Un Câlin
Un câlin
Dimanche après-midi, je suis installé dans le canapé pour voir le match de foot de mon équipe préférée
Installé, que dis-je
plutôt avachi, abousé dans le sofa avec les jambes posées sur la table basse du salon. Bien que, avec mes 60 printemps et lâge aidant, je devienne « un peu sourd » le son est au minimum car ma douce travaille avec son ordinateur sur la table, non loin de moi. En cette période de lannée, il lui faut rentrer les notes et appréciations des élèves de sa classe sur le site du ministère et, comme souvent, le site est saturé : il y a si peu de temps pour effec cette tâche et tellement denseignants qui doivent se connecter au même moment. Rien ne semble vouloir aller comme elle le souhaite et Je lentends souffler, remuer sur sa chaise et sagacer de plus en plus.
Linformatique, cest bien
surtout quand ça marche sinon, ça devient vite exaspérant
Si ma douce est le petit nom que je donne à mon épouse, il faut bien reconnaitre quelle a su, au bout de vingt ans de mariage, montrer dautres facettes de sa personnalité : Ses ardeurs dans notre intimité ont dévoilé son tempérament de feu et de tigresse lors de nos ébats ; quant à ses élèves, Je doute quils la qualifient de douce lorsquelle impose, à sa trentaine de petits diables de 8 ou 9 ans, les règles du bien vivre en groupe. De plus, la cinquantaine passée, la ménopause avec ses bouffées de chaleur et ses déficits hormonaux lont rendu plus irritable et plus sujette à des changements dhumeur que je ne lavais imaginé au début de notre relation mais elle reste toujours, à mes yeux, « ma douce »
Comme nous sommes dimanche et que, travail oblige, nous ne sommes pas sortis, elle est vêtue de son jogging dintérieur qui lui permet de gérer facilement ses bouffées en ouvrant en grand le haut de son survêt et en lagitant afin de faire des courants dair. Il va sans dire que je profite de ces instants pour admirer son corps qui continue de mémouvoir et de me faire grimper, à mon tour, en température
1m70 pour 57kg, elle est svelte et sentretient avec le yoga.
Pour le moment, elle sagite, elle souffle, elle râle après son ordinateur
Elle me fait penser à la mer qui, sous les effets du vent de plus en plus violent, sagite, se moutonne, se noircit et se creuse
Lorage sannonce et la tempête approche à grand pas
Je baisse encore un peu plus le son de la télé, cest dautant moins gênant pour moi que la mi-temps approche et je ne veux pas rajouter à son agacement que je sens de plus en plus fort. Rien ny fait, son énervement prend le pas sur sa zen attitude
Alerte ! Avis de tempête
Tous aux abris
Elle sagite à nouveau, tape de plus en plus vite et de plus fort sur son ordinateur
Pauvre machine
Je tente un « Ca ne va pas comme tu veux, ma chérie ? Veux-tu que je taide ? »
elle ne répond pas
Quand on entend parler du manque de communication dans les vieux couples, on doit avoir conscience que ça commence comme ça : lun parle et lautre lignore
Je dois reconnaître que ma question est stupide car purement martienne : La vénusienne quelle est a besoin dexprimer ce quelle ressent et comment elle le vit
Elle na pas besoin dune solution proposée par un type avachi à côté delle
Je me maudis de ne pas faire leffort de lui demander comment elle se sent avec le travail, comment elle réussit à gérer ses difficultés. Ce serait facile dautant plus que la mi-temps vient darriver et que jai de longues minutes à lui consacrer mais il est déjà trop tard
elle remue encore plus sur sa chaise, souffle de plus en plus fort et finit par se lever brutalement. Elle fonce à grands pas vers moi en criant presque
« Je veux un câlin ».
Je nai que le temps déteindre le son de la télé et de replier mes jambes vers moi pour lui libérer le passage
Elle sécroule à mes côtés et vient se coller à moi : Tête blottie contre mon aisselle gauche et corps soudé au mien.
