Les Aventures De Laetitia Marsac : L'Oeil Du Photographe
Ah la la la ! La mi-décembre à Paris
Pas vraiment lépoque que je préfère !
Après une période estivale chaude et sèche, après un été indien qui sest poursuivi toute la saison automnale, ce début dhiver était tout aussi doux, mais tellement humide et si gris.
Paris, qui est une ville superbe au moindre rayon de soleil, semblait si triste sous la grisaille persistante.
Ce soir-là, un crachin tombait sur la capitale. Il ne faisait pas si froid que ça, mais lhumidité ambiante vous glaçait les pieds et vous transperçait jusquaux os.
Moi qui privilégie toujours les transports en commun dans un but de commodité et de gain de temps, ce jour-là, jétais allée en voiture chez mon client. Javais tout gagné ! Après avoir subi les aléas de la circulation parisienne un jour de pluie et tourné une demi-heure pour me garer, je navais trouvé quune place à plus de 500 mètres de ma destination, rue des Saints Pères.
Le centre de Paris en voiture, où avais-je la tête aussi !
Jaccélérais donc le pas en sortant de chez mon client et faisait claquer mes talons sur le bitume du trottoir. En marchant vite, jarriverais à ma voiture pas trop détrempée, la pluie étant modérée, me dis-je.
Pas de bol, le crachin, sest transformé en pluie plus soutenue, puis en averse digne des giboulées de mars, alors que je navais pas fait la moitié du chemin. Et pour couronner le tout, mon parapluie était bien entendu, resté sur le siège arrière de ma voiture.
Là, pour le coup, jallais être trempée de la tête aux pieds. Je me suis abritée sous la banne du premier magasin venu. Cétait une galerie dart. Ce nétait pas étonnant dans ce quartier !
La pluie ne se calmant pas, je me suis décidée à entrer dans la galerie.
Près de lentrée, quelques statuettes en terre cuite exploitant le créneau du « primitif » trônaient sur des présentoirs. Jai gloussé en regardant le prix : moche et cher
Bon, continuons
Plus loin, une série de tableaux était exposée sur les murs.
Bon, je nai rien contre lart moderne, quand ça a un sens ! Là on avait droit à des tâches et des traits sur des toiles, semble-il fait à la va-vite, sans but précis, avec des dominantes jaunes, pour la première partie de lexpo, puis rouges. Genre, le type a eu plusieurs périodes, la jaune, la rouge
Lartiste (enfin le peintre) sappelait Serge Je -ne-sais-plus-comment.
Une grande femme blonde sest approchée de moi. Jai décidé de lui demander le prix dun des tableaux, juste histoire de rigoler
- Bonsoir Madame ! Est-ce que je peux vous aider ?
- Bonsoir! Dites-moi
Celui-ci là, fis-je en montrant du doigt une des toiles au hasard.
- Un travail intéressant, nest-ce pas ?
- Je suis en effet interloquée ! Il ma tapé dans lil ! Normal, le jaune vif tape bien dans lil, surtout quand on le regarde sans lunettes noires. Il est à combien ?
- 1200 euros
- Ah oui, quand même
Puis, décidée à aller jusquau bout de la blague :
- Finalement, je crois que ça ne va pas aller avec mon intérieur
Le jaune vif, ça ne va pas avec tous les styles de mobilier ! Ou bien alors, il faudrait que je change tout chez moi, dis-je en faisant semblant de scruter le dit tableau en prenant un air perplexe et en me reculant même de quelques pas.
Je rajoutais en me caressant le menton :
- Euh, sinon, sans rire
Vous en vendez ?
La femme eu lair amusée. Un petit sourire apparu au coin de ses lèvres. Je lai mieux regardée. Elle avait une quarantaine dannée, mais les portaient bien ! Très bien même. Grande, mais ça je lai déjà dit, mince, les cheveux blonds lui tombaient sur les épaules : une belle femme, distinguée.
- Je vais vous avouer que non, ça ne marche pas fort
me dit-elle avec son sourire en coin toujours présent et manifestement ironique.
- Pas étonnant !
- Cest
Comment dire
Particulier
- Cest une façon polie de dire que cest moche, en effet
Et puis, nous sommes dans une galerie dart !
- Et ?
- Et ça ce nest pas de lart !
- Ah ? Et quelle est votre définition de lart ?
- Eh bien, lart fait passer une émotion me semble-t-il.
- Donc, lart cest des émotions pour vous ?
- En partie, oui, mais pas seulement ! Une uvre artistique est aussi réalisée par un maître. La maestria qui accompagne la réalisation fait quon passe dune peinture, ou dune sculpture, ou de ce que vous voulez à une uvre dart. En clair, seul un artiste peut réaliser de lart. Ces tableaux là, un de quatre ans, vous ou moi, auraient pu les faire. Ce nest pas de lart. Des traits et des tâches jaunes, mais pas de lart.
- Intéressant ! Mais vous êtes trempée, vous voulez une serviette pour vous sécher ? Comment vous appelez vous au fait ?
- Laetitia, Laetitia Marsac. Mais non, ne vous inquiétez pas ! Ma voiture est à 200 mètres, ça va aller ! Et cette pluie va finir par se calmer
- Ça ne me dérange pas, De toute façon, je vais fermer
- Puisque vous insister
- Mon appartement est au-dessus de la galerie. Et puis, jessaie moi-même de faire dans lartistique. Je pourrais vous montrer ce que je fais ! Ah au fait, moi, cest Sonia !
- Vous peignez Sonia ?
- Non, je fais de la photo
- Ah la photo !
- Oui ? La photo ce nest pas de lart pour vous ?
- Je nai pas dit ça ! Au contraire ! Helmut Newton, Man Ray, Robert Doisneau, Franck Capa ou Henri Cartier-Bresson, sont des artistes. Mais ça va à lencontre de mon raisonnement de tout à lheure, sur lart !
