J'Aime Les Travestis 2
J'avais été aux anges avec mon papillon et je dois avouer que cela m'avait même dépassé.
J'avais reçu des messages pour mon histoire puis j'avais pu discuter aussi avec des lecteurs. Mais l'un d'eux avait attiré mon attention. Cest toujours difficile dexpliquer ces choses, cela peut provenir du style, des mots choisis, mais jai retenu son message et la discussion a pris une autre tournure.
Il mavait expliqué quil mourrait denvie dêtre le papillon de mon histoire, quil rêvait que lon soccupe de lui comme cela, de shabiller en femme mais quen même temps cela lui faisait extrêmement peur. Il avait la trentaine, fin de traits et de corps, pas très grand, ça commençait bien.
Ses messages étaient parfois pressant, il voulait que lon se voit et parfois fuyant quand la peur revenait. Pourtant il faut savoir quil ny a aucune pression, ni dobligations. Pour que cela se passe bien il faut se sentir en confiance.
Je lui avais bien dis que je le laissais décider quand il voudrait que lon se voit que cela devait venir de lui quand il se sentirait prêt.
Nous continuâmes les échanges, il voulait savoir se quil sétait passé ensuite avec la personne de mon histoire.
Puis il se décida et menvoya une photo où il était assis sur le bord de son lit, portant des portes jarretelles, une jupe légèrement relevée. Il avait soulevé ses jambes serrées et je pus voir légèrement quil ne portait pas de culotte. Cétait délicieux, on le voyait à peine, juste un peu plus de peau que lon aurait pas dû voir et au niveau des fesses, ce petit renflement indiquant une entrée délicieuse.
Le signal était donné nous allions nous voir.
Comme il avait encore assez peur de se montrer en femme, nous avions opté pour un hôtel sans accueil, prépayé avec code, il se sentirait plus libre.
Nous nous sommes donc retrouvé au parking de lhôtel, cest un moment difficile car lon passe du virtuel au réel mais en même temps fantastique.
Encore une fois je ne fus pas déçu du spectacle, des talons, une jupe volage, des portes jarretelles, un top laissant apparaitre un jolie ventre. Une veste déboutonnée, un châle et un petit sac venaient parfaire le spectacle.
Je suis allé vers lui et je lai vu me regarder intensément. Jai senti alors une sorte de responsabilité, il y avait mis tout son courage pour sassumer et venir. Je devais en retour être à la hauteur. Je devais lui donner lenvie de recommencer.
Je lui ai pris les mains et tout en lui disant bonjour je lai légèrement embrassé. Il a eu lair surpris. Je nai pas insisté. Sans lâcher sa main je lai guidé vers lhôtel puis la chambre. Jai eu un instant de panique car sa réaction mavait un peu déstabiliser et un silence sétait installé.
Lorsque nous sommes entrés dans la chambre, je navais cessé de le complimenter mais il était toujours tendu.
Je navais que très peu entendu sa voix. Puis il me demanda si jacceptais quil mette le châle sur ses yeux. Jai été bloqué quelques secondes, je venais de passer du froid à une combustion spontanée. Je lui ai souri et je lui ai passé le châle sur les yeux.
Autant dire cétait la fête dans ma tête.
Je lai conduit au bord du fauteuil puis je me suis placé derrière lui et jai enfin posé mes mains sur sa taille. Un léger baisé dans le cou avec mes mains passant sur son ventre lui laissait le temps daccepter mon invasion. Je remontais ma bouche sur ses lobes doreilles et je vis du coin de lil quil avait la bouche légèrement ouverte, un petit signe de plaisir. Il sétait plaqué contre moi, cherchant le contact.
Puis une de mes mains glissa sur sa cuisse puis peu à peu lintérieur de sa cuisse, remontant à chaque caresse un peu plus.
Il tourna alors sa tête et enfin sa bouche vint trouver la mienne. Une langue délicieusement fraîche vint à ma rencontre.
Je me décalais alors un peu de façon à me laisser plus daccès à son corps. Il plaça une de ses mains sur celle qui le caressait sous sa jupe et me poussait à plus dexploration.
De lautre main je lui indiquais de relever sa jambe et de la posait sur le canapé. Le laissant encore plus à ma portée.
Je lui ai alors dit combien sa peau était douce, que jallais moccuper de lui mais que jallais faire durer jusquà ce quil me veuille plus que tout.
Mes deux mains libres purent uvrer, lune passant devant et lautre derrière. Jarrivais enfin au tissu de ses dessous.
Je passais sous sa culotte et caressait enfin ses fesses, toute douce. Mon autre main libérait pendant ce temps un sexe dur, donc déjà un léger liquide sécoulait.
Cétait comme si je lui avais envoyé une décharge électrique. Il poussa un gémissement, bougea ses hanches et ses mains plaquèrent les miennes. Lune delle me dirigea vers son petit trou.
Je le calmais, je lui avais dit que je voulais y aller tout doucement.
Mon sexe encore enfermé me faisait mal, je sentais sa jambe contre lui. Il devait me sentir dur.
Je lui fis enlever sa culotte se quil fit avec empressement et il se remit docilement dans la même position. Lorsque mes mains revinrent sur ses fesses, il se cambra.
Puis par devant je descendis sur ses bourses qui avaient la fermeté de lexcitation. Là encore il réagit en soufflant fort.
Je jouais avec ses fesses, tout en évitant toujours de peu son petit trou. Il avait toujours un mouvement comme sil cherchait le contact. Je sentais quil avait envie que je lexplore.