Timidement, je monte et descend ma main le long de son bras pour tenter de la réconforter. De ma bouche, je fais lessuie-glace et, au travers de ses cheveux, me frais un passage pour atteindre son front que je bécote tout doucement
Elle sapaise
Son souffle diminue, sa respiration ralentit et je sens quelle se détend un peu
. Je remonte ma main le long de son bras gauche pour atteindre son épaule
Moins rigide, son corps se relâche légèrement et je peux atteindre sa nuque que jenveloppe de ma main. Mes bécots deviennent des bisous un peu plus appuyés sur son front et mes doigts remontent le long de sa nuque pour passer doucement sur le bas de son crâne. Je remonte ses cheveux et je sens quelle sapaise encore
Sa tête se décrispe et finit par bouger un peu. Elle la décolle un peu de ma poitrine et son corps sécarte très légèrement du mien
Mes baisers descendent de son front à ses sourcils, ma main continue de masser son occiput. Ma bouche alterne entre son front et ses sourcils tandis que mes doigts glissent derrière ses oreilles en enserrant sa nuque
Cette caresse est très paternelle. Je sais quelle lapprécie beaucoup et quelle rassure la petite fille qui est en elle
Ma bouche descend sur ses yeux humides
Quelle souffrance que ce métier pourtant si passionnant peut apporter aux braves « petits soldats de la république » ! Si peu de reconnaissance de la part des parents qui considèrent que les enseignants ne respectent pas leur progéniture. Si peu de reconnaissance de la part du ministère qui baldingue ses enseignants de réformes en réformes et si peu de reconnaissance au travers du salaire
Pour tenter dapaiser sa détresse, je picore son visage tandis que ma main droite masse son cuir chevelu dans un geste enveloppant et rassurant.
Le gratuit des uns peut-il rejoindre le gratuit des autres ?
Je maventure avec audace
Je bisouille son front, ses sourcils et ses yeux tandis que mes doigts continuent de masser son cuir chevelu. Ma main descend sur sa nuque et son épaule tandis que mes lèvres cheminent vers son oreille gauche. Mes doigts remontent de son épaule à son cou, mon pouce longe son menton tandis que mon index et mon majeur glissent derrière son oreille. Jenveloppe ainsi sa tête de ma main et, profitant de ce quelle est moins crispée, je tourne son visage vers moi et lui fais un baiser chaste sur le nez. Elle ouvre ses yeux et me regarde
Elle est enfin détendue et sa peine satténue. Nous restons ainsi quelques instants, tous deux enlacés dans un moment de calme en laissant nos respirations sapaiser
Je profite de ce répit pour mettre mon bras sur laccoudoir et me redresser ce qui fait quelle se décolle encore un peu plus de moi. Mieux installé, je la garde tout contre moi avec mon bras gauche en appréciant davoir un peu plus de liberté de gestes. Nos visages peuvent enfin se retrouver face à face et nos regards peuvent se croiser. La ferveur de mon regard croise ses yeux embués de larmes qui expriment sa peine et son mal-être. Je prends ses jambes que jinstalle sur les miennes et elle est maintenant équilibrée par mon bras gauche qui la maintient et lempêche de glisser. Nos corps restent serrés lun contre lautre mais ma main droite a enfin une liberté de manuvre que je nosais pas espérer il y a quelque temps.
Il faut toujours profiter des opportunités qui nous sont offertes
Jembrasse sa joue, ma main masse sa nuque. Jembrasse ses yeux, jembrasse son nez et glisse lentement vers sa bouche : nos lèvres seffleurent tandis que mes doigts glissent le long de son oreille. Ma belle me laisse faire
Ma bouche repart vers ses yeux, ma main descend sur son épaule. Ma bouche revient vers ses lèvres tandis que mes doigts sinfiltrent sous le tissu de son jogging afin denvelopper son épaule
Ma bouche séchappe vers sa joue droite, ce qui lui fait tourner la tête tandis que mes doigts glissent vers son cou
. Ma bouche saventure vers son oreille droite tandis que mes doigts dé zippent le haut de son survêtement pour échancrer son décolleté. Ma belle se laisse aller et sabandonne à mes caresses
Ma main gauche commence à sactiver et lui caresse lentement le dos tandis que la droite caresse, à plat, le haut de sa poitrine jusquà son cou que jenveloppe avec douceur
Je reviens vers sa bouche et commence, avec ma langue, à titiller ses lèvres mais ma diablesse ne sabandonne pas encore et je trouve portes closes. Quimporte
je continue de la butiner tandis que mes deux mains sactivent sur son corps
Ma main gauche, bloquée par son torse, entreprend de monter et descendre le long de son flanc tandis que ma main droite glisse de sa poitrine à son cou puis à son épaule et à sa nuque
Mes baisers sintensifient sur son visage et sur sa bouche
Jinvesti la forteresse de ma chérie et je mactive sur tous les fronts
Je marrête, me recule et la regarde avec avidité. Ses yeux ne sont plus embués et deviennent rieurs. Est-ce un effet de mon imagination ?
