Oh! Quel Réveillon

Durand tous le repas, mes deux voisins profitaient de toutes les occasions pour laisser courir leurs mains baladeuses sur mon corps. Ma mini-jupe leur facilitait la tâche, elle m'arrivait au ras de la chatte quand j'étais assise, et n'ayant pas de slip, comme Norbert l'avait exigé, ils atteignaient facilement ma moule. J'essayais de serrer les cuisses, mais ils arrivaient malgré tout à effleurer mon clito, entretenant mon excitation. Albert força mes lèvres, David me pelotait la poitrine pendant ce temps. Albert me répéta à l'oreille : « ça va être votre fête » J'étais dans un état second, je ne voulais pas éveiller de soupçons chez Norbert, d'un autre côté, mon excitation ne cessait d'augmenter.
David avait sorti sa bite, il me saisit la main et me força à le branler. Je m’exécutais, excitée. Il se pencha à mon oreille

- Suce-moi

Il me fit mettre à genoux sous la table.

Sa bite était énorme, avec un gland mafflu et circoncis. J’entrepris une fellation, avec un plaisir certain. Quel bonheur de sentir cette grosse bite forcer mes lèvres, envahir ma bouche. Je m’appliquais de mon mieux, fière de ma science de pipeuse.

- Vous avez vue Danielle ?

Norbert me cherchait. Je n’osais plus bouger. David appuya sur ma tête pour me faire comprendre de continuer.
C’est Albert qui se chargea de la réponse.

- Je crois qu’elle est aux toilettes.
- Vous lui direz que je rentre, je suis fatigué. Je ne veux pas lui gâcher la soirée, elle n’a qu’à rester. Vous pourrez la raccompagner ?
- Pas de problème. On vat bien s’en occuper.

Et pendant ce temps, David continuait de m’appuyer sur la tête. C’était surréaliste.
Je senti David se raidir.
- Qu’est ce qui lui arrive ?

Demanda Norbert.

- Il est en train de se faire sucer par une salope.

David cracha son foutre qui m’envahit la bouche. J’avalais tout, comme une bonne petite salope.

- Vous voulez l’essayer avant de partir ?

Demanda Albert à mon époux.

- Pourquoi pas

Répondit celui-ci.
Il s’installa à la place de David et sortie sa bite. J’avais encore le gout du sperme de David dans la bouche. Je m’emparais de la bite de mon homme et commençais à le sucer.

- Elle suce bien la salope, aussi bien que Danielle.

Mon époux me « trompait », croyait-il, avec une petite chienne, j’étais toutes excitée à la pensée qu’il croyait se faire sucer par une inconnue. Je mis toute ma science à le faire jouir, ce qu’il ne tarda pas. Deuxième rasade de sperme pour moi.
Norbert se rajusta, il aurait voulu voir sa suceuse pour la remercier, mais Albert lui dit que j’étais mariée, (quelle ironie), et que je désirais rester anonyme.
Norbert n’insista pas et s’en alla.
J’allais sortir de dessous la table, mais Albert m’en empêcha et me présenta son mandrin.

- A mon tour, petite pute.

Troisième pipe de la soirée, c’est vrai que c’était ma fête.
J’étais heureuse de reprendre cette belle bite en bouche. David n’était pas mal, Norbert un peu petit, celle d’Albert m’emplissait bien la bouche et le reste, j’aimais son gout ; sa douceur, le gout de son sperme. Je m’appliquais, je voulais qu’il soit fier de moi, j’étais prête à tous pour lui. Ce soir j’étais son esclave.
Albert me saisit par les cheveux pour se dégager, je protestais, désirant sentir encore une fois le gout de son foutre. Mais il en avait décidé autrement. Me tournant face à la table, il pointa sa bite sur ma rosette, et me fit asseoir sur elle. Je sentis son gland se frayer un passage, mon anus s’écarta sous la poussée, sa bite progressa dans mes entrailles, progression facilitée par la salive dont j’avais enduit son vit et l’enculage que j’avais subit avant de venir.
J’avais enfin sa grosse bite tout en moi, j’étais remplie, comblée. Je me rendais compte que j’attendais ce moment depuis la première fois ou Albert m’avait baisée.
Ma vraie nature parlait pour moi. Je n’étais qu’une salope, accro à la bite. J’avais honte de me conduire comme une pute, de tromper mon mari, mais c’est cela qui me faisais jouir.
Albert faisait coulisser son mandrin dans mes intestins, je jouissais en permanence.
La mouille dégoulinait de ma chatte. Une langue vint me lécher, buvant ma jouissance, s’emparant de mon clito, elle le pompa comme une bite, accentuant encore mon plaisir.
Un mec grimpa sur la table, s’approchant de nous, il sorti sa bite et me la présenta. Je n’étais pas là pour faire ma mijaurée, aussi j’ouvris la bouche et l’engloutis.
Albert m’encourageait.

