Noel Avant L'Heure

Ma femme connaissait parfaitement mes goûts en matière féminine. Je n’ai jamais caché ma préférence pour les femmes brunes aux cheveux longs et aux belles formes.
Je n’ai jamais détourné le regard face à de telles beautés, elle le sait parfaitement et l’accepte depuis le début de notre rencontre. Comme on dit c’est ainsi.
Elle sait aussi que l’une de mes ex-copine était une asiatique et la aussi je n’ai jamais caché ce fait et ces beaux moments avec elle.
Dans notre vie conjugale il y a eu des hauts et des bas, des bons et de moins bons moments, je ne parle pas des derniers mois ou le changement a été si brutal et pourtant nous sommes encore plus heureux maintenant. mais j’ai eu le plaisir de découvrir une autre femme durant trois périodes précédentes a celle-ci, une femme à la libido exacerbé, aux demandes folles, elle ne pensait qu’à cela en ces doux mois, j’y reviendrais dans quelques lignes.
Nous savions que le week-end prochain nous serions seuls tous les deux à la maison, les s partant avec leurs cousins dans un parc d’attractions très connu.
Quelques jours avant ce week-end elle me dit :
“Au fait j’ai invitée deux connaissances ce samedi midi, j’espère que tu seras là”
“Et qui sont ce couple, je les connais”
“Non, non tu ne les connais pas” et elle rajouta plus bas “Je t’avouerais que moi non plus je ne les connais pas vraiment, je les ai vu pour la première fois avant-hier”
J’agrandissais les yeux et dit en murmurant ;
“Ne me dis pas que tu faut certains choix sans moi maintenant” Elle comprenait exactement de quoi je voulais parler.
“pas vraiment, c’est plutôt une surprise, pour toi comme pour moi un peu, disons que ce couple devrait beaucoup te plaire j’en suis plus que convaincu, fais moi confiance’
“Je te fais confiance totalement, mais tu pourrais en dire un peu plus tout de même”
“Non car sinon ou sera la surprise sinon, tu devras attendre samedi”
Nous avons continué à parler un moment d’autre chose, mais dans ma tête ce commençait à cogiter sévère.

Samedi 11h15, nous étions tous les deux à la maison, seuls.
Elle avait revêtu un bel ensemble noir, d’une jupe droite formant un peu ses hanches, boutonnée tout du long sur un côté, elle portait un pull col montant assez près du corps de couleur blanche.
Je demandais ce qu’elle portait la dessous, mais elle ne dit rien, elle ne me laissa pas regarder d’ailleurs
“Ca aussi c’est une surprise pour toi et pour nos invités”
Midi approchait, le repas était prêt, et au salon l’apéro attendait .
Deux coups brefs à la porte, elle me demanda d’aller ouvrir, ce que je fit bien sur
J’ouvrais la porte en commençant déjà à saluer nos invités quand les mots ne sortaient plus, la bouche muette je restais planté devant la porte ouverte
Elles étaient toutes les deux, et oui c’était deux femmes, première énorme surprise.
La plus grande était très typé latine, de grands cheveux noirs tombant sur ses épaules, de grands yeux bleus, une poitrine haute, un corps parfait en somme, elle devait à peine avoir 40 ans.
La seconde portait elle aussi les cheveux longs, elle était aussi brune, mais là s'arrêtait la comparaison. Sa peau n'était pas halée comme celle de l’autre femme, elle était très blanche au contraire, elle portait un énorme manteau épais qui cachait son corps.
Lorsque ses yeux se relève pour me fixer, la seconde surprise . Elle était asiatique, la forme de son visage et de ses yeux ne pouvait me tromper. Elle ne devait pas avoir plus de 25 30 ans.
Je commençais à me dire que tout était réuni pour passer un bon moment si elles coopèrent toutes les deux, mais si elles sont là c’est que ma femme leur avait certainement indiqué la raison.
Ma femme arriva rapidement et fit les présentations. Comme tout bon hôte, je leur demandais de me donner leurs manteaux avant d’aller dans le salon.
Et là j’ai cru être victime d’hallucinations, la grande brune qui s'appelait Carla était vêtu exactement comme Florence. Même jupe, même haut.
Je les regardais alternativement l’une et l’autre, elle se serrèrent et Florence dit alors
“Ne trouve tu pas cet ensemble plutôt sympa, non”
“Bien sur c’est plus que charmant”
Cheng me donna elle aussi son manteau, mais elle ne portait pas les mêmes, et je comprenais rapidement à la forme de son ventre arrondi. Elle était enceinte, on ne le voyait que parce qu’elle avait ôté son manteau, troisième énorme et superbe surprise.
Dans les lignes précédentes je parle des trois périodes libidineuses de Florence et bien c’est quand elle aussi était dans le même état.
Elle portait le ventre rond assez haut et devant, rien ou presque ne permettais si on la voyait de dos d’imaginer la rondeur de son ventre.
Nous nous sommes donc installés sur les deux canapés du salon, Florence et Cheng d’un côté et moi et la ravissante Carla de l’autre.
