Les Aventures De Laetitia Marsac : Voyeuse

Souvent, mes histoires sont le reflet de certains de mes fantasmes, où carrément sorti de mon imagination fertile. Laetitia Marsac, mon héroïne, invente souvent des situations farfelues, mais ce qu’elle va vous raconter aujourd’hui m’est vraiment arrivé.
Je sais, je vous dis souvent ça, en rajoutant après « ça m’est vraiment arrivé » un « ou pas », qui laisse penser que c’est faux.
Cette fois si, non. J’ai vraiment vécu cette histoire et telle que c’est écrit.
Mais je laisse la parole à Laetitia Marsac, qui va vous la raconter mieux que moi.


Il y a plusieurs mois, j’ai réalisé une mission dans une entreprise parisienne.
Je devais préparer des contrats pour cette société.

En général, je réalise ce genre de travail depuis mon bureau ou depuis mon domicile en télétravail, après un ou une série d’entretiens préalables avec les clients.

Là, compte tenu du fait que je maîtrisais mal le sujet et l’activité de l’entreprise, j’allais devoir me référer très régulièrement à des documents internes.

L’idéal a donc été que je m’installe quelques jours dans les locaux de l’entreprise.

Je pouvais ainsi discuter régulièrement avec les clients et m’assurer en temps réel, que je ne faisais pas fausse route :

- Je crois qu’ainsi, on avancera plus vite. Dans mon métier, le temps compte énormément Mademoiselle Perret.
- Appelez-moi Charlène, me dit la jeune femme en face de moi, ça sera plus simple.

La jeune femme en face de moi, Charlène donc, m’avait accueilli à mon arrivée. Nous avions rendez-vous assez tôt le matin. 8h00 c’est tôt, surtout dans le monde des bureaux, où on n’arrive pas ment si tôt que ça. Mais je voulais avoir une bonne amplitude de travail sur les deux jours que je comptais passer chez eux, afin de finir au plus vite ma mission.

C’est Charlène qui devait faire le relais entre moi et le conseil de direction de la boite.

Elle, qui devait aussi m’apporter toute l’information dont je pouvais avoir besoin et me donner accès aux documents nécessaire. Charlène était la responsable du service juridique de l’entreprise.

Elle était très belle, dans le genre working -girl. Il faut bien sur aimer ce style là, mais moi, je suis très sensible à ce genre de filles. Mes lecteurs assidus s’en sont ment rendu compte.

- Je vous emmène au bureau qu’on va vous mettre à disposition mademoiselle Marsac. C’est petit, mais désolée, on n’a pas mieux de disponible, me dit-elle en marchant dans le couloir.
- Si je dois vous appelez Charlène, vous m’appelez Laetitia. J’aime beaucoup votre prénom d’ailleurs, je trouve que c’est un prénom qui a beaucoup de classe.

Bon, je venais de me séparer, après 11 ans de vie commune. Ça faisait juste quelques semaines. Je commençais à penser sérieusement à passer à autre chose et à oublier. La période d’abstinence que je vivais me travaillait. J’étais open pour une aventure, mais ce n’était pas le lieu. On ne mélange pas le professionnel avec les histoires de cœur et encore moins avec les histoires de cul d’ailleurs.

- Merci, me dit-elle avec un sourire gêné en se retournant vers moi
- J’ai une cousine qui s’appelle Charlène, lui dis-je comme pour essayer de me rattr et de la rassurer, tout en noyant le poisson.

Oui, je sais, je suis une bonne noyeuse de poissons. Vous ne pouvez pas imaginer le nombre de poissons que j’ai pu noyer dans ma vie.

En plus, c’est faux, je n’ai qu’une seule cousine et elle s’appelle Julie. Encore une fois, mes lecteurs assidus la connaisse ma cousine Julie.

Toutefois, j’avais le regard fixé sur son postérieur et je suivais attentivement son déhanchement pendant qu’elle marchait devant moi.

Magnifique petit cul serré dans une jupe grise à petits carreaux. Superbes jambes surement aussi. Je ne voyais que ses mollets, bien galbés et légèrement musclés, mais je devinais ses cuisses cachées sous sa jupe qui lui arrivait juste au-dessus des genoux.


