Barbecue
Ma femme est retournée sur le marché du travail après plusieurs années de coupure. Le retour na pas été glorieux.
Après de nombreuses rebuffades ou essais non-concluants, elle a fini par trouver un job de secrétariat dans un garage. Après quelques mois de ce nouveau travail, elle a invité son patron à un barbecue pour le remercier.
Il est arrivé pour lapéro et il ma semblé assez cordial. La cinquantaine grisonnante, baraqué et sûr de lui.
Je supposais que cétait le cocktail idéal pour être un bon patron.
Après lui avoir servi une boisson, je me suis concentré sur les braises du barbecue. Franck a suivi ma femme Caroline dans la maison pour continuer la conversation quils venaient de commencer. Ensuite, je suis entré pour demander la viande quelle avait préparé pour le barbecue.
Caroline était penchée en avant sur la table, appuyée sur ses deux mains. Derrière elle, son patron avait son pubis plaqué contre les fesses de ma femme. Ils étaient tous les deux entièrement et correctement vêtus, et ils se sont rapidement séparés lorsque je suis entré. Franck était très décontracté, souriant, Caroline gardait les yeux baissés.
Je ne suis pas fou, et je sais ce que j'ai vu. Sans être vicieux, je les ai surveillés pendant tout le repas.
Chaque fois qu'ils seffleuraient, ou que leurs mains disparaissaient sous la table, et les regards quils échangeaient.
Deux bouteilles de vin plus tard, au moment du dessert, nous étions tous très détendus.
Mais quand le patron de Caroline s'est levé, a dégrafé son pantalon et a sorti sa bite, ça m'a vraiment dégrisé.
"Qu'est-ce que vous foutez ?" J'ai demandé.
"Je vais juste présenter mes hommages à votre charmante épouse."
Il na pas eu besoin den dire plus, dinsister, ou de la forcer en aucune manière. Elle sest inclinée vers lui et la prise en bouche. Au début, hésitante, les yeux baissés, les cheveux devant le visage, évitant mon regard, léchant timidement le gland.
Au début, Franck la regardé uvrer, puis il a posé ses deux mains sur la tête de ma femme, et il a commencé à baiser son visage, juste devant moi. Je n'ai pas fait un geste pour empêcher quoi que ce soit, j'ai juste regardé, ébahi, ne sachant rien des qualités de suceuse de Caroline.
Franck poussait profondément dans la gorge de Caroline. Elle s'étouffait de temps en temps, mais elle na rien fait pour lempêcher, ni se plaindre, encore moins lui échapper. Elle laissait son patron lui baiser la bouche, docile et stoïque, ne semblant éprouver ni plaisir ni gêne.
Il n'a pas fallu si longtemps, même si cela ma paru une éternité, avant que Franck éjacule dans la bouche de ma femme. Il grogna un peu au moment où il jouissait, en lui ordonnant de tout avaler. Ce qu'elle a fait. Elle a essuyé les commissures de ses lèvres avec ses doigts, quelle a sucé pour ne rien laisser perdre.
"Voilà, je voulais que vous le sachiez. Je naime pas le mensonge. Javais demandé à votre femme de tout vous raconter, mais elle a eu peur de votre réaction. Chaque jour, après le repas, elle a son dessert. Elle voulait tellement ce travail, nous avons conclu un accord. Elle est géniale, elle ne recule devant aucun effort."
"Parfois, lorsquun mécano mérite une récompense, elle soffre à lui. Je peux vous garantir que mes gars travaillent dix fois mieux, maintenant. Et ils sont beaucoup plus assidus. Elle a fait des progrès sensationnels en quelques semaines, vous savez ?"
Je restais silencieux, stupéfait, mais surtout avec une érection gênante.
"Je suppose que vous lignoriez. Eh bien, nous lavons baisée dans les toilettes, sur mon bureau, sur la banquette arrière dune voiture, non, de plusieurs voitures.
Caroline a acquiescé dun hochement de tête, tête basse, joues rouges, mais ses yeux brillants dexcitation, ses mamelons dardés et sa respiration rapide démentaient son attitude soumise. Franck a troussé sa courte robe pour glisser une main entre les jambes de ma femme.
"Ça mexcite de raconter tes exploits à ton mari, je vais te baiser maintenant, bébé. Tu veux que je te baises ici à table, devant lui, ou tu préfères aller dans ta chambre conjugale, sur ton lit ?"
Encore une fois, personne dautre que Franck na parlé. La parole lui appartenait, cétait le patron. Il enleva complètement son pantalon, puis il fit signe à Caroline de se lever. Elle lui obéit et se laissa déshabiller par cet homme dominateur. Il caressait chaque centimètre de peau quil découvrait.
Il massa ses seins et suça ses tétons. Passant de l'un à l'autre. Je pouvais voir l'éclat humide de sa salive scintiller sur chaque mamelon. Sa main était occupée entre ses jambes, doigtant sa chatte, la préparant à lassaut. Ma femme gardait la tête baissée, mais écarta légèrement ses jambes pour permettre un meilleur accès à Franck.