Nous avons échangé comme d’habitude en pareille circonstances sur des banalités avant d’orienter insidieusement le dialogue.
Carla nous expliqua qu’elle était divorcée depuis 5 ans et qu’elle avait deux s de 10 et 12 ans, elle dit alors qu'à cette époque son orientation sexuelle était exclusivement les hommes hormis une expérience malheureuse avec une collègue de travail. c’est aussi peu de temps après qu’elle a rencontré Cheng… je venais de comprendre comme un imbécile qu’elle n’était pas seulement amie mais qu’elles étaient en couple.
La suite fut détendu parlant ouvertement de notre intimité aux uns aux autres. On évoque sans détails non plus les quelques belles expériences que nous avions pu faire.
Je voyais leurs regards changés, elles regardaient différemment Florence et j’avais même droit à un petit sourire en coin à mon encontre.
Le déjeuner est passé tout ce qu’il y a de plus classique.
Au café nous sommes repartis ensemble vers le salon, nous avons repris les mêmes places.
L’atmosphère était chaude et électrique, lorsque Florence dit à Cheng.
“Je peu poser mes mains sur ton ventre, tu es a combien là ?
“Si tu veux parler des mois, j’attaque le dernier, au niveau des kilos je préfère ne pas savoir”
Nous avons rit à cette belle répartie.
Florence approcha sa main et la posa délicatement, elle ne bougeait pas, Cheng lui dit qu’il fallait la chercher plus bas, et qu’elle réagissait de temps à autre. Je pensais une fille dans un monde de filles, c’est peut être plus simple aujourd’hui qu’hier.
Elle déplaça sa main sur le coté un peu plus bas. Cheng pris son poignet et releva son pull elle posa sa main à un endroit et attendis.
“Oh oui je le la sens bouger légèrement”
Cheng sourit et dit alors
“Elle à déjà l’habitude de ne pas rester en place, un peu comme moi je suis une vraie pile électrique dans certaines circonstances” Elle rougit et se tût, nous avions compris les message, je crois.
Carla étai à mes cotés, elle observait Cheng et lui fit juste un geste. Cheng pris la main de Florence et la glissa plus bas entre ses jambes, Florence fut surprise et heureuse aussi.
Carla posa sa main sur mon genou et remontais en regardant mon épouse.
Florence se leva et quitta son pull délicatement, elle fit de même avec celui de Cheng et elles les jetas derrière le canapé. Elle dévoilait alors un bustier blanc d’ou descendait quatre longues lanières sous la jupe.
Carla fit de même dévoilant exactement la même chose, le mimétisme avait été poussée assez loin pour mon plus grand bonheur je le dit.
Elle reposa sa main sur mon genou et planta son regard dans le mien, elle dit alors
“Florence sait y faire quand elle veut quelque chose, cela fait bien longtemps que je me suis pas retrouvé avec un homme. Mais j’avais envie de voir ce que cela donnerait tous ensemble, alors je me suis a nouveau laissé tenter”
Elle remonta encore tout en ne me quittant pas du regard, elle pressa mon sexe dans le pantalon de toile, je détournais les yeux vers l’autre couple. Florence avait empoigné un sein et l'embrassait affectueusement elle avait glissé sa main dans ce fuseau dont elle avait ouvert la grande fermeture éclair, elle devait être sur le pubis, ses doigts proches de son sexe, Cheng fermais les yeux.
Carla me prit par le menton et dit alors en retournant mon visage
“Laisse les donc toutes les deux, nous les rejoindront dans un moment “
Elle baissa son visage et sortis mon sexe, elle l’engloutit aussitôt dans sa bouche.
Elle se déplaca lentement, elle ne lachait pas mon engin mais elle se mettait debout face a moi, les jambes tendues et le dos plié pou que sa bouche ne me quitte pas.
Elle pris tout son temps pour défaire un à un les boutons de sa jupe, celle si glissa au sol, à peu près au même moment que celle de Florence qui était dans une position semblable, elle portait toutes les deux le même string, assorti au bustier, largement ouvert entre les jambes
Toutes deux avait le sexe imberbe et lisse.