« Est-ce qu’elle a mis des bas ou des collants ? ». J’en étais là de mes réflexions, quand Charlène me dit en posant sa main sur la poignée d’une porte :

- C’est là …
- Parfait Charlène. C’est petit, mais ne vous inquiétez pas, c’est suffisant. Il y a une fenêtre, en plus le bureau est juste à côté. J’aime avoir de la lumière naturelle pour travailler, dis-je en m’installant.
- Si vous avez besoin de moi Laetitia, n’hésitez pas …
- Promis Charlène … (Si tu savais de quoi j’ai besoin ma petite Charlène, tu rougirais comme une pivoine !).

J’ai dit à Charlène que le bureau était parfait, mais finalement, bof quoi … La peinture méritait d’être refaite, le mobilier était vieux et abîmé, une moquette hors d’âge et usée jusqu’à la corde décorait le sol.

Pas réjouissant, mais on s’en fout, je n’étais là que pour deux jours. On était jeudi, au pire vendredi soir, c’était bouclé.

Au moins, il y a une fenêtre, voyons voir la vue ?

Pas glorieux non plus. La fenêtre donnait … sur l’immeuble d’en face, de l’autre côté de la rue, à quelque mètres. Un immeuble très années 70, rien de bien sexy donc.

J’avais une vue plongeante sur deux appartements, par contre. La proximité (la rue étant peu large) me permettait de voir le mobilier distinctement.

Dans celui juste en face de mes fenêtres, ça s’est animé. Une jeune femme suivie d’un jeune homme sont entrés dans le séjour. Ils avaient environ 25 ans à vue de nez. Surement un couple.

Lui fit un petit bisou sur la bouche de sa copine ou de sa femme, et il a quitté la pièce et surement l’appartement, puisque je ne l’ai pas revu. Il est partit au boulot me dis-je. Elle était encore en peignoir. Elle a quitté la pièce.

Je me suis reconcentrée sur mon travail. Une demi-heure plus tard, j’ai jeté un coup d’œil sur l’appartement de mes tourtereaux. Elle était revenue dans le séjour. Elle portait maintenant un jean et un pull.
« Elle est passée à la salle de bain surement ». Je l’ai vu se regarder dans un miroir, attacher ses longs cheveux en queue de cheval, puis saisir son manteau et son sac à main et quitter la pièce. « A son tour de partir bosser ».

Le reste de la journée, il ne s’est rien passé dans l’appartement.

Le soir, vers 18h30, lui est rentré, surement du boulot, il vaque à ses occupations. 18h30, la voilà à son tour. Petit bisou sur la bouche. Ils se sont assis sur leur canapé, ont discuté. Certainement qu’ils se racontaient leur journée. Quelques rires, nouveau petit bisou. Ils se sont levé, ont disparu et sont revenus en tenue plus décontractées. Ils étaient passés se changer.

Je n’avais pas ment l’impression de faire la voyeuse ou de voler leur intimité. Déjà, il ne se passait rien de particulier, et puis c’est eux qui me montraient leur vie. Ils n’avaient qu’à mettre des rideaux après tout. Et puis, j’étais attendrie par ce petit couple manifestement amoureux et leur petite vie. Ca ne portait pas à conséquence. Moi de mon côté, il y avait peu de chance qu’il me voient les regarder, j’avais remarqué en sortant le midi que les fenêtres de l’entreprises avaient un effet « miroir » et ainsi, on ne voyait pas à travers.

Il était 19 heures, largement l’heure que je quitte le bureau. J’ai laissé mon petit couple, à ses occupations. J’ai eu presque envie de leur dire « à demain » en partant. Peut-être allaient-ils faire l’amour ce soir, mais ça, ça ne me regardait pas.

Le lendemain, je suis arrivée à 8h30. Tout de suite, j’ai regardé ce qui se passait dans l’immeuble en face. J’avais repensé à mon petit couple dans le métro en venant, m’imaginant qu’ils se réveillaient en se faisant le petit bisou qu’ils avaient l’habitude de se donner. Je leur avais même trouvé des prénoms : Elodie et Sébastien. Ils étaient attendrissants. C’est beau l’amour.

Les volets étaient clos, autant dans la chambre que dans le séjour.
Encore au lit ? «Ils vont être à la bourre !!! ».

9h15, le volet de la chambre s’est levé. Sébastien a ensuite levé celui du séjour. A priori, c’était un peu l’affolement chez mes nouveaux amis. Ils étaient vraiment en retard. Je voyais Elodie courir dans tous les sens. Ils ont vite quitté l’appartement, aujourd’hui, en même temps.

Je me suis levée et j’ai regardé dans la rue l’entrée de l’immeuble. Deux minutes après, je les ai vus apparaître dans la rue. Lui a enjambé un scooter garé sur le trottoir, sans oublié de faire le traditionnel petit bisou à sa copine avant de mettre son casque. Elle a descendu la rue vers le métro un peu plus bas, courant à moitié.