- Bravo petite salope, tu montres enfin ce que tu es vraiment. Une grosse pute assoiffée de sperme.
Je ne pouvais lui répondre, ayant la bouche pleine, mais il savait que j’étais d’accord.

- Tu vois, tu ne voulais plus me voir, mais tu mourrais d’envie de te faire ramoner par ma grosse bite, et bien d’autres encore. Tu vas être servie. Ils veulent tous te baiser. Une jeune mariée, ça les excite. Tu es d’accord n’est-ce pas.


Que dire, je ne pouvais toujours pas répondre, mais bien sûr que j’étais d’accord.
Albert avait ouvert les vannes de mon plaisir, et j’étais décidée à lui obéir en tout,
A me faire baiser par qui il voudrait, jusqu’au bout de la nuit.
Pour l’instant, j’étais comblée, je ne pensais plus qu’à mon plaisir, à ces deux bites qui me donnaient du bonheur, à cette bouche qui me bouffait la chatte, accentuant ma jouissance.
Soudain je sentis la bite d’Albert enfler puis de puissants jets de foutre emplir mes entrailles, c’était trop, j’allais lâcher la bite qui m’envahissait ma bouche pour hurler ma jouissance, mais le propriétaire de la bite n’étais pas de cet avis, il maintint ma tête et cracha à son tour son sperme.

- Avale tout, salope.

Pas la peine de le préciser, j’avalais tout jusqu’à la dernière goute. Albert décula laissant une grande sensation de vide. Une fille sortie de dessous la table. C’était elle qui m’avait brouté le minou.

Albert demanda
- Alors Danielle prête pour la suite ?
- Oui mon chéri, tout ce que tu voudras. Ce soir je suis à toi, ordonne je t’obéirais.
- Tu es à moi et pas que ce soir. Je te veux docile et obéissante, toujours.

Je ne répondis rien, me contentant d’acquiescer.
Une dizaine de mec étaient autour de nous, suivant nos échanges, attendant la suite des évènements.
Albert ôta ma robe et leur dit :

- Allez-y les gars elle est toute à vous

Un peu intimidés, personne n’osait prendre l’initiative, alors c’est moi qui la pris.

A genoux devant le premier mec, je baissais sa fermeture éclair et sortie sa bite. En demi-érection, elle était de belle taille. Je léchais le gland, un frisson parcouru le mec. Les autres s’étaient dégelés. Ils m’entourèrent, le zob à la main et commença ma prestation. Je prenais toutes ces belles bites en bouche une après l’autre, les suçant, les léchant, mordillant le gland. Il y en avait des longues et fines, des courtes et épaisses, des longues et épaisses, mais toutes me plaisaient. J’en oubliais le visage des mecs. Ce n’était pour moi que des bites à sucer. Je ne pensais plus à rien d’autre qu’à tous ces beaux mandrins à ma disposition. Oublié Norbert, ce soir je n’étais plus qu’une salope qui allait se faire enfiler par tous ces mecs.
Un mec se plaça derrière moi, il me fit relever le cul. J’écartais les cuisses, tendant mes fesses vers ce premier zob qui chatouillait ma chatte. J’étais trempée, mon baiseur n’eut pas à forcer pour m’enfiler. Cela rentrait tous seul. Une bonne grosse bite avec un gland énorme qui m’ouvrait, m’emplissait toute. Il devait être très excité car au bout de quelques allez retour, il cracha son foutre. Je n’eus pas le temps d’être déçue par cette jouissance trop rapide, une deuxième bite m’envahit la chatte, et ce fût comme cela toute la nuit, ma chatte, mon cul, ma bouche furent envahis à tour de rôle ou en même temps, sans répits.


Albert proposa de finir la soirée dans la boîte de son cousin David. Il nous l'avait réservé pour cette nuit.



