Les Aventures De Laetitia Marsac : Le Docteur Fisher

Mon héroïne Laetitia Marsac, qui me ressemble un peu (beaucoup ?), est de retour. Elle

Voilà sa dernière aventure. Enfin, avant le confinement. Comme d’habitude, tout est vrai et cela s’est réellement passé tel que décrit dans le récit … Vous pouvez en être surs !! Ou pas !! A vous de voir.


- Allo ?
- Oui …
- Bonjour, j’aimerais un rendez-vous avec le Docteur Lambert.
- Je peux vous proposer mardi prochain 10h30 ?
- Euh, non … Déjà, je travaille, donc 10h30 en semaine, c’est foutu. En plus j’ai mal là, je ne peux pas avoir un rendez-vous aujourd’hui ?
- Ça va être compliqué, le Docteur Lambert est absent … Il y a sa remplaçante, qui pourrait vous recevoir entre deux rendez-vous, si c’est urgent !
- Ecoutez ça ira … A quelle heure ?
- Venez à 19h00, elle vous recevra après son dernier rendez-vous …
- Et elle s’appelle comment cette remplaçante ?
- C’est le Docteur Fisher.

J’avais mal au ventre depuis ce matin. Je n’avais rien mangé de particulier, on pouvait écarter la crise de foie. La douleur était lancinante, mais bien présente depuis mon réveil.

N’y tenant plus, j’avais décidé de consulter. Mon médecin traitant était absent, mais peu importe, l’important c’était d’avoir l’avis médical et le traitement adéquat.

A 18h30, j’étais, comme d’habitude, en avance dans la salle d’attente. Je m’étais peut-être emballée un peu vite. SI la douleur était forte dans la matinée, elle était retombée depuis quelques heures. L’effet du paracétamol surement. Enfin, il était plus prudent d’avoir de voir un médecin, de toute façon. Le paracétamol agit sur la fièvre et les douleurs, mais ne guérit pas.
Malgré l’heure tardive, il y avait encore deux personnes avant moi. Une mère avec son , qui en avait marre d’attendre. Il avait commencé à déchirer les revues datant de 2 ans et demi présentes sur la table basse. Le fait que les revues soient anciennes ne justifiait pas le traitement qu’elles subissaient.

Sa mère lui disait d’un air nunuche : « Arrêtes de déchirer les revues Damien, sois gentil ». Le gamin, bien sûr n’écoutait pas et continuait son ouvrage avec application et rependait les morceaux de revue partout. Jusqu’à mes pieds d’ailleurs. Je jetais un regard noir au sale gosse. L’effet fut immédiat, il se calma environ quinze secondes. Sa mère lui lança un nouveau « Arrêtes Damien, tu gêne la dame ».


L’autre personne qui attendait était un homme qui avait mis les écouteurs sur ses oreilles, surement de manière à ne pas entendre le gamin insolent et mal-élevé. Par contre, il semblait obnubilé par mes cuisses croisées, qu’il ne lâchait pas du regard. « Grand bien lui fasse », me dis-je intérieurement.

- Monsieur Robicheaux ? C’est à vous, fit une voix venant de la porte séparant la salle d’attente du cabinet médical.

Voilà donc, le Docteur Fisher, remplaçante de mon médecin habituel. C’était une grande femme, d’environ 60 ans, mince. Quand je dis grande, elle mesurait pas loin d’un mètre quatre-vingt. Bon, elle avait des talons, mais elle était grande. Elle portait une blouse blanche ouverte sur un chemisier gris et une jupe noire qui lui arrivait sous le genou.

« Belle femme», me dis-je en l’observant.

Je restais donc avec le petit Damien et sa mère. Celui-ci avait entreprit de détruire la plante verte déjà mal en point dans le coin de la salle d’attente, sous les « Mais arrêtes Damien » et les « Tu es vilain » que lui lançait la mère complètement dépassée. Ah l’éducation moderne des s, tout un programme. Pour ma part, j’avais très envie d’ le petit Damien et sa mère, incapable de juguler son énergie débordante. Le petit Damien tenait du Damien du film la malédiction, si vous l’avez vu. Il avait tout de l’antéchrist. Du moins les compétences destructrices et la soif du mal.

L’antéchrist et sa maman furent appelés à 19h00 passés dans le cabinet médical.

« Enfin, un peu de calme … mais à quelle heure, je vais sortir de là ? » Me dis-je.