Vers 18h00, j’enrageais un peu. Je n’avais pas terminé mon travail, et n’avais pas la possibilité de revenir le lundi, une autre mission et d’autres clients m’attendaient ailleurs. J’avais vu avec Charlène dans la journée, je devais revenir le lendemain, samedi donc, passer quelques heures dans l’entreprise. Chiant, j’avais des trucs de prévu pour le week-end, mais en bossant vite et en arrivant tôt, à 11h00 ou midi, c’était terminé.

A 18h30, mon petit couple est rentré. Sébastien d’abord, puis Elodie un quart d’heure plus tard, une baguette de pain à la main. Rituel du petit bisou, puis changement de tenue et les voilà revenus dans le séjour. Sébastien a préparé ce qui devait ressembler à un apéritif. On était vendredi soir et ils voulaient surement profiter de leur soirée, en amoureux. Ils étaient assis sur leur canapé, elle sa tête posé sur son épaule et discutaient.

Ce n’est plus un bisou qu’ils ont échangé, mais cette fois un baiser plus intense apparemment.

- Bonne soirée les amoureux, profitez … me dis-je en enfilant mon manteau et en quittant le bureau.

En partant, j’ai vu Sébastien près de la fenêtre du séjour, en train de baisser les volets.

Le lendemain, samedi, je suis arrivée vers 8h30, comme tous les jours. L’entreprise, hormis le personnel de sécurité en bas, était déserte. Je me suis signalée auprès d’eux pour éviter qu’ils soient surpris s’ils faisaient une ronde. A priori, ils étaient au courant de ma présence ce matin.

Où en sont mes amoureux ce matin ? Surement encore couchés en ce samedi matin, profitant de la possibilité de faire une grasse matinée. Je m’attendais à voir les volets encore clos. Eh non, c’était ouvert. Lui, a priori se préparait à partir. Il travaillait le samedi ? Pas de chance … Elle, avec son peignoir, assise en train de boire son café. Apparemment, pas vraiment pressée. Elle ne travaillait pas le samedi surement, elle prenait son temps.

Il l’a embrassée, le rituel du tendre bisou sur la bouche. J’imaginais qu’elle lui souriait et qu’elle lui souhaitait une bonne journée. Il a quitté l’appartement. J’ai vu Elodie s’approcher de la fenêtre, surement pour voir son amoureux dans la rue et le regarder partir sur son scooter. « C’est trop mignon à cet âge-là » pensais-je.

Elle, je l’ai vu s’agiter tout d’un coup, entrer dans la chambre, fouiller dans son placard, enlever son peignoir. Elle était en nuisette dessous. Oubliée la pudeur, d’ ordinaire en semaine, sachant qu’un immeuble de bureau donnait sur leur fenêtres, elle faisait attention. Supposant l’immeuble vide le samedi, elle se relâchait. Elle a emmené quelques affaires direction la salle de bain.

Douche et toilette expresse, je lai vue revenir rapidement dans la chambre nue cette fois. J’admirais en connaisseuse ce corps mince et cette jolie poitrine. Elle a fouillé à nouveau dans les tiroirs de la commode. Je l’ai vu mettre un porte-jarretelles et enfilé des bas, mettre également une soutien-gorge et une culotte noire, juste devant la fenêtre. Elle bosse aussi le samedi ? Sexy la petite Elodie aujourd’hui quand même !!

Par contre, elle a continué à évoluer dans son appartement en sous-vêtements. Elle ne s’habillait pas plus. Elle a sorti son pris son portable et a passé un appel.

Bizarre …

Bon après tout, se balader en petite tenue chez soi, rien non plus de sensationnel.

Deux minutes après, je l’ai vu se précipiter dans l’entrée. Quand elle est revenue dans le séjour, elle était toujours en sous-vêtements, mais accompagnée de deux types.

« Carrément ! » me dis-je.

Je l’ai vu rouler une galoche à chacun des deux types qui l’entourait. Son mec était partit depuis 20 minutes et elle ….

Les deux types la pelotaient, elle les a entraînés dans la chambre. Là ce fut une succession de scènes à laquelle j’ai eu le droit.