Carla se redressa progressivement et sortit sa langue de la bouche, je vis alors son piercing. Elle se caressa les lèvres un moment, puis elle leva une jambe et posa son pied sur le fauteuil, ainsi j’avais une vue superbe sur ses grandes lèvres. Un détail m'interpelle je venais de voir un petit point brillant juste au dessus de ses grandes lèvres. Je bougeai pour observer de plus près, elle avait un second piercing sur le clitoris, une petite tige métallique avec à chaque extrémité une petite boule plus large. il lui transperçait de part en part la base de son bouton d’amour. Elle se décala et Cheng fut à côté de nous en une seconde. Elle se lova dans le canapé, quittant son legging et le laissant choir au sol, elle était vraiment très belle, son sese entretenue portait un peu plus qu’un duvet, les poils étaient sombres et raides. je percevais par contre une inscription sur le haut du pubis, je distinguais mal les lettres très travaillé, pas plus de 10 lettres en tout. Je m'approchais un peu plus et découvrait l’inscription “Slut wife” inscrite sur son bas ventre, Clara ajouta
‘C’est un idée à moi, Cheng a accepté sans rechigner cela, les poils sont juste là pour cacher cela lors de l’accouchement prévu dans les semaines qui arrivent, il n’est pas question que tout le monde en profite. Seul les chanceux et ceux que nous choisissons y ont droit”
Florence arriva à son tour et pris la même position que Carla, elle écartait doucement les jambes. Elle avait le même piercing au même endroit, elle glissa un doigt dessus et me dit
“Je crois que l’on a presque fait le tour des surprises pour cette fois, et fais attention car le mien ne date que de la semaine dernière alors il est encore extrêmement sensible”
Je crois que Florence a su être convaincante mais que Carla en retour a mis aussi quelques conditions bien précises.
J’appréciais énormément le geste qui n’a pas du être facile pour elle, Carla ajouta
“c’est mon tatoueur qui lui a fait cela, il est un expert en piercings corporels, cela te plait ?”
“Oui, vraiment beaucoup et cela fait longtemps que je voulais qu’elle s’en fasse faire un intime comme cela, je lui avais même proposé le nombril ou les grandes lèvres, mais là c’est encore plus irrésistible”
Carla dit alors
“Tu verras dans un moment que ce ne sont pas les seules que je possède, penses tu que ta femme est pu en faire d’autres ?
Je répondus par la négative, celui de la langue n’y était pas, trop visible en plus. Finalement je doutais mais ne paraissait pas entièrement convaincu en fait.
Elle m’offrirent chacune leur sexe à ma bouche j’alternais de celui connu de ma femme mais avec ce petit bijou à présent à celui nouveau de cette brune irrésistible, elle sentait bon et ce mélange d’odeurs et de goûts était splendide. Leurs culottes ouvertes étaient parfaites pour cela. Cheng avait pris mon sexe dans la main et le masturbais doucement.
J’étais aux anges, trois femmes splendides et sexy pour moi seul, le bonheur quoi. Les deux femmes debout s'échangent des baisers passionnées, leurs langues sortent de leurs bouches et de la salive coule sur ma tête en même temps.
Elles se caressent mutuellement les fesses et les seins.
Cheng savait s’y prendre car il ne fallait pas beaucoup de temps pour que mon sexe atteigne sa pleine érection. Florence fit remarquer qu’il fallait que je gardes la forme pour la suite de la journée.
Cheng demanda ou était la chambre dédiée et pris avec elle le sac à main qu’elle avait emmené, elle se déplaçait de façon gracile et tout en légèreté dans la direction indiqué.
Je continuais à prendre plaisir à passer ma langue de l’une à l’autre, mélangeant leurs goûts subtils et forts.
Carla saisi la main de Florence et la mienne et nous emmena dans notre propre chambre. Cheng était allongé au milieu du lit, sur le dos , cuisses largement ouvertes, elle avait réussi à enfilé de longues chaussettes noires jusqu’à mi cuisses, elle avait disposé des objets de part et d’autre de son corps. Sur sa droite, un double-dong en latex de couleur rose d’une cinquantaine de centimètres, des pinces pour tétons, un bandeau et deux une barre métallique courte ou étaient fixées deux paires de menottes recouvertes de tissu rose aussi.
Sur sa gauche, une corde fine enroulée précautionneusement, et un harnais que je devinais grand avec quatre liens aux boucles argentées.
Elles n’étaient pas venus les mains vides et comptaient bien utiliser tout cela, je fus surpris mais pas inquiet bien au contraire.
Cheng se laissa attacher au quatre coins du lit par Carla, Florence côté droit et elle coté gauche. Quand elle fut immobilisé, Carla sortit un martinet du sac posé à terre, elle cingla rapidement le sexe de sa compagne, nous observions sans plus dire.
Le silence était total, malgré la douleur Cheng ne bougea pas et ne dit rien, des traces rouges marquaient à présent ses cuisses et son pubis. Certaines devenant presque déjà violacées. Elle serrait les dents mais aucun son ne s’échappa, elle tendit le martinet à Florence et lui dit
“Vas-y maintenant c’est à toi de la punir”
Florence approcha doucement et claqua un coup léger, puis un second.
“ne retiens pas tes coups elle mérite ce qu’elle subit et elle l’accepte c’est dans sa culture”
Le troisième fut un peu plus fort, le quatrième encore, les dix suivants montaient en puissance. Elle arrêta net quand elle vit les larmes de Cheng.
Carla disposa Florence cuisses ouvertes, ces pieds posés de part et d’autre du corps allongé, elle était assise son sexe à quelques dizaines de centimètres de celui de sa compagne. Elle prit le dong et pénétra doucement le sexe asiatique, elle rentra dix centimètres, puis elle dit à Florence de s’avance un peu, elle mit l’autre extrémité contre ses grandes levres, et dit
“Maintenant tu va faire en sorte de poursuivre ce que j’ai entrepris sur elle, je voudrais voir vos sexes s’embrasser tendrement.
