Leslie Nr60

Leslie NR60 – Nouveaux récits
Rencontres insolites – Cindy, suite et fin

Je me suis tranquillement installée dans mon petit studio, pas très loin de la place de la comédie, j’avais toutes les commodités pour sortir et j’ai commencé à vivre en femme, hormis bien-sûr les moments où j’étais à la fac, je partageais mon temps entre mes études à la fac et mes sorties, habillée en femme.
Ma mère subvenait à mes dépenses courantes et quand l’occasion se présentait je gagnais un peu d’argent en faisant des petits boulots, cela servant à compléter ma garde-robe.

Durant les semaines qui suivirent je me sentais heureuse, libre, personne ne s’occupait de moi à la fac et sitôt rentrer, je me changeais et me maquillais, ainsi en femme je passais à la maison mon temps de travail d’études et, prête pour sortir si l’envie me prenait…
C’est ainsi que lors d’une de mes virées nocturnes, j’ai rencontré Leslie, Nous avons discutées, et nous sommes devenues amies, encore aujourd’hui nous nous voyons de temps en temps, elle m’a tellement aidé pour me comprendre et vivre librement ma féminité, ne plus avoir peur de sortir ainsi, ne plus angoisser sur ce que les uns et les autres peuvent penser de soi. C’est ensemble que nous avons choisi mon nouveau prénom : « Cindy » et à ceux et celles qui se poseraient la question, oui nous avons eues une aventure, mais ce n’est pas à moi d’en parler ici…

Au début du printemps, j’ai fêté mes dix-neuf ans, pour l’occasion j’avais réservé une table à « La diligence », un restaurant place Pétrarque à Montpellier, non loin de chez moi, et nous devions nous retrouver directement sur place.
La diligence est un restaurant romantique au cadre agréable pour fêter son anniversaire, où discrétion est de rigueur, mais choisir où s’installer n’est pas simple, car entre la grande salle donnant sur le patio d’été, la terrasse d’été et le salon avec la bibliothèque à whiskies, un endroit chargé de plusieurs siècles d’histoire à la décoration respectueuse et discrète met en valeur les vieilles pierres et les arcs voutés invitant au voyage.



Mes deux copains de la fac, accompagnés de leur copine respective, sont arrivés les premiers, puis se fut Laure et Leslie, qui avaient pour l’occasion amené un ami.
- Leslie me le présenta en disant :
- Maxime, je te présente Cindy.
- Enchanté, me dit-il.
- Et Cindy, je te présente Maxime, un vieil ami.
- Bonjour, dis-je doucement.
Maxime, un bel homme aux tempes grises, la quarantaine aux physique entretenu par le sport, un peu plus grand que moi, le mètre quatre-vingts.

Il faisait beau et nous nous sommes installés au patio d’été, afin de profiter de l’air et du calme. Le repas fut formidable et l’ambiance très conviviale…
Les copains sont partis les premiers, ils voulaient aller danser avec leurs copines, puis après le café se fut Leslie et Laure qui me quittèrent me laissant seule avec Maxime.
Il fut gentlemen et me proposa, avant de me raccompagner et pour finir la soirée, d’aller boire un dernier verre place de la Comédie.

Nous nous sommes installés à la terrasse du « Grand Café Riche » ou après avoir commandés deux cocktails, nous avons commencés à discutés.
Apparemment Maxime connaissait le statut de Leslie et il m’avoua qu’étant en relation de travail avec elle, il n’avait jamais osé la séduire mais qu’il n’était pas insensible à son charme.
- Alors vous êtes attiré par les transsexuelles, lui demandais-je.
- Disons qu’elles m’intriguent et que j’aimerais en savoir plus sur ces femmes différentes…
- Alors Leslie vous a dit ? Lui demandais-je.
- Me dire quoi ? Répliqua-t-il.
Apparemment Leslie n’avait rien dit à Maxime sur mon statut de transsexuelle, alors j’avais le choix de lui dire ou de lui cacher, terminer cette soirée ainsi, ne plus le revoir et l’oublier. Mais Maxime avait beaucoup de charme, bel homme et prévenant, il ne me laissait pas indifférente, alors je lui dis :
- Maxime, je ne suis pas différente de Leslie, alors si vous le voulez nous pourrions devenir amis.

- Ohhh oui, dit-il dans un souffle.
Ses yeux brillaient, il paraissait heureux de ma proposition et surtout Maxime est intéressé, alors il se mit à me poser plein de questions en me regardant profondément et en m’écoutant avec attention.
Rapidement les questions se firent de plus en plus précises, jusqu’aux questions intimes.

Il me demanda ;
- Mais comment l’envie d’être femme t’est-il venu ?
Je lui ai expliqué mon parcours et me suis livrée ouvertement.
Les seconds cocktails cèdent la place aux seconds, son écoute est ponctuée de questions plus précises afin de mieux comprendre.
A un moment donné il me demanda :
- Mais sucer et se faire sodomiser, ça ne te gêne pas ?
- Non, lui dis-je, je suis une femme…
Il m’avoua à cet instant :
- Je n’ai jamais osé sauter le pas, j’aurais pu le faire avec Leslie, mais…
- Je comprends, la peur de perdre une amie et la peur d’être catalogué ?
- Oui, tu as raison, c’est cela.
- Mais le désir et l’envie n’ont jamais disparus ?
- Non jamais, dit-il. Mais aujourd’hui je suis prêt à assumer et vivre cela.
Un instant il est resté dans le silence et j’ai respecté ce silence, il rêvait à je ne savais quoi, puis il me dit :
- Il se fait tard Leslie, je vais te raccompagner.
En se levant je vis une bosse qui déformait son pantalon, il avait du désir, mais je n’ai rien dit, il a pris mon bras et nous avons marché vers chez moi.
Arrivé au bas de mon immeuble, il me demanda :
- Pourrais-je te revoir ?
- Oui bien-sûr, lui dis-je, demain, samedi midi si tu es libre.
- Bon anniversaire Cindy et à demain, je passe te chercher vers dix heures.
- Ça marche, à demain Maxime.
Nous nous sommes embrassés normalement et je suis rentrée chez moi.
La nuit a été tumultueuse et j’avoue ne pas avoir beaucoup dormi en pensant au lendemain et à ce qu’il allait se passer…

Le lendemain, il était là, nous avons quitté Montpellier avons parcouru la campagne jusqu’à arriver, vers midi, à une joie petite auberge restaurant où nous avons déjeuner.

