Terma 83 : Les Aventures Du Jeune Said En Prisons (1)
Je me nomme, disons Said et jai maintenant 40 ans. Mais mon aventure sexuelle commença vers 18 ans, quant mes copains et moi avons été arrêtés pour plusieurs larcins et mis en prison. On nous a divisés et faute de place, moi jai été mis dans la zone des délinquants âgés et professionnels. Je fus mis en cellule avec un homme de couleur, un gars baraqué et à lair méchant. Il ma placé sur la couchette du bas et après lextinction des feux, il est descendu pour me peloter et tapoter les fesses et le cul. Bien entendu jai refusé mais il était plus fort, alors mes cris ont amené le gardien, chef de ce bloc de cellules. Il nous a examinés avec sa lampe torche, jai exposé mon grief et il ma regardé longuement, puis il a haussé les épaules et me menaçant dune bonne correction si je continuais à faire du bruit, il est reparti sans même dire un mot à mon agresseur. Aussitôt seuls, mon gars mempoigna et recommença à me peloter et rapidement il a réussi à menlever mon pantalon, seule protection de mon derrière nu. Il ma donné quelques coups, mais pas très poussés, juste pour que je comprenne que toute résistance était inutile, et jai cédé. Il ma mis à poil et lui aussi et ma obligé à lui sucer la bite, un engin immense, long et large et dune virilité effrayante. Je lai empoigné et sucé et léché et même branlé. Sa dimension énorme et sa douceur, en meme temps mont impressionné et, sachant ce quil allait marriver, jai commencé à y penser avec résignation. Il me pelotait en même temps mes fesses et poussait un doigt, puis deux dans mon cul. Ensuite, il ma mis à genoux sur le sol, ma écarté les cuisses et sest placé derrière moi. Ses lèvres me léchaient les fesses et mon anus et sa langue essayait de me pénétrer. Avec ses doigts, il ma écarté mon trou et malgré la douleur, jai essayé mes gémissements. Après mavoir bien travaillé lanus avec deux puis trois doigts, il a pointé sa bite et commença à me pénétrer. Javais mal mais je me taisais par peur et rapidement, par poussées alternatives, il a réussi à faire pénétrer une bonne partie de sa bite.
Je me suis accroupi pour vider son sperme de mon cul, puis je me suis rhabillé et couché. Un quart dheure plus tard, le gardien du bloc est revenu pour contrôler. Et arrivé à notre cellule, il louvrit et me demanda de le suivre. Je navais pas dabord saisi mais je lai suivi. Il ma amené dans sa loge, juste derrière la grille du bloc et ma demandé de me mettre à poil et il fit de même. Javais compris, alors jai obéis puis à genoux sur le sol, jai soulevé mon derrière et offert mon cul à lhomme. Il sest placé derrière et ma écarté les cuisses puis sa bite ma frotté le sillon entre mes fesses et rapidement sest pointée sur mon anus. Sa bite, quoique assez grosse était moins impressionnante que celle de mon gars. Et elle me pénétra très facilement jusquaux couilles. Il commença à me travailler et javoue que ses frottements mont donné plus de plaisirs agréables que la bite du gars.
Il sest vanté en me disant que tous ceux quil avait niqués ont aimé sa bite et quil recommencera avec moi. Jétais daccord, dautant plus que sa position de gardien pourrait maider. Il ma bien donné du plaisir et des jouissances et enfin il a éjaculé dans mes entrailles part trois fois, lui aussi. Il a sorti sa bite et cest moi qui lui a demandé de me loffrir pour la nettoyer, cela lui a fait plaisir. En réalité je commençais à aimer sucer les bites et gouter le sperme. Ensuite, je me suis vidé de son jus par terre, je me suis rhabillé et il ma accompagné à ma cellule. Un autre « youyou » fut lancé de quelques part du bloc. Les salauds savaient que le gardien venait davoir lui aussi sa part dans mon cul de jeune « mariée ».
