Enfin Le Prep (7)
La vraie Communauté et la négociation
Javais pas mal sacrifié ma vie pour la famille, pour dissimuler la « honte », acceptant un mariage avec une femme magnifique, que jaimais vraiment, en sachant que je nétais pas apte à lui donner ce quelle pouvait attendre dun vrai mari.
Mais bon
Cétait lépoque et il fallait préserver les apparences, quitte à faire deux malheureux, un homme insatisfait et une femme inassouvie
!!! Mais bon
Peu importe, jai eu la chance davoir un fils, et malgré un divorce hyper conflictuel, nous sommes toujours restés très proches lui et moi. Il connait ma vie, il lapprouve totalement, sans que je lui avoue toutefois, mes rares excès.
Dans ce cas-là, cétait différent, javais trop envie de vivre à fond, denfin pouvoir en profiter. Mon fils navait pas besoin de savoir que jétais la femelle de plusieurs mecs, et sil le fallait, je lui présenterais Walid, seul bien sûr
Mais ça le sécurisait que je sois stable avec un avec un homme , le reste ne le concernait pas vraiment.
Tout se mettait en place facilement, aussi bien notre vie quotidienne que nos besoins sexuels, tous savaient que jétais toujours prêt pour moccuper deux, et ce, dans tous les domaines. Walid et Younes étant les plus assidus dans mon lit, je ne voulais pas quand même négliger les autres, vivant des soirées torrides entre nous.
Je me rendais régulièrement dans la boutique de lafricain pour mapprovisionner de ses pommades magiques, en lui donnant mon cul à chaque fois pour notre plus grand plaisir, pour motif de tester mon élasticité, bien évidemment et que je conservais.
Ma formation en FLE se déroulait parfaitement, avec dexcellents résultats, grâce à laide de mes hommes en arabe, je lavoue. La plupart de mes profs étaient assez étonnés de mes progrès dans la langue
Si Il savaient comme jétais doué avec ma langue
!!!
Toujours aussi tenace, mais patient, jai rappelé « Monsieur Martin » quelques semaines plus tard, fort des soutiens de ma banque concernant le financement de mon projet dacquisition ainsi que pour les travaux que je voulais effec dans la foulée.
Le rendez-vous a été pris, pour envisager cette éventuelle transaction et ses modalités. Nous nous somme revus dans un bar, de son réseau évidement, pour en reparler.
« Bonjour Monsieur
Martin
Si je peux dire
Content de vous revoir
Alors, vous avez réfléchi ? »
« Pourquoi voulez-vous acquérir cet immeuble ? »
« Nous ne sommes pas là pour parler de mes motivations, mais des modalités. »
« Jen veux Tant
»
Me proposant une somme représentant le triple du prix réel, et bien moins encore, au vu de son état et de lusage quil en faisait. Ça pouvait ne plus rien valoir si un arrêté de Péril était prononcé, ce qui était en instance, javais assez de connaissances pour avoir commencé à mettre la procédure en uvre.
« Une telle somme pour un immeuble en cours de menace dArrêté de Péril, vous plaisantez, cher Monsieur
»
« Comment vous savez ça ? »
« Jai mes sources. Pour linstant, ça ne concerne que ce bâtiment, mais si les autorités ont connaissances des autres, dont jai liste, ça risque de vous faire mal
très mal
»
« OK, vous voulez quoi ? »
« Limmeuble à un prix dérisoire, que je vous paierais bien sûr, avec en prime, je vous donne la liste confidentielle que je possède de vos locaux de marchand de sommeil. A vous de réfléchir
Vous navez pas beaucoup de temps, lArrêté de Péril est proche » Et je suis parti, lui tournant le dos en le laissant mariner.
Deux jours après, jétais en cours et jai vu 2 SMS de sa part. Il voulait me voir au plus vite avec sa proposition. Un prix vraiment hyper bas auquel je ne mattendais même pas, justifié légalement par son notaire par la vétusté du bâtiment. Du coup, javais la somme à dispo et jai demandé un chèque certifié à ma banque pour concrétiser la transaction, le reste de mes possibilités accordées serait utilisé pour les travaux.
Rendez-vous pris, transaction entièrement régularisée, parts de la SCI transférées, et je lui ai confié, comme convenu, tous les documents originaux en ma possession en lui conseillant toutefois la prudence.
Quelques jours après, Walid a reçu une lettre recommandée le matin, linformant du changement de propriétaire et de prendre contact avec le nouveau, même si la SCI restait la même, pour les modalités. Il a constaté, avec stupeur que cétait moi le nouveau gérant
!!! Il est resté ébahi, sans trouver le moindre mot, et jai pris la parole.