Florence me regarda et s'exécuta elle avançait peu à peu vers l’autre, le long pénétrant à son tour son sexe, elle ne savait pas comment faire pour avoir la meilleure position d’approche, Carla tendis la main vers moi et pris ma main, mon aide était demandé.
Je posais mes mains sur l’objet rose et le guidais du mieux possible dans chacune. Carla me fit le geste de faire des va et vients maintenant. Je m’éxécutais doucement, elle me regardais à nouveau et je comprenais que le rythme et l’intensité n’était pas celle qu’elle attendait de moi, j'accelerais.
Les deux extrémités s'enfonçait en elle alternativement, et leurs sexes se rapprochaient doucement.
Elle me demanda de prendre les pinces et de les mettre sur les seins de Cheng, je pris les deux objets et les plaçait, les ressorts étaient très puissants, la pression fit marqué de rouge immédiatement le bout de sein coincé. Cheng ne disait rien malgré la douleur. Sa poitrine avait du prendre du volume avec cette grossesse et sa peau était tendu à l'extrême. Elle tirait dessus longuement pour être sur qu’ils tiennent, elle soulevait presque le corps en le faisant, elle serra un peu plus la vis de pression.
Elle quitta le alors son bustier et je découvrais une poitrine superbe, bien tenu, des seins opulents et fermes, elle devait avoisiner le mètre de tour de poitrine, ses aréoles étaient sombres, et chaque mamelon avait une boucle fiché dedans.
Florence me regarda et leva les yeux au ciel. Non ce ne pouvait être vrai.
Au vu de mon doute, Carla dégrafa alors son bustier, ses seins n’avait pas la grosseur et le tenue des siens mais ils avaient chacun un point commun supplémentaire désormais. Je comprends mieux aujourd’hui ses différents prétextes pour ne pas se câliner cette semaine.
Carla était très dirigiste, elle appuya sur Florence pour que sa poitrine touche celle de Cheng, à genoux maintenant elle avait quitté le dong de son sexe mais pas de celui de Cheng, Florence se tenais appuyés sur les mains et les genoux..
Carla passa l’extrémité de la corde sur son dos, elle pris alors l’anneau fixé au sein gauche et passa l’extrémité dedans, elle se leva fit le tour et fit de même au second, Elle tira un peu dessus et fixa la corde aux liens de poignet de l’asiatique.
“Maintenant toi aussi tu ne doit pas bouger, si tu tires les anneaux vont tracter tes mamelons de douleur si tu t’affaisses tu va écraser le magnifique ventre de ma compagne”
Elle reprit le martinet, et frappa doucement les fesses nues. Florence ne bougeait pas, le coup avait été léger, elle fit de même sur son dos, sur ses cuisses.
Elle souriait à pleines dents.
Elle fit tomber un coup un peu plus fort sur le haut de son dos, Florence tenta de se redresser un peu trop vite, elle cria de douleur quand les anneaux atiraient ces mamelons sensibles. Elle n’avait pas le choix il lui fallait ne pas bouger comme Cheng avant elle. Elle se regardais l’une l’autre dans les yeux, elle vit le regard insistant de Cheng et compris qu’elle n’avait pas le choix.
Un second coup frappa durement ses fesses, elle les bougeait de gauche à droite seulement, elle cria.
Carla me dit de prendre la baillon car elle en voulait pas entendre ses cris, je m’éxecutais en regardant Florence et lui dit très doucement
“Tu es sure que c’est ce que tu veux ou sinon j’arrête le jeu immédiatement”
Elle dit alors
“C’étaient les conditions que je connaissais donc il me faut continuer avec toi à mes côtés”
Le troisième frappa encore plus fort il laissait désormais de grandes traces rouges dans sa peau. Quatre ou cinq suivirent sur son dos, sur ses cuisses et elle posa le martinet.
Un souffle seulement de chacune des deux femmes, et c’est maintenant avec la main qu'elle frappait durement les fesses de mon épouse, le premier coup laissa la trace immédiate et rouge de ses doigts, Florence voulait rester immobile, elle tendait chacun de ses muscles. Carla concentrait sa force et ses coups sur ses fesses. Elle mit un doigt dans son sexe et dit alors
“Mais c’est presque qu’elle prendrais du plaisir à ça dirait-on”
Elle donne alors encore trois claques sur son postérieur, et dit satisfait
“Je crois que c’est suffisant pour l’instant
Elle ne les détachait pas, les laissant toutes deux l’une sur l’autre sans pouvoir bouger.
Je regardais mon épouse elle avait des larmes dans les yeux. Le bâillon était mâché de part la force de ses morsures dedans, elle haletait. Ses yeux n’imploraient rien de plus que le plaisir, celui des coups certes, mais celui aussi bon de la fin de l’épreuve.
