Cabine D'Essayage Ii

Elle sut exactement quoi faire. Saisissant ma verge d'une main, elle la caressa de tout son long. Elle regardait le gland si proche de son visage, la bouche légèrement entrouverte. Elle me branla quelques instants avant de se risquer à me lécher. Sa langue était un vrai délice, me procurant une vague de plaisir. Je sentais son souffle chaud me caresser la queue à chaque passage. Elle faisait glisser sa langue le long de ma queue, descendant jusqu'à mes couilles pour ensuite remonter. Je la laissais jouer.
Au bout de quelques minutes, elle se décida à me prendre en bouche. D'abord le gland, qu'elle suçotait comme un bonbon puis elle alla plus loin. Une main toujours sur ma queue, elle me branlait tout en la faisant coulisser entre ses lèvres. Je soupirai et appréciai la chaleur humide de sa bouche. Elle avait de l'expérience pour sucer une bite et elle voulait me le prouver. Elle enfonça ma verge un peu plus loin dans sa bouche, elle me dévorait comme une affamée en manque.
Le spectacle de cette petite bourgeoise quinquagénaire avec mon engin en bouche était très plaisant. Ses lèvres étirées pour engloutir mon membre viril et les perles qui scintillaient au bord de ses yeux avaient de quoi m'excitaient au plus au point. Elle redoublait d'efforts pour me prendre de plus en plus profond.
Je souris :
-Laisse moi t'aider.
J'enlevai sa main sur ma queue. Je posai la mienne derrière sa tête et l'attirai vers moi.
Ma verge pénétra complètement sa bouche et vint buter contre sa gorge. Elle eut un mouvement de recul mais je la tenais fermement. Je restai comme ça un instant, mon gland tressautant venant titiller l'entrée de sa gorge. Son visage se rougit et une larme coula sur sa joue.
Je la relâchai. Elle se recula pour sortir ma queue et respira. Un filet de bave partait de ses lèvres jusqu'au bout de ma verge. Elle me regarda, pleine de désir. Elle aimait ça et en voulait encore.
Je décidai de jouer.


Je lui attrapai les cheveux et vint coller ma bite contre son visage.
-Tu la veux, n'est-ce pas ? Tu la veux tout au fond. Tu veux que ta bouche soit ravagée par cette bite.
Elle me fit oui de la tête.
-Je la veux au fond de ma gorge, me répondit-elle dans un souffle.
Je tapotai son visage maculé du mélange de sa bave et de mon pré-sperme.
-Non, fis-je, tu veux plus que ça.
Elle rougit encore plus et se mordilla la lèvre inférieure. Elle était tiraillée entre ses envies et le peu de dignité qui lui restait.
Je l'aidai à choisir. Avec mon pouce, j'ouvris sa bouche en grand et mis mon gland juste devant, à fleur de ses lèvres. Je le fis aller et venir de haut en bas, effleurant à chaque fois le bout de ses lèvres. Son souffle chaud s'accélérer sous la tension et le désir.
-Tu sais ce que tu veux vraiment.
Son regard fit l'aller retour entre ma verge et mes yeux. Je vis ses envies prendre le dessus dans son esprit et c'est dans un gémissement qu'elle me dit :
-Baisez moi la bouche, maintenant.
Je ne lui laissai pas le temps de revenir en arrière. J'attrapai sa tête entre mes deux mains et enfonçai ma queue au plus profond. Je sentis sa gorge résister contre mon gland. Elle avait peut-être l'habitude de sucer, mais pas en gorge profonde. Je commençai un petit mouvement d'aller retour dans sa bouche, profitant du plaisir de ses lèvres serrées contre ma verge. À mesure que je butais au fond de sa bouche, je sentais la résistance s'amenuir. Elle bavait abondamment sur ma queue, l'humidifiant comme jamais.
Je sortis ma verge de ce paradis pour la laisser respirer. La bave coula sur son menton et tomba sur ses gros seins. À peine quelques secondes pendant lesquelles nos yeux se croisèrent. J'y lus toute la soumission dont elle faisait preuve, me suppliant de continuer ce traitement.
Je lui enfournai à nouveau ma bite au fond de la bouche. Mon gland touchant sa glotte faisait un bruit rauque et je la sentais bientôt prête pour m’accueillir tout entier.

Je poussai encore plus sur sa tête pour vaincre cette dernière barrière et envahir sa gorge. Mon gland était serré et je sentais son souffle erratique contre mon bas ventre. Ses mains sur mes cuisses se crispèrent après quelques secondes. Je la relâchai une énième fois. Elle toussa projetant encore plus de bave sur elle et sur mon membre.
Je levai ma bite d'une main et de l'autre j'attirai son visage contre mes couilles. Elle sut tout de suite quoi faire. Sortant sa langue elle me lécha avec envie, passant de l'une à l'autre comme des boules de glace. Elle les embrassait goulûment.
Après cette petite pause dans le traitement de sa gorge, je lui tirai les cheveux en arrière pour la contempler à nouveau. Son maquillage parfait avait coulé avec ses larmes. Son rouge à lèvre carmin s'était répandu autour de sa bouche et sur mon membre.
-Une magnifique petite chienne, commentai-je. Reste là.
Je pris le petit banc qu'il y avait dans la cabine et le posai devant le miroir.
-Allonge toi dessus, sur le dos. Laisse ta tête pendre dans le vide.
Elle obéit sans hésitation ni question. Ainsi offerte, j'avais une vue imprenable sur son corps. Ses magnifiques seins qui pointaient encore malgré son âge. Sa chatte entièrement rasée qui luisait d'envie. Mais ce qui m’intéressait pour le moment était plus bas.
La bouche déjà ouverte, elle savait ce que je voulais. Je plaçai ma verge entre ses lèvres et poussai. Avec cette position, sa gorge était complètement ouverte, à la merci de mes assauts. Je m'enfonçai d'une traite tout au fond, profitant du spectacle de mon engin déformant sa gorge. J'y posai une main pour sentir mon membre à travers la peau. Je fis quelques va et vient tout en massant mon sexe à travers sa gorge offerte. Je sentais mes couilles touchaient son nez quand j'étais tout au fond. Sa position était inconfortable. Elle le savait mais ne s'en plaignait pas. Elle subissait ma verge qui baisait sa bouche comme si c'était sa chatte.
Cette sensation d'avoir la queue serrée au fond de sa gorge électrisait tout mon corps. Je me retins de ne pas jouir et remplir sa bouche de ma semence. J'avais d'autres projets pour elle.
Je la libérai. Elle se redressa et s'assit sur le banc. Elle reprit son souffle tout en s'essuyant la bouche. Je m'assis également et la fis monter sur mes cuisses. Dos à moi, ses jambes de chaque côté des miennes, elle regardait le miroir.
L'image qu'il renvoyait été sauvage, sensuel et terriblement érotique.
Cette dame à l'allure d'habitude impeccable se tenait sur les cuisses d'un jeune homme inconnu à qui elle était totalement soumise. Son visage témoin du ravage que sa bouche venait de subir. Ses jambes grandes ouvertes, sa chatte luisant à la lumière, preuve du plaisir qu'elle en avait retiré. Ses yeux, contemplant son corps ainsi offert et désirant encore plus malgré un petite crainte qu'on pouvait y lire.
J'écartai ses cheveux et lui murmurai à l'oreille :
-Prête pour te faire baiser comme tu le mérites ?

À suivre...

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