Quand une porte sentrouvre, il faut : soit la fermer, soit louvrir
Je sais que je peux poursuivre sur ce chemin mais
sans brusquerie ! Comme son regard ne se voile pas et quelle reste immobile, face à moi, je continue mon investissement
Je libère mon bras gauche en la positionnant contre le dossier du sofa. Ses jambes, toujours posées sur les miennes me bloquent un peu et ma position nest pas idéale pour la suite des opérations
Je pivote de quarante cinq degrés pour être en biais sur le canapé, fesses au bord de lassise ce qui lui permet dêtre mieux installée : Elle ne peut plus glisser, ainsi adossée
Ma main gauche caresse le côté de son visage tandis que mes lèvres rejoignent les siennes dans un baiser qui devient de moins en moins chaste
Ma main droite descend sur sa hanche, sinsère sous son jogging pour remonter le long de son flanc
Ses lèvres, enfin, sentrouvrent et notre baiser devient plus langoureux
Je me recule et prend son visage entre mes deux mains, je plonge avec ferveur pour lembrasser à nouveaux
Nos lèvres se trouvent et libèrent enfin le passage à nos langues qui se croisent et se tricotent pendant que nos salives se mélangent dans un baiser de plus en plus sensuel
Je glisse ma main gauche le long de sa nuque tandis ma main droite replonge sous le tissu de son survêtement pour remonter sur son ventre et se glisser sous son sein
Nos baisers deviennent de plus en plus chauds, nos souffles sont de plus en plus rapides et ma main vient empaumer son sein tandis que nos lèvres ne se désunissent plus
Mon corps commence à vibrer. Lexcitation menvahit, je me sens fébrile de désir pour elle et denvie de jouissance. Je ne suis pas loin de redevenir un petit qui perd tout contrôle de ses gestes et de son corps tant lardeur le gagne mais ce ne serait pas rendre grâce à ma chérie que de lui offrir un trublion mal dégrossi alors je me ressaisi
je regagne le contrôle de mon corps, je ralenti et stoppe mes gestes, me recule et la regarde avec avidité. Elle voit, dans mes yeux, lardeur qui mhabite et son regard se trouble. Le désir commencerait-il à lui faire, lui aussi, de leffet ?
Encouragé par sa faible résistance, jouvre encore plus la porte en dé zippant le haut de son jogging.
Elle ne résiste pas et bombe même son torse pour me laisser entrcevoir ses seins sous le tissu que je nai pas écarté. Ses tétons pointent au travers du tissu, signe que le désir commence à la gagner elle aussi
Ma main gauche agrippe le col de son survêtement et le fait glisser le long de son épaule, ce qui libère son sein droit que jempoigne aussitôt. Ma main droite nest pas en reste : elle sactive sur son côté gauche en remontant sur son ventre jusquà empaumer son sein gauche, je le soutiens et le remonte doucement , je glisse ma paume sur ce mamelon pour atteindre son épaule et je libère son torse de ce tissu gênant en le faisant glisser le long de son bras
Ma douce se redresse, se contorsionne et enlève le haut de son jogging quelle jette au loin dans le salon, me laissant ainsi tout le loisir de ladmirer torse nu
Cest louverture tant attendue que jexploite aussitôt. Ma main gauche caresse son épaule, ma main droite caresse sa joue tandis que mes lèvres viennent butiner de son cou à son torse
je papillonne sur la partie supérieure de ses seins, je bisouille son sillon inter-mammaire, mes mains sactivent sur sa nuque et sur sa joue
Je reviens lembrasser avec passion tandis que mes mains glissent, râpent et grignotent son ventre et son torse
Ma bouche redescend sur son cou, sur le haut de sa poitrine que je parcours avec avidité. Ma langue lèche son sillon, bifurque sur son sein gauche et découvre, avec bonheur, les différentes textures de son sein : la douceur du mamelon, le fripé de son aréole qui conduit au bouton érigé du téton que je lèche avec volupté
Brusquement, ma bouche sentrouvre et je le ventouse. Elle pousse un petit cri
Quand une porte est ouverte, il faut entrer
