Fantasme 1
CHAPITRE 1 : La rupture
Je me présente, je mappelle Claire, Je viens davoir mes 18 ans. Je suis brune, coupe longue au carré avec des yeux verts. Je suis plutôt grande pour une fille 1.72m, 52 kg, mais je rentre dans un 36, jai un beau cul et des seins bien fermes 90C. Je viens davoir mon BAC avec mention TB, je partirai en Fac à la rentrée, alors que demander de plus. Si peut-être, jespérais fêter ça avec mon copain, Luca, mais je pense quil sest lassé dattendre. Cest lui qui ma tout appris au niveau du sexe, mais il nest pas arrivé à me faire lâcher prise : hormis bisous, caresses et fellations, je nai jamais accepté daller plus loin.
Pourtant, je ne suis pas timide, jaime quand il me met nue dans la campagne pour me caresser, jai toujours peur dêtre vue ; je le fais toujours en frissonnant de peur et de plaisir, mais je le fais.
La semaine dernière, on avait pris des sandwichs pour la journée et on est allé se promener. Luca a fait le programme : journée cochonne. Luca na pas voulu mexpliquer, mais il ma bien prévenu : ta petite robe légère à fleurs, tes tennis blanches, et cest tout, même pas de ceinture pour la robe. Jai deviné ce qui mattend : journée cochonne=journée exhibition. Je nétais pas rassurée, mais par contre très excitée. Dès quon trouvait un endroit dégagé, avec des herbes hautes, Luca mentrainait dans le champ, menlevait ma robe, me couchait dans lherbe, et me lutinait. Jusquà ce quon se fasse surprendre, on repartait alors en courant à travers champs, moi, toute nue en gesticulant et criant comme une folle. Suffisamment éloignée, je me rhabillais, et on continuait notre promenade en riant en cherchant un nouvel endroit de jeu. Personne ne nous a jamais attrapés. Pourtant le risque était maximum, ma robe valsait toujours à moins de 10 mètres de la route. Ceux qui passaient ne pouvaient pas me manquer, ils ont du bien se rincer lil, jadorais cela. Il était vers 16 heures quand on est arrivé près dun petit ruisseau avec des cascades, un endroit caché et discret pour un coup.
Il était furieux. Il ma lâché les chevilles. Il sest levé. Je me suis précipité vers lui. Pour me faire pardonner, jai pris sa bite dans ma bouche, mais je lai si enfoncée que je me suis mise à tousser, au bord du vomissement. Il a eu le temps de se rhabiller et il est parti. Je me suis mise à pleurer, après avoir mis ma robe, je suis rentrée seule à la maison. Je lai appelé au téléphone, mais il na pas répondu, ni à mes SMS. Cela fait presque 10 jours maintenant.
Aujourdhui, je suis allé faire des courses avec maman, sur le parking du supermarché, jai vu Luca avec une blonde, ils se roulaient des pelles. Vulgaire ! Quand Luca ma vu, il a hésité, puis il a mis sa main sous la jupette de la fille. Cétait facile, la jupe était remontée jusquau nombril, la culotte était totalement exposée. Il a écarté la culotte et a planté 2 doigts dans le vagin de la blonde : il était claire quelle nétait pas aussi farouche que moi. La fille a tourné la tête dans ma direction pour voir pourquoi il lexhibait ainsi, et compris. Je me suis mise à pleurer en vidant le caddy dans la voiture. Jai été le déposer avec les autres, à quelques mètres du mur où Luca avait toujours les doigts dans la chatte de sa nouvelle copine. Elle ma regardé dans les yeux avec un regard narquois. Je suis retourné à la voiture.
Depuis je suis triste. Je cherche comment récupérer Luca, La seule solution que jai trouvé : lui offrir ma virginité. Javais lintention de le faire après quelques mois de fac, si notre liaison à distance marchait toujours, mais là, je ne voyais rien dautre.
Résignée, je lui ai envoyé un SMS, lui disant que javais besoin de lui parler, que je lui donnais rendez-vous à notre endroit secret. Cest une minuscule prairie de 3 mètres sur 3, au bord de la rivière. Cest entouré de taillis, mais comme le chemin est très près, il ne faut pas parler trop fort. Si on ne connait pas on ne peut pas le trouver. Je my suis souvent retrouvée nue à gémir dans ses bras ou à lui sucer la bite. La réponse arrive enfin, il sera là-bas vers 17h, mais il na pas beaucoup de temps. Les mots sont secs. Je vais devoir être persuasive.
