Françoise-11

Françoise -11

Lundi et mardi nous les passons en mode vanille. Promenade en forêt, diner au restaurant, balade en vélo et de longues discussions ou nous avons exploré notre esprit vanille plus en profondeur. J’ai prévenu Françoise que mon Maître passerait la journée de mercredi avec punaise.

Donc, mercredi matin j’entre chez punaise grâce au double de ses clés. Je suis ravi de constater qu’elle a suivi mes recommandations à la lettre. Le store de la porte-patio est grand ouvert. Elle est à genoux devant celle-ci, complètement nue et les mains sur la tête. Elle a surement hâte que je lui dise de changer d’endroit, sa peur d’être surprise par un voisin doit l’angoisser au plus haut point. Je m’assoie dans le fauteuil du salon et je lui ordonne de venir me rejoindre. Elle commence son déplacement à quatre pattes.

-Je ne veux pas que tes genoux touchent par terre pendant que tu te déplace.
-Oui Monsieur.

Cette nouvelle façon de se déplacer rend son cul encore plus proéminent. Cela lui confère une démarche plus animal, plus sexy, c’est difficile à décrire, mais je salive juste à la voir déambuler devant moi.

-À l’avenir tu vas toujours te déplacer de cette façon, sauf indication contraire.
-Oui Monsieur.

Elle arrive à mes pieds et reprend sa pose à genoux, les bras de chaque côté du corps. J’ai pris soin de placer un petit coussin devant moi pour ménager ses rotules.

-Aujourd’hui je vais commencer ton dressage pour te modeler selon mes exigences… Soit attentive aux consignes…
-Oui Monsieur
-Si tu es obéissante, tu auras peut-être une récompense.
-Merci Monsieur.

Je sors une balle de caoutchouc de mon sac et je la lance en direction de la salle à manger.

-Allez, va chercher.

Elle se place rapidement à quatre pattes pour aller chercher la balle.

-J’ai dit pas de genoux au sol.

Aussitôt elle obtempère et continue son chemin pour me rapporter l’objet demandé.

Elle saisit la balle avec sa main et se retourne vers moi.

-Une petite chienne ne peut prendre une balle dans sa main. Relâche la et prend la avec ta gueule comme une vraie chienne le ferait.
-…

Elle serre immédiatement la balle entre ses dents. Sans mettre les genoux par terre elle me la rapporte. De nouveau je la relance, cette fois près de la porte-patio. Elle s’y dirige timidement. Toujours cet angoisse d’être surprise par un voisin. Mais cette fois, elle se déplace selon mes critères et elle saisit la balle avec sa bouche pour me la rapporter. Je suis heureux de voir qu’elle prend son rôle de soumise au sérieux. Je répète l’exercice plusieurs fois, je lance la balle dans tous les coins de l’appartement. Je suis heureux d’avoir cette petite chienne qui me divertis et qui me donne du plaisir. La voir arpenter l’appartement de cette manière est un spectacle enivrant.
Avec de nombreuses répétitions elle intègre l’exercice et assimile le fait d’être l’objet de son Maître et de lui obéir sans condition. Je crois qu’elle commence à devenir punaise tout en oubliant Françoise. Elle ne se pose plus de questions, une fois la balle lancé, son seul but est de me la rapporter de la bonne manière. Entre chaque lancé, elle reste à genoux devant moi, prête à se lancer rapidement à la poursuite de l’objet bondissant. Après m’être bien amusé, je remets la balle dans mon sac et je commence à lui caresser les cheveux.

-Hum! Tu es une bonne petite chienne obéissante, je suis fière de toi.
-Merci Monsieur.
-Tu es heureuse de m’appartenir?
-Oui Monsieur.
-Tu es prête à tout faire pour mon plaisir et mon bien être?
-Oui Monsieur.

Oui, vraiment elle prend son rôle au sérieux. À genoux devant moi elle attend tout simplement l’ordre suivant. Un peu inquiète, mais déterminée à me satisfaire.

-Va te mettre debout, les bras dans le dos devant l’horloge de la salle à manger.
-Oui Monsieur.

Elle se dirige vers la salle à manger à quatre pattes, sans mettre un seul de ses genoux par terre. Arrivé à destination elle se relève, place les bras dans le dos et fixe l’horloge sans dire un mot.

-Écarte les jambes… Je ne veux pas voir tes mains sur tes fesses, colle tes avant-bras ensemble.

Elle écarte les jambes et positionne ses bras comme demandé. De ma place je pouvais voir le galbe de ses fesses. Hum! Quelle courbe, une rondeur parfaite, si invitante… j’aimerais bien m’insinuer en elles. La tétine de son sein gauche agace ma vue, c’est vraiment déconcentrant. Punaise est comme une œuvre d’art sur deux pattes. Une belle couleur de peau, des courbes à faire rêver et une volonté d’obéir pour mon plaisir. Je prends conscience de la chance que j’aie de posséder un objet de cette qualité, un petit animal de compagnie prêt à tout pour moi. Les minutes passe, sans m’en rendre compte, hypnotisé par cette vue magnifique, l’heure du diner arrive…

-Tu peux rester en position debout et me préparer le diner maintenant.
-Je vais à la toilette et je vous prépare immédiatement votre repas Monsieur.
-Tu as demandé la permission pour les toilettes?
-Heu!... Non… Monsieur… Excusez-moi…
-Cela va être bon pour cette fois… cette fois seulement… Et tu y vas à quatre pattes, et de la même façon pour revenir… Tu auras le droit d’être debout seulement lorsque tu seras dans la cuisine.
-Oui Monsieur… Merci Monsieur.