- Comment ça ?
- Je disais que lartiste seul pouvait réaliser une uvre. La photographie cest un peu particulier. Donnez quelque chose de beau à un profane, je ne sais pas, une aurore boréale par exemple, il pourra tirer une belle photo ! Ce qui fait la différence entre lartiste photographe et lamateur, cest autre chose
- Quoi ?
- Lintentionnalité ! Lartiste et son il savent ce quil cherche.
- Peut-être ! Intéressant en tout cas votre théorie Laetitia, mais montons à mon appartement.
Jétais installée dans le salon de Sonia, sur un canapé en cuir. Sonia revint avec les bras chargées dalbums photo :
- Voilà, je vais vous montrer le genre de photo que je réalise, me dit-elle en sasseyant à côté de moi et en posant les albums sur la table basse.
Elle ouvre le premier album. Des portraits noir et blanc dune jeune fille, prise sous différents angles avec diverses moues sensées évoquer plusieurs états desprits. Elle doit avoir 18 ou 19 ans. Des taches de rousseur agrémentent ses joues. Le côté juvénile de la jeune fille, pouvait être plaisant.
Moi, ce genre de choses me laisse insensible. Tout ça fait un peu toc, artificiel, désolée. Je ne vais pas le dire à Sonia, pour ne pas la vexer, mais je ne suis assez hermétique à ce genre de choses. Et ce noir et blanc, cest un peu pompeux !
Les clichés suivants sont pris au niveau du buste. Dun seul coup, la couleur sinvite. On a affaire à une rousse ! Comme semblait lindiquer les tâches de rousseur.
La jeune fille est seins nus et présente une jolie petite poitrine arrogante. Ses seins sont comme deux petites pommes posées sur son torse. Deux tétons dressés et bruns au milieu de deux belles auréoles agrémentent cette jolie poitrine. Ça devient excitant ! Cette paire de seins est un appel à la débauche !
Les clichés suivants présentent la modèle complètement nue, de pied en cap. La belle est sur un fauteuil en osier (bonjour le cliché !). Toujours topless, elle porte seulement un short en jean. Le dit short est largement ouvert et la braguette baissée laisse apparaitre une culotte blanche. Très Gainsbarre. Je me remémore les paroles de « Sea, sex and Sun ». Je me revois les petits seins de bakélite de la fille qui sagitent dans la chanson.
De cliché en cliché, un doigt se glisse dans la braguette, puis une main complète.
La seconde main de la fille semble caresser son ventre sur les photos suivantes, alors que la première est maintenant entièrement glissée dans le short. Sur le cliché suivant, elle a empaumé un de ses petits seins. Enfin, elle a laissé de côté cet air dado boudeuse. Elle mord sa lèvre inférieure. Le plaisir transforme son visage. De petite chieuse, elle devient sublime créature, toujours juvénile certes, mais surtout vicieuse
Cest certain maintenant, cest la Marilou de la plus belle chanson de Gainsbourg, à mon avis, « Variation sur Marilou » sur lalbum « Lhomme à tête de chou ». A nouveau les paroles magnifiques de la chanson envahissent mon esprit :
Dans son regard absent et son iris absinthe
Tandis que Marilou s'amuse à faire des volutes de sèches au menthol
Entre deux bulles de comic strip
Tout en jouant avec le zip de ses "Levi's"
Je lis le vice et je pense à Carol Lewis
Gainsbourg est un génie. Cest un manieur de mots dexception. Chaque mot porte et touche juste. Enfin, cest mon avis.
On passe à une autre série. Là où je mattendais à voir tomber le short (et la culotte), on se retrouve avec des gros plan du visage de la jeune fille. Sa bouche légèrement ouverte marque la surprise. Quest ce qui vient de la surprendre pendant ce moment dintimité et de caresses. Ca ce nest pas dans la chanson de Gainsbourg !
Le plan suivant, plus large, montre la rouquine toujours sur son fauteuil en osier, les jambes posées sur les accoudoirs, les seins à lair, la main dans son short et le regard fixé sur une autre jeune fille qui se tient debout à côté. Tout aussi jeune (18 ou 19 ans), se tient une splendide fille africaine, seins nus aussi et portant aussi seulement un short en jean. Sa poitrine est également menue, son ventre est plat et ses longues cuisses semblent interminables.
Enfin, la rouquine a un sourire qui illumine son visage. Elle est splendide cette fois. Elle tend la main et semble attirée son amie vers elle. La jeune noire, un genou posé sur laccoudoir semble se pencher en avant vers la rouquine.
Les clichés suivant montrent leurs visages en gros plan qui se sont rapprochés. Leur lèvres se sont jointes en un baiser dabord chaste, mais qui se réchauffe de plus en plus de photo en photo. On en arrive aux derniers clichés de lalbum où les langues des deux jeunes filles sont sorties et enroulées lune autour de lautre. Puis une dernière plus large, où on voit la jeune noire toujours un genou sur laccoudoir embrassant toujours sa compagne. Sa main a remplacé celle de son amie dans le short toujours entrouvert. La rouquine quant à elle flatte la croupe de sa partenaire :
- Bien Laetitia ! On regarde lalbum suivant ou on passe aux choses sérieuses ?
- Comment ça aux choses sérieuses ?
- Ne tournons pas autour du pot, Laetitia, je vous trouve très belle et jaimerais que vous soyez mon modèle
- Moi ?
- Oui vous !
- Ecoutez Sonia, cest très gentil, mais vraiment non
- Nayez aucune inquiétude Laetitia, je ne publie pas mes photos. Cest ma collection privée. Je peux vous signer un document en ce sens.