Même si je nai pas reçu dinvitation, je sais que cette demeure est prête à maccueillir alors je nhésite plus et pousse mon avantage. Ma fébrilité a disparue, je suis maintenant habité par le désir de procurer du plaisir à ma douce et par lenvie de jouissance mutuelle
Je suçote, je tête son sein gauche tandis que mes mains sactivent encore sur son corps. Ma main gauche caresse, empaume et titille son sein droit alors que ma main droite descend sur ses hanches quelle malaxe et pétrit tendrement
Ma bouche remonte le long de son cou, jembrasse et je lèche son oreille, jaspire sa joue et vient marrimer à ses lèvres
Mes mains tâtonnent sur son corps, explorent à laveugle la carte du tendre
je batifole de mes lèvres sur ce territoire si connu et qui, pourtant, reste encore le plus grand mystère de ma vie
Je glisse mes fesses hors du canapé, me laisse descendre au sol et vient minstaller, à genou, entre ses jambes. Ses bras se tendent vers moi et ses yeux se vitrent de désir
De mes fesses, je repousse la table basse et me redresse pour coller mon corps au sien. Je me frotte à elle, jenfouis mon visage dans son cou tandis que mes mains descendent le long de ses flancs pour arrimer ses hanches
Je pousse sa poitrine contre le dossier tout en tirant de mes mains pour la faire basculer. Ses hanches glissent sur le canapé pour se retrouver au bord de lassise et ses jambes se tendent pour lui éviter de glisser
Je tire sur le pantalon de son jogging qui descend le long de ses fesses, jembrasse ses seins, je souffle le chaud sur sa poitrine tout en lattirant à moi. Ses jambes se resserrent sur moi et le pantalon continue de glisser le long de ses cuisses en me révélant son tanga de dentelle noire, dernier rempart de son corps et de sa féminité qui mattire comme un aimant
Ma bouche descend sur son ventre tandis que je recule et continue de faire glisser son pantalon le long de ses jambes. Elle accompagne le mouvement en les levant et en agitant ses pieds pour éjecter son pantalon loin de nous dans le salon, nous libérant de cette barrière à notre étreinte
Nos regards se croisent et son sourire complice mindique quelle participe, maintenant, pleinement à notre fusion des corps. Elle se penche, agrippe mon sweat quelle menlève en le tirant par le haut
Mutine, elle se recule dans le canapé, les bras ballants le long de son corps
Elle participe, certes mais elle me laisse toute linitiative de la danse. Ma dame attend
Ma tête plonge sur son ventre tandis que mes mains glissent le long de ses cuisses. Mes lèvres cheminent jusquau bord de son tanga et mes mains épousent ses genoux que jécarte doucement. Elle soupire
Ma langue parcourt le liseré de la dentelle alors que mes mains remontent dans lintérieur de ses cuisses que jouvre encore plus
Ma bouche descend le long de son aine et ma langue glisse le long du tissu
Je remonte sa jambe gauche sur mon épaule pour mouvrir un passage et ma bouche picore lintérieur de sa cuisse. Je chemine jusquà larrière de son genou que je lèche avec avidité. Je repars, remonte le long de sa cuisse jusquà retrouver son tanga
Je le longe jusquà sa hanche. Je rejoins, à grands coups de langue, son nombril tandis que ma main gauche qui caressait ses hanches, sinsinue dans son dos pour pétrir ses fesses
Le souffle de ma douce saccélère, ses mains commencent à se mouvoir et elle caresse mes cheveux pour mencourager à poursuivre
Quand on est invité, il est toujours bon doffrir un cadeau
Je relève la tête pour lobserver et ladmirer
Toute sa peine a disparue, ma douce est détendue, lascive, elle soffre à mes caresses et je vis, avec elle, un moment de pure félicité
Jaime ce partage qui nous conduit à lextase
Je pose à plat ma main droite sur son pubis, je frotte doucement, à travers le tissu, son mont de vénus tout en observant ses réactions. Croire que cest lheure de lestocade serait une grosse erreur