Carla détacha la cordelette des seins de Florence et me demanda de l’aider à détacher Cheng de cette position.
Nous faisions vite, Florence bascula aussitôt sur le matelas et se releva presque aussi vite, ses fesses et son dos sensible. Elle se posa de côté, position la moins inconfortable pour l’instant. Carla passa ses jambes autour du visage de Cheng et lui intima l’ordre de la lécher, nous observions la scène. Son sexe collé contre la bouche de sa compagne elle nous regardait tour à tour. Ses cuisses enserrant sa tête immobile, on devinais simplement qu’au dessous elle avait dardé sa langue dans l’étui de sa compagne.
Elle nous regarda à nouveau.
“Cheng va se relever et c’est toi qui va prendre sa place la même exactement et maintenant”
Elle desserre l’étau de ses jambes Cheng reprenait son souffle, elle se releva doucement et se disposa sur le côté, elle embrassa au passage Florence et lui dit
“Ne t'inquiètes pas, je la connais parfaitement elle contrôle tout de son corps et connaît parfaitement celui des femmes, soit confiante”
Je ne sait pas pourquoi mais ce n’était pas une des phrases les plus rassurantes que j’ai entendu dans ce genre de situation.
Florence se laissa faire, elle était disposé en croix, les quatre membres attachées comme l’était Cheng quelque temps auparavant.
Carla reprit son martinet et assénait déjà des coups sur la vulve de mon épouse, elle couinait mais ne criait pas, sans le bâillon elle devait être maître de son corps.
Elle reprenait le fin cordage le fixa à la tête de lit, le repassa dans chacune des boucles de ses seins, elle approcha pour le fixer de l’autre côté du chevet, la corde était tendue, elle tira d'un coup sec et Florence décolla les épaules du lit, elle bloqua la fine cordelette ainsi et fit un noeud.
Dans cette position elle ne pouvait plus se reposer contre le matelas tant les boucles étiraient déjà ses mamelons. Elle resta ainsi posé à quelques centimètres du lit.
Puis approchant de son sexe elle le caressa doucement, comme pour calmer les coups précédents, elle se pencha et sortit un nouvel objet de son sac, il était étrange, deux bouts recourbés donnait cette impression d’un minuscule guidon de vélo accroché à une autre fine cordelette.
Elle passa chaque anse sur le bijou minuscule qui était fixé sur son sexe. Je comprenais cette forme à présent, il était juste a la bonne dimension. Elle pris la cordelette entre les dents et juste au dessus du sexe de mon épouse elle tira doucement. Son clitoris semblait vouloir se séparer du reste de son corps, emmenant avec lui les grandes lèvres toutes proches, elle relâcha la pression, Florence avait essayé de résister mais ses seins lui faisaient mal. Elle ne bougea plus.
Elle dit à Cheng de se placer entre ses jambes sa tête proche de son pubis, debout les jambes ouvertes au sol, elle avait le visage à quelques centimètres de ce bijou et de cette cordelette. Elle fit le tour du cou de sa compagne et refixa la seconde partie sur le bijou.
Dans cette position si Cheng relève ou bouge la tête alors le clitoris attaché s'étireras a nouveau.
Carla était une experte dans les s subtils des corps de femme.
“C’est à toi maintenant, tu va pouvoir profiter de ma compagne à moi, je vais te demander de la baiser dans cette position et de lui donner du plaisir, je vais te donner un temps, à chaque fois que s'écouleront 30 secondes et si jamais Cheng n’a pas eu un orgasme, j’infligerait à leur deux corps un coup de martinet chacune, puis deux, puis trois. Je te préviens je connais parfaitement Cheng, elle n’est pas capable de simuler, je le sais alors sois convaincant, attention c’est parti”
Je ne savais pas par ou commencer, pris de panique ou presque elle m’avait pris au dépourvu. Je me placais et hésitais a la baiser ou a inroduire mon sexe dans son cul sérré, c’était fou. Premier coup sur chacune d’elle, le martinet cinglait l’air d’abord sur Cheng et ensuite sur le dos de Florence.
Je me hatais presque, bizarrement la situation devait être très bonne car j’avais une belle érection en ce moment, je m'introduis dans son sexe et commencait à la limer profondément, le second coup tomba accompagné d’un autre, leurs corps subissaient les coups, de cette position je voyais les yeux de Florence qui implorait fait vite pour une fois.
Je voyais ces seins tendus par le fin cordage, mais ne percevait pas son sexe caché par le corps de cette jeune asiatique.
Je la prenais profondement, mais elle ne bougeait presque pas, de peur de faire encore plus mal à mon épouse. Difficile de savoir si j’avais la bonne solution.
Trois autres coups sifflérent, je me hâtais mais ne sentais pas grand chose venir dans le corps que je pénétrais, je décidais alors de changer d’orifice.
J’appuyais mon gland à l’entrée de ses fesses et pris a peine le temps d’en humidifier les contours, je m'enfonçais, le sexe raide et dur. je l’ai prise par le hanches imprimant au mieux des allers retours puissants sans secousses, ni pour elle, ni pour Florence, ni pour le bébé à l’intérieur de son ventre.
