Leslie Nr58
Leslie NR58 Nouveaux récits
Rencontres insolites Cindy, suite
A dix-sept ans, javais les cheveux longs, un corps mince avec de longues jambes fines et un petit cul rebondi, avec mon physique efféminé et androgyne je faisais de leffet.
Je pense que ma mère se doutait de quelque chose, mais jamais elle naborda le sujey, ma laissant libre de faire mes expériences.
Juste après, ma mère a fait la rencontre dun homme, avec qui elle passe, chez lui, la plupart de son temps me laissant très souvent seule à la maison.
Mais parfois, son boulot lobligeait à me laisser seule en présence de son copain, je restais enfermée dans ma chambre afin de ne pas être dérangée.
Un jour après son départ je m'étais allongée pour une petite sieste sur mon lit, habillée en fille, l jupe retroussée laissait entrevoir mon string. Je navais, ce jour-là, pas fermé ma porte à clé comme à mon habitude et il me surprit lascive allongée sur mon lit. Il ne dit rien et referma la porte aussitôt.
Les jours suivants, j'échangeais avec lamant de ma mère des regards pleins de sous-entendus sexuels et il en profitait pour me caresser discrètement les fesses à travers mes jeans en passant près de moi.
Un soir alors que ma mère était au travail il ma coincé dans un recoin du couloir près de ma chambre il me caressa en me disant :
- Un jour tu verras je vais tenculer !
Puis prenant ma main, il la déposa sur son paquet et je pus constater au travers de son pantalon quil était doté dun très bel appareil génital. Cest à ce moment-là que mes envies de lui naquirent
Ce soir-là dans mon lit je pensais à son membre épais, quaprès avoir sucé, il entrait dans mon petit trou serré.
Mais le silence de la nuit fut troublé par les gémissements de ma mère dans un premier temps, puis par ses hurlements de plaisir, entrecoupés par :
- Ohhh, comme tu es gros, espèce de salaud tu ne vas pas encore menculer ? Dis ma mère.
- Mais si ma salope comme tous les soirs. Dit-il.
- Cest trop, jai encore des douleurs dhier.
- Ne tinquiète pas, tu vas thabi.
Les hurlements ont redoublé et jai imaginé ce membre entré dans le cul de ma mère, glissant son petit trou, javais envie dêtre à sa place
Puis après un long hurlement le silence est revenu
Le lendemain, ma mère étant partie tôt, la porte de ma chambre s'entrouvrit, et je lai vu, il était là nu dans lencadrement de la porte de ma chambre, la bite en érection
Jétais à cet instant, sur le ventre, allongée sur mon lit regardant la télé, ma nuisette au ras de mes fesses nues, cela ne se voyait pas au premier coup dil mais javais lanus pluggé.
Il se plaça au pied de mon lit de sorte à me présenter son membre, sans me poser de question, jouvris les lèvres et engloutis son membre au fond de ma bouche.
Il me souffla :
- Doucement, prend le temps.
Je pris le temps de lui répondre :
- Jen avais tellement envie.
Je lai sucé un long moment, puis se penchant vers mes fesses il saperçut que jétais pluggé, alors me retournant sur le dos, il mattira à lui de façon à avoir mes fesses au bord du lit, et il me dit :
- Tu as un adorable clitoris, ma chérie.
Penché sur moi, il membrassa à pleine bouche en joignant sa langue au baiser et jai aussi sentis quil môtait le plug de ma rondelle tout huilée, et le vide soudainement crée fut aussitôt remplacé pas sa grosse verge raide qui senfonça de toute sa longueur en moi.
Il commença à me pilonner quand je lui demandais :
- Oh j'aimerais que tu me sodomise tout en me masturbant le clito.
Au bout dun instant je ne pus que soupirer dans un râle de jouissance :
- Ah que c'est bon d'être une femme !
Jai joui sur mon ventre avant quil ne se retire et me laisse ainsi pantelante de jouissance et je fus surprise de sentir un liquide onctueux couler entre mes cuisses.
Cette relation avec ma mère prit fin trois mois après cet évènement, mais le copain qui devait bien profiter de tous les orifices de ma mère, profita largement de mon cul, qui maintenant devait être fonctionnel.
A dix-huit ans ma sexualité était bien définie, mon allure androgyne sétait encore plus quaffirmée dautant quayant commencée les hormones, mes seins commençaient à se former, mes cheveux longs, mon corps svelte et maintenant toujours imberbe, créaient la confusion chez les autres.
Avec mon joli cul cambré, jétais consciente de plaire à certains hommes dâge mûr et javoue quun beau paquet et une longue bite qui déformait un jean avaient le don de me faire saliver.
Le plus souvent en rentrant de la fac, javais pris lhabitude de mhabiller en fille pour le restant de la journée, ma mère acceptait cela et même sue je sorte ainsi sous la condition de ne pas me faire surprendre par les voisins ou ses amants de passage.
Ainsi, je pris définitivement consciente de ma féminité et je me mis à porter des porte-jarretelles, des bas et des petites culottes, allant même à marcher en talons hauts. La nuit je dormais en nuisette et parfois pluggée pour mon plus grand bonheur.
Ma mère, veuve, était encore très belle et surtout active sexuellement, jen savais quelque chose. Je savais quelle avait souvent un ou des amants, mais cela ne durait pas plus dune semaine, mais un jour, rentrant plus tôt, je lai surprise dans le salon en présence du voisin, elle se faisait défoncer en levrette sur le sofa, lui debout derrière elle. Ils ne mont pas vu et discrètement jai été dans ma chambre.
Je pense que cette relation était avant tout, pour elle, pratique et hygiénique, afin dassouvir sa libido encore débordante et surtout de proximité, elle navait pas besoin de courir, elle avait ce quil lui fallait sous la main.
Mais il allait me falloir redoubler de vigilance et ne pas me faire voir par le voisin en tenue de femme.
Une nuit que ma mère dormait en compagnie du voisin dans sa chambre je me suis levée pour me rendre aux toilettes. Fidèle à mes habitudes, je portais des bas auto-fixant et une petite culotte en dentelle noire, une nuisette et mon anus était pluggée.
Par habitude javais négligé de fermer la porte à clef et soudain, alors que jétais en train de faire mes besoins assis sur la cuvette comme le font les femmes, le voisin poussa soudain la porte à moitié endormi et seulement vêtu de son caleçon. Consciente de mon accoutrement et ainsi impudiquement exposée à ses yeux et sans échappatoire, jétais tétanisé, incapable de réagir.
Il fut le premier à avoir une réaction après deux secondes dhésitation, après avoir posé son regard sur la culotte roulée sur mes chevilles, la nuisette, ainsi que sur les bas.
Je sentis une certaine honte et du désespoir pour ne pas avoir tenu ma promesse et mêtre faite surprendre ainsi vêtue.
Pendant plusieurs jours jévitais soigneusement de croiser le voisin dans la rue où lorsquil était à la maison.
A suivre
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