En arrivant, je cherche toujours des arguments, comment le persuader de me revenir, et surtout comment lui demander de me prendre sans paraitre trop pute soumise. Puis je remarque que les piquets que Luca avait plantés sont toujours là avec les cordes : vestiges dun ancien jeu très excitant, quand il mavait attachée nue, tout laprès-midi à me chatouiller, à me brouter la chatte, à me mettre un doigt dans le cul. On avait passé une journée géniale, javais jouis comme une folle. Je me dis que cest la meilleure solution. Je paraitrai jouer la soumission en moffrant. Je lui dirais que ma virginité est à lui, que sil le désire, il peut me prendre là tout de suite. Je suis fier de mon idée. Je me mets nue en 2 secondes, je ne garde que mon smartphone au poignet. Je massois et écarte les jambes pour attacher ma cheville droite au premier piquet. Jécarte encore plus les jambes en faisant glisser mon bassin dans lherbe, et une fois en place jattache ma cheville gauche au deuxième piquet. Je suis presque en grand écart, je sens mes lèvres vaginales souvrir.
Maintenant, le plus dur, mattacher les poignets au-dessus de ma tête. Je mallonge sur le dos et métire pour attr la troisième corde. Une fois attrapée, je tire dessus pour faire plier la branche afin davoir un peu de mou, et mattacher. Jessaie plusieurs fois, mais je ny arrive pas. Enfin, jenroule les 2 bouts de cordes autour de mes poignets, je mets un bout dans ma bouche et tire sur lautre pour serrer le nud. Je bouge un peu, ça marche je serre plus, fais un deuxième nud pour que ça tienne, je serre plus. Parfait. Mon cadeau pour Luca est prêt. Je relâche un peu la corde, la branche reprend brutalement sa place.
Je suis nue, étirée les bras en lair, allongée sur le dos, la chatte trempée et ouverte, prête à lemploi. Jessaie dimaginer sa surprise quand il va me voir moffrir à lui. Japerçois lécran de mon téléphone, encore une douzaine de minutes à attendre sil nest pas en retard. Je regarde mon smartphone toutes les 2 minutes tant je suis impatiente, et excitée
17h30 Il a trente minutes retard
18h, mon excitation est tombée depuis un moment, jai envie de pleurer. Heureusement que mes parents sont partis chez ma tante malade à 200km, sinon ils se seraient déjà inquiétés. Je bouge violemment les mains pour essayer dattr le téléphone, dès que je lai, jappelle Luca (Impossible denvoyer un sms attachée comme je suis) Il ne répond pas, je rappelle sans arrêt. 18h30, il me répond furieux,
- « si je ne réponds pas cest que je suis occupé » me dit Luca hargneux
- « où es-tu je tattends toujours ? »
- « désolé, je ne peux pas aujourdhui faut remettre à demain » Je me sens pâlir
- « Ce nest pas possible, Luca, il faut au moins que tu passes une seconde, je ten supplie »
- « désolé, impossible ».
- « Luca, écoute moi, je suis coincé dans notre cachette, je ne peux pas bouger, mes parents ne sont pas là, je ne peux appeler personne dautre. Je ten supplie, viens maider je ne peux pas passer la nuit ici, on parlera une autre fois si tu veux, mais viens vite » Je le supplie, des larmes dans la voix.
- « Impossible je ne suis pas seul, Je passerai demain en me levant, vers 8 ou 9h. Je coupe »
Il raccroche. Je viens de réaliser quil est avec sa pouffe, et que je vais rester attachée, offerte au premier venu. Je tremble comme une feuille de terreur. « Mais quest-ce qui mest passé par la tête ? » Je narrive plus à réfléchir. Je ne sais pas si je dois appeler un inconnu qui passe mais qui risque de me violer, ou si je dois attendre que Luca vienne demain. Rapidement jélimine linconnu. Jai trop peur dêtre violée. Si encore jétais certain que linconnu se contente dune fellation. Cest trop dangereux. Alors jattends
Mais et si Luca ne venait pas demain ? De peur, je gesticule pour essayer de détacher mes mains, je donne des coups de pied pour arracher les piquets. Avec les cuisses aussi ouvertes, je nai pas la moindre force. Je fatigue vite. Jessaie, encore et encore. Je pleure à chaud de larme, épuisée. Des insectes tournent autour de moi. Je sens des piqures de moustiques, je gesticule, rien ny fait. Jappelle un passant ou jattends ? Je dois attendre.