- Cest, en effet, une de mes appréhensions, mais pas la seule ! Je nai jamais fait ça !
- On commence avec des choses légères. Nayant pas de second modèle sous la main, çà sera des clichés en solo. Et on arrête quand vous sentirez que vos limites seront atteintes.
- Certes
Mais vous semblez aimer les jeunes filles juvéniles et je nai rien de juvénile ! Je suis une trentenaire.
- Jaime, cest vrai, les jeunes filles, mais jaime aussi les femmes plus matures et vous êtes très belle Laetitia
- Merci, mais ça reste délicat pour moi
- Laissez-moi au moins prendre quelques clichés de votre joli minois, sil vous plaît.
Un appareil Nikon a surgit comme par magie entre ces mains. Elle enfonce le déclencheur après une mise au point. Les clics se succèdent. Je reste assise dans la même position les bras croisés sur ma poitrine, toujours aussi tendue.
Lil de Sonia, passe de lobjectif à lécran à larrière de lappareil pour apprécier ses prises.
- Nous allons passer dans la pièce dà côté Laetitia, me dit-elle en mentrainant vers une porte.
Nous nous retrouvons dans une pièce aux murs blancs. Je reconnais le fauteuil en osier où était assise la jeune fille rousse de tout à lheure. Il trône au milieu de la pièce. Sonia minvite à prendre place sur un sofa qui se trouve en face. Elle allume un projecteur quelle braque sur moi.
- On arrête quand vous me le direz Laetitia ! Vous ne voulez pas déboutonner un ou deux boutons de votre chemisier ?
Tremblants légèrement mes doigts ouvrent le chemisier
- Cest très bien Laetitia
Finalement, je commence à me prendre au jeu. Je suis les instructions que me donne Sonia. Jincline la tête, je fais la moue, je souris, je passe la main dans mes cheveux, dans mon décolleté, je me mets de trois-quarts
Un quart dheure et une centaine de clichés plus tard, le chemisier a été ôté, la jupe aussi. Je ne garde que mes sous-vêtements, une parure soutien-gorge, string et porte-jarretelles noire et vieux rose.
- Écartez légèrement votre soutien-gorge Laetitia
Sortez un tétons
Votre main posée sur votre cuisse, cest parfait Laetitia
Tournez-vous et dégrafez votre soutien-gorge
Bien !!!
Voilà, penchez-vous en avant et tendez vos fesses
elles sont magnifiques et parfaitement mises en valeur par votre string. Attendez, je prends un gros plan
Bien, baissez votre string maintenant
parfait, quel fessier ma chère ! Tournez-vous et rasseyez-vous sur le canapé, écartez les jambes
caressez-vous Laetitia. Non, je veux que vous vous caressiez vraiment. Je veux des gros plans de votre visage marqué par le plaisir
Bien retournez-vous et à quatre-pattes ! Caressez-vous à nouveau, tournez le visage vers moi !! Parfait, vous être superbe
Sortez légèrement la langue sur vos lèvres
Nen pouvant plus, les ondes qui envahissent mon ventre ont raison de moi
je me lâche et libère mon orgasme. Sonia sest rapproché et mitraille mon visage en gros plan pendant que je jouis.
- Cest génial Laetitia, superbe shooting ! me dit-elle pendant que je reprends mes esprits. Venez nous allons regarder ce que ça donne
Elle ouvre un ordinateur portable, glisse la carte mémoire dans la fente. Les clichés apparaissent. Sonia les mets en plein écran et les fait dérouler.
- Vous être superbe Laetitia. Un nouveau trésor pour ma collection ! Je vais les retravailler un peu, elles auront une place de choix dans mes albums
Dabord gênée, jen viens à me trouver plutôt jolie sur ces photos de moi dans des poses de plus en plus suggestives, puis complètement suggestives. Japprécie surtout les clichés en gros plan de mon visage en plein orgasme. Une réussite, Sonia a su saisir la sève de ce moment intense.
- Quand tout à lheure je parlais de lintentionnalité du photographe qui sait ce quil cherche, ces photographies en sont le parfait exemple, dis-je.
Pendant que nous regardions les photos, Sonia a posé sa main sur ma cuisse. Je mattendais à ce que cette main remonte plus haut au-delà du voile du bas et caresse ma chair. Mais non, sa main est restée juste au-dessus du genou, sans bouger.
Peut-être, attend-elle que je réagisse ? Elle a plus de 40 ans, certes, mais cest une fort jolie femme. Faire lamour avec elle ne me dérangerait pas du tout. Jallais glisser ma main sous sa robe, lorsquelle se lève et se dirige vers la fenêtre :
- La pluie a cessé, est-ce que nous sortons pour diner ?
- Euh oui, pourquoi pas
fis-je en me relevant.
Jallais ramasser mes vêtements sur le sol, lorsque Sonia marrête :
- Non, ne mettez que votre trench-coat Laetitia ! Et rien en dessous, vos bas et porte-jarretelles suffiront !
- Comment ça ?
- Jaimerais que vous sortiez nue sous votre manteau pour maccompagner, sil vous plait.
Nous sommes sorties dans la rue. La pluie avait cessé, mais les réverbères faisaient luire les trottoirs humides. Nue sous mon trench-coat, lhumidité ambiante me glaçait les os. Je grelottais. Nous étions en décembre, tout de même.
- Je suppose que vous avez froid Laetitia. Le restaurant où je vous emmène est près dici. Nous y seront dans deux minutes.
En effet, nous y sommes arrivées rapidement. Cétait un restaurant huppé et surement hors de prix. A priori, Sonia y avait ses habitudes. La serveuse nous dirigea vers une table libre au fond de la salle :
- Votre table habituelle Madame
- Merci Valentine, cest parfait
A cette heure assez tardive, il restait encore 5 ou 6 tables occupées par des clients :
- Regardez cette femme là-bas. Elle est belle. Lair un peu coincée certes, un peu trop bourgeoise, mais je prendrais bien quelque clichés delle. Nue bien sûr ! Vous croyez que cest son mari ou un amant en face delle ?
