Le Garage (7)

Marco ne peut retenir un sifflet d’admiration quand il découvre l’Aston Martin garée au fond du garage.
- Waouhhhh, c’est à qui cette merveille ?
- C’est à un copain d’Eric qui a une entreprise de construction je crois.
- Et c’est quoi son problème ?
- Rien de particulier, juste un nettoyage de fond en comble. Nous ne touchons pas à la mécanique, c’est trop sensible.
- Tu l’as essayé ?
- Oui, on a fait un tour. C’est du grand délire
- J’imagine
- Tu veux regarder en dessous ? Ca mérite le détour et ça peut te servir pour ton examen et les questions que l’on vient de voir
- Oh, oui, cool.
Marco et Sébastien vont chercher deux plateaux sur roulettes qui permettent aux mécanos de se glisser sous les châssis sans effort et sans être directement couchés sur le sol en béton.
- Tu as vu un peu la beauté du truc ?
- C’est dément. C’est aussi beau en dessous qu’au-dessus
- Il faudrait une lampe de poche, la mienne n’a plus de piles
- Ok, je vais en chercher une.
Marco s’extirpe du dessous de la voiture qui le fait rêver et va chercher une lampe dans la partie de l’atelier où est stocké le petit matériel technique.
En revenant vers la voiture son regard se pose sur le corps de Sébastien dont seuls les jambes et le bassin dépassent de l’avant profilé et rutilant de l’Aston Martin. Marco comprend tout de suite que Sébastien bande à fond tant le tissu de sa combinaison est tendu à craquer. Il s’approche, ouvre la fermeture éclair par le bas et dégage avec difficulté le sexe volumineux qui déjà le rend fou.
- MMMmmmm
Sébastien réagir positivement à cette initiative. Marco reste un peu interdit devant la colonne de chair qui se dresse au milieu du tissu bleu de la combinaison. Le gland rose vif du grand mâle apparaît entre les bords du prépuce qui commence à se dégager sous la pression de l’érection violente qui fait palpiter la verge sublime.


Marco se met à genoux et pose les lèvres sur la queue verticale, il les entrouvre et accueille sur sa langue le gland rose de la taille d’une petite orange. Le pénis de ce mec est une énormité de la nature et Marco est presque en train de s’, rien qu’avec l’extrémité renflée et si sensible de l’engin. En rêve il s’imagine l’avaler tout entier mais autant s’ tout de suite. La course de sa bouche sur la queue en feu s’arrêtera à mi-parcours. Cependant Marco est doué pour s’occuper du gland d’un mec qui l’excite et Sébastien ne tarde pas à se contorsionner de plaisir sur son plateau à roulettes. Aucun des deux mecs en rut ne s’intéresse plus à la sublime voiture.
- putain c’est bon. Oui…..ouiiiiii…..encore
Sébastien apprécie le jeu de la langue et de la main de Marco sur sa queue. Marco immobilise le sexe dans sa main gauche et fait tourner le creux de sa paume droite sur le méat de Sébastien qui ne sait plus si il doit jouir de ce plaisir à la limite de la sensation insupportable ou crier grâce.
Un jet de liquide clair et épais inonde la main du jeune technicien qui redouble d’énergie pour caresser le gland divin, violacé et dur comme la pierre.
- Nonnnnnn…..oui……oh nonnnnnn…..arrête…..nonnnnnnnn
Sébastien ne sait plus ce qu’il veut mais Marco ne sa laisse pas déconcentrer, fasciné par la puissance des contractions qu’il ressent dans le pénis en feu dont il a pris le contrôle.
Marco s’interrompt alors qu’il comprend qu’en insistant trop il pourrait amener Sébastien à l’éjaculation, prématurément pour ce qu’il a en tête.
Il se relève et se déshabille. Nike, jean, caleçon et polo sont jetés par terre dans la précipitation. Nu et la queue horizontale, Marco traverse l’atelier pour aller chercher des capotes et du gel là où il sait que les mécanos les rangent en s’assurant de ne jamais en manquer. Il trouve une boite de préservatifs XL entamée, la prend avec le flacon de gel rangé à coté dans le tiroir.
Sébastien n’a pas bougé, la queue dressée vers le ciel, brillante du lubrifiant généreusement produit pour s’éviter un feu trop intense sur le gland.

- Grrrrrr
Sébastien ne s’exprime plus que par grognements sauvages.
Marco ouvre le sachet du préservatif et le déroule avec soin sur le pénis durci. Il fait attention. La capote a beau être de grande taille, le cas est ici particulier. Le latex ne couvre que les deux tiers de la verge mais Marco n’a pas le temps de commander un modèle sur mesure pour la morphologie hallucinante de Sébastien. Marco se concentre tout autant pour enduire la verge de gel et terminer par la lubrification de son anus. Il ne lésine pas sur le produit, et s’amuse à soigneusement mouiller la fourrure de sa raie et l’entrée de sa petite chatte en feu.
Une fois prêt, Marco hésite. Il se souvient de la première fois où Sébastien l’avait pris dans ce garage et de la difficulté qu’il avait eue à recevoir son ami malgré le désir fou qui lui brulait le cerveau. Ils avaient failli abandonner. Mais le désir, trop fort, avait poussé Marco dans ses derniers retranchements et lui avait finalement permis de résister à l’assaut du monstre dans son anus envahi.
Marco espère être assez souple pour ne pas avoir mal aujourd’hui. Il avance vers Sébastien, pose ses pieds de chaque coté du corps allongé de la bête virile, pose les mains sur le capot de l’Aston et plie les genoux pour venir s’asseoir sur le gland gonflé de sang comme jamais.
Il s’arrête. Respire, ouvre mentalement son anus pour laisser le passage à la queue en folie. Le lubrifiant fait son effet. Arrivé à la couronne du gland, le diamètre interrompt la descente de Marco. Il doit reprendre son souffle, demander à son corps de se plier à son désir, obtenir de sa chatte brulante qu’elle soit plus ouverte pour recevoir le volume qui se présente. Plusieurs tentatives sont nécessaires et, dans un geste de volonté farouche, Marco avale le gland tout entier au fond de lui. Il se sent rempli, envahi par ce sexe, marié à cet homme bandant tant ce geste est pour lui le symbole parfait de l’abandon et de la complicité qui peut unir deux hommes.