La nuit fut ensuite tranquille et la journée aussi. Mon gars de cellule maccompagnait partout dans la journée et javais compris, à lattitude des autres, quil me considérait comme sa « femme », sa « protégée » exclusive à tout autre, cest du moins ce que javais compris. Cette règle ne compte pas, bien sur, pour le chef gardien du bloc. On a diné ensemble dans la grande salle de la prison et jusquà la nuit, tout a bien marché. A lextinction des feux, je me suis mis à poil, prévoyant une autre partie de sodomie avec mon gars. Mais, soudain, la porte de la cellule souvrit sur une ombre. Jai pensé au gardien qui désirait refaire une partie, car mon gars ne bougea pas de son lit, au dessus du mien. Quant lombre fut assez prêt, je pus voir la personne. Cétait un autre prisonnier, en habit orange, aussi baraqué que mon gars et qui commença à se déshabiller. Je levais les yeux vers mon gars couché sur le coté de son lit et qui me lança « cest son tour, sois tranquille ».
Alors jai exigé une autre sodomie, mais cette fois par devant, face à face, comme une femme. Je voulais tenter cette expérience dont jai eu lidée la nuit dernière. Jessayais de connaitre les sensations quéprouvait une femme, entre les bras de son amant et qui lui donnait entièrement sa chatte à baiser. Moi, ma chatte ce sera mon cul, sous mes couilles. Étendu sur le dos, les jambes et cuisses hautement levées et largement écartées, le bassin soulevé, je lui offrais mon cul par-dessous mes couilles. Et il me sodomisa ou plutôt me baisa, avec un plaisir partagé et murmurait parfois « ma chérie ! ma chérie ! ». Javais donc réussi à lui donner limpression quil baisait la chatte dune femme au lieu de cul. Et ainsi, il pouvait caresser et embrasser et sucer mes seins et moi je lui offrais ma bouche et une attitude féminine qui lont affolé. Sa bite me semblait plus longue et plus gonflée que dhabitude et quant il éjacula avec un long hurlement de plaisir, certainement entendu dans le couloir des cellules du bloc, la quantité de sperme a été de loin la plus abondante. Je lai sucé et avalé son sperme puis il ma chuchoté que dorénavant, il mapporterait et moffrirait tout ce que je désirais. Et il tint parole par la suite, ce qui ma permis daider aussi mon gars Azouz et même ses amis.
Et pendant une année entière, jai vécu ainsi, entre Azouz et ses amis et le chef gardien, Si Tahar, avec leurs queues et leurs gentillesses et cadeaux. Mes fesses et ma terma ont augmenté en volume et en douceur, mes hanches se sont élargies et mon anus bien ouvert avalait toutes les queues sans problème. Jai aussi appris à onduler un peu de la Terma, à la demande de mes amants pour augmenter leur excitation, et javoue que je le faisais avec beaucoup de plaisir. Jai aussi appris à faire des pressions de mon anus et de son intérieur pour jouer à ma guise avec toute bite qui me pénétrait. Ainsi, cest moi, avec ma Terma, qui niquait les bites de mes amants, et non le contraire. A chaque fois, mes amis me disaient quils avaient limpression que mon anus et mon cul sont toujours aussi souples et excitants quà leurs débuts. Quoique ma Terma fût théoriquement, exclusive à Azouz, à ses amis et à Si Tahar le gardien, jai été souvent tenté par linfidélité de mon cul pour dautres queues délicieuses. En effet, jai réussi quelques fois à draguer des prisonniers, qui me plaisaient, pour leur offrir en cachette mon cul, soit dans les cuisines, soit dans les toilettes, mais en faisant très attention à la discrétion. Une fois, je suis même arrivé à organiser une sodomie à quatre. En effet, jai invité trois gars, des prisonniers inséparables, dans larrière cuisine et, nus tous les quatre, ils mont niqué tour à tour et parfois à deux et jai sucé et branlé leurs queues et avalé leurs spermes. Jen étais inondé de leur jus et mon cul était sorti de cette épreuve, largement ouvert et un peu douloureux et il lui a fallu deux jours pour retrouver sa forme normale. Je crois que mon gars Azouz la appris ou compris, mais il était de nature discrète et maimait beaucoup pour ne pas me créer de problème. Dailleurs, il me la presque avoué une fois car il mavait conseillé que lorsque ma Terma avait besoin dun petit changement de partenaire, cest à lui que je désignerais mon choix damant et il organisera la partie de plaisir pour moi et ma Terma. Cétait un mari complaisant, en somme. Ainsi, à l'extérieur de mes amis habituels, mon cul a gouté presque une cinquantaine de queues extra, dont deux, formidables, ont eu droit à ma Terma, plusieurs fois.