- Je ne sais pas, son mari, je suppose, dis-je en observant le couple.
- On sen fiche finalement
Ah merci Valentine, dit-elle à lintention de la serveuse qui venait de nous apporter deux menus.
Pendant que je consultais la carte, Sonia me dit :
- Laetitia, remontez un peu votre manteau sous la table et écartez les cuisses.
Elle sortit un appareil photo miniature de son sac à main, le glissa sous la table. Jentendis le bruit de lobturateur. Elle prit une série de clichés sous la table. Puis, elle fit défiler les photos sur le petit écran à larrière de lappareil :
- Pas trop mal pour des photos au jugé !! Sombres bien sûr, mais bon, pas le choix hein ? Il y en a deux ou trois à garder tout de même.
Nous avons commandé, puis Sonia reprit la parole :
- Vous allez descendre aux toilettes là-bas. Vous mattendez dans les toilettes pour dames devant le lavabo. Jarrive dans deux minutes.
Jétais prête à entrer dans un autre des fantasmes de Sonia. En ayant à peine hésité, jai descendu les marches et je suis entrée dans les toilettes pour dames. Il ny avait personne. Rapidement, jai entendu le bruit des talons de Sonia dans lescalier derrière la porte. Elle est entrée, son appareil photo à la main :
- Enlevez votre manteau Laetitia !
- Ici ? Mais, quelquun peut entrer !
- Cest justement ça qui donne du sel à laffaire !! Allez-y sil vous plait !
Je me suis laissé convaincre. Je me suis retrouvée nue, enfin avec mon porte-jarretelles et mes talons hauts devant les lavabos, un peu anxieuse tout de même, mais une part de moi était excitée.
- Bien, tournez-vous vers le miroir, penchez-vous en avant, posez les mains sur le bord du lavabo. Voilà !! Retournez-vous face à moi maintenant Appuyez vos fesses sur le lavabo. Ecartez les jambes, voilà ... Caressez-vous, une main entre les cuisses et lautre sur un de vos seins. Très bien Laetitia ! Vous allez vous mettre à quatre pattes sur le carrelage devant le lavabo maintenant !
- Vous êtes certaine là ??
- Mais oui, bien sûr, allez-y ! Passez une main entre vos cuisses et caressez-vous à nouveau
bien relevez-vous Laetitia. Ouvrez la porte de la cabine des WC, arrêtez que je vous prenne en train douvrir cette porte. Asseyez-vous sur la cuvette, écartez les cuisses et masturbez-vous. Parfait, instinctivement, vous avez pris un air salace. Cest excellent. Mettez vos doigts dans votre vagin maintenant. Avec cet appareil, les gros plans manqueront de qualité et de netteté. Jen prends quelques-uns tout de même ! Parfait, relevez-vous Laetitia, voilà, appuyez votre dos contre la paroi. Un pied posé sur la cuvette, les cuisses écartées ! Masturbez-vous
Essayez de retrouver lair de vicieuse que vous aviez tout à lheure
Cest pas mal !! Bien, on va retourner à table, avant quils namènent nos plats !! Non, non, laissez votre manteau pour le moment. Avant de remonter, on fait une dernière série. Venez
Nous sortons des toilettes et des lavabos. Nayez crainte, nous allons faire vite. Je nai pas non plus envie dêtre surprise dans cette situation, dans ce restaurant où je suis connue. Ecartez-vous de la porte que je puisse avoir linscription « Toilettes pour dames » et vous nue à côté. Posez votre main sur la poignée, comme si vous refermiez la porte. Parfait. Une dernière photo et vous pourrez passer votre manteau. Montez les premières marches de lescalier comme si vous partiez, je vous prends de dos.
Nue dans lescalier, je commençais vraiment à paniquer. Jentendais distinctement les bruits de la salle, quelques mètres au-dessus. Jétais bien sur cachée, lescalier faisant un virage, mais tout de même
- Arrêtez-vous Laetitia, un pied sur une marche, lautre sur celle du dessus, la main sur la rampe
Très bien. Tournez la tête vers moi ! Reprenez votre air salace. Bien remettez votre manteau, cette fois, on y retourne.
Nous sommes retournées à table. En passant devant la table, mon regard a croisé celui de la femme BCBG de tout à lheure. Nos plats sont arrivés peu après.
Jai revu régulièrement Sonia après cette soirée. Jamais nous navons fait lamour. Je savais que lorsquelle me donnait rendez-vous, je devais être nue sous mon manteau. Mes porte-jarretelles, des bas noirs à couture et des talons hauts sont les seuls attributs quelle souhaitait me voir porter.
Il y a eu cette fois, où nous sommes allées au cinéma. Elle a enlevé mon manteau dès que la lumière sest éteinte. Je me suis donc retrouvée entièrement nue sur mon siège pendant tout le film. Cétait une salle dart et dessai, le public était assez clairsemé, mais tout de même
Finalement, la situation ma émoustillée. Sonia ma dit au creux de loreille :
- Caressez-vous Laetitia
Au comble de lexcitation, mon corps a été balayé par la lampe de poche de louvreuse qui guidait un client retardataire :
- Je ne peux pas immortaliser cette scène du fait de lobscurité, mais jimagine bien les clichés que jaurais pu saisir. Faites-vous jouir Laetitia
Pour la première fois, Sonia a posé sa main sur un de mes seins, sur mon ventre, sur ma cuisse, puis sur mon avant-bras pour sentir le rythme de ma main qui sactivait entre mes jambes. Je compris quà défaut de voir et de photographier, elle souhaitait remplacer lil de la photographe par le touché. Elle voulait ressentir ou imaginer au lieu dimmortaliser. Ses doigts ont exploré mon visage, ma joue, ont fait le tour de mes lèvres entrouvertes afin de sentir ma respiration qui saccélérait. Jai mordillé son doigt lorsque le plaisir a commencé à irradier mon ventre, afin de mempêcher de gémir. Jai tout de même laissé échapper un petit « oohhh » discret :
- Regardons ce film maintenant Laetitia !
