Mon Retour En Algérie (7)
Retour au Port
Comme dhabitude avec ce que préparait Nordine, je me suis régalé, mais je nai pu mempêcher de le prendre un peu à part et de discuter avec lui.
« Ne men veux pas Nordine, tu es un mec super
Adorable et trop gentil, et je tapprécie beaucoup. »
« Moi aussi Marc et je sais que tu es lami de Rachid
Enfin, comment dire
Son Ami
»
Cest vrai quà lépoque, tout était tellement caché et pudique, que le mot « ami » pouvait désigner le terme « amant », ce qui était le cas et ce que Nordine savait. Si lorthographe peut montrer la différence entre Ami, et ami, il avait tellement appuyé sur le mot, que le ton employé montrait la différence.
« Mais on peut être amis ensemble (la faiblesse appuyée sur le A mavait montré la différence), comme vous dites en France, bons copains ou potes
Cest ça ? »
« Cest ça
Et cest avec plaisir que japprécie dêtre pote avec toi. »
Nous sommes revenus vers la crique, où Rachid faisait un peu de rangement en nous préparant le thé que nous avons dégusté ensemble. Il avait compris que suite à cet aparté, tout avait été mis au point, et donc, plus aucune gêne entre nous. Nous avons profité de leau tous les trois, comme des potes, tout en ayant beaucoup de mal, par pudeur, de ne pas me scotcher aux poils de mon homme, surtout en voyant son short maillot commencer à se tendre.
« Je peux vous laisser un peu seuls ? Mon père ma demandé de chercher des coquillages pour le marché de demain. » Cest vrai que cet endroit en regorgeait et il est parti avec sa petite pelle, son seau, un grand filet et son épuisette.
« Tu lui as parlé ? »
« Oui, pour lui dire que je lestimais beaucoup et que je serais content dêtre copain avec lui » Evidemment, la signification du mot copain nétait pas la même à lépoque, elle en avait tout son sens originel
Pote, collègue, ami, sans aucune ambiguïté sexuelle.
On était étendus tous les deux sur la plage, et je ne me lassais pas de passer mes mains sur sa foret de poils, à la poitrine, au ventre, au pubis, à ses jambes hyper velues aussi.
« Oh putain, putain
!!! Merde
) Et il ma pris la main pour aller se rincer dans leau, du moins pour ce quil en restait, métant délecté auparavant de cette délicieuse liqueur. Effectivement, mon éducation mavait appris quil ne fallait jamais rien gâcher ni rien laisser perdre, même si je pense, que mes parents ne parlaient pas de la même chose, ni de la même substance.
Des jeux dans leau, des câlins, il me prenait dans ses bras puissants pour me jeter plus loin, et mieux me récupérer ensuite. Bref, moment parfait de détente, damusement, lorsque nous avons vu Nordine arriver au loin, nous faisant des grands signes.
Nous nous sommes rapprochés du rivage pour voir ce quil voulait.
« Les gars, pêche a été super bonne, jai 2 filets pleins. Ça vous gêne pas si on rapproche le bateau et de maider à tout récupérer ? »
Effectivement, il avait été chanceux, mais il était très doué pour ça, et nous lavons aidé à tout charger. Pour renter au port, Rachid conduisait, je sais pas si il avait son permis, mais en tous cas, il se débrouillait comme un chef. Pendant ce temps, Nordine faisait le tri remplissant divers bacs en fonction de ce quil avait récolté. Son père allait être super content, létal serait bien fourni le lendemain. Puis il sest approché de moi avec un sac bien plein et qui frétillait encore.
« Cest pour toi Marc, enfin, pour vous tous
Pour vous remercier de mavoir aidé et de cette si belle journée. Et ne dis rien
Je sais que tu adores ça.
Dedans, il y avait deux superbes loups de Méditerranée, deux autres poissons, une énorme langouste et deux tourteaux. Jen étais super touché, et en silence, je lui ai fait deux gros bisous sur les joues. Une fois arrivés, vers 16 h, dune cabine, Rachid a appelé sa mère en lui disant de ne surtout rien acheter pour le repas, on amenait tout. Les congélateurs nexistaient pas à cette époque, les frigos restant assez rares aussi, surtout en Algérie, mais Samira en avait acheté un pour sa cuisine, un peu comme celui de ma mère, avec un compartiment Freezer.
Elle était trop contente quand elle nous sommes rentrés, tout dabord parce quelle a pu constater que nous avions passé un excellente journée, malgré un bon coup de soleil pour moi, et surtout, quand elle a vu ce quon avait ramené. Vu la quantité, elle ma demandé ce que je préférais pour le soir et le reste au freezer, sauf les crabes quon allait cuire pour plus tard.
