Leslie Nr59

Leslie NR59 – Nouveaux récits
Rencontres insolites – Cindy, suite

Un matin, alors que je partais pour la fac, je le croisais alors qu’il sortait de chez lui, il vint vers moi et me demanda :
- Tu n’es pas en fille ce matin ?
- Je vais à la fac et ce n’est pas très approprié !
- Tu sais que cela te va très bien les culottes de filles, ainsi que les bas d’ailleurs, me dit-il.
- Alors vous aimeriez me revoir habiller en fille ?
- Et pourquoi pas ! Me dit-il.
Après un silence, il ajouta :
- Ne sois pas gênée, c'est naturel de t’habiller ainsi, surtout si tu refuses ton corps de garçon.
Sa remarque me redonna confiance.
C’était un bel homme, la cinquantaine, grand, relativement svelte mais avec des muscles noueux saillant à travers ses vêtements. Il avait les tempes grisonnantes, l’œil gris clair et vif. Pour la première fois j’éprouvais une certaine attirance pour cet homme, je ne le considérais plus comme l’amant de ma mère mais comme un amant potentiel. Comme s’il avait deviné ma pensée il me dit :
- Tu es belle et désirable, et si tu le veux, comme cela ne doit pas être très facile pour toi de t exhiber ainsi en dehors de chez ta mère, je te propose de le faire chez-moi, je te regarderai. Je t’aiderais dans tes achats de dessous.
- D’accord, dis-je dans un souffle.
- Alors je t’attends quand tu voudras.
- Pourquoi pas demain.
- Alors à demain, dit-il.
A cet instant j’ai compris qu’à compter de ce jour, commençait pour moi une aventure dont je ne connaissais pas le déroulement et encore moins la fin.

Le lendemain, je terminais mes cours à quinze heures et comme convenu je me rendais chez le voisin, cela laissais trois bonnes heures avant que ma mère ne rentre du boulot en plus je n’avais que la rue à traverser pour rentrer chez moi.
Je sonne alors à sa porte un peu fébrile, je portais pour l’occasion un string noir avec son porte jarretelles assortis ainsi que de beaux bas nylons à couture, le tout soigneusement camouflé sous un jean, le reste dans un sac de sport.


J’entends du bruit derrière la porte puis soudain elle s’ouvre sur mon éventuel futur nouvel amant, du moins l’espérais-je du fond de mon cœur.
En effet toute la nuit, je n’avais cessé de penser à cet homme qui faisait tellement jouir ma mère, il me suffisait d’entendre leurs ébats nocturnes.
- Bonjour.
- Salut la belle entre…
D’un pas hésitant je pénétrais dans sa maison qui était meublé simplement mais avec goût.

Il sent mon trouble et me propose un verre pour me décontracter et me dit :
- Je te propose que tu te changes pendant que je prépare les verres, tu as la salle de bains pour toi toute seule.
Je me rends dans la salle de bains avec mon sac de sport et commence par enlever mon jean, puis passe des escarpins à talons, pour le haut je passe un top qui laisse deviner ma poitrine naissante en laissant mon ventre nu ;
Puis ayant depuis quelque temps appris et pris l’habitude de me maquiller, je met du rouge à lèvres et m’occupe de mes yeux.
Et je vais ainsi le retrouver…
En me voyant, il reste sans voix.
Et quand je m’assieds dans le canapé, et retrouvant sa voix il me dit :
- Tu es vraiment très belle.
Le fait qu’il me trouve belle me fait immédiatement bander et cela à pour effet de déformer mon string, mais heureusement que j’ai un très petit sexe ce qui fait que même en bandant mon petit clito ne dépasse même pas de son écrin de dentelle.

On trinque et on boit, puis il se met entièrement nu près de moi sur le canapé, et en le voyant je ne peux que penser : « Mon dieu quelle membre ! »
Elle est énorme et tout d’un coups la peur me saisit et je pense que jamais je n’arriverais à accepter ce pieu de chair en moi.
Il est conscient de mon trouble et de ma peur, et il me dit alors :
- N’ait aucune crainte ma chérie tu vas voir je vais bien te préparer et tu n’auras pas mal, mais dit moi c’est la première fois que tu vas te faire sodomiser ?
- Bien-sûr que non, luis dis-je, et en plus je me plugge le jour et me sodomise le soir avec un gode.

- Ohhh, mais en fait tu es une petite cochonne qui cache bien son jeu, tu vas voir avec du gel anal et chauffant cela va aller tout seul et ce sera très agréable.
Visiblement ma tenue lui fait de l’effet car il bande comme un taureau, je me sens fière de susciter une telle excitation chez un homme.
- Je vais te préparer pendant que tu me suces, ainsi je serais prêt et ton trou du cul sera plus souple et tu accepteras plus facilement mon membre, chérie.
Alors d'une main je lui saisis le sexe et de l'autre je lui caresse le ventre, puis ma tête va à la rencontre de son membre et ma langue parcoure toute sa verge depuis les couilles jusqu’au gland, mais lorsque j’arrive au gland il appuie sa main sur ma tête pour me faire comprendre qu'il veut que je le prenne en bouche.

Après avoir ouvert les lèvres et engloutis le membre, je commence alors un va et vient sur ce sexe de dément et aussitôt je sens le corps de mon amant qui réagit, il se tend et laisse échapper des soupirs de plaisir. Son excitation est de plus en plus grande, alors il se redresse et me dispose dans le canapé pour que mon cul soit bien exposé et offert et qu’il puisse me sodomiser.
Nous sommes l’un et l’autre dans un état second, et il me dit en m’installant :
- Tu es vraiment douée pour tailler des pipes ma chérie !
Et ainsi en m’installant il découvre mon plug dans mon anus, heureux de voir que je portais un plug il me félicita, puis il l’enleva et après m’avoir enduit le conduit de gel, il ma doigta un moment.
A le salaud, il m’a enculée comme une vraie cochonne et j’ai dégusté, mais j’ai aussi eu du plaisir, tellement instance que je me suis évanouie un moment et quand j’ai repris connaissance, j’avais toujours ce gros membre raide planté dans mon cul, mais il avait joui au fond de moi, et je n’ai rien pu dire ou faire avant qu’il ne recommence à me pilonner par de grands coups de queue, cela a durer un long moment et à la fin, je n’en pouvais plus, ma rondelle distendue me faisait souffrir, il s’est retiré et m’a embrasser avent de me dire :
- Ton petit trou est serré comme je les aime et tu feras des heureux grâce à lui…

Quelques jours plus tard, ma mère mutée à Montpellier, nous avons déménagé.
Ma mère profita de cette occasion pour larguer le voisin, je ne sais pas si elle se doutait de quelque chose car elle ne m’en a jamais parlé, mais je pense que oui.
Pour que j’ai mon autonomie, ma mère loua un petit studio pour moi, ma mère savait que cela me rendrait heureuse et je l’entendis me dire :
- Ainsi tu auras toute ta liberté et tu n’auras plus à mentir et à te cacher…

A suivre…

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