Quatre coups tombèrent à nouveau, le dos de Cheng était parsemé de sillons rouges, je voyais les seins de Florence parcourus par d’étranges fils de la même couleur, elle frappait sa poitrine aux tétons tendus.
Je pressais encore mais rien non plus, je cherchais la solution tout en continuant a besogner son cul si étroit. Ce qui devait être un pur plaisir se transformait en pseudo cauchemar, trois femmes superbes à mes cotés, mais je devais donner un orgasme a l’une d’elle pour pouvoir soulager la seconde pendant que la dernière assenait des ordres et des coups.
De ce coté aussi Cheng ne semblait pas plus réceptive que cela.
Je n’avais plus qu’une solution, je me retirais et m’accroupis au niveau de ses fesses, je lui dit alors
“Pardon je ne sais plus quoi faire alors je tente le tout pour le tout, il va falloir être encore courageuse.”
Une série de cinq coups tombèrent, mes doigts sur les fesses de Cheng prirent une lanière de cuir, je reculais la main brutalement transpercé par la douleur.
Je compris très vite ce qu’elles enduraient alors et mis ma main à l’entrée de son sexe, je poussais d’un coup laissant mes phalanges en dehors, Cheng bougeait légèrement de droite à gauche, je compris alors que c’était peut être une solution.
Je dardais ma main, pouce replié dans la paume, je pressais à l'entrée de son sexe qui céda d’un coup. Ma main fut avaler d’un coup sec, nouvelle série de six coups encore plus violent.
Je pressais ma main dans son sexe, la tournant rapidement, mes doigts s’écartaient pour chatouiller ce doux intérieur, puis l’instant d’après ce fermait comme un poing. Je sortais et pénatrais à nouveau son sexe qui s’ouvrait de plus en plus, les séries sept et huit eurent le temps de tomber encore.
Dans un ultime effort je pressais à nouveau le poing dans son vagin quand elle cria et inionda d’un liquide jaune et chaud ma main.
Carla observait ravi.
“Et bien Cheng tu as donc eu ton orgasme désormais le jeu peut s’arrèter, elle détacha la cordelette du cou de sa compagne et celui des seins de Florence qui pouvait à nouveau se poser contre le matelas.
Leurs corps étaient couverts de longs filaments rouges, le sang très proche battait sous leurs peaux. Le jeu avait été long chacune d’elle ayant reçu plus de 35 coups de martinet.
Elles tombèrent à nouveau l’une à coté de l’autre, Cheng enlevait à présent les attaches du corps de mon épouse, elle se placérent face à face couchées sur le lit, alles approchèrent leurs visages en s’embrassant, cela n’était pas prévu. Carla souris et dit
“Elles ont bien le droit à cela après ce que je viens de leur faire subir a chacune, laissons les donc”
Elle m’entraina sur la chaise toute proche, elle m’y assit et me regarda alors, elle se retourna et me fit voir ses fesses, un cul vraiment magnifique.
“Pour toi il n’y aura que la petite porte d’ouverte, désolé c’est mon choix”
Elle pris appui des main sur les genoux, elle posa ses fesses sur mes cuisses puis en guidant mon sexe elle trouva d’elle même le trajet, elle s’écroula sur moi, mon sexe était rentré comme dans du beurre tout au fond de son cul. Elle remua en faisant de grands mouvements, elle sortait presque pour redescendre très vite au plus profond, elle bougeait son corps, je lui pinçais les mamelons . Et comme par petite vengeance je tirais moi aussi sur ses anneaux, elle semblait particulièrement apprécié, je tirais encore et encore pendant que cette déesse aux yeux clairs prenait ma semence au fond de son cul. Elle se retira brusquement léchant d’une langue avide mon sperme mélangé aux saveurs de son cul. Elle pressa mes couilles vidant leur contenu jusqu’à la dernière goutte dans sa bouche.
Elle me lâcha doucement non sans avoir longuement aspirer mon gland, j’étais haletant et heureux, elle m’avait laissé profiter de son corps tellement beau, c’était bref mais si intense.
Elle dit alors
“Florence nous a dit que tu aimais particulièrement les corps quand il ressemble à celui de Cheng, alors si tu veux vraiment en profiter je te le laisse, prends du plaisir avec elle aussi, et donne lui au aussi, les deux mots tatoués sur son corps ne sont pas à prendre à la légère et indique parfaitement ce qu’elle est”
Je me mit alors debout, les deux filles avaient semble t-il terminer leur séance lesbiennes.
Cheng était assise les pieds au sol au coin du lit, elle me regardais. Florence derrière elle lui caressait le ventre et les seins.
Je m’approchais, dans cette position sa bouche était à la hauteur de mon sexe.