Il y a eu aussi cette balade en forêt, où au fur et à mesure de notre marche Sonia a ouvert mon manteau dévoilant mon corps nu en dessous. Je me souviens très bien de lair ébahi des quelques marcheurs et randonneurs que nous avons croisé. Puis, nous nous sommes éloignés du chemin pour gagner une clairière. Elle a ôté mon manteau, jétais nue, ne gardant, une fois de plus que mes porte-jarretelles et mes escarpins à talons hauts, situation un peu incongrue au milieu de cette forêt.
Elle a pris son appareil et ma mitraillée, debout contre un arbre, accroupie, à genoux, à quatre pattes dans les fougères. Puis elle ma demandé de me caresser jusquà lorgasme. Elle a notamment pris une série de clichés en gros plan dun de mes tétons érigé et durci par lexcitation. Se rapprochant de moi, elle a pu saisir la chair de poule apparue sur mon ventre, preuve de mon excitation.
Nous avons aussi fréquenté une usine désaffectée, où en plus des immuables porte-jarretelles, bas noirs et talons hauts, Sonia a sorti de son sac un accessoire supplémentaire, une paire de menottes. Elle ma attaché les poignets dans le dos et ma photographiée à genoux près dun établi mal en point, accroupie sur un tas de gravats, allongée sur le côté à même le sol, au milieu de quelques détritus divers, puis sur le ventre, les mollets relevés. Enfin, elle a libéré mon poignet gauche et ma demandé de me caresser, les menottes pendantes au poignet droit.
La dernière fois que je me suis rendue chez Sonia, nue sous mon manteau, comme le voulait notre scénario, Sonia ma fait cette annonce :
- Très chère Laetitia, nous allons faire aujourdhui notre dernier shooting. Je quitte Paris dans une semaine. Je quitte la France même. Je vais minstaller à New York. Jai une opportunité là-bas. Sachez que jai beaucoup apprécié de vous avoir comme modèle. Je vous donnerai une clé USB avec tous les clichés que jai pris de vous après y avoir ajouté ceux que je vais prendre aujourdhui. Nous y allons ?
Sonia a enlevé mon manteau et ma prise par la main pour memmener dans son studio :
- Asseyez-vous sur le sofa pendant que je prépare le projecteur.
La lumière ma éblouie et pendant que jessayais dadapter ma vue à cette lumière crue, jentends le bruit du déclencheur. Sonia prenait des clichés de moi assise sur le sofa :
- Écartez légèrement les cuisses Laetitia, voilà parfait
Bien, pour ce dernier shooting, jai une surprise pour vous Laetitia. Jai demandé à Cassandra de poser avec vous. Cassandra ma chérie, tu viens ?
Une jeune fille est entrée dans la pièce. Petite, mince, presque menue, des cheveux bruns et longs, la peau pâle, elle sest dirigée vers le milieu de la pièce. Elle était nue à lexception dun short en jean très moulant, semblable à celui que portait la petite rouquine sur la série de photos que mavait montré Sonia. Elle avait également aux pieds une paire de tennis blanches.
Cassandra était très jeune. Elle navait quasiment pas de poitrine, juste deux toutes petites bosses et des auréoles foncées avec deux tétons qui semblaient démesurées par rapport à la taille de sa poitrine. Les termes de juvénile ou nubile lui allaient parfaitement. Jécarquillais les yeux en la regardant :
- Nayez aucune crainte Laetitia. Cassandra parait avoir 15 ou 16 ans, mais elle en a en réalité 19. Nest-ce pas ma Chérie ?
- En effet, fit Cassandra dune voix fluette.
- Cassandra est mon amante et même plus, puisque elle est ma compagne. Elle est aussi mon modèle. Comme nous partons Cassandra et moi et que nous naurons plus la possibilité de vous retrouver avant longtemps Laetitia, jai voulu pour ce dernier shooting rassembler mes deux modèles préférés.
Sonia, bien plus grande que Cassandra se pencha vers elle pour déposer un baiser sur ses lèvres :
- Ma chérie, va te mettre devant Laetitia, oui !! Voilà, tiens-toi droite. Laetitia restez assise
Cassandra était devant moi. Jétais un peu abasourdie. Ce nétait pas la première fois que javais à faire avec une jeune fille. Il y avait eu Léa*, la fille de la fleuriste, mon étudiante en droit asiatique** et aussi Bérengère*** à Dinard avec qui javais fait un trio avec Carole Lombard dans un hôtel de charme. Ces trois-là étaient jeunes, certes à peu près du même âge que Cassandra qui en avait 19, mais cette dernière ressemblait à une gamine. Je limaginais mal en couple avec Sonia qui avait dépassé les 45 ans. Et pourtant
Jétais complètement déstabilisée.