Nous nen sommes quaux banderilles et ma douce mérite mieux quun rapide bâclage. Elle a le droit de grimper aux rideaux et je compte bien my employer
Toujours à plat, ma main glisse plus bas et atteint larête de son mont : cette frontière entre le plateau boisé de son pubis et la vallée des merveilles de son con ; cette zone qui délimite le calme et la tempête des sens ; cette zone où se niche, bien à labri, son bouton des plaisirs ; cette zone qui marque la frontière entre le pudique et limpudique dans les caresses
Je maventure sur ce nouveau territoire et descend ma main. Jempaume son sexe et le frotte, à travers le tissu, en de lents va et vient qui lessouffle encore un peu plus. Elle se laisse aller et sabandonne
Je continue de malaxer ses fesses de ma main gauche et, dun doigt, jécarte son slip pour me permettre dapercevoir lorée de sa toison que ma bouche sempresse de venir brouter
Jécarte encore un peu plus le tissu pour lécher le sillon entre son aine et ses grandes lèvres. Ma langue monte et descend le long de cette vallée
Je tire encore sur le tissu pour dévoiler les poils de son intimité que mes lèvres gobent avec tendresse et ardeur
Je suce, jaspire, je lèche, je gobe son buisson ardent. Je redescends dans la vallée que je lape à coup de langue puis repart dans lintérieur de sa cuisse pour atteindre son genou
Ma chérie a les mains tendues vers mon visage et son regard en dit long sur ses intentions : « Continue
Tu me fais du bien
» me disent ses yeux qui luisent de désir
Je me redresse et tire sur le dernier rempart qui me sépare de son corps. Ma douce me laisse faire en levant ses jambes et en moffrant son ultime vêtement
Je lui souris et le porte à mes narines
Elle sait que je suis friand de ses effluves
A mon tour de lui offrir mon cadeau : je retire pantalon et boxer et lui offre la vision de mon sexe en érection
Certes, je ne bande plus comme lâne que jétais à 30 ans mais, là, je bande et je bande dur et elle le voit
Ses lèvres sentrouvrent et un sourire se dessine sur celles-ci
Ma chérie sait être gourmande et je veux lui offrir un voyage en extase qui la fera grimper au 7ème ciel, elle le mérite et je suis encore loin de lui avoir exprimé tout mon amour
Je me remets à genoux et replonge vers son intimité. Ses effluves sont encore plus enivrantes à la source et dopent encore plus ma libido
De mes deux mains, je pousse ses cuisses vers le haut et je parcours avec bonheur et délice les deux vallées qui entourent le point culminent de mon désir
Jarrose de ma salive ses grandes lèvres, je les lèche tour à tour, je les suce et les aspire tout en les tirant vers lextérieur. Mes mains caressent à qui mieux mieux : son ventre, ses hanches, ses fesses et ses seins que je malaxe de mes doigts
Ma bouche descend sur son périnée et semploie, en remontant, à lubrifier lentrée de sa grotte damour
Je redescend, de ma main gauche, pétrir ses fesses tandis que ma droite continue de triturer ses tétons
Je lentends soupirer daise
Ma langue remonte le long de sa vulve presquà rejoindre son clitoris mais je veux la faire languir, je la veux en désir et en délire
Je replonge sur ses grandes lèvres et son périnée, je repars, de la pointe de la langue, explorer lentrée de sa grotte et fouiller son intimité
Mes mains et ma bouche sactivent à la faire chavirer et je lentends haleter sous mes caresses
Consciencieusement, avec application, je lape et explore son puits damour encore et encore jusquà lui offrir de rejoindre son bouton des plaisirs que jengobe avec toute la douceur que mon ardeur juvénile mautorise à avoir
Je tête lentement son clitoris tout en pétrissant ses fesses et son ventre
Elle se tend et se cabre sous leffet de mes actions. Notre désir à tous les deux devient brûlant et ma main droite vient branler son clito tandis que ma bouche continue de lubrifier lentrée de son vagin
Je lentends haleter, elle se tortille sous mes caresses et ce sont, maintenant, ses mains qui pétrissent ses seins quelle malaxe avec ardeur. Son désir de jouissance sintensifie et ma tigresse séveille sous mes mains