Je n’avais pas la vigueur et la raideur convoité, mais elle sourit et commença a prendre mon sexe en main, elle s’appliquait a le faire renaître, elle le masturbais doucement, caressant d’une main mes bourses. Elle suce mon gland et passe le bout de sa langue dans le méat, elle est douce.
Puis elle se met à genoux et poursuis sans relâcher ses efforts, mon sexe aime cela elle est vraiment très douée, dans cette position elle me regarde dans les yeux, je le surplombe et n’ai d’yeux que pour son ventre rond et tendu.
Elle s’amuse du bout de la langue a caresser la hauteur de mon sexe, elle ne se sert pas de ses mains ou si peu.
J’ai terriblement envie que cela dure longtemps, elle se lève et plaque son corps contre le mien sa bouche remplacé par une main souple et alerte , elle poursuis.
Puis c’est à moi de m’assoir sur le lit au même endroit, je suis a hauteur de ses seins, je gobe le premier mamelon à portée, je me masturbe seul, elle me tends le second, je pose une main sur son ventre.
Je me redresse et nous changeons à nouveau de position, sa bouche commence a faure son effet, je me permet même de faire des allers retours, de sa main et de sa bouche elle redonne vigueur à mon sexe.
Puis elle bascule sur le lit, pieds posés sur le matelas elle écarte doucement les jambes, elle se place au mieux.
Je profite de cet instant pour passer un double anneau sur mon sexe et autour de mes bourses, mon sexe se tend encore un peu mieux. magique comme une si petite chose donne davantage de raideur et d’épaisseur à mon sexe, et de plus cela retarde un peu le plaisir de l’éjac, je veux longuement la baiser.
J caresse son ventre à mon tour, son pubis, ses seins, j'humidifie son sexe a coupe de langues rapides, passant mes doigts sur ses lèvres.
Puis je m’accroupis et colle mon visage a sa vulve, je sors ma langue pour explorer ses tréfonds, elle ondule acceptant avec plaisir cette caresse. Je prends mon temps explorant chaque parcelle de son sexe, son odeur est enivrante au possible.
Ses cuisses ouvertes son une invitation tellement tentante, alors je m'introduis en elle doucement mais sans effort particulier, j’aimais voir ses seins se balancer d’avant en arrière quand je donnais un coup de rein. Ele pose ses mains sur ses cuisses et ouvre la bouche je pose les miennes sur ses hanches et poursuis ce manège de nombreuses minutes, pour mon plus grand bonheur.
D’un signe elle se redressa sur le lit et me dit de m’allonger à mon tour, je posais mon do sur le matelas.
Elle chevauche alors mon corps, face à moi son ventre reposant presque sur le mien et ses seins énormes aux mamelons colorés.
Elle avait choisi de s'empaler sur mon sexe profitant de cette position c’est elle maintenant qui donnait la cadence, ses mains posés en arrière sur les genoux elle bougeait de haut en bas.
Puis elle bascula son corps vers le mien et poursuivait ainsi, ses seins contre mon visage, je pinçais avec les dents ses mamelons dardés. cette position fut un plaisir en continu pour moi.
Puis elle décida de changer à nouveau, elle se leva et jambes tendues elle écarta les jambes, elle posa ses mains sur ses genoux tant bien que mal, et attendit. Je m'introduis en elle une nouvelle fois, je la tient par les seins, ils sont lourds et chaque aller retour les fait danser, je sent la pesanteur de son ventre et ses mouvements cadencés à mon rythme.
Elle se détache de moi et prends place à genou sur le lit.
L’invitation est trop tentante, je la place au bord du lit et debout je choisis le plus petit orifice pour m’introduire. Elle ne dit j'augmente la cadence dans son cul serré.
Florence qui n’a rien raté de cette scène vient se placer en 69 sous elle. Son visage a quelques centimètres de son sexe. Cheng ne dit rien, lorsqu’elle se met à descendre sa bouche au contact du sexe de ma chérie, elle darde sa langue dans les contours et prends grand soin de jouer avec le minuscule bijou sur son clitoris, elle est extremement sensible et se tord comme un ver.
Ma femme pose ses mains sur le cul de Cheng et sa bouche rentre elle aussi en contact avec son sexe, elle se déchaine en mordant ses grandes lèvres en pincant son sexe et son clitoris.
De ma position je vois le cul superbe de cette asiatique et en dessous le visage de ma femme, un grand moment.
Florence saisi mon membre et le retire, elle profite de cette position pour le prendre en bouche à l’envers, elle suce avec gourmandise ce mélange de parfums et de gouts, pour le réintroduire entre les fesses de Cheng, elle fera cela plusieurs fois. Entre chaque elle lécheras le sexe féminin ou mes couilles lisses frappant la vulve.
J’approchais dangereusement de mes limites de résistance et me posais la question dans quelle orifice vais je finir ?
Je claquais de plus en plus fort mon sexe au fond de celui de Cheng, elle transpirait, haletait sous nos caresses conjointes. Ma femme était plus qu’une virtuose avec sa langue, elle savait lui arracher de profonds soupirs. Je posais mes mains que le ventre rond et lisse, la peau était tendue, j’aimais ces formes.