- Bien ! Première pose Laetitia, restez assise sur le sofa. Prenez ce magazine. Cest une revue pornographique uniquement avec des femmes entre elles. Laetitia, ne prenez pas cet air figé !!! Essayez de paraitre naturel. Excitée plutôt, Voilà, tournez une page. Je fais un gros plan de votre main qui tient le coin dune page. On voit distinctement une photo de deux filles en 69. Cest parfait. Cassandra ma Chérie, tu entre en scène. Présente-toi devant Laetitia. Tu lui retire le magazine, tu le laisse tomber sur le sol. Pose ta main sur lépaule de Laetitia maintenant. Voilà
Enlève ta main maintenant Chérie
Laetitia posez votre main sur la hanche de Cassandra
Sur ses fesses maintenant
Voilà caressez les Laetitia. Bien ! Caressez-lui le ventre maintenant. Chérie, pose un genou sur le sofa près de Laetitia, reste bien droite. Ne bougez pas Laetitia, caressez lui encore les fesses. Très bien ! Avec les deux mains maintenant Laetitia
Voilà. Bien, déboutonnez son short maintenant. Cassandra, mon petit chat ? Tu as enlevé ta culotte, comme je te lai demandé, tu nas rien sous ton short ?
- Non Chérie, plus de culotte.
- Bien Laetitia, glissez votre main dans son short. Voilà bien dedans ! Je sais quil est serré mais allez-y. Voilà caressez là
Non Laetitia caressez là franchement, allez-y
Bien Cassandra, mon chat, je vais faire quelques clichés en gros plan de ton visage. Sois expressive. Parfait, Ouvre légèrement la bouche. Voilà, laisse toi aller Chérie. Je sais que les caresses de Laetitia te font du bien ! Laisse ton visage lexprimer. Voilà
A votre tour Laetitia, je vais prendre en gros plan votre visage. Levez les yeux vers le visage de Cassandra. Ecartez légèrement les lèvres aussi. Bien
Très bien, enlevez-lui son short maintenant. Bien, on fait une petite pause avant de continuer. Vous voulez vous désaltérer ?
Cassandra était nue devant moi. Son pubis était glabre et lisse, comme je lavais senti tout à lheure, quand ma main était glissée dans son short et la caressait. Javais aussi constaté que je ne la laissais pas indifférente, vu mes doigts luisant de cyprine, lorsque je les avais sortis du short.
- Bien, on reprend ? Mettez-vous lune en face de lautre, debout. Laetitia avec vos talons, vous êtes plus grande que Cassandra. Ça ira quand même. Bien, serrez-vous lune contre lautre. Cassandra mets tes deux mains sur les fesses de Laetitia. Voilà, presse les bien. Laetitia, posez vos bras autour du cou de Cassandra. Rapprochez vos visages lun de lautre. Quand vos bouches seront à quelques centimètres lune de lautre, vous vous arrêterez que je puisse faire quelques gros plans. Voilà
. Stop ! Parfait ! Embrassez-vous maintenant, collez bien vos bouches lune contre lautre. Voilà
Sortez vos langues maintenant. Tournez les doucement que je fasse quelques plans rapprochés. Bien
Ma chérie, glisse une main sur la cuisse de Laetitia et passe là sous la jarretelle. Laetitia pliez et levez la jambe jusquau niveau de la hanche de Cassandra. Narrêtez pas de vous embrasser
Parfait. Cest bon, vous pouvez vous écarter lune de lautre.
Cassandra, tu tagenouille devant Laetitia. Voilà, tu raccroche son bas qui est défait à sa jarretelle. Laetitia, avancez légèrement votre jambe gauche, pliez un peu le genou. Stop. Voilà levez le talon, tenez votre jambe sur la pointe du pied. Cassandra, on voit que tu nas pas lhabitude des porte-jarretelles. Il faudra que je ten achète ma Chérie. Enfin, tu as réussi à raccrocher le bas. Bon maintenant pose ta bouche sur la cuisse de Laetitia. Voilà sur la jarretelle. Remonte en sortant la langue, redescends, voilà
Maintenant lèche sa cuisse, voilà, la peau juste au-dessus du bas. Parfait. Tiens sa cuisse à deux mains. Laetitia, posez votre pied sur la cuisse de Cassandra, voilà pliez
Ma Chérie, remets ta bouche sur sa cuisse. Lèche en descendant jusquau genou. Laetitia, posez une main sur la tête de Cassandra. Comme si vous la guidiez. Voilà !! Cassandra descends sur le galbe du mollet toujours la langue sortie. Avec tes deux mains, tu caresse le cuir de lescarpin de Laetitia. Voilà, le talon aiguille aussi. Je prends des gros plans. Parfait, remonte sur sa cuisse toujours la langue sortie. Maintenant, tu técartes légèrement et tu glisses ta main entre les jambes de Laetitia.
Voilà, masturbe là. Parfait, avec deux doigts. Laetitia, je vais prendre quelques clichés de votre visage. Ne changez rien, vous êtes très expressive. Ma chérie, je crois que tu fais du bien à Laetitia.
Bien, stop, vous pouvez vous séparer. On fait un dernier plan dans cette pièce et on passe dans la chambre, on va continuer sur le lit. Mettez-vous lune à côté de lautre. Tenez-vous par la main. Marchez vers la porte, doucement, comme si vous quittiez la pièce. Voilà, je prends quelques clichés de vous de dos. Très bien. On recommence, mais cette fois, vous posez chacune une main sur les fesses de lautre. Comme ça, marchez, je vous prends de dos encore. Voilà comme si vous marchiez en vous caressant les fesses. Voilà, jusquà la porte.
Parfait ! On va dans la chambre maintenant ?
Cétait la première fois que jentrais dans la chambre de Sonia. Comme le reste de lappartement, il était décoré avec goût. Des meubles design, quelques beaux objets et uvres dart se mêlaient. Sur le mur en face du lit était accroché une photo encadrée du visage de Cassandra en noir et blanc. Surement que cétait Sonia qui lavait prise.