A la fin de mon année dincarcération, et par jugement, je fus hélas, transféré dans une autre prison, certes nettement plus libre et qui offrait parfois des sorties dune à trois journées pour certains prisonniers, sous certaines conditions. Je fis des adieux pleins de larmes et de tristesse à mes amis et à Si Tahar le chef gardien. Ce dernier ma promis quil allait maider dans ma nouvelle prison.
En effet, dès mon arrivée, un chef gardien, Si Tayeb me prit à sa charge. Il me dit quil était lami de Si Tahar et au lieu de me placer dans une cellule à deux, il moffrit une cellule entièrement à moi, la première à lentrée du bloc. Sa loge se trouvait juste de lautre coté de la grille. La première nuit, Si Tayeb me visita, en exclusivité, et me niqua par deux fois, pendant presque une heure, une fois par derrière et une seconde fois par devant. Si Tahar, mon vieil ami lui a certainement touché un mot sur cette méthode face à face. Puis dans la journée, il me recommanda à un autre prisonnier de couleur, Mouh, qui ressemblait comme deux goutte deau à Zoubir mon premier amant. La aussi Si Tahar a du informer son ami Si Tayeb que jadorais les bites de couleur, grosses, longues et épaisses. Mouh avait une autre cellule avec un compagnon mais javais envie de connaitre sa bite. Alors, je lui ai avoué que je le désirais mais que je ne pouvais pas lamener dans ma cellule, à cause du gardien juste à coté, ni dans la sienne à cause de son compagnon. On a réfléchit et il a trouvé la solution. Un de ses amis, homme de couleur était cuisinier de la prison. Alors, on a réussi à le contacter et il nous a offert un coin bien tranquille tout au fond discret de ses cuisines. Et jai enfin gouté la bite de Mouh. Et javoue quelle était aussi longue, épaisse et dure et douce en même temps que la première queue qui mavait dépucelé. Il ma niqué deux fois par derrière, la première, on était pressé, moi du cul et lui de la bite. Et vite, il ma pénétré et possédé avec rage et vitesse. Rapidement il a éjaculé avec abondance par quatre fois. Il devait être à jeun depuis longtemps et les couilles pleines. Puis, je me suis vidé sur le sol et je lai sucé et branlé. Son ami le cuisinier, nommé Sine, était venu observer. Il a du être subjugué par ma Terma car il a sorti sa queue et commençait à se masturber, sans gêne devant nous. Les yeux grands ouverts, arrondis par le désir et la langue sortie, léchait ses lèvres en cadence. Jétais accroupi et Sine était hypnotisé par ma large croupe face à lui. Mes larges fesses blanches lont tellement excités quil se branlait, devant nous, sans gêne et haletait et gémissait. Moi, je suçais et branlais la queue de Mouh et rapidement, elle sest regonflée et durcie. Alors il ma poussé et positionné à genoux sur le sol, puis il ma niqué une seconde fois par derrière, mais il a rapidement atteint son top et a éjaculé. Puis il sest retourné vers son ami cuisinier pour lui offrir ma Terma bien exposée. Son ami Sine, sétait rapproché et a suivi la sodomie de près, tout en se masturbant. Et dès que Mouh lui a fait signe, il sest précipité sur ma Terma. Il a commencé par me caresser, malaxer et baiser les fesses. Je suis resté à genoux et malgré le sperme qui suintait de mon cul sur mes fesses et cuisses, Sine ma léché lanus pour avaler les restes de sperme. Puis, il a donné deux baisers sonores à mes fesses qui le fascinaient et il a empoigné sa queue et ma pénétré en force jusquaux couilles. Son bas ventre claqua sur mes fesses et il hurla longuement comme un loup. Mois, je nai pas ressenti grand-chose, dautant plus, le sperme qui continuait à fuser de mon cul