Terma 83 : Les Aventures Du Jeune Said En Prisons (1)

Je me nomme, disons Said et j’ai maintenant 40 ans. Mais mon aventure sexuelle commença vers 18 ans, quant mes copains et moi avons été arrêtés pour plusieurs larcins et mis en prison. On nous a divisés et faute de place, moi j’ai été mis dans la zone des délinquants âgés et professionnels. Je fus mis en cellule avec un homme de couleur, un gars baraqué et à l’air méchant. Il m’a placé sur la couchette du bas et après l’extinction des feux, il est descendu pour me peloter et tapoter les fesses et le cul. Bien entendu j’ai refusé mais il était plus fort, alors mes cris ont amené le gardien, chef de ce bloc de cellules. Il nous a examinés avec sa lampe torche, j’ai exposé mon grief et il m’a regardé longuement, puis il a haussé les épaules et me menaçant d’une bonne correction si je continuais à faire du bruit, il est reparti sans même dire un mot à mon agresseur. Aussitôt seuls, mon gars m’empoigna et recommença à me peloter et rapidement il a réussi à m’enlever mon pantalon, seule protection de mon derrière nu. Il m’a donné quelques coups, mais pas très poussés, juste pour que je comprenne que toute résistance était inutile, et j’ai cédé. Il m’a mis à poil et lui aussi et m’a obligé à lui sucer la bite, un engin immense, long et large et d’une virilité effrayante. Je l’ai empoigné et sucé et léché et même branlé. Sa dimension énorme et sa douceur, en meme temps m’ont impressionné et, sachant ce qu’il allait m’arriver, j’ai commencé à y penser avec résignation. Il me pelotait en même temps mes fesses et poussait un doigt, puis deux dans mon cul. Ensuite, il m’a mis à genoux sur le sol, m’a écarté les cuisses et s’est placé derrière moi. Ses lèvres me léchaient les fesses et mon anus et sa langue essayait de me pénétrer. Avec ses doigts, il m’a écarté mon trou et malgré la douleur, j’ai essayé mes gémissements. Après m’avoir bien travaillé l’anus avec deux puis trois doigts, il a pointé sa bite et commença à me pénétrer. J’avais mal mais je me taisais par peur et rapidement, par poussées alternatives, il a réussi à faire pénétrer une bonne partie de sa bite.

Ensuite ce fut plus facile. Il m’a niqué pendant une bonne heure, d’abord doucement pour adapter mon cul à sa bite, puis plus fort et plus accéléré. J’avoue qu’après dix ou vingt minutes, ça commençait à me plaire et j’essayais de l’aider ou ouvrant au maximum mon anus. Ses frottements à l’intérieur de mon cul m’excitaient et une sorte de plaisir agréable m’inondait le bas ventre et le corps. Je remuais du derrière et il l’a remarqué. C’est ainsi qu’il a foncé et m’a niqué avec vigueur, et sa bite me pénétrait jusqu’aux couilles qui me chatouillaient l’entre cuisses. Son bas ventre claquait sur mes fesses et il haletait fort. Moi aussi je respirais fortement et mon cœur battait la chamade. Nos voisins nous ont bien entendu, la preuve, l’un d’eux nous a lancé « vive la mariée » et un autre a lancé un petit « you you ». J’avais bien saisi que la mariée c’était moi. Tout le monde était maintenant au courant. Enfin, le gars s’agrippa à mes hanches et éjacula dans mon cul par trois fois et en abondance. Puis il se retira, me demanda de nettoyer sa bite avec ma bouche, et ensuite il remonta se coucher dans son lit.
Je me suis accroupi pour vider son sperme de mon cul, puis je me suis rhabillé et couché. Un quart d’heure plus tard, le gardien du bloc est revenu pour contrôler. Et arrivé à notre cellule, il l’ouvrit et me demanda de le suivre. Je n’avais pas d’abord saisi mais je l’ai suivi. Il m’a amené dans sa loge, juste derrière la grille du bloc et m’a demandé de me mettre à poil et il fit de même. J’avais compris, alors j’ai obéis puis à genoux sur le sol, j’ai soulevé mon derrière et offert mon cul à l’homme. Il s’est placé derrière et m’a écarté les cuisses puis sa bite m’a frotté le sillon entre mes fesses et rapidement s’est pointée sur mon anus. Sa bite, quoique assez grosse était moins impressionnante que celle de mon gars. Et elle me pénétra très facilement jusqu’aux couilles. Il commença à me travailler et j’avoue que ses frottements m’ont donné plus de plaisirs agréables que la bite du gars.
