Laetitia Et David Partie 2 : La Transformation

Laetitia et David Partie 2 : La transformation
POV David

— Spécial ? À toi de juger.
Un large sourire naissait sur les belles lèvres de Laetitia. Son rouge à lèvres semblait subtil, mais terriblement sexy.
Qu’avait-elle derrière la tête ? Pourquoi cela m’excitait ? Elle posa sa main sur ma cuisse et me regarda tendrement.
— J’aimerais que tu te travestisses.
Je contemplais son sourire avec étonnement, où avait-elle eu cette idée ? Elle reprit la parole.
— J’ai vu tes commandes sur Amazon, collant, jupe, body… Petit coquin.
Je restais silencieux, j’avais un peu honte d’avoir caché tout ça à ma copine.
— Je ne pense pas que ça soit compliqué de réaliser mon fantasme, n’est-ce pas, chéri ? Me demanda-t-elle.
Fort heureusement, elle l’avait bien pris, elle n’était pas énervée. Je ne lui répondis pas encore.
— Je demande bien l’endroit où tu caches tes vêtements féminins. Je suis très excitée et curieuse de te voir vêtu de la sorte.
— Je suis désolé de n’avoir rien dit, dis-je, coupable.
— Je ne t’en veux pas, me sourit-elle, tu avais honte de me le dire, n’est-ce pas ?
Laetitia me sourit encore une fois, ses lèvres dégageaient une saveur exotique. Je lui répondis par un signe de la tête. Je me levais pour me chercher un verre d’eau.
— Ce week-end cela te dit ? Me demanda-t-elle avec des yeux doux.
Je respirais un coup.
— C’est d’accord pour ce week-end, dis-je.
— Merci, mon chéri. Je t’aime beaucoup ! Vendredi tu finis la journée vers midi, si je me rappelle bien.
— Tu as une belle mémoire, ris-je.
— Tu passeras chez ma sœur, Léa, elle va t’apprendre à te maquiller, te coiffer, t’habiller, te comporter comme une fille.
— Oh, pourquoi cela ne sera pas toi ?
— C’est pour avoir l’effet de surprise. Je n’ai pas envie de goûter un gâteau à moitié cuit.
Je souris sa métaphore m’avait fait bien rire.


— D’accord.
Je serrais ma copine dans mes bras pendant de longues minutes. Je murmurais dans son oreille.
— Je suis content que tu prennes notre couple en main.


Il faisait bien beau pour un jour d’hivers. Je portais un sac où se trouvait tous les vêtements féminins que je devais mettre. Le contenu était encore inconnu pour moi, cela m’excitait. Quelle tenue avait choisi Laetitia pour ce week-end ?
Je ne pouvais pas ouvrir le sac, évidement. Il y avait un cadenas à code qui se dressait fièrement.
J’étais impatient de savoir.
J’arrivais devant l’immeuble de Léa, je sonnais sur l’interphone. Une voix douce sortit de l’haut-parleur.
— Entre David, troisième étage, numéro 35.
La porte s’ouvrit toute seule, et j’y entrais. Mon cœur commence à battre de plus en plus. Je montais les escaliers.
Quelques minutes plus tard, j’étais devant la porte de l’appartement de Léa. Celle-ci semblait à peine entrouverte.
— Entre David, dit-elle derrières la porte.
Je poussais délicatement la porte, et je découvris Léa, une femme ravissante. Était-elle habillée spécialement pour moi ? La sœur de Léti portait une robe noire transparente à imprimé cœur, on pouvait voir elle arborait un magnifique body en dentelle dessous.
Ses jambes étaient vêtues d’une paire de collant opaques un peu brillant. Léa semblait mignonne dans cette tenue. Elle me sourit.
— David cela fait si longtemps, dit-elle en prenant dans les bras.
Une odeur champêtre se dégageait de son coup, c’était fort agréable !
— Cela doit être le sac des vêtements, j’imagine, comment a-t-elle à le prenant, tu arrives juste à temps, le repas est prêt.
Elle s’installa autour de la table de la cuisine, et apporta mon assiette. Léa s’assit en face de moi, et me sourit. C’était étrange, elle ressemblait terriblement à Léti hornis sa couleur de cheveux ; un mauve somptueux !
— Tu es ravissante, dis-je comme si c’était adressé à Léti.

— Elle te plaît ma tenue ? Je me suis habillée spécialement pour toi, sourit-elle.
— En quel honneur ?
— Faut-il ment un honneur pour bien s’habiller.
On mangea tranquillement notre repas, c’était un plan vraiment succulent.
— Léti, m’a dit que tu es maquilleuse dans le cinéma ?
— Ouais, ma spécialité c’est le maquillage de science-fiction, fantasy, horreur. Et toi ? Comment elle a découvert ton travestissement ?
— Mes commandes sur Amazon, on partage le même compte.
Léa rit. Elle se leva et prit les assiettes.
— Va à la salle de bain, déshabille-toi. On procéder à l’épilation, je vais te rejoindre, je range la table.
Je me levai et selon les indications de Léa, je me dirigeais vers la salle de bain. Ma transformation commença, je ne pouvais pas revenir en arrière. Cela m’excitait autant de cela m’angoissait. Une fois à la salle de bain, j’enlevais mes vêtements. Je remarquais une énorme bosse sur mon caleçon. J’essayais à tout prix de la camoufler, mais je n’y arrivais pas.
Léa entra et me sourit en voyant ma grosse érection.
— Je savais bien que je te faisais de l’effet. Assis toi, je vais commencer par tes jambes.
Je m’assis et Léa prit délicatement mes jambes poilues, c’était la partie de mon corps la plus poilue.
— Je me demande toujours pourquoi tu es tombé amoureux de ma sœur. Pourtant j’étais bien plus belle qu’elle a l’époque.
— Tu es jalouse, ris-je
— Oui, tu es son premier copain, moi mes relations étaient toujours compliquées. Je savais bien tu étais la bonne personne, mais bon tu as choisi Léti.
Léa semblait être très appliquée dans qu’elle faisait. Moi, aucun moyen de débander. Sa tenue était tellement sexy.
— Je peux te faire une confidence ? demanda Léa. Je pense souvent à toi.
Je lui souris en guise de réponse.
— Je crois même que je suis toujours amoureuse de toi, c’est pour ça que je n’arrive pas trouver un copain.

