Enfin Le Prep (6)

La vraie Communauté

J’ai passé une nuit merveilleuse avec Walid. En fait, je le ressentais comme mon mec, même si je baisais avec les autres. M’endormir contre son corps velu, sexe proche de ma fente qu’il avait perforée à trois reprises dans la nuit me rassérénait. Je ne regrettais pas mon choix, loin de là… J’avais plusieurs mâles hyper virils à ma disposition quotidiennement, en plus, hyper respectueux et attentionnés… L’échange était parfait, satisfaisant les uns et les autres, les règles imposées par Walid avaient été très claires dès le départ.
Vivre dans ce grand appartement avec tous ces hommes, empli de cette odeur féerique de testostérone et de phéromones qui se dégageait dans toutes les pièces, m’épanouissait complètement ainsi que la vue de leurs corps vigoureux, et de leurs sexes qu’ils laissaient souvent libre sous un boxer, un caleçon ou un short ample. Ils avaient tous compris que j’adorais le spectacle de leur virilité semi-cachée et semi-exhibée en même temps.
Pour être encore plus précis, Walid les avait tous réunis lors d’une soirée où je n’étais pas présent, dû à une réunion très tardive, suivie d’un pot avec les nouveaux étudiants.
« Est-ce que l’un de vous a couché avec un autre que Marc ? »
Tous ont répondu par la négative, sauf deux. Ils avaient envie d’une chatte et ils étaient allé baiser une pute dans un bordel clandé dans le 18ème.
« Protégés ? »
« Oui, évidemment. »
« Ok… Tests obligatoires pour vous deux et entre temps, vous ne touchez plus Marc »
« Mais il est sous PREP… Il risque rien non ? »
« Pour le SIDA, il risque rien mais pas ment pour d’autres MST »

Ils sont restés tous un peu cons, ne sachant que dire. Les dominants pensant que c’étaient eux les mâles, libres de leur choix, mais la plupart étaient trop heureux de notre vie commune et n’avaient qu’une crainte… C’était que je parte, ou que Walid les foute dehors… !!! La discussion a été quand même assez rude entre eux, pas par méchanceté, mais Walid voulait qu’ils comprennent tous leur chance de vivre ensemble une vie commune saine et harmonieuse.



Du coup, il a profité de l’occasion pour exiger de chacun d’eux, l’examen médical complet que m’avait suggéré mon médecin, les rassurant quant à son entière confidentialité. Il faut dire qu’il avait la partie belle, c’est lui et lui seul qui était titulaire du bail, les autres n’étant hébergés qu’à titre temporaire. Ce n’avait jamais présenté aucun problème, mais là, les choses avaient changé. Il tenait à ce que je sois respecté, et honoré par tous sans aucun danger.

Une fois rentré, très tard je l’avoue, j’ai été très surpris de voir que tous étaient couchés et que seul Walid m’attendait. Je me suis jeté dans ses bras, comme une chienne en chaleur, tellement j’avais envie de lui et de me faire prendre. Dès que je me suis assis sur lui, à califourchon entre ses jambes, j’ai frotté ma chatte sur ce membre qui prenait sa vigueur extrême. Il m’a défoncé, dos collé sur la table de la cuisine, m’écartant les cuisses au maximum pour me pénétrer le plus fort passible, s’enfonçant jusqu’aux couilles dont je sentais les poils sur mes fesses. Elles étaient grosses, et toujours aussi pleines de cette magnifique liqueur masculine. Il s’est déversé à grands jets dans moi, perdant une certaine rigidité, très vite reprise suite à mes caresses sur son torse hyper velu, mes mains malaxant ses fesses hyper fermes et toutes aussi noires de poils que son torse. J’étais labouré, mais si heureux et nous avons rejoint ma chambre, ou plutôt, la nôtre, il est vrai que nous dormions ensemble la plupart du temps, j’avais trop de mal à me priver de son corps d’ours contre le mien.
Le lendemain, empli de son odeur sur moi et de sa semence dans mon calice, il est arrivé avec mon expresso accompagné de deux petits biscuits. Mais que ce mâle était beau et aussi attentionné… !!! Il ne travaillait que l’après-midi, et moi quartier libre accordé suite à la très longue journée de la veille. Café avalé, on a fait l’amour, on en avait trop envie tous les deux, et une foi nous être unis à plusieurs reprises, il m’a évoqué la conversation de la veille avec ses « collocs »
Il m’a juste demandé de voir avec mon médecin pour que tout soit discret, ils avaient tous une Carte Vitale à jour d’ailleurs du moins pour ceux qui étaient en règle, deux d’entre eux restant en attente de régularisation, mais on se débrouillerait pour ça.