***
La boîte de David était une boîte classique, avec une piste de danse, une estrade pour les gogos girl, estrade qui tournait sur elle-même.

Arrivé à la boîte, nous primes places sur les banquettes entourant la piste de danse. Pas de Gogos girl ce soir, nous dit David, mais si l'une d'entre vous se sent une âme de danseuse, la piste est à vous.

Premier slow, Albert se leva et m'entraîna sur la piste. Tout de suite il me plaqua contre lui. Je ne pouvais ignorer sa bite bandée, plaquée conte mon ventre. Ses mains parcouraient mon corps, me caressaient, il se saisi de mon menton, et leva mon visage, ses lèvres se posèrent sur les miennes, sa langue força mes lèvres, joua avec ma langue. J'oubliais tout, j'étais heureuse de m'abandonner à mon amant. Quelqu'un arriva derrière moi, se plaqua contre mon corps, deux mains se glissèrent sous ma robe, s'emparèrent de mes seins, me tordirent les tétons, après un instant d'hésitation, je me laissais aller.

Albert me susurra à l'oreille : je te l'avais dit, ça va être ta fête. Tous les mecs présents et mêmes certaines filles veulent te faire l'amour.

Je ne répondis rien, trop occupée par ces deux mains qui me trituraient les seins et cette bite énorme qui, profitant de ma micro jupe, s'était calée entre mes fesses.

Je demandais à Albert qui était derrière moi. C'était David.

Tu sens sa bite, me dit-il, elle est énorme, tu vas voir quand tu la recevra, tu ne pourras pas l'oublier.

C'était donc David qui me pelotait,

- Elle est bonne ?

Demandât-il à Albert.

- Elle est extra, tu ne vas pas être déçu, elle accepte tout, pars tous les trous, elle suce à fond, elle avale jusqu'à la dernière goutte.

Je rougis malgré moi, j'avais l'impression d'être une esclave, sur un marché antique, avec le vendeur qui faisait l'article.
David glissa sa main sous mes fesses, il m'écarta les cuisses, docilement je le laissais faire. Un doigt, puis deux se forcèrent ma rosette.

- C’est vrai qu'elle est souple.
- D'autant plus que je l'ai enculé 2 fois aujourd’hui.

Les deux hommes continuaient leurs commentaires sans s'occuper de moi.

David plia les genoux et me caressa la rosette avec sa bite, puis il força un peu. Je sentis son mufle forcer mon anneau, Albert avait raison, sa bite me semblait énorme, je voulus protester, mais Albert m'en empêcha, posant sa bouche sur mes lèvres. Sans aucune préparation, David avait un peu de mal, mais comme Albert l'avait signalé, son enculage précédent facilita la pénétration de David, bien vite il fut tout en moi.

J'étais là, debout au milieu de la piste de danse, enculée et caressée de toute part, à la vue de tous les invités, je ne pouvais retenir mes gémissements de plaisir.

Le slow s'acheva, David se retira, me laissant frustrée, nous regagnâmes nos places.

Albert proposa un jeu, sanctionné par des gages. Chacun des présents devait proposer un gage, la seule contrainte étant qu'il devait être à caractère sexuel.

Quand tous les gages furent rédigés et placé dans une corbeille, le jeu commença.
Les questions d'ordre général, étaient assez faciles, je soupçonnais fortement les perdants ou perdantes de faire des erreurs expres.
La première perdante, une fille dénommée Julie eu pour gage de faire le tour de l'assistance et de rouler un patin à tout le monde. Quand ce fut mon tour, elle s'attarda, sa langue s'emparant de la mienne, la caressant, je dois avouer que je ne suis pas restée insensible à ce baisé.

Ce fut mon tour, je perdis exprès bien sûr. Mon gage, me branler sur l'estrade des Gogos girls, l'estrade tournant sur elle-même, tout le monde pourrait me voir.

Après une brève hésitation, je m'installais, sur le dos, cuisses largement ouvertes pour faire admires ma chatte. Après tout, j'étais prévenue, j'aurais pu partir avec Norbert, mais j'ai voulu rester, alors il fallait assumer.