À quatre pattes elle se dirige vers la salle de bain. J’entends la porte de celle-ci se refermer.

-Tu gardes toujours la porte ouverte punaise.
-Oui Monsieur.

La porte grince lors de sa réouverture. Puis, quelques secondes plus tard j’entends son urine sortir de son corps dans un jet puissant et entrer en contact brusquement avec l’eau de la cuvette. À ce moment quelques idées germent dans mon esprit pour de futures activités avec ma petite chienne. Hum! Finalement, toujours à quatre pattes, je la vois traverser la salle à manger pour ensuite se relever dans la cuisine.

-Tu prépares une assiette pour moi et un bol pour toi.
-Un bol?
-Oui, les bols que j’ai apportés, je les ai laissés sur le comptoir.
…

Elle regarde sur le comptoir et je vois dans son regard un air de stupéfaction. La bouche ouverte, les yeux comme des billes, elle reste figer.

-Aller le repas ne se fera pas de lui-même.
-Heu! … Oui Monsieur

Les deux bols sur le comptoir sont de couleur argent avec chacun une inscription en noir. J’ai acheté ces bols dans une animalerie et dans une papeterie j’ai fait l’achat de lettres autocollantes. Sur les deux bols il y a l’inscription « punaise ».
Pendant que ma soumise prépare le diner, je regarde les nouvelles. Une merveilleuse senteur rempli la pièce. Fran… Euh, punaise est une talentueuse cuisinière.
Elle prépare un macaroni au fromage maison. Le repas est prêt et elle ne sait trop ce qu’elle doit faire pour la suite.

-Monte la table pour moi et place tes deux bols près du mur en dessous de l’horloge de la salle à manger pour toi. Un bol pour le macaroni et un bol pour ton eau.
-Oui Monsieur

Son visage a pris sa belle couleur rouge que j’aime tant. Elle commence à monter la table pour moi.

-Non… pas là, installe mon assiette et mes ustensiles de ce côté.
-Oui Monsieur.

Je veux avoir une place de choix pour observer ma petite punaise pendant son repas.

-Tu te mets à quatre pattes et je ne veux pas te voir utiliser tes mains pour manger… C’est compris…
-Oui Monsieur.

Elle s’accroupie timidement devant ses bols. Je commence à manger tout en gardant un œil sur ma soumise. Elle se penche en plaçant ses deux mains de chaque côté de ses bols pour prendre une bouché de macaroni. En faisant cela son cul se relève, ses fesses s’écartent légèrement. J’ai une vue magnifique sur sa vulve et son anus. Hum! Une vulve bien épilée et toute humide. Plus je la regarde, plus j’ai faim, je la boufferais tout cru… C’est un diner absolument mémorable, une expérience fascinante que je ne manquerais pas de renouveler…
Après le repas je lui fais faire la vaisselle et je lui demande de se placer à genoux, face au mur, dans la salle à manger pendant que je sirote le café qu’elle vient de me préparer. Un regard à gauche pour une vue sur les immeubles d’en face, un regard à droite pour une magnifique vu sur ses fesses. Après cette petite pause relaxante je passe à un autre exercice pour punaise. Je me lève et je me place au centre du salon.

-punaise… Aux pieds…

Elle commence à se déplacer vers moi, à quatre pattes, sans poser les genoux par terre. Je suis heureux de voir qu’elle a retenu la consigne des déplacements. Elle s’arrête devant moi, sans trop savoir comment se positionner. Elle lève la tête et me regarde avec un air interrogateur.

-Lorsque je dis aux pieds tu dois te placer à ma droite, à genoux et les mains dans le dos.
-D’accord Monsieur.

Elle prend la position sans tarder. Je me déplace vers la salle à manger pour m’arrêter à gauche d’une chaise.

-punaise… Aux pieds…

Elle se déplace à quatre pattes, elle pousse la chaise et a prend la position comme demandé à ma droite. Son visage indique qu’elle est fière d’elle. Ensuite je me déplace pour me positionner à gauche du grand sofa au salon.

-punaise… Aux pieds…

Elle s’approche de moi, l’air inquiète. Elle sait pertinemment qu’elle ne peut pas bouger le grand sofa pour se placé à ma droite comme demandé. Je sens l’angoisse s’installer dans son esprit. Elle lève la tête, je la regarde avec un air de déception, elle est désemparée. Maintenant à genoux, elle se penche et commence à embrasser mes pieds.

-Je m’excuse Monsieur je ne peux pas exécuter votre ordre… J’en suis désolée… Sniff! Est-ce que je vais être puni pour cela?

Suite à plusieurs secondes de silence…

-Rassure toi punaise, nul n’est tenu à l’impossible avec moi… Mais tous ce qui l’est, doit être exécuté.
-Merci Monsieur.
-Pourquoi me remercies-tu?
-Pour… Bien… Pour votre intelligence, pour votre bonté envers moi…

Hum! Je sens qu’elle apprend rapidement, mais c’est plus que cela… Elle semble littéralement entrer dans la peau de la soumise qu’est punaise. Il y a vraiment une séparation entre Françoise et elle. Est-ce qu’elle a, tout comme moi, ces trois personnalités en dedans d’elle? Ouf, l’aventure ne fait que commencer et jusqu’à présent je suis plus que satisfait de sa progression. Je continue à faire son éducation toute la soirée, lui apprenant les consignes de base en ma présence…