Peut-être que mon cul commençait déjà à gouter et aimer les bites. Et pendant plus d’une demi-heure, il m’a niqué avec mon entier accord et nous gémissions en commun. Parfois quant il s’arrêtait un peu, c’est moi qui agitait mon cul en avant et en arrière pour frotter sa bite en moi et je l’entendais ricaner et murmurer « une pute ! une pute ! ».
Il s’est vanté en me disant que tous ceux qu’il avait niqués ont aimé sa bite et qu’il recommencera avec moi. J’étais d’accord, d’autant plus que sa position de gardien pourrait m’aider. Il m’a bien donné du plaisir et des jouissances et enfin il a éjaculé dans mes entrailles part trois fois, lui aussi. Il a sorti sa bite et c’est moi qui lui a demandé de me l’offrir pour la nettoyer, cela lui a fait plaisir. En réalité je commençais à aimer sucer les bites et gouter le sperme. Ensuite, je me suis vidé de son jus par terre, je me suis rhabillé et il m’a accompagné à ma cellule. Un autre « youyou » fut lancé de quelques part du bloc. Les salauds savaient que le gardien venait d’avoir lui aussi sa part dans mon cul de jeune « mariée ».
La nuit fut ensuite tranquille et la journée aussi. Mon gars de cellule m’accompagnait partout dans la journée et j’avais compris, à l’attitude des autres, qu’il me considérait comme sa « femme », sa « protégée » exclusive à tout autre, c’est du moins ce que j’avais compris. Cette règle ne compte pas, bien sur, pour le chef gardien du bloc. On a diné ensemble dans la grande salle de la prison et jusqu’à la nuit, tout a bien marché. A l’extinction des feux, je me suis mis à poil, prévoyant une autre partie de sodomie avec mon gars. Mais, soudain, la porte de la cellule s’ouvrit sur une ombre. J’ai pensé au gardien qui désirait refaire une partie, car mon gars ne bougea pas de son lit, au dessus du mien. Quant l’ombre fut assez prêt, je pus voir la personne. C’était un autre prisonnier, en habit orange, aussi baraqué que mon gars et qui commença à se déshabiller. Je levais les yeux vers mon gars couché sur le coté de son lit et qui me lança « c’est son tour, sois tranquille ».
Il m’avait vendu à un autre pour une partie de cul. Je voyais la queue de ce nouvel arrivé et, ma foi, elle était aussi grosse et longue que celle qui m’avait dépucelé. Et après tout, je me suis dit qu’une bite vaut bien une autre et je me suis mis en position, à genoux sur le sol et cuisses écartées. Rapidement sa bite trouva mon anus et plongea dedans jusqu’à ses grosses couilles. Et, tenant fortement mes hanches, il me niqua pendant une demi-heure. Dès le départ, il y mit toute sa vigueur et sa vitesse et cela me plut énormément. Nous haletions ensemble et de temps à autre, quant il se penchait, je sentais son souffle rauque, affolé de désir. Moi aussi, je me suis libéré et je goutais à fond le plaisir et les jouissances de mon cul. Mon bas ventre frissonnait et mon corps vibrait au rythme des coups de reins de l’homme. Et enfin, il éjacula par trois fois, et avec abondance. Il resta un moment figé dans mon cul avant de sortir sa queue. Je me suis retourné vivement et, accroupi, je vidais son sperme et en même temps j’ai empoigné sa queue pour la sucer et la nettoyer. Il m’a laissé faire avec dans les yeux un certain étonnement et un petit sourire. Ensuite il m’a tapoté les fesses et m’a chuchoté « si tu as besoin de moi, en tout, je suis à ta disposition ». Puis s’étant rhabillé il est parti en silence. La porte de la cellule est restée non fermée pour la nuit. Mais moi, je me suis rapidement recouché. Le matin, j’ai demandé une explication à Azouz, c’était le nom de mon compagnon de cellule. Il m’a dit que c’était la règle, quant il y a une nouvelle « mariée » et dépucelée par son compagnon, les amis intimes de ce compagnon ont aussi droit à au moins un coup de plaisir avec la mariée. Et, à ma question sur le nombre de ses « amis intimes », il a répondu qu’ils étaient cinq. Donc j’aurais droit ce soir et quatre autres nuits, aux queues de ses amis et comme il en rigolait à sa manière discrète, j’ai accepté mon destin avec philosophie. J’allais comparer les six bites dans leurs formes, dimensions et usages et gouter la saveur de leurs spermes.
