Mon Retour En Algérie (8)

Journée au Lycée

Difficile de me lever la matin, j’étais fourbu tellement Rachid m’avait possédé… Mais ils ont quoi ces hommes dans les veines ? Ça s’arrête jamais ? J’avais l’impression qu’avec leur sperme, ils m’avaient tous transmis leur gêne d’avidité sexuelle dont je ne lassais jamais à présent.

Je devais rejoindre le Lycée, pas vraiment pour une prise de fonction, mais pour une présentation, organisée par le Directeur et Samira, accompagnée de Nadia. Volontairement, mon rôle restait assez flou, une première à vrai dire, juste que je devais assister les professeurs et les écoliers en français et en histoire. Ma fonction était de me partager aussi bien entre les cours, qu’entre les études du soir des élèves, si ils sollicitaient mon aide, soit à l’oral, soit à l’écrit.

Je savais que je n’avais pas le droit de transgresser les ouvrages autorisés, assez sévères quant à la France, mais j’avais la liberté de dialoguer, on va dire, d’une manière subtile, ma proximité avec ma « famille » oranaise me le permettrait.

Deux jours après, je prenais officiellement mon poste, aussi bien en cours avec Nadia et Samira, que l’aide aux élèves. Beaucoup de questions fusaient, que j’essayais quelquefois d’esquiver, leur montrant juste cette nouvelle coopération qui me plaisait vraiment. Je leur ai expliqué que je venais de Nice, ville dans laquelle vivaient beaucoup d’Oranais, que j’étais très investi dans l’Association, et que le passé ne m’intéressait pas vraiment. Pour moi, nous étions les mêmes peuples méditerranéens, avec une culture très proche et que j’étais très content d’être parmi eux. Que j’allais les aider, mais que eux aussi. Echange de cours de français contre cours d’arabe, avec de grands sourires et d’amitié aussi, et si j’étais là, c’était aussi pour vivre avec des algériens, pas vraiment avec le peu de français expatriés, sinon, je serais resté à Nice.

Mon intégration au Lycée a été relativement facile, générant l’enthousiasme pour certains, et réserves pour d’autres, c’était tellement nouveau pour tous, profs et élèves.



Pendant trois jours, je suis resté dans mon appart à la Cité U, prenant prétexte, vis-à-vis de la famille, de vouloir prendre mes marques et Rachid me rejoignait tous les soirs. J’avais trop envie d’être à Lui, qu’à Lui… Vivre comme un couple, partageant ensemble notre repas, préparé ou acheté, mais me repaître de son corps sans retenue. Pour la première fois, nous vivions seuls tous les deux comme dans notre « chez nous ». Par chance, comme mon appart étant le plus spacieux, il se situait près de l’escalier et nos rencontres pouvaient rester discrètes. Pas le soir quand il venait, tout le monde savait que j’étais chez Samira, mais plutôt le matin, quand il partait.

Un jeudi après midi (Je le rappelle, début du Weekend à l’époque en Algérie) Il est venu avec son père, un gros paquet dans leurs bras. Ils m’apportaient une sorte de canapé, en Kit comme on dirait aujourd’hui, que Karim avait commandé. Il est vrai que l’appart était simplement meublé, avec juste le strict nécessaire. Une fois l’ossature montée, ils sont repartis chercher le matelas et plein de coussins, avec un grand carton qui contenait le tissu qui allait revêtir tout ça. (Ceux qui connaissent les salons marocains doivent savoir de quoi je parle). C’était superbe, avec des couleurs que j’adorais, Bleu Roi et Or, rappelant celles de la Monarchie, ils savaient que j’étais Royaliste. C’était Samira qui avait découvert l’étoffe, avec pas mal de recherches, et qui avait tout cousu elle-même. J’en avais les larmes aux yeux tellement cette attention me faisait plaisir et une fois tout terminé, je me suis jeté dans leurs bras, à tous les deux, pour les remercier. Ils m’ont serré suffisamment fort contre eux pour que je m’imprègne de leur odeur de mâle après l’effort, et pas que de leur odeur d’ailleurs, leurs membres avaient pris une ampleur, phénoménale.

L’un et l’autre savaient que je couchais avec l’un et l’autre, mais jamais nous nous étions retrouvés tous les trois ensemble dans cette excitation extrême.
Rachid a commencé à prendre ma bouche, suivi par son père, leurs quatre mains partout sur moi. J’étais estomaqué, mais aussi j’avais trop envie de m’abandonner à leur plaisir. Pour une fois que je les avais tous les deux en même temps. Rachid a appuyé sur mes épaules pour que je prenne en bouche le sexe de son père, pendant qu’il me caressait la vulve d’une manière hyper sensuelle. J’ai vite fait de mettre son membre à l’air pour les sucer en alternance, et en même temps ensuite. Je devenais ivre de plaisir et de désir, surtout quand Rachid s’est enfoncé en moi d’un trait, sans difficulté tellement il m’avait malmené la nuit précédente, jusqu’au petit matin. Sans jouir, il m’a tourné et empalé sur le pieu de son père qui m’a possédé comme un fou, à fond, lâchant dans moi je ne sais combien de jets de sperme.