Je me suis quand même levé, pas mal épuisé par tant d’assauts, filant sous la douche en enduisant ensuite ma vulve de crème apaisante. J’ai mis un peu d’ordre dans l’appartement et en faisant du rangement, je suis tombé sur le bail, avec les coordonnées du propriétaire… Petite idée dans mon esprit.

J’ai rejoint Daniel dans un café l’après-midi, où nous avons parlé franchement… Lui de sa vie de pute macquée, et moi, de ma cohabitation avec mes hommes, avec toutefois, cette relation forte entre Walid et moi.

« Tu te fais baiser combien de fois par jour ? »
« On va dire, au minimum 10 fois, voire 20 si ils sont super chauds. »
« Tu as fait des doubles aussi ? »
« Oui, quelques-unes… Mais un des mecs a une bite vraiment énorme… C’est comme une double quand il me baise. »
« Ok, je vois…. Suis-moi. »

Il m’a amené jusqu’au plus profond de Barbés, dans une échoppe super discrète, qui ressemblait à une boutique d’apothicaire ou d’herboriste. Il a parlé un peu avec le mec, noir immense, qui s’est approché de moi ensuite.

« Si j’ai bien compris ce que m’a dit Daniel, tu es la femelle de plusieurs arabes, avec des gros sexes, et qui te baisent plusieurs fois par jour ? »
« Oui, c’est ça… » Un peu honteux quand même… !!!
« Ton trou n’y résistera pas très longtemps, même avec les pommades du commerce, tu prends très gros ? Double aussi ? »
« Oui… ils sont entre 8 et 12, tous arabes du Sud, avec de gros besoins sexuels. »
« Si tu veux, j’ai un onguent hyper efficace, africain et naturel. Tu le mets sur ta chatte après avoir été bien défoncée et elle se referme au bout d’une heure environ. »
« Ça existe ça ? »
« Bien sûr… Mais c’est africain, à base d’herbes ancestrales. Comme les liqueurs aphrodisiaques et les crèmes qui vont t’ouvrir encore plus. »
« Suis trop accro au sexe, mais je ne veux pas devenir… Incontinent… !!! »
« Justement, mes pommades sont faites pour ça… Un max de sexe, et sans gêne.
»
« C’est ce que je cherche »
« Allez ma belle, tu es un ami de Daniel et je t’en offre un petit échantillon, pour une semaine environ, d‘accord ? Mais je te préviens, c’est assez cher quand même. »

Pour essayer, il a enduit mon puits à plaisir de sa crème aphrodisiaque. Je me sentais chaud de partout, et encore davantage quand il a présenté son énorme membre devant moi… Il me semblait voir la bite de Younes, en noir et en plus large. Je l’ai sucé d’abord, puis il l’a posé sur mon orifice, enfonçant son énormité dans moi… Il m’a baisé comme un malade, à grands coups de bite, versant dans moi des quantités de foutre… inimaginable. Une fois ce coït hors norme terminé, il m’a enduit la vulve de sa crème réparatrice, et en une heure environ, je l’ai senti se refermer, comme si j’étais redevenue « vierge », du moins, mon orifice apte à remplir sa fonction primaire.

