Le Garage (4)
Je suis impatient de retrouver Paul ce soir. Hier je suis allé acheter des capotes, des grandes tailles adaptées à la longueur de ma queue mais surtout à son épaisseur. Tous les mecs que je prends me disent aimer ce sentiment particulier que leur procure le diamètre de mon sexe. Ils aiment les bonnes queues bien épaisses, probablement un signe de puissance dans leur imagination. Se sentir envahi par un pénis volumineux quitte à avoir le souffle un peu court la première fois que nous faisons connaissance.
En rangeant la boite de Durex XL dans le tiroir de létabli jai repensé à Marco, le petit mécano que javais du prendre en intérim quand un des mes meilleurs techniciens sétait cassé la jambe en faisant du ski. Marco mavait été recommandé par le directeur de son école de mécanique automobile que je connais bien pour le rencontrer au Rotary lui aussi, mais nous navons pas exactement, pas encore tout du moins, la même proximité quavec Paul
Il était arrivé le premier jour tout timide et bien habillé pour me faire une bonne première impression. Je dois dire que cétait réussi et jai eu envie de lui sauter dessus au premier coup dil. Un concentré de jeune virilité et de provocation qui ma fait durcir immédiatement. Jen regrettais de ne pas travailler à latelier. Après avoir vérifié un minimum de compétences techniques et réglé les détails des horaires et de la rémunération, je lembauche pour trois mois. Très vite lensemble de léquipe me dira sa satisfaction de travailler avec Marco, attentif aux conseils et déjà bon connaisseur du réglage des moteurs un peu sophistiqués.
Quelques semaines avant la fin de son contrat en CDD il ma demandé un rendez-vous pour faire le point. Je ne pouvais pas le garder parce quil avait décidé de prolonger sa formation par une spécialisation pour les moteurs de voitures de compétition mais il avait souhaité connaître mon avis sur ses qualités professionnelles et son niveau de compétences techniques.
Je lui avais donné rendez-vous un soir à 18H30 dans mon bureau mais comme cétait une veille de long week-end et soir de match de football, nous étions les deux derniers dans la concession.
Je le fais asseoir dans mon bureau et je fais le point sur les différentes phases de son adaptation au travail de latelier. Il mécoutait attentivement, toujours désireux de progresser et à lécoute des conseils que des professionnels pouvaient lui donner. Il était plus beau encore que la première fois, sexy à tomber dans sa combinaison de mécanicien impeccable.
A lissue de la conversation, il prend la parole :
- je peux vous demander quelque chose Monsieur ?
- bien sur Marco. Appelle moi Eric si tu veux bien.
-
.Ok
.Eric
..
- Oui
-
.je
..
- il y a un problème ?
- euhhh
.oui
.enfin
.non
- Oui ?
- Je voudrais pas vous mettre mal à laise
- Pas de souci. Je tai parlé franchement de ton travail. Les compliments sont justifiés, si tu as quelque chose à dire tu dois être à laise.
-
.mais ça ne concerne pas le travail en fait
- cest personnel ?
- Oui
- Si je peux taider ce sera avec plaisir
- OK
- Tu veux quon en parle à un autre moment peut-être ?
- Non, non
.
- Je técoute alors
-
..Jai envie de vous
Je reste interloqué, troublé par cet aveu et totalement heureux de ce que jentrevois à travers ses mots. Dun autre coté je ne veux pas que mon équipe soit au courant de mes attirances sexuelles et je ne mélange pas ma vie professionnelle et ma vie sexuelle.
- Marco
.
- Je vous ai choqué
.
- Non, pas du tout. Mais nous sommes dans un cadre professionnel ici
- Oui mais plus pour longtemps
.dans deux semaines je serai parti. Vous avez peur que je raconte des trucs aux autres ?
- Je ne mélange pas.
- Je comprends. Est-ce que vous pourriez me faire confiance ?
- Tu veux dire ?
- Me faire confiance si je vous dis que je ne dirai rien à personne.
Silence. Je ne sais pas quoi répondre. Il me regarde dans les yeux et jabandonne toutes mes défenses. Je lis dans son regard que, plus encore peut-être que faire lamour avec moi, il désire avoir ma confiance.
Je me lève, fais le tour du bureau et viens masseoir à coté de lui. Je pose ma main sur son genou.
- Marco, je te fais confiance et moi aussi jai terriblement envie de toi.
Echange de regards, ses yeux brillent. Nous nous levons, face lun à lautre et je le prends dans mes bras. Il pose sa tête contre mon épaule et jai le sentiment à cet instant précis de devoir le protéger du monde et des autres. Puis il se recule un peu et vient poser ses lèvres sur les miennes. Baiser divin, inoubliable, et je sens encore aujourdhui la douceur de ses yeux plongés dans les miens.
Nous sommes impatients. Il se recule, enlève ses chaussures de sécurité, se dégage de sa combinaison bleue. Il ne porte en dessous quun caleçon « Addicted » quil descend rapidement le long de ses cuisses musclées et délicieusement poilues et jentrevois au bas de son ventre une grosse queue non circoncise déjà dure comme le béton du sol de latelier.