Ce fut mon tour, vers 19h20 :

- Désolée pour le retard, fit le Docteur Fisher quand je passais devant elle pour entrer dans le cabinet.

Je lorgnais du coin de l’œil sa silhouette fine, ses cheveux blonds et bouclés qui lui arrivaient au bas du cou.

« Belle femme vraiment, malgré son âge », me dis-je. La soixantaine environ, distingué, un ton de voix ferme et distinct. J’aimais les femmes plus âgées que moi, mais plutôt dans la quarantaine. Là ce n’était pas mon truc. Mais elle était très belle néanmoins.

- Bien, Madame, Marsac, c’est cela ? Asseyez-vous, je vous prie. Vous êtes une patiente du Docteur Lambert ?
- Oui, tout à fait …
- Et qu’est-ce qui vous amène aujourd’hui ?
- Ce matin, j’avais très mal au ventre. La douleur était très gênante. Depuis midi, ça va mieux ! Surement l’effet des médicaments que j’ai pris. Je crois que je suis venue pour rien, mais comme je vous disais, ce matin j’avais très mal.
- Non, vous avez bien fait de venir. Vous avez mangé quelque chose de particulier hier soir ?
- Non, un diner plutôt léger … Une salade maison et de l’eau claire …
- On peut éliminer la crise de foie alors … Des nausées ? D’autres symptômes ? Maux de tête par exemple ?
- Non, ni l’un ni l’autre
- Vous êtes dans votre cycle menstruel ?
- Non …
- Bien, je vais vous examiner, déshabillez-vous et asseyez-vous sur la table d’examen. Ne gardez que vos sous-vêtements.

Mes sous-vêtements, parlons en … Ce matin, je n’avais pas prévu de venir chez le médecin et je n’avais pas eu le temps de passer chez moi me changer. Je ne portais pas ment les sous-vêtements que l’on choisit avant de venir consulter, un string violine et son soutien-gorge assortit.

Le Docteur Fisher pris ma tension :

- 13,8, c’est très bien …

Elle colla son stéthoscope sur mon dos :

- Respirez fort …

Puis sur le haut de mon sein gauche.
Je surpris tout de même son regard fixé sur ma poitrine et mon soutien-gorge, un rien désapprobateur, peut-être. Mais surement que je me faisais des idées.

- Bien allongez-vous s’il vous plaît, me dit-elle. Où aviez-vous mal ?
- Là, lui dis-je en désignant l’endroit
- La zone de l’estomac …

Elle palpa mon ventre de ses deux mains, appuyant plus ou moins fort selon les endroits.

- Ça vous fait mal ?
- Un peu ici, mais rien à voir avec ce matin …
- Hummmm …

Elle palpa mon cou à la recherche de ganglions, puis ma poitrine :

- Enlevez votre soutien-gorge, je serai plus à l’aise …

Elle inspecta la base de mes seins, puis remonta sur mes aisselles, puis sur mon ventre à nouveau :

- Je ne vois rien de grave, mais vous avez bien fait de venir me voir … me dit-elle en massant mon ventre.

Elle était passée de palpations à un léger massage. Cela eu pour effet de me procurer un léger frissonnement sur le ventre, qui s’est creusé sous l’effet.

Ses mains, se dirigèrent vers l’aine en reprenant leurs palpations manifestement à nouveau à la recherche de ganglions.

Elle avait abandonné ses presque caresses aériennes, pour des palpations beaucoup plus médicales, mais à un endroit stratégique. Du moins tout à côté.

Bon, Laetitia, ressaisis-toi, cette femme est certes très belle, mais elle est un peu âgée pour toi. Et puis c’est un examen médical, tu réagis comme une collégienne …

Les mains du Docteur Fisher remontèrent sur mon ventre et redevinrent par là-même plus aériennes. Le léger frisson me reprit. Elle remonta à nouveau sur ma poitrine. Cette fois, elle ne palpa pas à la base des seins, mais posa ses mains dessus, tout en les massant légèrement.

Cela eu pour effet immédiat de me faire ériger et durcir les tétons, sous ses paumes. J’étais très gênée et je devais rougir comme une pivoine. Le Docteur Fisher fit comme si de rien n’était et redescendit sur mon ventre.
Puis une de ses mains se posa sur le tissu de mon string sur mon pubis :

- Mais qu’est-ce que c’est que ça ? dit-elle d’une voix brusque
- ….
- Mais, elle mouille …
- Je … Non … Je ne …
- Mais, oui, elle est détrempée, continua-t-elle en glissant sa main sous la dentelle de mon string.