Le plateau tournait, tout le monde pouvait voir mes lèvres gonflées par le désir, ma rosette encore béante, ma courte robe ne cachait rien, et je n'avais pas envie de cacher quoique ce soit.
Ma main s'approcha de ma chatte, mes doigts glissèrent sur mon clito, ce simple attouchement me fit jouir, Je me caressais, écartant les lèvres, mes doigts parcouraient ma chatte, ils forçaient ma rondelle, je n'étais plus moi, je n'étais qu'un sexe insatiable. Julie s'approcha, elle n'avait pas pu résister, après avoir goûté à mes lèvres, elle voulait goûter à ma chatte. Sa langue remplaça mes doigts, elle me léchait avec frénésie, me broutant le clito, buvant mon foutre qui giclait en permanence.

Albert arrêta mon exhibition.

- Julie dit-il tu as triché, tire un gage.

Julie nous lut à haute voix son gage : " Tu recevras vingt coup de martinet sur le cul"

Docilement elle se mit à quatre pattes sur la piste. Albert se saisi du martinet.
Il lui releva la robe sur le dos, dénudant ses fesses.
- Ecarte les cuisses.
Elle s'exécuta.

Albert commença la séance, tout le monde comptait en même temps. Les coups de martinet pleuvaient sur une fesse, sur l'autre, parfois sur l'entrecuisse, cinglant la chatte. Julie sursautait sans un cri, sans serrer les cuisses, au contraire j'avais l'impression qu'elle les écartait un peu plus à chaque coup. Mon regard était fixé sur sa chatte qui s'écartait sous les coups, elle me paraissait humide. Etait-il possible de jouir sous les coups?

Au vingtième coup, Albert s'arrêta, Julie ne prie même pas la peine de se relever, elle
descendit de l'estrade à quatre pattes, le cul toujours à l'air. Elle s'approcha de moi

- C'est de ta faute si j'ai été punie, viens me soulager.

Elle écarta les cuisses face à moi et, appuyant sur ma tête, elle approcha mon visage de sa chatte. Je ne m'étais pas trompé, elle avait joui, j'avançais timidement ma langue pour la lécher. Je n'étais pas habitué à ces pratiques, ne l'ayant fait qu'une fois. Elle plaqua mon visage sur sa chatte, alors je me laissais aller, la léchant sur toute la longueur, m'attardant sur le clito, le mordillant. Mais Albert, une fois de plus intervint. Il voulait aller jusqu'au bout de son jeu. Ce fut autour de David de tirer un gage. Quand il eut pris connaissance de son gage, son visage changea.

Alors lui demanda Albert, c'est quoi ton gage ?
David ne répondait pas, fixant la feuille de papier. Enfin il se décida.

- -Je dois sucer une bite au hasard et me faire sodomiser.

Nous nous regardâmes tous. C'est vrai, les gages étaient tous mélangés, hommes et femmes, mais jusqu'à présent cela s’était plutôt bien passé.

Qu'allait faire David ?

Il ne se dégonfla pas. S'approchant d'Albert il lui dit :

- C’est toi que je veux

Et s'agenouillant devant lui, il ouvrit sa braguette et sorti une bite déjà en bonne forme. Connaissant le format de cette belle queue, je me dis que David allait avoir du mal. Pourtant il l'engloutit sans trop de peine, faisant aller sa bouche le long de la colonne de son cousin, il lui administrait une fellation digne d'une pute. Je le soupçonnais de ne pas en être à la première. Albert gémissait de plaisir,

- Salope, il y avait longtemps que tu ne m'avais pas sucé, t'es vraiment une chienne tu suce presque aussi bien que Danielle.

Je rougis au compliment et sous tous les regards qui se tournèrent vers moi.
Albert s'arracha de la bouche de son cousin, et se plaça derrière lui. Il déculotta David.

- Danielle vient le préparer, viens lui lécher la rondelle.

Je m'exécutais. A quatre pattes derrière David, j'entrepris de lui lécher la rondelle, ma langue forçant l'anneau l'enculait, je mouillais mes doigts abondamment, le pénétrant avec un, puis deux puis trois doigts, ne rencontrant pas beaucoup de difficulté à le pénétrer.

David était prêt, Albert présenta sa bite devant sa rosette, il n'eut pas à forcer beaucoup, sa bite pénétra d'un coup David qui poussa un râle de satisfaction. Albert commença à limer David, lentement, prenant tout son temps. J'étais stupéfaite, c'était la première fois que je voyais un homme se faire sodomiser et y prendre plaisir, car David y prenait plaisir, sa bite gonflait de plus en plus.
Soudain Albert se tendit, David poussa un cri de jouissance, Albert était en train de jouir en lui, sous les jets de foutre qui l'envahissaient, David joui également crachant de long jet de sperme que Julie s'empressa d'avaler.