Cela sans oublier mon chef gardien. Ainsi, et pendant toute la semaine j’ai eu droit aux bites de ses amis et à leur jus de couilles et ce fut, sincèrement merveilleux. Et pendant le week-end, mon gars Azouz me niqua par deux fois et me remplit le cul de sperme que j’ai gouté et avalé en partie. Et à la rentrée, c’est mon gardien, Si Tahar, qui m’a niqué. Le lendemain c’est moi qui lui ai demandé une seconde partie car une seule ne rassasiait pas ma Terma, et il a accepté. Et la nuit, il est venu m’amener dans sa loge. Et là, après une sodomie classique par derrière, je l’ai sucé et branlé à fond et même caressé tout le corps jusqu’à que sa bite se regonfle et se durcisse de nouveau.
Alors j’ai exigé une autre sodomie, mais cette fois par devant, face à face, comme une femme. Je voulais tenter cette expérience dont j’ai eu l’idée la nuit dernière. J’essayais de connaitre les sensations qu’éprouvait une femme, entre les bras de son amant et qui lui donnait entièrement sa chatte à baiser. Moi, ma chatte ce sera mon cul, sous mes couilles. Étendu sur le dos, les jambes et cuisses hautement levées et largement écartées, le bassin soulevé, je lui offrais mon cul par-dessous mes couilles. Et il me sodomisa ou plutôt me baisa, avec un plaisir partagé et murmurait parfois « ma chérie ! ma chérie ! ». J’avais donc réussi à lui donner l’impression qu’il baisait la chatte d’une femme au lieu de cul. Et ainsi, il pouvait caresser et embrasser et sucer mes seins et moi je lui offrais ma bouche et une attitude féminine qui l’ont affolé. Sa bite me semblait plus longue et plus gonflée que d’habitude et quant il éjacula avec un long hurlement de plaisir, certainement entendu dans le couloir des cellules du bloc, la quantité de sperme a été de loin la plus abondante. Je l’ai sucé et avalé son sperme puis il m’a chuchoté que dorénavant, il m’apporterait et m’offrirait tout ce que je désirais. Et il tint parole par la suite, ce qui m’a permis d’aider aussi mon gars Azouz et même ses amis.
Et pendant une année entière, j’ai vécu ainsi, entre Azouz et ses amis et le chef gardien, Si Tahar, avec leurs queues et leurs gentillesses et cadeaux. Mes fesses et ma terma ont augmenté en volume et en douceur, mes hanches se sont élargies et mon anus bien ouvert avalait toutes les queues sans problème. J’ai aussi appris à onduler un peu de la Terma, à la demande de mes amants pour augmenter leur excitation, et j’avoue que je le faisais avec beaucoup de plaisir. J’ai aussi appris à faire des pressions de mon anus et de son intérieur pour jouer à ma guise avec toute bite qui me pénétrait. Ainsi, c’est moi, avec ma Terma, qui niquait les bites de mes amants, et non le contraire. A chaque fois, mes amis me disaient qu’ils avaient l’impression que mon anus et mon cul sont toujours aussi souples et excitants qu’à leurs débuts. Quoique ma Terma fût théoriquement, exclusive à Azouz, à ses amis et à Si Tahar le gardien, j’ai été souvent tenté par l’infidélité de mon cul pour d’autres queues délicieuses. En effet, j’ai réussi quelques fois à draguer des prisonniers, qui me plaisaient, pour leur offrir en cachette mon cul, soit dans les cuisines, soit dans les toilettes, mais en faisant très attention à la discrétion. Une fois, je suis même arrivé à organiser une sodomie à quatre. En effet, j’ai invité trois gars, des prisonniers inséparables, dans l’arrière cuisine et, nus tous les quatre, ils m’ont niqué tour à tour et parfois à deux et j’ai sucé et branlé leurs queues et avalé leurs spermes. J’en étais inondé de leur jus et mon cul était sorti de cette épreuve, largement ouvert et un peu douloureux et il lui a fallu deux jours pour retrouver sa forme normale. Je crois que mon gars Azouz l’a appris ou compris, mais il était de nature discrète et m’aimait beaucoup pour ne pas me créer de problème. D’ailleurs, il me l’a presque avoué une fois car il m’avait conseillé que lorsque ma Terma avait besoin d’un petit changement de partenaire, c’est à lui que je désignerais mon choix d’amant et il organisera la partie de plaisir pour moi et ma Terma. C’était un mari complaisant, en somme. Ainsi, à l'extérieur de mes amis habituels, mon cul a gouté presque une cinquantaine de queues extra, dont deux, formidables, ont eu droit à ma Terma, plusieurs fois.