« Vu ce que tu prends, ça va pas être du luxe. Beaucoup de putes à Barbés, hommes ou femmes viennent me voir pour ça… !!! »
« Il faut te prévenir à l’avance pour avoir la marchandise ? »
« Deux jours, c’est bon… Je te préparerais des doses spéciales. En fait, les produits viennent d’Afrique, sous forme d’extraits, mais c’est moi qui les dose et les assemble en fonction de la demande et de l’usage. »

Je lui ai donné mon numéro de portable, trop content de ses produits, bien plus efficaces que ce que j’achetais en pharmacie, sous prétexte d’hémorroïdes tenaces, que par chance, je n’avais pas… Du moins pour le moment.
Rentré à l’appartement, je me suis connecté au site de ma banque, constatant que ma situation financière devenait plus que confortable. Il faut dire aussi que je ne dépensais pas beaucoup, hors ma participation aux frais de notre vie commune, et que ma formation en FLE était totalement prise en charge, en étant même indemnisé plus que correctement par Pôle Emploi, compte tenu de mes droits acquis.

J’ai suivi mon impulsion et j’ai appelé le propriétaire du logement, qui était en fait davantage un petit immeuble qu’un simple appartement pour lui demander un rendez-vous, sans trop lui donner de détails, et malgré sa surprise, il a accepté pour le surlendemain.
Son nom me disait quelque chose, sans trop me rappeler quoi.

Quand les hommes sont rentrés, j’étais excité comme une puce, j’avais avalé une bonne dose de l’aphrodisiaque fourni par l’africain et je m’étais bien enduit le fourreau de sa crème, pour lui donner une élasticité extrême. Il devais bien tester ça avec mes hommes aussi, non ?
Brahim, Karim et Ahmed sont arrivés en premier, contents de voir, mais aussi de constater mon air lubrique dans mes yeux, celui de la femelle en chaleur. Je me suis lové contre eux trois, les excitant à mort, il ne leur en fallait pas beaucoup pour ça, les caressant, les branlant et j’ai alterné leurs zebs, bandés à fond dans ma bouche, eux même forant ma fente. C’est moi qui les ai conduits dans ma chambre, laissant la porte bien ouverte, pour que ceux qui allaient arriver puissent me voir me faire défoncer, la porte ouverte étant le signal de ma disponibilité.

Ils ne s’en sont pas privés, me perforant par tous les trous, en simple, en double, se vidant en alternance dans ma bouche et dans ma chatte offerte, au fur et à mesure de leur arrivée, et surtout, pour le plus grand plaisir de Younes quand il a pu en profiter lui aussi. Ils me sont tous passés dessus ce soir-là, me démontant sans répit jusqu’au milieu de la nuit. Walid, le dernier rentré a constaté les ravages. Il allait commencer à râler, quand il a vu mon air de satisfaction, ravagé de plaisir. Une fois tous les autres partis, il s’est allongé contre moi, me serrant contre son corps, et pour une fois, sans me prendre. Je lui ai raconté ma visite chez l’africain et que je voulais tester, si ses produits étaient vraiment efficaces, ce qui était vraiment le cas. Il m’a porté jusqu’à la douche, me nettoyant de tout le foutre que j’avais sur moi et en moi, puis, après m’être enduit copieusement de la pommade cicatrisante, je me suis endormi dans ses bras.

Comme convenu, deux jours après j’avais mon entretien avec le propriétaire, dont, après recherche sur mon ordi, j’avais conservé quelques dossiers hyper compromettant sur lui, acquis lors de mon emploi chez son comptable. A l’époque, je n’avais aucune intention de m’en servir, juste qu’il était un vulgaire marchand de sommeil, sans scrupule, et ça me révoltait, mais astreint au secret professionnel, je ne pouvais rien dire ni révéler ses pratiques.

« Bonjour Monsieur Martin, bien que je sache que ce ne soit pas votre nom, quel plaisir de vous revoir… !!! »
« Vous voulez quoi ? De l’argent ? » Il avait blêmi face à moi… !!!
« Non…. Juste une transaction équitable pour que je vous achète l’immeuble de la rue X, qui ne vaut pas grand-chose au vu de son état et des réparations à effec. »
« Il est loué légalement, non ? »
« Oui, on peut dire ça, mais aucune norme n’est respectées… A vous de voir… !!! »




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