
Elle sengouffra dans le salon et chercha a se mettre à labris des regard extérieur.
- Tu vois que ce nétait pas si dur.
- Le voisin ma vue, il est dehors.
- Ce nest pas grave, il a surement apprécié la vue, viens voir ici.
Bienvenu mit un doigt dans le sexe de la femme sans ménagement, elle eut un soubresaut de surprise.
- Tiens tu vois, tu dégoulines dexcitation.
Le gros doigt noir était bien luisant de sécrétion, il navait pas eu de mal à entrer de toute sa longueur en elle.
- Mets-toi à quatre pattes, je vais te baiser en levrette pour me vider les couilles.
Caroline se mit en position à côté du black dans le fond du salon. Deux doigts sous le menton et il lui releva la tête pour quelle le regarde.
- Pas ici ma salope, là-bas. On pourra profiter du soleil comme ça.
Il avait désigné la baie vitrée qui donnait sur le jardin, à cet endroit, le voisin sil était dans son jardin aurait sans soucis une vue imprenable sur elle.
- Non pas ça, sil vous plait, pas ça, le voisin
.
La femme le suppliait à moitié en sanglotant. Il lui mit une claque sur les fesses pour la faire bouger et la prit par le bras pour la placer exactement où il voulait. Elle nopposa pas de résistance, résignée elle se mit en position, baissant la tête et fermant les yeux.
Bienvenu sétait déshabillé à son tour, il sapprocha le sexe bandé de Caroline et se mit derrière. Il jeta un coup dil rapide et entrevu le voisin qui essayait de mater en étant caché tant bien que mal. Il nétait pas très discret, le black en rigolait mais il allait lui en donner pour son argent.
- Oui, cest bon davoir une salope comme toi pour me vider les couilles.
Il parlait fort, très fort pour que le voisin entende tout, Caroline ne bougeait pas, elle attendait la pénétration soumise et excitée.
Il plaça son gland à lentrée du vagin, la prit par les hanches et la pénétra entièrement et brutalement dun coup sec. Caroline poussa un gémissement plaintif.
- Oh putain, quelle est bonne ta chatte, elle est tellement trempée quon y entre comme dans du beurre.
- Oui en levrette cest mieux, je peux presque te la mettre en entier, tu la sens ?
Caroline hochait de la tête.
- Réponds salope.
Elle ouvrit la bouche avec un petit oui plaintif.
- Jentends pas !
Lhomme se réintroduit dun coup puissant et Caroline se lâcha bruyamment.
- Oui
ah
ah
elle est grosse
. Elle me remplit
ah
cest trop bon
- Voilà cest mieux ! Tu veux que jarrête ?
- Non
argh
. Ah
. Ah
baisez moi
encore
.
Les puissants coups de rein de lhomme lui faisaient perdre pied, Caroline nétait que plaisir de la chair et elle sentait un puissant orgasme monter en elle.
- Oui baissez moi
encore
je suis une salope à black
jaime ta queue
elle est grosse
elle me défonce
oui
.
Caroline laissa éclater sa jouissance, Bienvenu se retira et vit éjaculer dans ses cheveux. Elle se laissa glisser sur le carrelage, gisant le sexe ouvert et rougi par le passage de Bienvenu, le corps parcouru par la sueur et la chevelure maculée du sperme épais et chaud de lafricain.
Il se releva et contempla la belle femme au sol en se rhabillant.
- Ne tavise pas à reprendre la pilule, je veux pouvoir te juter dans la chatte quand tes fertile, ça mexcite ça
Ton cul me plait bien aussi, je pense que la prochaine fois jy ferai bien un tour.
Elle encaissa sans brocher, non elle ne voulait pas retomber enceinte et elle avait toujours refusé ses fesses à son mari. Il finissait de se rhabiller, la femme se redressa doucement, encore enveloppée par londe de jouissance. Un bruit dans la haie lui fit tourner la tête, Henri, surement Henri et il avait tout vu. La honte lenvahit. Dehors, le bac fumait encore, ses sous-vêtements terminaient de se consumer, elle prit son pantalon et son tee shirt et se dirigea vers la douche.
- Alors ça te plait toujours dêtre une salope à black ?
Sans un mot, sans se retourner, elle sarrêta, acquiesça dun hochement de la tête et disparu dans la salle de bain.
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