- Cassandra, ma chérie, tu tallonge sur le lit ? Sur le dos, voilà. Laetitia, vous vous couchez sur elle ? Voilà, embrassez-vous
Comme tout à lheure, sortez bien vos langues. Bien ! Cassandra, écarte et replie tes cuisses
croise les dans le dos de Laetitia. Narrêtez pas de vous embrasser. Ecartez légèrement vos bouches lune de lautre maintenant. Gardez votre langue légèrement sortie Laetitia. Stop. Très bien. Ecartez ses cheveux et léchez lui le lobe de loreille maintenant Laetitia. Voilà, descendez dans le cou. Toujours en léchant. Excellent. Descendez vers les seins Laetitia. Elle na pas de poitrine, mais elle a de gros tétons, très érectiles !! Surtout là, elle est excitée, ils sont tout durs. Gobez en un, sucez le. Caressez lautre de la main. Passez votre langue autour maintenant. Attendez, je prends un gros plan. Sortez bien votre langue Laetitia. Encore plus sortie ! Oui voilà. Posez le bout de votre langue sur le bout du téton. Arrêtez ! Restez comme ça. Je vais faire un très gros plan. Ne bougez pas. Evitons le flou. Voilà, quelques photos de ton visage Cassandra. Parfait. Maintenant, un gros plan de vos doigts Laetitia. Pincez un téton entre votre pouce et votre index. Oui, comme ça. On ne bouge plus. Je fais un gros plan. Parfait. Quand je vous le dirai Laetitia, vous pincerez le téton. Fort. Nhésitez pas. Je vais prendre le visage de Cassandra. Allez-y franchement, la douleur devra se voir sur ses traits. Attention ! Allez-y Laetitia, pincez
Fort
Très bien Cassandra, cétait parfait ! Tourne la tête sur le côté ma chérie. Pincez à nouveau Laetitia. Maintenant, tu sers loreiller entre tes doigts ma Chérie. Voilà, comme si tu étais bien crispée. Pincez Laetitia. Sers fort loreiller Cassandra. Cest bien.
On continue ! Descendez dun cran encore Laetitia. Léchez lui le ventre, le nombril. Cassandra, mets lui les mains dans les cheveux. Voilà, comme si tu voulais faire descendre sa tête entre tes jambes. Ecarte bien les cuisses ma Chérie. Replie les genoux, remonte tes jambes. Laetitia, positionnez-vous entre ses jambes. Léchez le clitoris, voilà, du bout de la langue. Gobez les lèvres maintenant. Relevez votre visage. Caressez ses lèvres du bout dun doigt. Oui avec le majeur. Bien maintenant Laetitia, vous avez carte blanche. Faites lui un cunnilingus. Je pense que vous savez faire. Donnez-lui du plaisir. Je vais prendre des clichés densemble et quelques-uns du visage de Cassandra. Pensez à bien sortir votre langue Laetitia, pour les gros plans. Stop on arrête. Laetitia, vous savez vous y prendre. Vous allez faire jouir Cassandra. Cest trop tôt. Je veux garder lorgasme pour tout à lheure. On change de position. Séparez-vous. Laetitia mettez-vous à quatre pattes sur le lit, Ecartez bien les cuisses, baissez le bassin. Appuyez-vous sur vos coudes, baissez la tête vers le bas. Voilà parfait, je prends quelques clichés. Très bien, cambrez-vous encore un peu plus. Levez bien les fesses. Superbe. Cassandra, mets-toi derrière elle. Prends ses fesses à deux mains. Lèche lui le sexe
Voilà, comme si cétait un ice-cream. Très bien, la langue bien sortie. Remonte entre ses fesses. Voilà, pointe bien ta langue sur son anus. Lèche maintenant. La langue bien à plat dessus. Laetitia, relevez la tête. Toujours appuyée sur vos coudes et vos avant-bras. On ne bouge plus. Une photo densemble
Gros plan sur le visage de Laetitia. Je reviens sur toi Cassandra. Embrasse ses fesses. Bien. Reviens sur son sexe. Passe ta langue dessus. Toujours un ice-cream. Mets un doigt, enfonce-le. Masturbe-la comme ça. Oui voilà, belle expression du visage Laetitia !!! Spontané. Mordillez votre lèvre inférieure avec vos dents. Parfait. Cassandra, mets lui une claque sur les fesses. Très bien ! Une autre
plus forte. Je veux voir les réactions sur son visage. Bien !! Encore une
Laetitia, tournez la tête vers Cassandra. Oui, comme si vous lui disiez de continuer. Voilà, mordillez nouveau votre lèvre inférieure. Cassandra, une nouvelle claque, sil te plaît. Lève bien la main !! Ne bouge plus
je reviens sur le visage de Laetitia. Vas-y !! Claque
Je prends un gros plan de la marque de tes doigts sur sa fesse. Bien, maintenant, enfonce tes ongles dans la chair des fesses de Laetitia. Franchement. Comme pour toi tout à lheure, je veux voir la douleur sexprimer sur le visage de Laetitia. Voilà, enfonce. Très bien ma chérie. Retourne lui lécher le sexe. Les ongles toujours enfoncés. Griffe lui le haut de la cuisse
bien !! Ca a marqué !! Il y a une belle trainée rouge. Je prends un gros plan. Bien redresse toi ma chérie. Mets-toi derrière Laetitia comme si tu la prenais en levrette. Laetitia redressez votre buste et collez votre dos sur le corps de Cassandra. Voilà bien serré Laetitia. Cassandra, écarte ses cheveux, embrasse là sur lépaule. Passe ta langue ma chérie. Mords là. Bien fort. Je veux voir la marque de tes dents dans sa chair. Cest bien
. Jai plein de gros plan de votre visage Laetitia. On voit bien les marques des dents de Cassandra sur votre épaule. Un gros plan de la morsure. Parfait !! Il y a même un peu de salive qui brille autour. Continue à la mordre Chérie. Pose tes mains sur le devant de ses cuisses. Au niveau des bas