En pleurs, je finis par mendormir, affamée et assoiffée. Je me réveille avec le soleil, vers 6h. Je regarde mon téléphone pour vérifier lheure. Je suis abasourdie, je viens de dormir à la belle étoile attachée et nue pendant presque 10h. Moi qui ne dors que 6h par nuit dhabitude. Je devais être crevée. Jai mal aux articulations des hanches et des épaules. Je suis engourdie. Jai des démangeaisons aux endroits où jai été piquée dans la nuit. Heureusement, je ne sens rien au niveau de la vulve, jai froid, même à lintérieur, mes lèvres vaginales doivent être restées entre ouvertes tant jai écarté mes cuisses quand je me suis attachée. « Mais pourquoi je nai pas pensée quand jai fait ce double nud.» Je regarde les belles boucles que jai faites pour lier mes chevilles, mais il a fallu que je fasse un double nud pour les poignets. Quelle conne. Jaurai pu faire un nud coulant, il aurait été facile de me détacher. Mais aussi, pourquoi Luca nest pas venu hier soir. Jaurai passé la nuit dans ses bras à faire lamour et ce cauchemar naurait pas lieu. Ca tire sur mes adducteurs, cest un supplice. Et jai encore au mieux 2 heures à attendre.
Luca arrive comme une fleur vers 10h. Le soleil ma réchauffé un peu, mais je suis toujours effrayée. Jai envie de pourrir Luca, mais jai peur quil ne parte sans me détacher. En me voyant il rigole, et se moque de moi, de ma nudité :
- « Qui as-tu fait chier pour te retrouver comme ça ? »
- « Je tattendais. Tu peux me détacher sil te plait ? » Jai employé un ton un peu sec. Il se redresse
- « Tes trop conne, tu ne veux pas baiser avec moi, alors quon est ensemble depuis 3 ans, et en 1 semaine tu te trouves un mec qui te bat, et te plante attachée nue après tavoir tirée. Pourquoi tu as fait toute cette histoire avec ce putain de pucelage ? Je ne sais vraiment pas ce que je faisais avec toi. Ecoutes moi bien je te détache, mais la prochaine fois appel en un autre, rideau. »
Je narrive pas à dire un mot, je ne comprends rien, qui ma battu ? Quel mec ma tiré ? Il coupe la corde de mes poignets, et détache mes chevilles. Je vois son regard sattarder sur mon minou. Jespère une seconde un geste de tendresse qui me laisserai un espoir. Rien, il se lève et part. Je suis encore assise les jambes écartées, jessaie de bouger mes bras et mes jambes. Jai horriblement mal aux articulations. Je pleure. Je vois les marques que les branches ont faites sur mes bras quand jessayais de me détacher, je passe ma main entre mes cuisses. Jai quelques pertes blanches probablement provoquées par lexcitation du début de soirée, et qui sont sorties quand je me suis urinée dessus. Je comprends mieux, jai honte de ses pensées, puis furieuse quil me prenne pour une salope.
Mon sac est à côté de moi, je ne vois pas ma robe. Je pâlie un peu plus, je pars à 4 pattes pour la chercher. Je la retrouve, un coup de vent lavait fait senvoler. Elle a moitié dans leau. Elle est trempée. Je ne dois pas me plaindre, un mètre de plus et le courant laurait emporté. Jaurai du rentrer à poil à la maison, je ne sais même pas si cest possible sans être vue. Je mets ma robe au soleil pour quelle sèche massied les jambes repliées, bien serrées les bras serrés autour, en position ftale. Jai hâte de rentrer à la maison, je pleure doucement, je nai plus de petit copain, mon amour sest définitivement envolé. Entre mes larmes, je repense à ma nuit, attachée, je suis toujours nue, je me caresse le bouton doucement jusquà lorgasme.
Je rêve au prince charmant qui se surprendrai nue, le vagin trempé
et affamée comme je suis actuellement. Soudain, je me mets à rire : avec ma chance du moment, le prince va être vieux laid poilu et puer du bec ».
(à suivre)
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