A la fin de mon année d’incarcération, et par jugement, je fus hélas, transféré dans une autre prison, certes nettement plus libre et qui offrait parfois des sorties d’une à trois journées pour certains prisonniers, sous certaines conditions. Je fis des adieux pleins de larmes et de tristesse à mes amis et à Si Tahar le chef gardien. Ce dernier m’a promis qu’il allait m’aider dans ma nouvelle prison.
En effet, dès mon arrivée, un chef gardien, Si Tayeb me prit à sa charge. Il me dit qu’il était l’ami de Si Tahar et au lieu de me placer dans une cellule à deux, il m’offrit une cellule entièrement à moi, la première à l’entrée du bloc. Sa loge se trouvait juste de l’autre coté de la grille. La première nuit, Si Tayeb me visita, en exclusivité, et me niqua par deux fois, pendant presque une heure, une fois par derrière et une seconde fois par devant. Si Tahar, mon vieil ami lui a certainement touché un mot sur cette méthode face à face. Puis dans la journée, il me recommanda à un autre prisonnier de couleur, Mouh, qui ressemblait comme deux goutte d’eau à Zoubir mon premier amant. La aussi Si Tahar a du informer son ami Si Tayeb que j’adorais les bites de couleur, grosses, longues et épaisses. Mouh avait une autre cellule avec un compagnon mais j’avais envie de connaitre sa bite. Alors, je lui ai avoué que je le désirais mais que je ne pouvais pas l’amener dans ma cellule, à cause du gardien juste à coté, ni dans la sienne à cause de son compagnon. On a réfléchit et il a trouvé la solution. Un de ses amis, homme de couleur était cuisinier de la prison. Alors, on a réussi à le contacter et il nous a offert un coin bien tranquille tout au fond discret de ses cuisines. Et j’ai enfin gouté la bite de Mouh. Et j’avoue qu’elle était aussi longue, épaisse et dure et douce en même temps que la première queue qui m’avait dépucelé. Il m’a niqué deux fois par derrière, la première, on était pressé, moi du cul et lui de la bite. Et vite, il m’a pénétré et possédé avec rage et vitesse. Rapidement il a éjaculé avec abondance par quatre fois. Il devait être à jeun depuis longtemps et les couilles pleines. Puis, je me suis vidé sur le sol et je l’ai sucé et branlé. Son ami le cuisinier, nommé Sine, était venu observer. Il a du être subjugué par ma Terma car il a sorti sa queue et commençait à se masturber, sans gêne devant nous. Les yeux grands ouverts, arrondis par le désir et la langue sortie, léchait ses lèvres en cadence. J’étais accroupi et Sine était hypnotisé par ma large croupe face à lui. Mes larges fesses blanches l’ont tellement excités qu’il se branlait, devant nous, sans gêne et haletait et gémissait. Moi, je suçais et branlais la queue de Mouh et rapidement, elle s’est regonflée et durcie. Alors il m’a poussé et positionné à genoux sur le sol, puis il m’a niqué une seconde fois par derrière, mais il a rapidement atteint son top et a éjaculé. Puis il s’est retourné vers son ami cuisinier pour lui offrir ma Terma bien exposée. Son ami Sine, s’était rapproché et a suivi la sodomie de près, tout en se masturbant. Et dès que Mouh lui a fait signe, il s’est précipité sur ma Terma. Il a commencé par me caresser, malaxer et baiser les fesses. Je suis resté à genoux et malgré le sperme qui suintait de mon cul sur mes fesses et cuisses, Sine m’a léché l’anus pour avaler les restes de sperme. Puis, il a donné deux baisers sonores à mes fesses qui le fascinaient et il a empoigné sa queue et m’a pénétré en force jusqu’aux couilles. Son bas ventre claqua sur mes fesses et il hurla longuement comme un loup. Mois, je n’ai pas ressenti grand-chose, d’autant plus, le sperme qui continuait à fuser de mon cul ne