Griffe ses cuisses !! Cest parfait !!! tu es en train de lui ruiner sa paire de bas. Remonte sur la chair du haut des cuisses. Continue de la mordiller dans le cou. Remonte tes mains sur son ventre. Griffe là des deux mains sur le ventre. Vous marquez bien Laetitia, cest parfait. Mets une claque sur un de ses seins et ensuite tu lagrippe sans ménagement. Sers bien !! Pince lui un téton, comme elle te la fait tout à lheure. Cest bien !! Fort !!! Continue de la mordre Passe ton autre main entre ses cuisses ma Chérie. Oui voilà caresse la !! Laetitia, je suis sur votre visage ? Laissez exprimer la douleur. Douleur et plaisir en même temps. Votre tête en arrière
posée sur lépaule de Cassandra. Cassandra, sers à nouveau son téton. Griffe son sein, masturbe là toujours. Voilà, continue de la mordre. Parfait !! On arrête là. Désolée Laetitia, vous êtes marquée de partout. Votre peau est sensible ! Vous allez avoir de belles griffures sur le corps pendant quelques jours
Désolée encore. Bien revenons au plaisir pur
Mettez-vous en 69. Laetitia par-dessus. Voilà, léchez-vous. Narrêtez pas
je vais faire le tour du lit, afin de prendre des vues densemble sous différents angles. Pensez à bien sortir vos langues pour les gros plans aussi. Par contre, préservez votre orgasme pour tout à lheure
Si vous sentez que ça vient, faites arrêter lautre. Cassandra, écarte un peu plus les cuisses. Pose tes mains sur les fesses de Laetitia. Bon, on arrête. Dernière position ! En ciseaux, allongée sur le flanc, lune face à lautre. Voilà, frottez vos sexes lun contre lautre. Bien serré ! Allez y jusquà lorgasme. Par contre, regardez-vous dans les yeux. Oui Cassandra, pince-toi un téton. Par contre, au moment de lorgasme, signalez le moi avant. Je veux des gros plans de votre plaisir à toutes les deux. Depuis le temps que vous vous excitez mutuellement, ça ne va pas tarder je suppose. Par contre essayez de ne pas partir en même temps. Je sais que ça ne se commande pas, mais bon
voilà frottez-vous
- Je vais venir
- Laetitia je me focalise sur votre visage, allez y lâchez-vous
Très bien. Je crois que votre orgasme est manifeste sur les photos !! Cassandra, tu y es ?
- Presque
Ça vient
Jy suis
- Lâche toi ma chérie, je suis prête
Excellent !!! Une dernière série en train de vous embrasser à nouveau
Des baisers tendres cette fois, post-orgasme. Du bout des lèvres. Serrez-vous lune contre lautre. Voilà. On arrête là !!! Merci Laetitia, merci ma Chérie, je crois que jai de beaux clichés.
Nous nous sommes séparées avec Cassandra. Sonia sest approchée delle et la embrassée sur les lèvres :
- Vas passer un peignoir ma chérie.
Elle lui a donné une petite claque sur la fesse. Jai suivi du regard Cassandra de dos, quitter la pièce. Mon regard sest attardé sur sa silhouette filiforme et sur ses petites fesses, puis sur la quasi absence de poitrine, quand elle sest retourné avant de passer la porte en disant « A tout de suite ».
Sonia ma entraînée vers son bureau, sassit devant son ordinateur, minvita à approcher une chaise près delle. Elle glissa la carte de son appareil photo dans la fente prévue sur lordinateur et se mit à transférer les photos. Un fois le transfert terminé, Sonia ouvrit quelques photos et les fit défiler à lécran. Cassandra nous avait rejointes, en peignoir. Elle sassit sur le bras du fauteuil de Sonia. Celle-ci posa sa main sur sa cuisse.
- Vous êtes magnifiques toutes les deux
Laetitia, je vous copie toutes les photos que jai prise de vous sur une clé, comme promis. Je supprimerai les fichiers ensuite. Je ne garde que la série daujourdhui avec Cassandra.
- Merci Sonia.
- Demain, nous partons avec Cassandra pour New York. Si vous passez par-là, rendez-nous visite Laetitia. Nous vous reverrons avec plaisir. Nest-ce pas ma Chérie ?
- Oui, oui, merci pour ce moment Laetitia, jai bien apprécié, me dit Cassandra de sa voix fluette.
- Nous avons passé de bons moments ensemble, nest-ce pas Laetitia ? Vous avez été un modèle à la hauteur. Cest facile avec vous. Déjà vous êtes très belle, de plus, vous êtes photogénique. Ce qui nest pas donné à tout le monde. Une dernière coupe de champagne ?
Jai quitté ce couple atypique. Je suis rentrée chez moi toujours nue sous mon manteau. Jai tout de même passé une robe que javais laissée dans ma voiture. Jai passé ma main sur mon épaule. Les traces de morsures avaient disparues. Jai aussi enlevé mes bas qui étaient dans un triste état, complètement filés. Cassandra y était allée franchement. Dans lobscurité, je nai pas pu voir les griffures qui devaient marquer mon corps à plusieurs endroits. Surement que je devais avoir aussi quelques bleus. Javais pris énormément de plaisir à réaliser ces petits jeux érotiques immortalisés.
Je nai pas revu ce couple hors-normes. Je ne suis pas allée à New York depuis cette aventure. Pas de nouvelles de leur part non plus
Peut-être serait-il temps que je prévois un séjour là-bas un de ces jours. Ça sera peut-être lobjet dune autre aventure de Laetitia Marsac
A suivre donc, ou pas !
*Lire « Les chiens ne font pas des chats »
** Lire « Létudiante en droit »
*** Lire « Escapade à Dinard »
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