Je soupirais.
— Désolée je ne voulais pas de mettre mal à l’aise, je voulais te le dire c’est important pour moi. Voilà tes jambes sont épilées. Bon on va passer à ton torse.
— Non, je ne t’en veux pas Léa. J’espère que Léti n’a pas fait une erreur.
Le déroulement de l’épilation se déroula normalement jusqu’au moment elle me demanda de retirer mon caleçon.
— Léti a bien le pubis épilé, moi aussi, je ne vois pas où est le problème pour toi ? Tu lui diras que c’est une surprise.
— D’accord, souris je.
À vrai dire que je n’avais pas le choix. J’enlevais mon sous-vêtement et ma queue se dressa fièrement devant elle.
— Je n’ai jamais vu un mec prendre autant de plaisir à être épilé, rit-elle.
Je riais avec elle. Léa prit mon sexe entre ses mains et sans gêne fit quelques caresses.
— Dis donc, elle est vraiment dure ! Restons concentrés.
Quelques minutes plus tard, mon sexe semblait complètement lisse et doux. Me voilà aussi imberbe de ma copine, c’était excitant ?
— J’arrive je vais récupérer le sac.
Léa partit de la pièce, mon sexe imberbe semblait toujours se dresser. Je l’attrapais surtout pour savoir quelle était la sensation que cela procurait de n’avoir aucun poil. Mais l’excitation prit le dessus, je me masturbais. Léa entra, vit ma branlette. J’arrêtais immédiatement.
— Je n’y crois pas, je te laisse deux minutes tout seul et tu te branles, dit Léa en haussant la voix.
J’avais l’impression de faire punir après avoir fait une connerie.
— Je suis désolé, dis-je.
— Tu me déçois beaucoup David, je vais en parler à ma sœur, elle m’a raconté que vous pratiquez une relation de domination et de soumission.
— Est-ce vraiment une bonne idée ?
— Si tu es bien obéissant, je n’en dirais rien.
Je me sentais tellement humilié et honteux.
— Je suis bien curieuse de savoir les vêtements cachés à l’intérieur de ce sac.
Moi aussi !
Léa composa le code et retira le cadenas ouvrit le zip.
Je n’arrivais pas voir ce qu’il avait à l’intérieur depuis ma place. Léa fit un large sourire. Elle retira un premier habit, et me le donna, une paire de collants noirs. Puis elle me passa une jupe rouge à carreaux et une chemise blanche. Tous les vêtements étaient à ma taille.
Léa m’aidait à mettre mes habits comme si j’étais une petite fille. Il y avait une sensation étrange qui parcourait mon corps. L’excitation qui se mêlait à de la honte. Les caresses du collant faisaient qu'accen mon excitation. J’avais peur d’éjaculer trop vite.
Léa réajusta mon collant, mais c’était un prétexte pour me toucher.
Un gémissement s’échappait de ma bouche.
— Ne me dis pas tu vas jouir, me critiqua-t-elle. Être une sissy t’excite tant de ça !
Elle avait complètement raison !
J’admirais mon reflet dans la glace. Je ressemblais une étudiante avec cet uniforme scolaire, c’était encore une fois de plus excitant. La jupe à carreaux cachait avec élégance ma bite dure.
— Je vais t’aider à mettre la perruque, me dit Léa.
La sœur de Léti positionna correctement la longue perruque blonde. Elle me coiffa. Dans quoi aventure suis-je embarqué ?
— Tu ressembles de plus en plus à une sissy, c’est excitant ! Mais il te manque le maquillage.
La femme fouilla dans son matériel et sortit quelques tubes dont je ne connais pas la mettre. Elle m’expliqua avec passion tous les produits. Le fond de teint, mascaras, rouge à lèvres… J’étais perdu avec tous ces accessoires.
Léa me maquilla avec douceur et passion. C’était tellement agréable de se faire chouchouter de cette façon.
— Regard-toi comment tu es belle ! me dit Léa, ma sœur sera tellement fière d’avoir une si belle sissy.
Elle souleva ma jupe, l’énorme bosse semblait être toujours là.
— Je te peux te soulager, dit-elle en frottant son genou contre mon sexe, tu m’excites beaucoup, et je t’excite. Arrêtons de résister à nos pulsions sexuelles, et faisons l’amour. Si tu acceptes, je ne dirais rien à Léti, ça sera notre petit secret. Qu’est-ce que tu en dis ?

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