Nous avons continué la conversation de la veille et c’est tout naturellement qu’après le café, Maxime me demanda :
- As-tu envie de moi ?
- Oui, j’ai envie, dis-je.
- Alors suit moi !
L’invitation semble claire, il allait me conduire dans une chambre et des frissons ont parcourus mon corps.
Peu de temps après nous étions dans une chambre au premier étage de l’auberge, il s’est assis dans un fauteuil et debout je l’ai regardé, j’étais certaine qu’il attendait que je prenne les initiatives.
Je me rapproche de lui et me met à genoux entre ses jambes, puis glisse ma main vers la grosse bosse qui déforme son pantalon
Autant en proie à l’excitation qu’au doute, je lui ai dit :
- Ne bouge pas, laisse-toi faire.
Mes doigts se jouent de ses boutons de sa braguette, et lorsque les pans de toile s’écartent, son sexe prend son aise dans son caleçon en le déformant, puis ses fesses se soulèvent pour que je puisse faire glisser ses vêtements.

Je découvre un épais membre dépassant toutes mes attentes et affolant tous mes sens.
Rigide et gonflée, je la tiens quelques secondes dans la main en réalisant l’étonnante circonférence de ce membre, le gland somptueux entièrement découvert par une circoncision.
Je baisse la tête pour prendre ce membre entre mes lèvres, je les ouvre pour l’accueillir et ma bouche en est entièrement remplie. Avec une infinie tendresse
Je descends lentement le long de la hampe et commence des allers et retours en prenant le temps pour de courtes pauses pour lécher le gland parfaitement dessiné.
Maxime pose une main sur ma tête pour m’indiquer que le dernier rempart de sa résistance à s’offrir à moi vient de céder, il s’offre à moi, la transsexuelle.

Il souffle et râle, étreint mes cheveux, lorsque je redouble d’activité il me fait sentir qu’’il est sur le point de jouir, alors je marque une pause et il me dit :
- Tu suces divinement !
- Viens, on sera mieux sur le lit, lui dis-je.

Je me suis allongée sur le ventre et j’ai rajouté :
- Prends-moi comme une femme, je suis prête !
Lorsque sa main glissa le long de mon dos pour arriver sur mes fesses, mon ventre se contracte agréablement, impatiente de sentir le sexe de Maxime me pénétrer, mais je sens un doigt timide s’insinuer entre mes fesses.
Puis le doigt s’enfonce dans mon anus, suivis très vite d’un deuxième, les deux doigts pénètrent mon anus, et je l’entends dire :
- Tu m’excites trop, prends-moi !
Une légère douleur se fait sentir lorsque le nœud massif vainc mon sphincter, et après une courte pause, sa queue regagne du terrain.
L’épais membre avance inexorablement en moi, s’enfonçant toujours davantage en dilatant remarquablement mon orifice. Lorsqu’il est tout en moi, il s’immobilise le temps de relever un peu mes fesses pour que je sois bien cambrée et démarre de amples vas et vient dans mes reins. Sous les assauts de Maxime mon anus devient souple et s’habitue à l’imposante pénétration qu’il subit.
Lorsque son étreinte s’intensifie, le plaisir monte en moi et l’orgasme a raison de nous, alors qu’il me possède ses doigts rivés à mes hanches, je le sens devenir immense lorsqu’il gicle au fond de moi, et une boule de chaleur envahit mon corps et je jouis, abandonnée, à sa merci.
Il faut un long moment avant que l’un de nous rompe le silence.
- Pourquoi ai-je attendu tant de temps ?
- Pour me rencontrer, lui-dis-je.
- J’adore ton cul, Cindy.
- Et moi, ton membre, Maxime, nous étions faits pour nous rencontrer.
Nous avons passé une bonne partie de la nuit à faire l’amour en buvant quelques verres. Combien de fois il m’a sodomisé, je ne m’en souviens pas, la seule pensée que je me souvienne c’est qu’à cet instant j’avais envie de vivre avec lui.

Les semaines suivantes, Maxime devint mon seul amant, fidèle, sa capacité à me faire jouir me rendait heureuse et entre ses bras je me sentais véritablement femme.
Nous ne restions jamais plus de deux jours sans nous voir et sortions souvent le soir, ce qui a fait que mes études en ont pris un coup, mais Maxime m’a fait rectifier la tendance en me menaçant de plus venir, si jamais mes résultats ne s’amélioraient pas.

Grace à mon acharnement à améliorer mes études nous nous sommes revus de plus en plus souvent, beaucoup trop de points communs nous unissaient et surtout le plaisir d’être ensemble et de faire l’amour, alors c’est tout naturellement que Maxime me proposa de m’installer chez lui.
J’ai aussitôt accepté et dès le lendemain je m’installais chez lui.
Voici une semaine maintenant que nous vivons ensemble, nous sommes vraiment heureux et c’est tout naturellement que Maxime, hier, m’a proposé de me faire opérer et de devenir ainsi une véritable femme… »

A suivre…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!