« Dabord, tu vas me dire la vérité
Vous payez au black, on va dire, 3 fois le loyer officiel, cest ça ? »
« Oui Marc, mais on avait pas vraiment le choix
!!! »
« Alors, figure-toi, que je connais très bien le fameux Monsieur Martin, on va dire, et javais les preuves de toutes ses magouilles grâce à mon ancien boulot, ce genre de pratiques me dégoûtent et me révoltent. »
« Et alors ? »
« En faisant un peu de rangement, sans chercher quoique ce soit, par hasard, je suis tombé sur ton bail et jai vu le nom du propriétaire, ou du moins de la SCI qui le représente. »
« Mais tu as fait comment pour le forcer à te le vendre ? »
« Cest une ordure Walid, un sordide marchand de sommeil sans scrupule dont javais conservé toutes les preuves. Super facile de lobliger à me céder limmeuble pour une bouchée de pain, il navait guère le choix, de toute façon. »
« Bien, et on va faire quoi maintenant ? »
« Je veux que personne le sache, tu vas juste dire aux autres que, mettons, suite à un contrôle, il ny aura plus de black à payer, que limmeuble a été vendu à un autre propriétaire et que des travaux de restauration vont commencer. »
« Parce que tu veux tout rénover ? »
« Bien sûr
Je nai pas un budget énorme pour ça, mais avec laide de tous, on peut y arriver, non ? La plupart dentre vous sont super compétents dans le bâtiment. »
« Mais, pourquoi tu fais ça ? »
« Tout simplement parce que je veux continuer à vivre avec vous, mais dans des conditions décentes.
Il est resté silencieux et ma porté jusquà notre chambre. Jai eu le Grand Walid, au summum de sa tendresse de sa sensualité et de sa puissance de mâle. Heureusement que lAfricain avait renouvelé mon stock récemment, parce quil ma défoncé complètement et dès quil a entendu Younes arriver, il la appelé pour nous rejoindre. Javais les deux plus grosses bites de notre communauté qui prenaient tour à tour possession de moi, tentant même une double que je nai pas pu supporter vu leurs engins.
« Tu restes te reposer
Ce soir, je réunis tous les autres en ta présence, pour les informer, sans leur révéler, bien sûr, que tu es à la tête de tout ça. »
Je me suis endormi, fourbu, brisé, chatte dévastée, un vrai gouffre, débordant de leur semence que jai voulu garder en moi, me tartinant de cette crème réparatrice et revêtant une épaisse protection sous mon boxer pour absorber les fuites certaines.
Je me suis réveillé vers 19 heures, entendant du bruit dans la cuisine où ils étaient tous là, saffairant à la confection dun super repas algérien, comme jaimais tant, et que Walid leur avait demandé. Je me suis approché, un peu chancelant après tant dassauts, et il ma renvoyé à la chambre, massurant de venir me chercher quand tout serait prêt.
Semi comateux, cest son odeur de mâle puissance dix, qui ma sorti de ma léthargie pour maccompagner. La pommade avait fait son effet, vulve quasi normale, mais protection pleine que jai jetée au passage, après lavoir soigneusement emballée dans une poubelle que je réservais à cet effet.
Repas savoureux dont je me suis régalé, javais effectivement bien besoin de reprendre des forces, et une fois terminé, nous avons tous rejoint le « salon » pour le thé rituel.
Walid a pris la parole devant tout le monde, expliquant le changement de propriétaire, sans le citer bien sûr et quun Arrêté de Péril était en cours.
« Marc surveillera tout ça sur le plan légal et financier, et rien ne sera fait sans son accord. On a besoin de lui pour respecter les normes et suspendre lArrêté, daccord les mecs ? »
La conversation sest déroulée en français, comme à chaque fois devant moi, même si je commençais à parler un peu arabe avec Walid, pour me former. Ils ont tous été enthousiastes, tous partant pour donner le meilleur deux même, et trop contents de la fin du « racket » quils subissaient. En fait, ils étaient hyper sains et droits, ne dealant pas, refusant de plonger dans des combines que certains autres arabes pratiquaient. Ils fuyaient tout ça, voulant vivre
simplement, sans ennuis, même si ils partageaient la même femelle
pour le plaisir de tous et pour eux, cétait nettement moins humiliant quune tournante e. Walid sest approché de mon oreille :
« Ça te convient ? Tu es content ? »
« Parfait
Mais tu sais ce dont jai envie maintenant ? »
« Non, dis-moi
!!! »
« Partager ma nuit avec Younes et toi. »
« Mais
Tu es insatiable
!!! »
« Cest ce qui vous plait, non ? »
Et jai rejoint ma chambre, avec ces deux monstres de virilité, accompagné de mon regard sur les énormes bosses entre leurs cuisses
Jallais prendre cher
. Et jen avais trop envie
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