ne me permettait pas de gouter la chair de la bite. Ce nest quaprès un moment, quant la majorité du sperme était sorti, que jai enfin ressenti la chair de sa queue qui frottait la chair de mon intérieur de cul. Sa bite était moins grosse et moins puissante que celle de Mouh mais, grâce à la sensibilité permanente de mon cul, elle ma donné quant même du plaisir. Le cuisinier Sine ma niqué pendant un moment, mais soit quil était du genre rapide, soit que ses branles p^préliminaires lavaient préparées, il arriva vite au plaisir et éjacula, moyennement. Puis, il ma remercié et promis de me donner tout ce que je voulais quant je le désirais. Un cuisinier, dans une prison, cest très utile. Puis il est retourné à ses cuisines. Mouh, qui est resté à observer la sodomie, sest ensuite excusé mais comme jétais content quil mavait déniché un lieu discret pour ma Terma, je lui ai pardonné. Et à partir de ce jour, chaque fois quon voulait niquer, moi ou Mouh, on allait voir Sine qui nous offrait un bon coin tranquille au fond de ses cuisines. Et parfois, à lui aussi, je lui permettais de prendre un petit plaisir avec ma Terma, on est devenu copain même en labsence de Mouh. Et Sine, le cuisinier me permettait souvent davoir des aliments en plus, fromages, fruits, ufs, boissons etc. De son coté, Si Tayeb le gardien venait visiter mon cul une ou deux fois seulement par semaine, dans ma cellule, mais il sabsentait parfois deux à trois semaines, à cause de sa famille en ville. Moi, javais Mouh et le cuisinier Sine.
Un jour, alors que je prenais un petit lunch derrière la cuisine, Sine reçut un ami, qui, daprès lui, travaillait chez un grand commerçant qui alimentait la prison en victuailles. Je lai aperçu du fond, sans quil me voit et jai été ébloui. Il était grand, même énorme, deux mètres au moins, et large dépaules. Sa chemise ouverte montrait une poitrine musclée et poilue qui ma tout de suite affolée. Jai fait signe à Sine qui ma rejoint. Je lui ai demandé de me présenter à son copain et ils mont rejoint derrière. La présence seule du gars commençait à mexciter et je voulais à tout prix voir la taille de sa queue et la gouter dans ma bouche et dans ma Terma. Jai eu, en somme, le coup de foudre. Cet homme, je le voulais déjà dans mon cul, je voulais quil me nique comme une pute, par derrière et par devant, et autant de fois quil me voulait. Alors, sans hésiter et sans honte, je me suis mis à genoux devant lui et jai mis la main sur sa braguette pour sentir sa bite. Elle semblait énorme. Il était étonné et ne bougeait plus, mais jai entendu Sine lui murmurer quelque chose et je ressentais sa queue qui grossissait et durcissait. Un vrai mâle qui bande tout de suite en présence dune Terma qui lappelle, même à travers les vêtements. Jétais affolé, alors le gars à ouvert sa braguette et ma montré sa queue. Elle était gigantesque, impossible de la comparer à toutes celles que je connaissais et qui mavaient sodomisé. Sine, séclipsa discrètement. Alors, jai avalé et sucé difficilement cette merveilleuse bite, déjà longue et lourde. Dans ma bouche elle continuait à sallonger et à se gonfler, mais elle était aussi si chaude et douce à la fois. Alors jai descendu le pantalon et le slip du gars, qui les a aussitôt rejetés à coté et moi, je me suis complètement mis à poil. Je voulais quil me vois totalement nu comme je le voulais aussi pour son corps mais il restait en bras de chemise. Je lui ai offert ma Terma avec son derrière et ses larges fesses blanches, sans poils, en contraste avec ses cuisses à lui, poilues. Je suis positionné car javais hâte de sa bite sur ma Terma.