Il la fit pivoter et la positionna penchée en avant sur la table, dans la position où je lavais trouvée ce matin. Il lui a ordonné décarter ses fesses, ce qu'elle a fait. Il sest déplacé derrière elle, et je l'ai regardé frotter sa bite dans la raie de son cul.
"Approche, Emmanuel, je ne voudrais pas que tu penses que nous faisons semblant. Ça tembête si je tappelles Minou. Tu es tellement doux, tellement gentil !"
Jai acquiescé dun hochement de tête, ça ne me dérangeait pas quil mappelle Minou, cest mon surnom, tout le monde mappellait comme ça.
"Tiens, prends ma bite, Minou, et aligne-la en face du trou que tu veux que je baise."
J'avais toujours eu ce fantasme de baiser ma femme dans le cul, et je pensais que la meilleure chose à faire était de regarder Franck le faire, alors j'ai aligné sa bite sur son trou du cul. Elle n'était pas lubrifiée, alors quand il a poussé en avant, même si elle s'est un peu ouverte, il ne pouvait pas aller bien loin.
Il attrapa le pot de margarine, me le tendit en disant : "Il faudrait un peu de lubrifiant."
Jai plongé deux doigts dans la margarine et jai badigeonné son sexe. Jen ai profité pour le masturber un peu, jen avais tellement envie. Ensuite, jai renouvelé lopération avec lanus de Caroline. Quand je lui ai mis un doigt dans le cul, elle a frissonné. Vicieux et pervers, je lui ai mis deux doigts, et je lai masturbée avec. Mais elle est restée stoïque.
Puis jai saisi et placé à nouveau sa bite contre son trou du cul, et je lai regardé, avec étonnement, entrer aisément en elle. Des gémissements ont échappé à ma femme, mais pas très véhéments, juste quelques encouragements.
Dune seule poussée, il avait rentré environ le tiers de sa bite à l'intérieur de son rectum. Puis, il a commencé à la baiser, progressant avec de petits coups rapides jusquà enterrer, devant mes yeux incrédules, la totalité de sa queue.
"Jette un coup dil, Minou, elle a pris toute ma bite. Tu ignorais ses dons, hein ?"
Puis, sadressant à Caroline : "Cramponne-toi à la table, chérie, je vais te baiser, maintenant."
Sur ce, il attrapa ses hanches et commença à la baiser fort et vite. Sortant sa bite presque tout du long, puis la bourrant rudement. Ma femme laissait échapper un râle douloureux à chaque fois qu'il la baisait.
Il n'y avait plus de discours de Franck, et Caroline se doigtait la chatte à la vitesse de l'éclair. Franck lui a murmuré quelque chose à loreille, puis sest soudé au fond delle. Ses fesses se crispèrent tandis qu'il se pressait contre elle.
Il fit quelques petits coups secs en avant, en vidant ses couilles dans le cul de ma femme.
Cela a déclenché lorgasme de Caroline, elle a posé la nuque sur lépaule de son amant, ses lèvres cherchant sa bouche. Frémissante et gémissante, elle réclamait sa bouche à son amant. Lorsquil la embrassé, le regard éperdument amoureux de ma femme ma fait mal. Je lavais toujours traitée comme une princesse, et ce type qui lenculait debout, à poil, au milieu de sa cuisine, la rendait follement amoureuse.
"Bien" dit Franck. "Bonne baise. Je ne pensais pas que ça me ferait autant deffet de te baiser devant ton mari, mais toi aussi cela tas motivée. Je crois que cest la meilleure baise que nous ayons eu, nous devrons recommencer.''
Ils allèrent ensemble à la salle de bain et je restais seul à la table, encore assez confus. Quand ils sont réapparus, Caroline avait l'air un peu moins craintive, et elle a pu croiser mon regard. Elle m'a dit qu'elle m'aimait et ma charmé avec un petit sourire très sexy. Franck sest rhabillé.
"Bien, je vais devoir men aller. Ça ne me dérangerait pas de rester pour baiser encore ta femme, mais je pourrai la baiser au travail demain. Et je suis sûr que vous avez beaucoup à vous dire. Ne lépuise pas !"
Franck a pris congé et aucun mot n'a été prononcé entre ma femme et moi pendant près d'une heure. Nous nous sommes redécouverts, nous avons exploré le corps de lautre, nous avons baisé comme si nous venions de faire connaissance.
Même devant son trou du cul récemment baisé, je voulais toucher le sperme en elle et le sentir. Elle était si heureuse que je ne sois pas en colère. Nos rapports sexuels ont changé à partir de ce jour-là.
Connaissant ses capacités, et lutilisation quotidienne de ses orifices par son patron et toute léquipe pendant sa journée de travail, je pouvais me montrer plus exigeant avec ses performances chaque soir.
Nous avons convenu tous les deux quil serait profitable dinviter ses collègues de travail pour un barbecue.
Je pourrais moccuper des braises, pendant quelle les occuperait dans la cuisine.
Je mourais d'envie de la voir gérer trois bites à la fois. Bientôt ...
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