« La langouste et le loup, jaime trop ça
Si ça ne te gêne pas, bien sûr. »
« Beaucoup, sauf si tu maides à les préparer. »
Avec un sourire et un clin dil, elle savait que jadorer cuisiner. Elle a jeté regardé ce quelle avait dans son garde-manger et a établi une petite liste pour ce qui lui manquait.
« Rachid
Tu files aux courses, tu vas prévenir Kader de venir manger avec nous, et Nadia aussi, daccord ? »
On sest mis à louvrage de suite avec une splendide complicité. Même si javais souvent cuisiné avec ma mère, elle était davantage le chef et moi le commis, alors quavec Samira, elle me demandait mon avis sur tout. Je ne vais pas métendre sur cette séance culinaire, chacun de nous deux apportant notre touche personnelle.
« Au fait Samira, cest qui Nadia ? »
« Cest une de mes collègues du lycée. Elle enseigne à la fois larabe et le français. Tu as dû lapercevoir, mais tu vas sans doute bosser avec elle aussi, elle est géniale. »
Ils sont arrivés tous en même temps, y compris Karim, et le repas, ainsi que la soirée ont vraiment été merveilleux, tous deux félicités par notre savoir-faire.
Nous nous sommes séparés dans la joie et la bonne humeur, Kader raccompagnait Nadia dont javais fait la connaissance avec plaisir. Samira, bien évidemment, sétait rendu compte du « trouble » et surtout, de limpatience de son fils, il ne tenait plus en place.
« Bon les garçons
Au lit
Une journée en mer, cest épuisant et vous devez avoir besoin de vous détendre. »
Jai failli éclater de rire à ses mots, effectivement, au peu que javais pu constater de mes caresses furtives, Rachid était
Comment dire
Hyper tendu. !!!
A peine arrivé dans sa chambre, il ma jeté sur le lit, descendu mon simple vêtement pour avoir un accès immédiat à ma fente, quil a perforé dun coup. Jétais bien habitué à ses assauts maintenant, et chatte humidifiée de désir pendant toute la durée du dîner, il a pu entrer en moi comme dans du beurre.
Je nen revenais pas
Moi, Marc, à peine 19 ans, puceau il ny avait pas si longtemps que ça, je me prenais 25 cm de bite arabe hyper large, aussi facilement, que lorsque je devais me mettre un suppositoire, ce que je détestais.
« Marc Chéri, je peux te dire une chose ? Mais jai du mal à lexprimer, je ne suis pas sur de trouver les bons mots, en français, ni même en arabe dailleurs. »
Jétais sur le dos, son corps velu épousant le mien, ses lèvres sur mon cou et mes mains sur ses poils, comme dhabitude, son membre toujours incrusté dans moi, dans une demi-rigidité empêchant son abondante semence de quitter mon orifice.
« Tu me donnes tout
. Tout ce dont nimporte quel homme désire. »
« Et ? »
« Tu es mon Ami, tendre, attentionné, me vénérant comme un fou.
« Et ? »
« Cest là où jai un peu honte
Tu te donnes à moi sans retenue, à tout moment, toujours prêt à me satisfaire. Je sais que jai un énorme appétit sexuel, comme tous les hommes de ma famille, tu las constaté. Il était enfoui en moi, je culpabilisais, jenfouissais ça en moi et tu as ouvert toutes les barrières à mes désirs, à mes besoins et jai limpression que je me lâche
Trop. »
« Cest normal, non ? Je taime
Toi aussi tu mas fait connaitre le plaisir
!!! »
« Mais je ne veux pas que tu te sentes comme une kahba, même si jadore te prendre comme une pute, avoir la possibilité de me défouler avec toi, sans retenue, comme Papa et Kader aussi
!!! » Et il a baissé les yeux
. Pour la première fois
!!!
« Rachid chéri
. Peux-tu raisonner un instant ? Crois-tu que si je ne me sentais pas heureux avec toi et les tiens, je naurais pas tout fait pour retourner en Algérie ? Vivre avec toi et ta famille ? »
Soulagé, il ma encore possédé, de la même manière, avec ce mélange de tendresse et de puissance. Pendant quil me baisait en levrette, jai vu que la porte de sa chambre nétait plus la même
Plus épaisse, plus large
!!! Et jen ai parlé à Karim au petit déjeuner.
« Ma foi Marc, puisque on avait pas changé vos lits, cétait mieux de changer la porte non ? Plus épaisse et insonorisée. Vous serez plus tranquille pour vos jeux dados. »
Un bisou dans son cou, sur ses poils du torse et sur ses lèvres, jai pris mon sac et je suis parti au Lycée où Samira mattendait avec Nadia.
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