Elle malaxait mon clitoris et ma vulve sans ménagement :

- Mais quelle honte … Elle est toute excitée la petite garce !
- Non … Mais …
- Mais si, je le sens bien. Elle s’excite alors que je l’examine … Quelle salope !
- Docteur … Enfin …
- Tais-toi salope et lève-toi …

Je me tenais debout devant elle, presque nue, surement toute rouge. Elle me dominait de plusieurs centimètres. Certes, je m’étais laissée emportée et je m’étais excitée toute seule … Toute seule ? Elle l’avait un peu cherché aussi ! A un moment son examen médical c’était presque des caresses ou un massage.

- Ecoutez Docteur, je …
- Ne te cherche pas d’excuses, petite traînée. Tu imagines la honte et la gêne que tu me donne ?
- …
- Mais qu’est-ce que tu crois ? Que je suis une gouine comme toi ?
- Ecoutez Docteur, ne dépassons pas les bornes …
- C’est moi qui dépasse les bornes ?
- Non, ce n’est pas ce que je voulais dire, mais …
- Tu sais ce que tu mérites ? Une punition …
- …
- Enlève-moi cette culotte de salope !

Sans réaction, je m’exécutais et enleva mon string J’étais nue devant elle, le regard vers le sol.

- Mets tes mains sur le mur et tends tes fesses en arrière, me dit-elle sèchement.

Je m’étais échauffée, la réaction du Docteur Fisher m’avait douchée et m’avait mis le rouge aux joues. La tournure que prenait la situation m’excita à nouveau. Depuis longtemps, je rêvais de rencontrer une femme dominatrice, sans trop savoir ce que je mettais derrière tout ça.

Je tendis mon postérieur …

Sylvie Fisher, puisque son prénom était Sylvie m’attrapa par les cheveux, tira ma tête en arrière, approcha son visage du mien et chuchota :

- Je vais te faire passer tes pensées dégoûtantes …

J’entrais dans son jeu :

- Ecoutez, laissez-moi partir, je n’ai rien fait de mal au final. J’ai honte de moi, mais on va arrêter là !
- Tu crois que tes états d’âme de pétasse impertinente m’intéressent ? Tes perversions doivent être punies ! Et tu le sais, n’est-ce pas ma Chérie ?
- …
- C’est pour ton bien ma Chérie ! Et au fond de toi, tu le sais. Dis le moi d’ailleurs, ça me ferait plaisir de l’entendre …
- …
- Ce n’est pas grave, je vais te laisser reprendre tes esprits et réfléchir aux implications de tes perversités. Je te disais donc que tu avais besoin d’une punition.

Ce jeu de rôle m’excitait de plus en plus. Inconsciemment, je tortillais des fesses.

Elle s’écarta de moi. Alors que je ne m’y attendais pas, sa main claqua sur mes fesses.

- Aiiiieeeee
- Tu as le droit de te plaindre, tu as le droit de pleurnicher, de crier même. Mais tu dois prendre conscience du fait que c’est mérité.

Une deuxième claque ponctua la fin de sa diatribe. Elle attendit une trentaine de secondes puis m’administra la troisième, puis aussitôt la quatrième et la cinquième, fesse gauche, fesse droite.

- Tu commences à comprendre ?
- Ouiii Madame, je ne suis qu’une dévergondée.
- Eh bien, tu vois … ce n’est pas si compliqué que ça ! Tes fesses commencent à rosir, on pourrait s’arrêter là ? Mais, j’ai comme l’impression que ça te plais ?
- Oui Madame, c’est bon !
- Petite salope, en plus tu aimes ça ?
Une série de claque s’ensuivie. Elle se lâchait complètement. Cette fois, mes fesses me brûlaient. Je serrais les dents. Une larme coula sur ma joue. Chaque claque me faisait mal. La plaisir dans la douleur, la douleur dans le plaisir, mais au-delà de la douleur, c’est la situation qui m’excitait le plus. Etre à la merci de cette femme. Au fond de moi, c’est ça que j’appréciais le plus.
La pluie de claques s’arrêta :
- Cette fois ton cul est tout rouge … Je t’écoute, qu’est-ce que tu as à me dire ?
- Cette fois, j’ai compris Madame, je suis une salope, un nymphomane. J’ai mouillé alors que vous m’auscultiez. Je vous ai manqué de respect. Je m’excuse et j’ai honte …
- -Oh, mais tu ne vas pas t’en tirer si facilement, petite pute, tu file au coin, là-bas, dit-elle en me désignant l’autre bout du cabinet médical. Et les mains sur la tête ! Et ne t’avise pas de te retourner surtout … Je te l’interdis !