me permettait pas de gouter la chair de la bite. Ce n’est qu’après un moment, quant la majorité du sperme était sorti, que j’ai enfin ressenti la chair de sa queue qui frottait la chair de mon intérieur de cul. Sa bite était moins grosse et moins puissante que celle de Mouh mais, grâce à la sensibilité permanente de mon cul, elle m’a donné quant même du plaisir. Le cuisinier Sine m’a niqué pendant un moment, mais soit qu’il était du genre rapide, soit que ses branles p^préliminaires l’avaient préparées, il arriva vite au plaisir et éjacula, moyennement. Puis, il m’a remercié et promis de me donner tout ce que je voulais quant je le désirais. Un cuisinier, dans une prison, c’est très utile. Puis il est retourné à ses cuisines. Mouh, qui est resté à observer la sodomie, s’est ensuite excusé mais comme j’étais content qu’il m’avait déniché un lieu discret pour ma Terma, je lui ai pardonné. Et à partir de ce jour, chaque fois qu’on voulait niquer, moi ou Mouh, on allait voir Sine qui nous offrait un bon coin tranquille au fond de ses cuisines. Et parfois, à lui aussi, je lui permettais de prendre un petit plaisir avec ma Terma, on est devenu copain même en l’absence de Mouh. Et Sine, le cuisinier me permettait souvent d’avoir des aliments en plus, fromages, fruits, œufs, boissons etc. De son coté, Si Tayeb le gardien venait visiter mon cul une ou deux fois seulement par semaine, dans ma cellule, mais il s’absentait parfois deux à trois semaines, à cause de sa famille en ville. Moi, j’avais Mouh et le cuisinier Sine.
Un jour, alors que je prenais un petit lunch derrière la cuisine, Sine reçut un ami, qui, d’après lui, travaillait chez un grand commerçant qui alimentait la prison en victuailles. Je l’ai aperçu du fond, sans qu’il me voit et j’ai été ébloui. Il était grand, même énorme, deux mètres au moins, et large d’épaules. Sa chemise ouverte montrait une poitrine musclée et poilue qui m’a tout de suite affolée. J’ai fait signe à Sine qui m’a rejoint. Je lui ai demandé de me présenter à son copain et ils m’ont rejoint derrière. La présence seule du gars commençait à m’exciter et je voulais à tout prix voir la taille de sa queue et la gouter dans ma bouche et dans ma Terma. J’ai eu, en somme, le coup de foudre. Cet homme, je le voulais déjà dans mon cul, je voulais qu’il me nique comme une pute, par derrière et par devant, et autant de fois qu’il me voulait. Alors, sans hésiter et sans honte, je me suis mis à genoux devant lui et j’ai mis la main sur sa braguette pour sentir sa bite. Elle semblait énorme. Il était étonné et ne bougeait plus, mais j’ai entendu Sine lui murmurer quelque chose et je ressentais sa queue qui grossissait et durcissait. Un vrai mâle qui bande tout de suite en présence d’une Terma qui l’appelle, même à travers les vêtements. J’étais affolé, alors le gars à ouvert sa braguette et m’a montré sa queue. Elle était gigantesque, impossible de la comparer à toutes celles que je connaissais et qui m’avaient sodomisé. Sine, s’éclipsa discrètement. Alors, j’ai avalé et sucé difficilement cette merveilleuse bite, déjà longue et lourde. Dans ma bouche elle continuait à s’allonger et à se gonfler, mais elle était aussi si chaude et douce à la fois. Alors j’ai descendu le pantalon et le slip du gars, qui les a aussitôt rejetés à coté et moi, je me suis complètement mis à poil. Je voulais qu’il me vois totalement nu comme je le voulais aussi pour son corps mais il restait en bras de chemise. Je lui ai offert ma Terma avec son derrière et ses larges fesses blanches, sans poils, en contraste avec ses cuisses à lui, poilues. Je suis positionné car j’avais hâte de sa bite sur ma Terma.