- mmmmmm
Sébastien continue à exprimer son plaisir. Il ne bouge pas pour ne pas aller trop vite et risquer de blesser l’adorable petit mécano qui s’empale sur lui avec délectation.
Une ou deux minutes, immobile à apprécier la présence du gland dans son anus, et Marco reprend sa descente. Jusqu’où pourra-t-il aller aujourd’hui ? Les fois précédentes il a connu le plaisir de prendre la queue entière en lui, mais il était entrainé, tant les jours qui passaient à l’atelier se ressemblaient. Marco et Sébastien étaient les premiers arrivés et les derniers partis parce que matin et soir ils se faisaient l’amour avec rage et passion. Au fil des jours Sébastien s’enfonçait plus loin dans Marco qui ne demandait que çà et découvrait le pouvoir secret de son corps.
La queue de Sébastien est enfoncée au deux tiers dans l’anus de Marco quand les deux amants entendent une voiture se garer sur le parking de la concession. Il est trop tôt pour que ce soit les autres mécanos qui rentrent de leur pause déjeuner et l’accueil clients est fermé de 12H30 à 14H00.
On frappe au rideau métallique de l’atelier.
- Y’a quelqu’un ? Police ! …..Y’a quelqu’un ?….il faut qu’on parle à un responsable.
Les visiteurs insistent et n’ont pas l’air d’avoir l’intention de repartir.
- M…..c’est pas le moment….
Sébastien est plus que contrarié.
- faut que j’y aille
Marco comprend le message et aussi vite que possible, se dégage de l’emprise du sexe de Sébastien. Le passage du gland sur le chemin du retour est à nouveau une épreuve mais il réussit à se libérer sans se blesser.
Sébastien range tant bien que mal sa queue dans sa combinaison pendant que Marco ramasse rapidement ses affaires et va se planquer dans le vestiaire des mécanos.
Sébastien va ouvrir et se trouve nez à nez avec deux inspecteurs.
- Bonjour
- Bonjour
- Le patron est là ?
- Non il est en Espagne jusqu’à vendredi
- OK.
Et vous vous êtes responsable ?
- Oui, je suis un des deux chefs d’ateliers.
- Ok. On a besoin de vérifier si vous n’avez pas reçu en réparation un 4X4 Mercedes blanc ces jours –ci.
- Moi ça ne me dit rien mais je ne vois pas toutes les voitures. Il y a deux ateliers.
- On peut consulter le fichier clients ?
- Oui, bien sur, là on trouvera.
Sébastien fait entrer les deux inspecteurs dans l’atelier avant de leur montrer le chemin des bureaux.
- Julien, tu jettes un œil sur les ateliers pendant que je vais voir les factures ?
- OK, Enzo
Sébastien regarde les deux flics avec une impression étrange. Le premier, Julien, est un beau blond assez trapu, avec des yeux bleu clair et des traits fins. Sébastien regarde dans le col ouvert de son polo bleu marine et devine avec plaisir une toison fournie qui remonte jusqu’à la base du cou.
L’autre, Enzo, est de type méditerranéen, beau brun viril qui lui aussi doit être habillé d’une jolie fourrure. Sébastien lui indique la direction des bureaux et le laisse passer devant lui pour admirer son petit cul moulé dans un 501. Il s’imagine déjà en train d’explorer la raie broussailleuse du petit inspecteur dont le regard lui laisse penser qu’il aime le sexe et ne cherche même pas à s’en cacher. Ses yeux sont restés trop longtemps fixés sur son érection qui déforme sa combinaison pour que ce soit un hasard ou simplement de la curiosité inconsciente.
Il pense aussi quelques secondes à Marco à poil dans le vestiaire et qui va bientôt croiser le petit Julien qui entame son exploration de l’atelier. Sébastien n’est pas aussi sur des préférences de l’inspecteur pour les mecs mais il n’en n’évacue pas totalement l’éventualité…
Sébastien n’en bande que plus fort et s’en trouve presque gêné pour monter l’escalier métallique un peu raide qui mène au bureau. Il s’amuse à prendre une taille de combinaison un peu juste pour affoler les mecs de l’atelier et certains clients qui ne perdent rien de sa virilité. D’une certaine façon il émane du petit inspecteur poilu la même soif de sexe que celle qui l’anime et l’excite dès qu’un beau petit mâle passe à proximité… Décidément ce petit cul policier est tentant.
Arrivés en haut de l’escalier Sébastien repasse devant l’inspecteur pour lui indiquer le chemin vers le bureau de la comptabilité.
- Entrez inspecteur
- Merci
Sébastien retient un sourire….il y a quelques minutes, c’était à Marco qu’il disait silencieusement d’entrer…

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