Jai préféré le regarder, me nourrir de cette image, me rassasier de sa beauté plutôt que me déshabiller. Il sapproche. Défait le nud de ma cravate en soie bleue, me retire ma veste, déboutonne un à un les boutons de ma chemise quil écarte après lavoir dégagée de ma ceinture. Il se penche et me mordille le téton gauche. Je bondis sur place de plaisir et dexcitation. Je plaque mes mains sur ses fesses dures et je jouis de la douce fourrure qui les recouvre.
Il sagenouille, je me défais de mes mocassins. Il déboucle ma ceinture, défait le bouton et la fermeture éclair de mon pantalon qui tombe à mes pieds. Je men libère et Marco vient coller son visage sur la bosse de mon caleçon.
Toujours agenouillé il glisse ses doigts sous lélastique de mon caleçon et libère ma queue qui bondit à lhorizontale et manque de lui heurter un il. Je men serais voulu de lui faire mal dans ces circonstances. Il maide à me débarrasser de mon Calvin klein et doucement, lair de rien, sa main gauche enserre ma queue. Pression divine, il sempare de moi. Il entrouvre les lèvres et je plonge dans un monde de douceur. Il pose sa langue sur mon gland à lintérieur de sa bouche. Cest presque imperceptible, rien de lourd ni de laborieux, juste une maîtrise parfaite du contact. La peau tendue de désir de mon gland nen demande pas plus. Elle ressent chaque frôlement de sa langue et je jouis de la découverte de cette façon presque innocente et subtile de sucer ma grosse queue dhomme.
Il aime ce quil fait, je le vois dans son regard quand il lève les yeux sur moi. Et je me repais du plaisir de sa langue sur mon sexe. Indicible. Indescriptible. Jai envie de lui rendre la pareille, je lui touche le bras gauche en lui faisant comprendre de se relever. Cest à moi de magenouiller, de poser mon visage sur son sexe, sur son pubis taillé court, sur sa grosse queue qui me fascine. Je découvre son gland, et je bande comme un fou. Il sinvite entre mes lèvres tout en douceur, je sens le poids délicieux de sa verge gonflée sur ma langue, le volume dans ma bouche quil remplit de bonheur.
Pendant que je le suce, mes mains se posent sur ses fesses et les écarte. Je glisse un doigt dans sa raie pour atteindre son trou caché dans une toison dont je me régale sans la voir. Il ne soppose pas à mon exploration, et quand mon index caresse les bords de sa petite chatte de jeune mâle affamé, il gémit de plaisir et fléchit un peu les genoux pour me faciliter le passage.
- oh oui
.
Il gémit et je comprends son message. Je lui fais comprendre de tourner sur lui-même et de se pencher en sappuyant sur le bord de mon bureau.
Je magenouille derrière lui, lui écarte les fesses avec encore plus dadmiration et je lui bouffe le cul avec ardeur. Ma langue sur son anus rose pale, mon menton mal rasé dans la raie. Il se tord de plaisir sous les effets conjugués de la douceur humide de ma bouche et de la douce abrasion de mes poils de barbe.
- oh, putain cest trop bon patron !
- Eric
- Pardon, cest trop bon Eric. Bouffe moi
Je sens le désir monter inexorablement dans ma queue que je masturbe au rythme de mes coups de langue sur son petit cul à se damner. Jai envie de le prendre, là, tout de suite, mais je nai pas de capote.
- Fais moi lamour
- Jai pas de capote
- il y en a en bas dans latelier
- Ah bon ?
- Viens
Il se retourne pour me faire face. Jadmire son torse poilu, sa barbe qui lui donne quelques années de plus et un charme irrésistible.
Il se dirige vers la porte qui donne accès à lescalier qui descend dans latelier et jadmire ce petit mec, à poil, la queue en lair, sans complexe. Je le suis, tout aussi à poil et tout aussi excité. Marco ouvre le tiroir dun des établis et fouille un peu au fond avant den sortir une boite de préservatifs déjà ouverte.
- Tiens
- Cest à toi ?
- Euh
..oui
- Tu
..vous baisez dans latelier ?
- Euh
.non
.enfin
..ça peut arriver
- Mais avec qui ?
- Eric, tu mas demandé dêtre discret pour nous deux, alors je vais pas te dire ce qui se passe ici
- Cest Sébastien ?
Sébastien est un mécano qui nous a rejoint il y a quelques années et qui me fait chavirer le cur à chaque fois que je le vois. Presque deux mètres, hyper bien foutu, poilu divinement. Tous les ans jattends lété avec impatience pour le voir torse nu sous sa combinaison bleue. Je suis quasiment sur quil ne porte pas de caleçon sous sa tenue de travail pour afficher à la vue de tous la forme sans équivoque dune queue qui doit avoisiner les 24 centimètres et qui, selon les jours, gonfle le tissu de sa salopette le long de sa cuisse droite ou gauche. Il faudrait être aveugle pour ne pas rester figé dadmiration devant la virilité totale de ce superbe morceau.
- et pourquoi pas des clients ?