Dans un ultime assaut je m'immobilise et déchargeait une nouvelle fois entre les fesses d’une de mes deux amantes du jour.
Je me cabrais et me vidait en longues saccades, j’étais épuisé.
Mais mes deux complices avaient encore de la ressource malgré les soubresauts de leurs corps qui indiquaient aussi leur plaisir.
Florence colla sa bouche sur l’anus de Cheng, attendant patiemment l’expulsion de mon sperme. Celui ci se mit à couler lentement de son petit trou, Florence posa la tête sur le matelas et ouvrit la bouche récupérant au passage le précieux liquide qu’elle aimait tant.
Elle passa sa langue sur ses lèvres et la darda dans le cul de Cheng récupérant ça et là les dernières gouttes.
Cheng posa son corps sur celui de ma femme, son gros ventre contre sa poitrine. La position n’était pas des plus simples et des plus agréable. Elle se sentait écrasé, mais elle ne dit rien acceptant cela comme récompense après une si belle journée.
Nous étions tous fourbus, collants, les cheveux en bataille.
Nous avons tous pris une douche, couple par couple, rhabillés.
Cette très belle expérience à été pour une fois sans l’utilisation de préservatifs, nous sommes des gens prudents et le travail de Florence simplifie grandement les tests sanguins, nous étions tous deux exempts de maladies vénériennes et autres joyeusetés deux jours auparavant les tests le prouvent, et pour s’assurer au maximum nos deux amantes du jour avaient fait de même, donc tout était donc possible alors.
Nous avons échangé calmement au salon, il était déjà 18h30, tous habillés. Nos deux invités partirent en nous saluant, nous avons tous eu droit à un échange de baisers passionnées.
Carla dit alors sur le pas de la porte
“Nous ne sommes pas prêtes d’oublier cette journée, nous y repenserons souvent, merci encore à vous deux”
je ne pus que dire
“Merci à vous, je crois que cette journée était exceptionnelle pour moi, vous avez été de biens beaux cadeaux, merci merci merci”
Elles sourirent toutes les deux, se prirent la main et s'éloigne maintenant.

Après cette superbe journée, Florence me gratifia trois jours après d’un autre magnifique cadeau supplémentaire, elle arriva ce jour et me dit qu’elle avait une surprise pour moi, mais qu’il fallait que j’attende l'heure du coucher pour y avoir droit. Elle ne portait plus régulièrement les boucles sur ses seins, pour deux raisons, la première est que ce n’était pas tout le temps agréable, la seconde était qu’avec certaines tenues ont voyaient leurs traces sous le vêtement, pas besoin que tout le monde soit au courant. Mais elles les mettaient de temps en temps, histoire que les petits trous ne se referment pas.
Par contre elle s’était bien habituée au second, placée sur son clitoris, et celui ci restait en place tout le temps maintenant, les premiers temps il la gênait un peu dans certains mouvements, mais avec le temps cela s’était grandement amélioré.
J'attendais donc dans le lit conjugal qu’elle veuille bien me montrer mon nouveau cadeau.
Elle arrivait seulement vêtu d’une nuisette en satin rouge, elle se coucha et dit alors
“Tu es prêt pour mon cadeau, je suis certaine qu’il va te plaire”
Je piaffait d’impatience,
Elle releva un peu sa nuisette allongée sur le lit, elle ne portait rien de plus, le croisement de ses cuisses se faisait voir. Je me demandais bien ce qui m’attendais à cet endroit, le piercing était déjà fait alors quoi de plus, un second peut être ?
Elle posa ses mains près de son sexe, les mains posées à plat de chaque côté.
Elle dit alors
“Ce que j’ai fait là, je l’ai fait pour toi, pour moi aussi car je trouve cela beau”
Elle écarta les mains et me laissa ainsi, impatient je tirais le reste de tissu d’un coup et je découvris une bien belle image ou plutôt deux.
Ce faisant face sur sa peau étaient dessinés deux profils de femmes aux formes très appétissantes, l’une d’elle portait des ailes dans le dos et une auréole sur la tête, la seconde aux formes identiques, une queue à la pointe fourchu sortait d’entre ses jambes et sur la tête des cornes avaient poussées.
Mi ange, mi démon, voila un tatouage que j’adore, résumant bien notre vie actuelle.
Je l’embrassais tendrement, et il ne fallu qu’un instant pour que je baptise ce cadeau, nous avons fait l'amour comme des bêtes pendant ce qui m’a semblé une éternité, je ne quittais pas des yeux ce dessin représentant les deux aspects de ma femme aujourd’hui.
Ce premier était temporaire, le lendemain elle prit rendez-vous chez le même tatoueur qui lui avait déjà placé les anneaux et le piercing.
Depuis le temporaire est devenu définitif, et je me régale à chaque fois du regard amusé et joueur de ceux qui ont pu le découvrir comme moi, je vous laisse l’imaginer plus que le voir vraiment.
Je l’aime....