Il voulu encore une fois maider avec sa main mais je le repoussais.
Je vins prendre de son liquide avec mes doigts puis je létalais au creux de ses fesses. Lorsque il fut assez « humide » à mon goût je pus reprendre lexploration.
Mon doigt vint enfin titiller innocemment son anus complètement lubrifié. Sa réaction me fit clairement comprendre quil nattendait que cela mais je voulais quil me demande. Jai entendu alors un :
- Vas y vas y vas y
Complètement frénétique.
Alors mon majeur caressa son petit trou et le pénétra légèrement.
- Vas y vas y encore, oh vas y
Je mexécuta, mon majeur entra et le reste de ma main vint se plaquer sur ses fesses, les écartant. Je ménageais en même temps mes efforts sur son sexe et ses bourses pour le laisser en état dexcitation extrême mais sans le faire atteindre le point de jouissance.
Mon doigt le fouilla, puis comme il ondulait, je lui fis faire des va et vient. Cétait magnifique de le voir plein de plaisir. Je pense que son cerveau avait disjoncté, que les barrières sociales avaient explosé pour ce temps de plaisir. Sa bouche toujours ouverte comme sur un cri muet.
Un deuxième doigt vint toucher son lentré de sa grotte et encore une fois sa réaction fut immédiate.
- Un autre, vas y, mets le
Lorsque je le fis il se mordit la lèvre, puis penchant la tête en arrière il chercha à membrasser. Ce fut un baiser quasi frénétique. Il sécarta pour me souffler :
- Prends moi
Puis me réembrassa. Torride. Je lui dis quil nen avait pas encore assez envie.
Il se dégagea de moi, poussa ma main qui quitta ses fesses avec regrets.
Il se jeta sur moi puis me chuchota :
- Alors se sera toi qui ne pourra plus te retenir
Puis il descendit et ses mains vinrent déjà attaquer le bouton de mon pantalon. Je neus que le temps de lui donner un préservatif de ma poche et en quelques instants, je me retrouvais mon sexe libéré devant lui. Il déposa le préservatif juste sur le gland (je suis circoncis) et il eut juste une seconde dhésitation puis doucement il embrassa mon membre, le caressant. Ses lèvres se posaient sur mon gland, ma tige, descendaient. Puis il commença à me lécher.
Ce fut à mon tour dêtre surpris. Je lui ai demandé sil avait déjà fait ça car cétait fantastique mais il me fit signe que non avec un petit sourire.
De le voir les yeux bandés, me lécher, me suçoter comme cela, je sentais mon plaisir venir à vitesse grand V.
Lorsquil avala goulûment mon sexe ce fût moi qui commençait à perdre le contrôle.
Je maperçu également que pantalon et slip étaient quasi enlevé, je les dégageais alors, plus libre de mes mouvements.
Je dû lui dire quil avait gagné, de venir. Il sexécuta alors rapidement et je le plaçais à genoux sur le petit canapé puis mon travail repris, jétais redevenu un animal.
Il dû le sentir car ses mouvements mencourageaient. Mon pouce plein de son sperme revint lexplorer, il se cambrait, sappuyant avec une main au mur.
- Je veux ta queue
Ces mots brisèrent le silence et javais devant moi ce petit cul offert, la jupe relevée. Les jarretelles bien en valeur. Une cambrure bien prononcée.
Je passais alors derrière lui, déroulant le préservatif jusquau bout puis je frottais mon sexe contre son cul, dans sa raie pour le lubrifier à son tour.
- Vas y, sil te plait, prends moi.
Tout cela avec une voix pleine de désir !
Puis mon gland se posa sur son trou je commença à forcer lentrée doucement, il accompagna mon mouvement en poussant aussi.
- Encore encore !
Puis je fus en lui, je le sentais bien serré autour de ma queue. Il se redressa et nous nous embrassâmes, ma queue en lui. Cela me tirait un peu et me tordait délicieusement le sexe.
Je linclina à nouveau et je le vis commencer à se caresser. Un éclair de lucidité mindiqua quil navait pas de préservatif, je dus lui dire et marrêter pour lui en donner un. Ce petit temps darrêt me permis de redescendre pour profiter plus de la suite.
En plus jallais pourvoir pénétrer encore ce joli petit cul. Il se replaça et je le pris à nouveau, le plaisir renouvelé de cette pénétration.
Quelle vision javais ! Je voulais lui offrir un plaisir immense mais cest lui qui men donnait. Josais espérer quil adorait cela, car le désir avait emporté ma raison.
Je le pris alors doucement et il se masturba. Il se cambrait maintenant au maximum et je lentendais murmurer des « oui » qui ne faisait que mexciter plus.
Je sentais que jallais jouir lorsque je lentendis souffler fort puis expirer bruyamment, se raidir, se tordre légèrement. Il lâchait toute retenue, venant violemment taper ses fesses contre moi. Puis je sentis quil jouissait en poussant un petit soupir daise. Jexplosais ! impossible de se retenir !
Je vis ses orteils sétirer, je sentis son anus se contracter légèrement. Je me lâchais en lui, enfin.
Je continuais mes vas et vient plus doucement.
Il se redressa à nouveau pour membrasser et lorsque je fis signe de me retirer il me dit non.
Après un petit moment, il se dégagea et vint contre moi. Il membrassa le cou et me demanda combien de temps il me fallait pour récupérer, il voulait encore être pris, il voulait encore être ma femme.
Je passais mes mains sur ses fesses en me disant que javais vraiment de la chance.
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