- QUOI ? tu baises ici avec des clients ?
Je suis abasourdi mais mon érection ne faiblit pas et jouvre lemballage de la capote. Je glisse le latex sur mon pénis tendu à fond sous leffet du désir que minspire Marco et de ce quil est en train de raconter. Il me regarde lair amusé et provocateur.
- il faut fidéliser la clientèle non ?
- ok, mais qui ?
- Secret
- Dis moi
- Baise moi
.
Et, joignant le geste à la parole, Marco se penche et pose sa jambe droite repliée sur létabli pour moffrir une vue et un accès imprenable à son trou de mec poilu. Je prends le tube de gel quil a sorti du tiroir en même temps que les préservatifs, jen enduis soigneusement ma queue dressée et son petit anus rose.
- Marco
.
- Oui ?
- Je peux ?
- Viens
Je pose mon gland sur son trou, contracte les muscles de mes fesses et lentement projette mon bassin en avant. Je rentre en lui, cest doux, cest dingue comme nous fusionnons tout de suite. Je me sens chez moi dans son intimité et lui maccueille le plus naturellement du monde.
- ohhhhh, cest trop bon
- tu aimes ?
- oh oui
.viens
..
Je menfonce encore et mon pubis se colle à ses fesses écartées, envahies par mon sexe qui disparaît dans ses profondeurs. Ses poils mouillés forment un anneau, comme un écrin, autour de mon pénis, brillant de gel, qui senfonce, resurgit, senfonce à nouveau.
De sa main il saisit sa queue et se masturbe énergiquement. Il va et vient de tout son corps sur mon sexe qui le transperce en me procurant un bonheur indescriptible. Je sens le plaisir monter.
- Marco
..je vais jouir
- Oui
..baise moi
..jouis dans mon petit cul
- Cest trop bon
Je maccroche à son épaule gauche pour gagner encore un millimètre enfoncé en lui. Son corps menserre, se contracte sur moi, cest un étau, lenfer, le paradis réunis.
- Ouiiiiiiiiiiiii
Je crache mon jus dans ma capote bouillante, au fond de lui et jespère quil ressent la chaleur de ma semence dans les profondeurs de son ventre déchiré de désir.
- Oh, putain, ouiiiiiii
Il bloque sa queue dans une poigne de fer et inonde le sol de six longs jets de sperme blanc et bien épais.
Je maffale sur lui, lui même effondré sur létabli après avoir joui comme un animal. Je retire ma queue de son cul et enlève la capote remplie dune dose plus que généreuse de mon jus. Je suis heureux du simple contact de mon corps nu contre le sien, ma queue à moitié dure maintenant calée entre ses fesses humides de gel et de transpiration.
Dans cette position, je peux lui parler à loreille
- Merci Marco
- Merci Eric
- Jai adoré
- Moi aussi
Je le caresse partout où mes mains se posent. Il est bien, je le sens. Les crampes venant nous quittons cette position. Face à face nous nous regardons. Silencieux. Séduits. Repus
Il recommence à bander.
- jai encore envie
- moi aussi mais là il faut que jy aille
- je pourrai revenir ?
- bien sur
Il mamuse.
- tu vas minviter à tes plans avec mes mécanos et mes clients ?
- tu as envie ?
Je ne suis pas sérieux. Lui non plus.
- Peut-être
- En tout cas cest mieux avec toi
..quavec certains clients
.
- Arrête
Nous nous caressons et nous embrassons. Ni lui ni moi navons envie dinterrompre ce moment magique. Après de longues minutes que nous volons au temps, nous finissons par remonter lescalier, à regrets.
Nous nous rhabillons rapidement, un peu sonnés du plaisir que nous nous sommes donné et déjà frustrés de devoir nous quitter.
- Eric
- Oui
- Pour ce que je tai dit tout à lheure, tu peux me faire confiance
- Je sais.
- Jai gardé ton numéro, tu me lavais donné quand nous avons calé mon premier entretien.
- Oui ?
- Je tenverrai un message tout à lheure.
- Tu ne veux pas men parler maintenant ?
- Non, tu verras.
Il est maintenant prêt à partir. Dernier regard, et déjà la nostalgie.
- A bientôt ?
- Oui, à bientôt.
Je le regarde descendre sur le parking et prendre sa moto.
Quelques minutes plus tard, alerte SMS.
Cest une photo.
Celle-ci, cette photo qui saffiche sur ce tumblr depuis hier. Cest Marco, irrésistible, avec son cul de petit mécano qui na pas froid aux yeux, offert à mon désir. Je bande à nouveau comme un fou. Jai envie de plonger en lui, de lentendre hurler son plaisir de se faire labourer par moi, son ancien patron qui perd tous ses moyens devant lui.
Et je comprends le message, cette confiance quil me fait en me confiant cette photo de lui que personne naurait pu rendre plus bandante. Son regard, son corps de jeune mec viril et son trou offert à mon désir. Je grave cette image dans ma mémoire.
Je lui réponds
E / Merci Marco
M / Tu as aimé ?
E / Au-delà de tout
M / ;-). Cest bien.
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