J’étais soulagée. Pendant un temps, j’ai cru que la séance était terminée, j’en aurais été déçue. Mais non, elle avait autre chose derrière la tête. Je prenais trop de plaisir à vivre cette situation, j’avais envie de continuer. Ne sachant pas trop ce qui allait se passer, j’appréhendais tout de même... Je l’entendais s’affairer à l’autre bout de la pièce.

Excitée, pressée de savoir, mais anxieuse, je n’osais tout de même pas me retourner, même si j’en avais très envie.

- Tu peux te retourner maintenant !

Oh surprise, le Docteur Sylvie Fisher s’était dévêtue. Elle n’avait gardé que ces bas et son porte-jarretelles. Elle était superbe malgré ses soixante ans passés. Ses seins, son ventre plat, son sexe épilé me faisant baver.

- Ta punition n’est pas terminée, je vais t’enculer, tu le mérite

Mes yeux se posèrent sur le gode-ceinture ceint à sa taille. Apparemment en cuir noir, il était énorme. Ma dernière expérience de la sorte remontait à mon histoire avec Constance (lire «Frasques à Deauville »), mais ce jour-là, j’étais dans un état second, et puis le gode était bien plus petit. Celui-là mesurait plus de vingt centimètres à vue d’œil. Je n’étais pas habituée, ni même amatrice de ce genre d’objets. Je me voyais mal avec ce machin dans les fesses.

- Euh, là, je ne suis pas sure ….
- Parce que tu crois que tu as le choix ?
- Mais …
- Tais-toi et mets-toi à quatre pattes sur la table d’examen !
- Je n’ai pas trop envie de me faire sodomiser …
- Qui te parle de te faire sodomiser ? J’ai dit que j’allais t’enculer. Tu saisie la différence entre se faire sodomiser et se faire enculer ?
- Euh oui, je crois …
- Eh bien, en position, montes sur la table … Dépêches toi. Si je te sodomise, c’est juste un coït anal. Si je t’encule, après tu m’appartiens totalement. C’est un plaisir, parce que ça reste un plaisir, plus cérébral que physique, presque spirituel même !!

N’ai crainte, je ne vais pas te faire trop mal. C’est juste que c’est la suite logique à ta punition.

Refoulant mes appréhensions et mes préjugés, je m’installais comme me l’avait demandé Sylvie Fisher.

Elle appuya le bout de son index sur mon petit trou et le pénétra en moi. Son majeur rejoignit l’index. Ses doigts coulissèrent d’avant en arrière.

- On y va ma puce ? dit-elle en sortant ses doigts et en plaçant l’engin en position.

Le ton de a voix avait changé. Malgré qu’il s’agisse d’un jeu depuis le début, de presque agressif, elle était maintenant douce. Le fait que je me sois complétement abandonnée à elle, qu’elle me possédait totalement ne nécessitait plus le ton directif. Du moins, c’est comme ça que je le percevais. Une grande complicité c’était nouée entre nous. Elle me dominait, j’étais sa soumise, sa chose, mais nous étions complice. Le rôle d’une dominatrice est aussi et surtout d’apporter à sa soumise du plaisir et ce qu’elle a envie de recevoir. Bien sûr, la soumise a ses limites. Jamais, la sodomie par un tel objet ne m’aurait effleuré l’esprit. C’était au-delà de mes limites, à priori. Elle l’avait imposé à mon esprit à travers le jeu et je l’avais accepté. Bien sûr, j’appréhendais. Ce genre de pénétration (et la pénétration tout court d’ailleurs) ce n’est pas ma tasse de thé. Mais Sylvie m’avait amenée à en avoir finalement envie.