Ils m’ont baisé tous les deux pendant des heures… J’étais tellement ouvert et lubrifié par leur substance, qu’ils sont parvenus à me prendre en double. C’était hallucinant… J’avais la bite du fils et du père en même temps dans ma chatte, qu’ils labouraient avec une puissance, hors du commun, me faisant hurler de jouissance que Rachid atténuait avec sa main collée sur ma bouche, y mettant même son slip empli de son odeur de mâle.
« Dès que possible, on te ramène au Sud…. Ils t’attendent tous. »

Karim est parti, et Rachid m’a pris dans ses bras.
« Ne nous en veux pas, mais mon père avait tellement envie de baiser, qu’on a pas pu s’en empêcher… Et je suis sûr que tu as adoré ça… »
« Hyper surpris, mais trop bon… Vous m’avez complètement démonté… !!! »

J’étais quand même hyper étonné de ce magnifique moment avec le père et le fils que j’adorais, de notre complicité à tous les trois, et qu’ils aient décidés de me prendre à deux, même si j’ai eu besoin de pas mal de temps pour m’en remettre, tellement ils m’avaient défoncé de toute leur vigueur.
Les quelques jours ont été très occupés par chacun de nous, mais à force de câlins et de persuasion, j’avais convaincu Rachid de s’inscrire en Fac de Lettres, Option Français, l’assurant de mon soutien total, ainsi que celui de Samira.
J’ai alterné les soirées chez eux et chez moi, me refusant à Rachid, sauf quelques caresses, tant qu’il n’aurait pas pris sa décision. Un vrai chantage… !!!

Un immense black s’occupait de l’entretien de la résidence universitaire, ménage, travaux divers et réguliers dans les chambres, c’est vrai que les jeunes n’étaient pas très soigneux dans ce domaine. J’avais quand même remarqué qu’il me reluquait d’un regard de convoitise et qu’il portait fréquemment la main à son entrejambe lorsque l’on se croisait, ce qui n’était pas pour me déplaire, lui offrant mon plus beau sourire à chaque fois, sans plus.

Un soir… La cata…Plus d’électricité dans mon appart et je suis descendu à l’accueil pour prévenir le gardien. Au pire, si ça ne pouvait pas être réparé de suite, j’irais dormir chez Karim et Samira. Mais il a été super sympa et il m’a dit qu’il allait m’envoyer Moussa, le black, pour voir ça.

Il est arrivé effectivement peu de temps après, avec une boite à outils, pour contrôler tout ça. En fait, un fusible avait sauté, cramant au passage quelques fils et provoquant un court-circuit. Il a mis un petit moment à tout réparer, alternant ses yeux entre son ouvrage et moi, le regardant accomplir sa tâche, mais pas uniquement. Première fois que je voyais un vrai black africain et j’avoue humblement, que je ne me lassais pas d’un tel spectacle, surtout quand j’ai constaté que le centre de son corps prenait un volume qui me rappelait Kader. Ma chatte en manque depuis quelques jours, j’ai pris une position, disons, plus lascive pour le remercier, laissant apparaitre une partie de ma vulve, nu sur le côté de mon short léger. Il a fait ses essais, tout fonctionnait à merveille, même son tuyau était à plein régime sous sa combi de travail.
« C’est bon, tout est en ordre maintenant… Sauf ça… !!! » En mettant sa main sur sa bite.
« Il lui faut une réparation aussi ? »

Prenant un air ingénu… Je voulais rester fidèle à Rachid et à sa famille, mais là, j’étais subjugué et ma volonté a cédé face à ce monstre de chair noire devant moi, mettant ma main sur cette énormité, sur le tissu et dedans une fois qu’il ait ouvert sa combi pour se mettre à nu.
Pas du tout le même genre de corps que mes hommes, mais d’une puissance phénoménale, montagne de muscles, doté d’un sexe aussi gros que celui de Kader. Il s’est allongé sur moi, trifouillant mon orifice des ses gros doigts et il a très vite constaté sa facile ouverture.
« Habitué à du gros calibre à ce que je constate… !!! »
« Oui…. Et j’adore ça… !!! »
« Putain, je vais te défoncer à mort, enfin pouvoir m’éclater et t’éclater le fion. »

J’étais tiraillé entre ma culpabilité de coucher avec un autre, et le désir d’un corps d’ébène que je voyais pour la première fois, nu avec un membre, plus qu’appétissant. Je n’ai pu m’empêcher de le goûter, mes papilles faisant connaissance avec une saveur quelles ne connaissaient pas encore, différente, mais très forte et très épicée aussi, odeur de musc bien plus prononcée. Je l’ai sucé comme Kader, enfournant péniblement le gland, tentant d’aller jusqu’au quart de sa longueur environ, puis me retirant pour lécher le reste.
Ses caresses étaient loin de me rendre insensible, ma corolle s’ouvrait pour la rendre prête à l’accouplement. Il m’a écarté les cuisses, m’a bien léché mon puits, s’est frotté contre mes lèvres anales et a commencé la pénétration, forçant au début, et une fois le passage ouvert, a continué à s’enfoncer dans moi, lentement mais surement, jusqu’à ce que je sente sa poche à couilles, volumineuse, se coller à mes fesses. Le même coït aussi puissant mais nettement plus bestial qu’avec Kader, sa manière de baiser était quand même bien différente. Il était d’une sacré endurance, alternant les mouvement longs et puissants, avec des coups de bite d’une violence inouïe. Je sentais qu’il n’avait pas baisé depuis un bon moment et qu’il voulait en profiter. Si j’appréciais à fond cette rude séance de sexe, mais il me manquait quelque chose d’essentiel… La complicité, et la symbiose parfaite avec Rachid, et même quand je couchais avec son père ou son oncle, je sentais néanmoins cette osmose avec lui à travers eux… Et là, ce n’était pas le cas. Une fois que Moussa m’ait bien défoncé, il s’est vidé à grands jets de ses couilles archi pleines »

« Pardon… Mais j’avais trop envie… !!! »
« J’ai aimé Moussa, mais je ne pense pas qu’on puisse remettre ça. »

Plein de son jus et de remords, je me suis endormi.


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