Tout de suite, j’ai ressenti la lourdeur de cette queue sur mes fesses, puis sur mon anus. Ensuite, la tête de sa queue me pénétra doucement, puis, constatant qu’il n’y avait aucun problème, le gars poussa en force et s’enfonça en vitesse dans mon cul, jusqu’aux couilles et son bas ventre claqua sur mes fesses. Malgré que mon cul était habitué aux grosses queues mais celle là, il la senti passer. Mais même la légère gène que j’ai eu lorsqu’elle m’a écarté l’anus et l’intérieur du cul, ce furent un plaisir et une jouissance inédites. Je l’ai eue cette formidable queue, les ondes de ma Terma ont réussi à capter rapidement cette dite. Puis le géant m’a niqué à la mesure de sa taille, de sa queue et de sa puissance. Une demi heure, certainement plus durant laquelle je gémissais et hurlais de plaisir en permanence, et remuais le derrière comme une pute affamée. Trente, quarante peut-être plus de vas et viens sans arrêt de cadence, et enfin, son jus arriva et il éjacula par quatre fois et d’une abondance rare. Et quant il se retira, j’ai rapidement empoigné sa queue car j’avais une envie folle de la sucer encore et la nettoyer. J’étais à genoux devant lui et le suçait. Il avait soulevé haut sa chemise sur sa poitrine et j’ai vu son bas ventre et son pubis, poilus, désirables, un vrai mâle.Comme sa bite est restée pratiquement gonflée, debout et presque verticale, je désirais une seconde sodomie face à face, comme une femme entre les bras de son homme poilu et la bite au fond de sa chatte. Je le voulais ardemment, mais il a refusé car pressé par le boulot. Il est parti mais il a dit quelque chose à Sine le cuisinier. Celui-ci est venu me voir alors que, accroupi sur le sol, je me vidais du sperme du géant. Sine m’a confié que son ami qui se nommait Boubekeur était un grand baiseur réputé et que ma Terma et mon cul lui ont beaucoup plu et qu’il désirait m’inviter chez lui lorsque j’aurais une permission de sortie. Et Sine ajouta qu’il m’aiderait, le moment voulu. J’étais accroupi par terre, le derrière bien tendu et le cul encore ouvert, et les yeux du cuisinier ne quittaient pas ma Terma, tout en caressant la bosse bien visible dans sa braguette. La vue de mon large derrière blanc, lisse et bien tendu faisait bander sa queue. J’avais compris, alors du doigt, je lui ai indiqué mon anus. Il se précipita, ouvrit sa braguette, sortit sa queue bandée, descendit son pantalon et monta sur mes fesses. Tout de suite, sa queue me pénétra et il commença sa danse avec frénésie, souffles précipités, haletant. Hélas, il ne tarda pas et rapidement il arriva à son top et éjacula deux fois moyennement. Il se retira, s’excusa et repartit vers sa cuisine. Moi, je me suis encore vidé le cul et nettoyé puis j’ai continué à manger mon lunch. Mon corps frissonnait encore au souvenir de la bite monstrueuse du géant, une bite follement douce, conquérante de Terma. Je crois qu’aucun de mes amants n’avais atteint les recoins de mon cul que seul, cet engin avait niqué tout à l’heure.
Maintenant que j’ai mes amants normaux et assurés au sein de la prison, et que je pouvais même choisir d’autres et les amener dans l’arrière cuisine de Sine pour me niquer, il fallait rassasier ma Terma de ce nouvel amant à la queue immense et pour cela il fallait que j’ai une permission de sortie. Mon ami le cuistaud m’a expliqué les conditions et procédures. Il me fallait un parent à l’extérieur, qui assurera mon assurance, mais je n’avais personne. Alors, le soir, après que le chef gardien, Si Tayeb s’était vidé les couilles dans ma Terma et que je continuais à lui sucer et nettoyer la bite, je lui ai chuchoté mon problème. Il a réfléchi un moment et j’en ai profité pour m’assoir sur ses cuisses et poussé sa queue, encore une fois, dans mon cul pour une seconde sodomie, j’ai insisté et il a fini par accepter de m’aider. Il allait profiter d’une fête dans sa famille, pour m’aider à avoir une sortie de deux jours, chez lui en ville. Et l’administration peut accepter avec un tel correspondant. J’accepte d’avance tout ce qu’il désirera faire avec mon cul et j’aurais ainsi deux jours de liberté. Sine me donnera l’adresse de mon autre amant géant, Boubekeur, et j’en profiterais pour aller me faire niquer avec sa grosse bite merveilleuse. La sortie, c’est dans quinze jours. Entre temps, je me contenterais à niquer avec mes amis de la prison.

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