Refoulant mes appréhensions et mes préjugés, je m’installais comme me l’avait demandé Sylvie Fisher. Je m’abandonnais complètement. Au début, j’étais sur la réserve. Dorénavant, c’était toujours un jeu entre nous, mais le lien s’était créé. Un lien de dominante à soumise. La soumise obéit aux ordres de sa dominante, parce qu’elle en éprouve du plaisir. Comme je le disais juste avant, le rôle de la dominante bien sûr est aussi de donner ce plaisir. Mais ce n’est pas totalement altruiste. Elle-même aime ment ça. Elle doit aimer faire mal, humilier, ordonner, autant que la soumise aime recevoir. Prendre du plaisir, en donner, certes, mais de « faire plaisir » à « plaire », il n’y a qu’un pas ! Et qui dit « plaire », dit aussi par extension, « séduire ». La dominante veut plaire et séduire sa soumise en lui proposant ce que celle-ci aime recevoir. Voilà le véritable lien qui va se nouer et qui va faire qu’une soumise va se donner, avec parfois une certaine crainte, mais aussi avec confiance. Un simple lien de séduction mutuelle. Mais sans ce lien, pas de véritable relation.

Au début je prenais ça comme un simple jeu, drôle et érotique, où je me disais que j’arrêtais quand je voulais Au fur et à mesure que ce fameux lien s’est tissé entre nous, au fil des minutes, j’étais prête à aller plus loin. Jusqu’où ?

J’en étais là de mes réflexions quand Sylvie monta également sur la table et s’agenouilla derrière moi. Elle enduisit mon œillet d’un produit froid. Je reconnu à l’odeur de la vaseline.

Je baissais la tête tentant de me concentrer sur ce qu’il allait m’arriver. J’étais prête à avoir mal.

Elle appuya le bout de son index sur mon petit trou et le pénétra en moi. Son majeur rejoignit l’index. Ses doigts coulissèrent d’avant en arrière. Puis, elle les ressortit. Elle plaça le bout du godemiché contre mes fesses :

- Prête ?
- Oui …
- Sers les dents !

J’ai commencé à sentir le gode forcer le passage. Sylvie y allait doucement. La pénétration fut laborieuse. Laborieuse et douloureuse, l’engin était tout de même volumineux, en plus d’être long Sylvie le fit rentrer doucement, centimètre par centimètre. Cela m’arracha moult grimaces, rictus, gémissements. La douleur n’était pas aussi forte que je l’avais imaginé avant. C’est surtout les premiers centimètres qui furent durs. Le temps que mon anatomie s’habitue à ce corps étranger, pas ment à sa place à cet endroit-là, et l’assimile, l’apprivoise :

- Ça va ?, questionna Sylvie
- Oui, je crois que le plus dur est fait, lâchais-je entre deux inspirations et expirations.
- J’y suis, je suis au fond Je vais bouger !

Le Docteur Sylvie Fisher m’agrippa les fesses et commença ses va-et-vient dans mon postérieur. Lors des premiers mouvements, la douleur revint, moins forte cependant qu’au moment de l’introduction. Mon rectum s’habitua aussi aux mouvements. Sylvie choisit ce moment pour accélérer la cadence de ses coups de rein. Nouvelle phase d’adaptation. J’essayais d’accorder mes soufflements rapides aux coups de boutoir de ma dominante.

Je n’éprouvais pas réellement de plaisir physique à cette pénétration Au bout d’un moment le gode qui entrait et pénétrait en moi de plus en plus vite provoqua des frictions sur les parois de mon rectum pas forcement désagréables, mais assez loin de la sensation orgasmique tout de même. Non, comme me l’avait indiqué tout à l’heure Sylvie, le vrai plaisir de la sodomie était vraiment psychique C’était l’abandon total et le don complet de soi à autrui.

Elle se retira de moi. Le premier ressenti, fut un sentiment de vide. Juste avant, j’étais remplie de l’objet. Je restais pantoise et épuisée après cette pénétration intense.

Sylvie me donna une légère claque sur la fesse et descendit de la table d’examen.

Elle retourna s’assoir derrière son bureau, le gode-ceinture toujours autour de la taille :

- Bien, pour ton mal de ventre, je te prescris un scanner, mais uniquement pour vérifier. Je pense qu’il n’y a pas grand-chose. Tu prends du paracétamol si les douleurs reviennent et tu consulte à nouveau. Le Docteur Lambert revient demain.
- D’accord …
- Ah une dernière chose …
- Oui ?
- Tu me donne ton numéro de portable. Si j’ai besoin de toi, je te convoque et tu rapplique aussitôt …. Tu es ma soumise, c’est ton rôle de me servir. Et le mien de t’utiliser.
Maintenant rhabille toi et rentre chez toi, conclue-t-elle en me tendant un rouleau d’essuie-tout, Tiens pour éponger le surplus de vaseline sur tes fesses, avant de remettre ta culotte …

A suivre …

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