Tout de suite, jai ressenti la lourdeur de cette queue sur mes fesses, puis sur mon anus. Ensuite, la tête de sa queue me pénétra doucement, puis, constatant quil ny avait aucun problème, le gars poussa en force et senfonça en vitesse dans mon cul, jusquaux couilles et son bas ventre claqua sur mes fesses. Malgré que mon cul était habitué aux grosses queues mais celle là, il la senti passer. Mais même la légère gène que jai eu lorsquelle ma écarté lanus et lintérieur du cul, ce furent un plaisir et une jouissance inédites. Je lai eue cette formidable queue, les ondes de ma Terma ont réussi à capter rapidement cette dite. Puis le géant ma niqué à la mesure de sa taille, de sa queue et de sa puissance. Une demi heure, certainement plus durant laquelle je gémissais et hurlais de plaisir en permanence, et remuais le derrière comme une pute affamée. Trente, quarante peut-être plus de vas et viens sans arrêt de cadence, et enfin, son jus arriva et il éjacula par quatre fois et dune abondance rare. Et quant il se retira, jai rapidement empoigné sa queue car javais une envie folle de la sucer encore et la nettoyer. Jétais à genoux devant lui et le suçait. Il avait soulevé haut sa chemise sur sa poitrine et jai vu son bas ventre et son pubis, poilus, désirables, un vrai mâle.Comme sa bite est restée pratiquement gonflée, debout et presque verticale, je désirais une seconde sodomie face à face, comme une femme entre les bras de son homme poilu et la bite au fond de sa chatte. Je le voulais ardemment, mais il a refusé car pressé par le boulot. Il est parti mais il a dit quelque chose à Sine le cuisinier. Celui-ci est venu me voir alors que, accroupi sur le sol, je me vidais du sperme du géant. Sine ma confié que son ami qui se nommait Boubekeur était un grand baiseur réputé et que ma Terma et mon cul lui ont beaucoup plu et quil désirait minviter chez lui lorsque jaurais une permission de sortie. Et Sine ajouta quil maiderait, le moment voulu. Jétais accroupi par terre, le derrière bien tendu et le cul encore ouvert, et les yeux du cuisinier ne quittaient pas ma Terma, tout en caressant la bosse bien visible dans sa braguette. La vue de mon large derrière blanc, lisse et bien tendu faisait bander sa queue. Javais compris, alors du doigt, je lui ai indiqué mon anus. Il se précipita, ouvrit sa braguette, sortit sa queue bandée, descendit son pantalon et monta sur mes fesses. Tout de suite, sa queue me pénétra et il commença sa danse avec frénésie, souffles précipités, haletant. Hélas, il ne tarda pas et rapidement il arriva à son top et éjacula deux fois moyennement. Il se retira, sexcusa et repartit vers sa cuisine. Moi, je me suis encore vidé le cul et nettoyé puis jai continué à manger mon lunch. Mon corps frissonnait encore au souvenir de la bite monstrueuse du géant, une bite follement douce, conquérante de Terma. Je crois quaucun de mes amants navais atteint les recoins de mon cul que seul, cet engin avait niqué tout à lheure.
Maintenant que jai mes amants normaux et assurés au sein de la prison, et que je pouvais même choisir dautres et les amener dans larrière cuisine de Sine pour me niquer, il fallait rassasier ma Terma de ce nouvel amant à la queue immense et pour cela il fallait que jai une permission de sortie. Mon ami le cuistaud ma expliqué les conditions et procédures. Il me fallait un parent à lextérieur, qui assurera mon assurance, mais je navais personne. Alors, le soir, après que le chef gardien, Si Tayeb sétait vidé les couilles dans ma Terma et que je continuais à lui sucer et nettoyer la bite, je lui ai chuchoté mon problème. Il a réfléchi un moment et jen ai profité pour massoir sur ses cuisses et poussé sa queue, encore une fois, dans mon cul pour une seconde sodomie, jai insisté et il a fini par accepter de maider. Il allait profiter dune fête dans sa famille, pour maider à avoir une sortie de deux jours, chez lui en ville. Et ladministration peut accepter avec un tel correspondant. Jaccepte davance tout ce quil désirera faire avec mon cul et jaurais ainsi deux jours de liberté. Sine me donnera ladresse de mon autre amant géant, Boubekeur, et jen profiterais pour aller me faire niquer avec sa grosse bite merveilleuse. La sortie, cest dans quinze jours. Entre temps, je me contenterais à niquer avec mes amis de la prison.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!