Il était bientôt cinq heures, la soirée s'achevait, mais Albert m'avait préparé une dernière surprise.

- Préparez-vous Danielle, je vous avez dit que ça allez être votre fête, c'est le moment.
Julie s'approcha, décidément je lui plaisais, et même si je n'étais pas trop attirée par les filles, je dois avouer qu'elle m'avait bien fait jouir.

Elle s'agenouilla devant moi, s'empara de ma moule qu'elle dévora, je sentis une présence derrière moi, une autre langue s'empara de ma rosette, la lubrifiant, l'aspirant.

Albert s'était couché sur le dos, sur la scène, sa bite dressée, il me fit signe de m'approcher. Julie me conduisit jusqu'à lui, je l'enjambais, me laissant descendre sur son zob. Son mufle ouvre mes lèvres, écarte ma chatte, me pénètre. Je le sens m'envahir, la sensation est extraordinaire. Une main appuie sur mon dos, me forçant à me pencher en avant. Une bite se présente à l'entrée de ma rosette, la force, me pénètre, me remplit toute.

Je suis prise en sandwich, la sensation est fantastique. Un autre homme s'approche de moi, il approche son braquemart de mes lèvres. Je ne peux refuser, ma bouche s'entrouvre, il me pénètre, fait coulisser sa bite dans ma bouche dont il se sert comme d'une chatte. Je suis prise par tous les trous, ma jouissance est immense, je n'en peut plus, je suis comblée. Autour de nous, les autres mecs présents se branlent.

Soudain mes baiseurs se retirent, me renversent sur le dos. Tous les mecs font cercle autour de moi, ils m'arrosent de leur foutre. Les filles se précipitent et me lèche partout buvant le sperme qui m'inonde.

La soirée est finie, c'est vrai, ça été ma fête. Ce fut mon plus merveilleux réveillon.

Albert me raccompagna, J’avais avalé des litres de foutre. Ma chatte et ma rondelle restaient ouvertes, dégoulinantes de sperme.
Albert exigea une pipe avant de me laisser rejoindre mon homme.


Norbert dormait. J'en fis autant, non sans songer au merveilleux réveillon que je venais de passer.