Offrir un cadeau, cest offrir un peu de soi
Je relève la tête pour ladmirer : Tête en arrière, bouche grande ouverte pour aspirer goulument lair, son corps ondule et se cambre tandis quelle se triture et se pince les tétons
son ventre pousse contre mes doigts qui la branlent et elle ondule des hanches pour accompagner les va et vient que je lui prodigue
Ma main gauche glisse sous ses fesses et mon pouce vient se poser sur lentrée de sa grotte secrète
Mon pouce glisse le long du périnée, sétend encore un peu pour shumecter de sa cyprine à lentrée de son vagin puis repart à lassaut de son petit trou. Jalterne de son cul au périnée puis au puits damour
Toute la zone devient un immense marécage de cyprine tandis que ma bouche irrigue ses petites lèvres et que mes doigts la branlent avec régularité
Ses ondulations sintensifient, elle décolle littéralement du canapé pour retomber sur ma main et mon pouce qui sintroduit de plus en plus dans son rectum dont le sphincter sest ouvert sous leffet de lexcitation qui lhabite
Elle nest plus quhalètements, elle tire sur ses seins, elle râle, elle feule telle une tigresse en rut
Je continue de la branler sur le même rythme et, soudain, cest lemballement : ses râles deviennent cris, son corps sarque et elle sempale sur mon doigt qui la pénètre de toute sa longueur
Elle plonge son bassin vers lavant pour accompagner ma main droite qui la branle encore et encore. Elle seffondre sur le canapé et se couche dessus en mattirant contre elle
ses mains magrippent et maspirent
Je suis éjecté de ma position à genoux et me retrouve un genou en terre et une jambe en lair tandis que mon torse est inexorablement attiré par son corps qui seffondre sur le sofa
Ses jambes mencerclent, se nouent autour de moi et maspirent pour un arrimage immédiat
Mon sexe est englouti dans son antre
La gaine qui lentoure le ventouse et constitue le plus agréable des étuis que je puisse imaginer. De ses hanches, elle imprime une cadence qui nous emporte vers lextase
Dabord embarqué par son tourbillon, je reprends le contrôle en mappuyant sur mes genoux et en me redressant un peu. Jagrippe ses hanches et ralenti le rythme pour effec de lents va et vient dans son antre
Lextrémité de ma verge frotte la paroi antérieure de son vagin et je mefforce de la parcourir sur toute sa longueur : de lentrée de sa grotte jusquau fond du puits
Vagues après vagues, jimprime dans son ventre le ressac de mes flots
Sur le rythme lancinant dune valse à deux temps, mes hanches ondulent et cyclent un va et vient incessant dans son sexe
Son point G ainsi sollicité continue de lui envoyer des ondes de plaisir déjà éveillées par son clitoris
Ma chérie nest plus quun réceptacle impatient daccueillir mon épée qui lempale encore et encore
Ma tigresse feule, elle fait des bruits de gorge et hoquète à chacune de mes pénétrations
Je la besogne de mon sexe
Je la pilonne de mon mandrin
je veux son plaisir
Je veux sa jouissance
Je nous travaille tous les deux de mes caresses intra vaginales
je nous emmène sur le chemin de lextase et du nirvana
Nos sexes pulsent à lunisson
Nos corps ondulent une danse de plaisirs et nous explosons tous les deux dans des râles de bonheur et de jouissance
Je mécroule un peu sur ma belle tout en gardant mes coudes au sol pour ne pas lécraser
Nos souffles se régularisent
Nous reprenons lentement nos esprits sur le canapé, dans les bras lun de lautre, corps contre corps
Ma douce avec son sourire charmeur me revient. Elle caresse mes cheveux et frotte son visage contre le mien dun geste complice
Elle me garde dans ses bras encore un moment puis sécarte, membrasse tendrement et se redresse lentement.
- « Merci, mon chéri, tu mas fait beaucoup de bien, je vais beaucoup mieux
Au fait, ton match, ça a donné quoi ? »
Le match ? Quel match ?
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