Elle, à genoux devant le lit en train de sucer les deux types qui s’étaient déculottés. Elle, sur le lit se faire prendre en missionnaire tout en suçant l’autre. Elle, prise en levrette en suçant toujours le deuxième. Les types avaient échangé leur place. Elle, se faisant prendre en double pénétration à priori. Elle, en train de sucer à nouveau les deux types puis de les branler, manifestement pour les faire éjaculer sur son visage. Je vous la fait courte, mais ça a duré.

J’étais un peu estomaquée. Je ne suis pas prude, mais là … J’avis de la peine pour lui. Elle, je la méprisais un peu.

J’ai assisté à leurs ébats. J’étais juste en face à quelques mètres. J’ai vraiment tout vu.

Vous connaissez mon orientation sexuelle. Ça ne m’a pas vraiment excité. Non pas parce qu’il s’agissait d’une scène hétéro. L’érotisme de scènes hétéros peut me toucher sans souci. Là n’est pas le problème. Ce n’était pas érotique. C’était finalement vulgaire. J’avais l’impression de regarder un film porno, et pas un bon.

Là encore, la pornographie ne me gêne pas, je publie sur HDS, je ne vais pas faire la petite oie blanche. Mais je préfère l’érotisme même cru et laisser agir le cérébral et l’imaginaire, plutôt que des mauvaises scènes pornographiques.

En fait, il n’y a rien de plus chiant qu’un film porno. C’est toujours les mêmes scènes, ça dure, ça dure, ça dure … Et ces gros plans… C’est d’un pénible. Ce qui est beau quand un couple faisant l’amour est filmé, c’est de voir l’ensemble de la scène, de mesurer la complicité des partenaires, de s’imaginer l’harmonie entre eux. Ce n’est pas les gros plans d’une bite qui pilonne une chatte (Excusez le langage, mais le porno c’est ça).

Le porno, aujourd’hui, est accessible facilement. Trop facilement. Je ne suis pas une mère-la-pudeur, mais on se rend compte que ça a une influence certaine sur la sexualité des gens, notamment les jeunes générations. Ces trois-là, reproduisaient ce qu’ils avaient dû voir sur écran. Il y avait un aspect mécanique et stéréotypé dans la succession de positions. C’est tout de même mille fois mieux de s’inventer ses propres histoires et scénarios.

L’autre effet pervers, c’est cette jeunesse masculine qui ne respecte plus la femme. Encore une fois, même si j’ai certaines idées féministes, je suis loin d’être une intégriste du genre. Mais pour moi là, Elodie s’avilissait, ne se respectait pas. Pas parce qu’elle couchait avec deux types, mais compte-tenu des circonstances et de la manière dont elle faisait la chose.

C’était sordide finalement. Au niveau intellectuel surtout. Le couple, vu leur âge n’était pas ensemble depuis très longtemps.

Son mec à peine parti, elle faisait venir deux types et se faisait prendre sur le lit conjugal. Sordide non ? Enfin à mon sens.

Pas prudent en plus, lui était parti depuis un quart d’heure, il pouvait revenir en ayant oublié quelque-chose.

Après chacun ses valeurs. On dit toujours « Je ne juge pas », moi je juge … Enfin, je mesure l’écart entre mes valeurs et celles des autres. Je ne juge pas ment les individus. Ça c’est autre chose.


Voilà, une histoire courte, mais complètement vraie. J’aurais pu vous dire pour enjoliver le récit que j’ai réussi à séduire Charlène. Mais ce n’est pas le cas. Elle est restée insensible à mes charmes. Ou peut-être que c’est moi qui ne les ai pas mis en avant. Comme on dit, qui ne tente rien n’a rien. Je n’ai rien tenté, je n’ai rien eu.

J’avoue m’être caressée le premier soir, m’imaginant dans les bras de Charlène. La vue de ses mollets, de son postérieur, de son déhanchement, de la rougeur sur ses jours quand je lui ai dit que j’aimais son prénom, ça c’est de l’érotisme. Ca a réveillé quelque chose en moi. Cette fille se faisant « baiser » par deux mecs, que dalle.


Comme je le disais en préambule. C’est une histoire vraie. J’ai vraiment vu cette scène.

J’ai quitté le bureau vers 11h00. J’ai laissé derrière moi ce qui n’était plus mon petit couple. Elle avait un gâché cette image, l’avait salie. Quelque part, elle m’avait trompé aussi en plus de tromper son mec.

Surement qu’un jour prochain, il l’apprendra, vu le peu de précautions qu’elle prend. Et les infidélités, ça finit toujours par se savoir. Il accusera le coup, il sera surement très malheureux. J’espère pour lui qu’il passera le cap. Sincèrement.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!