***

Le remord me dévorait, j'avais trompé Norbert, mon amour. Je n'osais plus le regarder en face, hier soir, alors qu'il sirotait son whisky, j'ai fini par me décider, je lui est tout raconté.
- Chéri, j'ai quelque chose à te dire.
- C'est important ?
- Très
- Alors vas-y.
- Voilà je t'ai trompé.
Norbert me regarda l'air incrédule.
- Comment cela trompé, raconte.
- J'ai couché avec Albert.
- Raconte tout, en détail.
- Non, ne m'obliges pas à te raconter les détails, j'ai trop honte.
- Tu n'as pas eu honte pour te faire enfiler. Je veux tout savoir.
Alors je lui parlais de la grosse bite d'Albert, De la manière dont elle m'écartelait les mâchoires, comment elle me forçait la moule et la rosette De son sperme que j'aimais boire ou sentir au fond de ma chatte et de mon cul. Au fur à mesure que mon récit avançait je me sentais toutes excitées, ma mouille inondait le fauteuil. Norbert aussi était excité. Je voyais sa bite tendre son pantalon. Je lui racontais mes orgasmes, ma chatte béante, ma rosette écartelée quand son braquemard me quittait.
Je lui parlais également du réveillon, de tous les mecs qui m’avaient baisées, des trois mecs qui m’avaient prise ensemble, de Julie qui m'avait fait jouir.
- Mais tu es une vraie poufiasse.
- Tu m'avais délaissée, j'avais trop envie de baiser, Albert en a profité. Mais c'est fini mon chéri, je vais le renvoyer, je ne veux plus le voir. Si tu veux toujours de moi, je serais ton esclave, je ferais tout ce que tu voudras. Pardonne-moi mon chérie.
- Ah non ! C’est trop facile, Madame s'envoie en l'air sans moi, et puis elle demande pardon. Elle jure qu'elle ne recommencera plus. Je vais réfléchir et te donnerais ma réponse demain, en attendant je me tire.
Il enfila une veste et sortit en claquant la porte
Norbert n'est pas rentré de la nuit. Je suis partie travailler sans le revoir. Toute la journée j'ai pensé à lui, me demandant ce qu'il avait décidé. J'ai dit à Albert que je ne voulais plus qu'il me baise. Il essaya de me convaincre de continuer, mais je restais intraitable.
Lorsque je rentrais le soir, alors que je me précipitais dans ses bras pour lui dire bonsoir, il m'arrêta.
- Chérie j’ai réfléchi à ce que tu m'as dit. Tes récits sont très excitants, mais je préfère assister à tes prestations. As tu dis à Albert que tu m'avais tout raconté ?
- Non
- Très bien. Tu vas lui téléphoner. Tu vas lui dire que je suis parti en déplacement et que tu as envie qu'il te baise ce soir.
- Mais je lui ai dit que je ne voulais plus baiser avec lui, et c'est vrai mon chérie, je ne veux plus que ta pine.
- Si tu veux que nous restions ensemble, tu as intérêt à faire ce que je te dis. Tu m'as promis d'être mon esclave non ?
Norbert s'empara du téléphone et me le tendit.
- Vas-y appelle le et soit convaincante, il faut absolument qu'il vienne.
Albert répondit à la deuxième sonnerie. Norbert enclencha le haut-parleur pour profiter de la conversation.
- Bonjour Albert, Norbert est parti en déplacement, je m'ennuie, tu peux passer à la maison ?
- Pourquoi faire ? Tu cherches quoi au juste ?
- J'ai envie de toi, j'ai beau essayé de résister, je ne peux pas.
- Dis-moi ce que tu veux exactement.
- Mais, toi.
- Soit plus précise où je raccroche.
Albert jouissait de la situation. Après avoir cru me perdre, il voulait m'humilier au maximum.
- J'ai envie que tu me baises.
- C'est tout ?
Norbert me regardait, il me fit signe d'aller plus loin. Je savais très bien de quoi j'avais envie, mais j'avais honte de l'avouer devant Norbert. J'étais allongée sur le ventre, ma jupe très courte comme d'habitude, dévoilait mes fesses qu'aucun slip ne protégeait. La situation commençait à m'exciter, alors je décidais de me lancer à l'eau.
- J'ai envie de te sucer, de sentir ta grosse bite forcer mes lèvres. Je te lécherais le gland, ma langue caressera ta colonne jusqu'à ce que tu gicles. J'avalerais tout ton jus.
Ma main se glissa vers ma chatte, je soulevais les fesses pour mieux me branler, cuisses écartées, je me caressais doucement. D'où il était Norbert avait une vue imprenable sur ma rosette et ma moule.
- Et après ?
- Tu feras de moi ce que tu voudras, je serais ta putain. Je veux sentir ton zob me violer la chatte, m'écarteler, me défoncer la rosette. Je veux sentir ton foutre m'inonder la moule. Viens vite mon chéri je n'en peut plus, je suis en train de me branler.
- D'accord c'est mieux. Cependant je ne suis pas seul, mon père est là. Il a écouté tout ce que tu as dit, Depuis le temps que je lui parle de toi, il en bande d'avance à l'idée de te baiser. Il va venir avec moi.
Je voulu protester, mais Norbert me fit signe d'accepter.
- D'accord mon amour, vient avec lui, deux pines en même temps, c'est fantastique.
- Tu vas voir, on va te faire jouir comme une reine. Tu vas te préparer habille toi en petite fille c'est un des fantasmes de mon père, il meurt d'envie de sauter ma sœur mais il n'ose pas.
Son exigence me trouble. Albert raccroche. Norbert décide de s'occuper de ma tenue il choisit dans ma garde-robe un kilt très court, un chemisier très sage, une paire de chaussette blanche. Il me fait déshabiller, puis examine ma chatte.
- Viens je vais t'épiler, ta fourrure a repoussé un peu, une gamine à la chatte lisse.
L'épilage terminé, il me laissa me coiffer. Deux tresses me rajeunissent encore. Pas de maquillage. Ainsi habillé je parais 14 ans. Je n'ai pas mis de slip comme Albert me l'a ordonné.


A suivre ……..