Le Voyeur De La Baule
Cette semaine, mon Doudou d'amour et moi, nous sommes en vacances à La Baule. En vacances, c'est vite dit car, en réalité, nous rénovons un appartement que je possède face à la mer.
Mon David est ravi, lui qui adore bricoler, poncer, percer, scier
quel homme, quelle énergie.
C'est son truc, c'est sa vie, de vivre dans un désordre pas possible, au milieu des bâches de protection, de la poussière. Pourtant assez pudique devant des inconnus, seul devant moi, il se fait plaisir, complètement décontracté. Il porte ses vieilles fringues hors d'usage
Ses poils débordent du teeshirt, ses aisselles respirent, transpirent, sa masse musculaire est ainsi sublimée, magnifique.
Rien qu'à le voir ainsi, je bande et je fond de désir d'être à lui.
Depuis que nous sommes ensemble, j'ai pris quelques kilos mais lui aussi, le gaillard. Il dépasse maintenant son quintal, à l'aise. C'est pour vous dire que, quand il est sur moi à me niquer, il vaut mieux être consentant
bon, je le suis toujours, je l'adore, je l'aime comme un dingue et il le sait. De plus, malgré sa corpulence, il est très souple et n' pas de sa force sur moi
enfin si, quelquefois, lorsqu'il veut me faire comprendre que sexuellement, c'est lui le dominant.
Je me suis adapté à sa façon de vivre, je serais trop malheureux sans lui. D'un caractère bien trempé, très affirmé, il respire la virilité absolue. De façon très surprenante, au lit ou lors de nos câlins, il est serein, rassuré, la douceur même.
Pour ceux qui seraient intéressés de le découvrir davantage, lire " une histoire d'hommes".
Aujourd'hui nous avons bien bossé et nous décidons de faire un break et d'aller boire une bière à la terrasse d'un bar pas trop loin de l'appart.
Mon solide artisan, pour l'occasion, s'est changé et a mis un teeshirt que je lui ai offert et qui lui donne un air de baroudeur et de légionnaire à la fois. Ses épaules de catcheur, ses pectoraux de gladiateur, son ventre ferme et un peu rebondi, ses cuisses, ses bras puissants et poilus, voilà l'homme que j'aime; une masse virile, archi virile.
En temps normal, lorsqu'il se pomponne plus que d'habitude, il vient ensuite tourner autour de moi, se faire sentir, me faire humer sa testostérone
et je passe à la casserole dans la foulée. C'est un jeu entre nous et je lui laisse l'initiative, le conforte dans son rôle de mâle dominant. Nous n'avons jamais inversé les rôles dans cette façon de faire la cour.
La première fois qu'il m'a fait l'amour, dans cette chambre d'hôtel de Rennes, j'ai compris que c'est comme cela qu'il fonctionnait. Je me rappelle exactement sa phrase "Laisse moi faire, mon chéri" .
Aujourd'hui, il rit, me chauffe et sait que j'attend ses câlins et sa fécondation
Je sais aussi qu'il m'aime énormément, qu'il serait prêt à tout sacrifier pour moi.
" On va boire un coup, Laurent
Je le laisse diriger ses envies
Aujourd'hui, il a décidé de faire durer le plaisir
A la terrasse du bar, je choisis un coin tranquille, dans un angle précis. David en connait la raison. J'aime énormément David et je fais en sorte qu'il soit détendu et non perturbé par le regard de personnes indélicates.
En effet, mon gros Doudou a une balafre sur une joue et le nez un peu cabossé. Ce n'est pas que cette balafre soit vraiment affreuse mais elle attire le regard. Cela ne m'a jamais dérangé et je la trouve belle, comme un motif ethnique ou une tâche, et j'en connais surtout la cause. Je sais aussi que mon merveilleux amant a un cur énorme et qu'il est bourré de tendresse pour moi. Quand on est amoureux, on ne voie que du positif dans l'être que l'on aime.
" Bébé, je choisis pour toi ?
" Je veux bien, David.
Le ton est donné, David est à l'aise et le choix de Bébé montre toute sa reconnaissance au soin que je prend pour lui. On se croirait en période "lune de miel" tellement nous avons du désir l'un pour l'autre.
David m'a bien pété un "Bon Dieu" un jour d'énervement quand j'ai abimé son matériel de bricolage pour réaliser aussitôt qu'il tenait trop à moi et que notre tendresse valait plus qu'une scie sauteuse. Il m'a saisit aussitôt, m'a collé contre lui:
" Excuse moi, Laurent.
" Tu as le droit de t'énerver, David. Ca soulage.
Ces jours ci, je pourrais lui péter n'importe quel outil qu'il s'en foutrait. Il vit un rêve. Nous avons acheté une maison ou il aura de la place, du bricolage, de l'espace. David est immensément heureux et me le prouve chaque nuit et chaque instant du jour.
Le serveur nous apporte les bières que mon Doudou a commandées, toujours un bon choix. Avant, je n'étais pas bière du tout, ça tourne la tête et ça fait pisser, mais par amour pour lui je m'y suis mis et, au final, maintenant, j'aime bien.
Il me regarde admirer ses poils, qu'il coupe pourtant au cou, qui débordent du col de son teeshirt puis aller ensuite parcourir ses bras puissants couverts de poils noirs épais. Il sait à ce moment là que je le caresse des yeux, que je fantasme mes gestes.
La table est petite. Il se penche vers moi, me renvoyant son odeur de mâle. Ses yeux plongent dans les miens pendant qu'il me parle, qu'il m'envoute.
Il connait la puissance de sa voix grave sur moi. Chaque mot vibre en moi. Il me drague alors qu'il me baise quand il veut et me rempli de sa semence à chaque fois que mon corps le désire.
Ses jambes tapissées de poils durs sont maintenant en contact avec les miennes. Le frottement qu'il effectue est une tellement j'ai envie d'aller lui bouffer le nud et lui lécher les couilles. Je sais qu'il bande autant que moi et qu'il se réjouit du supplice qu'il me fait endurer.
Il passe son gros doigt sur le bord du verre et fait des arabesques sur la fraicheur, comme il a vu dans un film.
Cette pause tourne à l'érotisme. Il me domine de son charme brut et effectue la plus belle des drague, lui qui ne savait pas draguer, m'avait il dit.
Quel changement depuis notre rencontre au Roazhon Park du Stade Rennais.
Il a chaud, ses aisselles commencent à transpirer, sa poitrine se gonfle d'oxygène et ses sens s'emballent. Il exulte de bonheur de me courtiser ainsi.
Il me sourit car il sait mon acceptation. Ses grosses paluches ne m'ont pas touché, il ne veut pas choquer les autres clients.
Un regard à proximité me permet de constater que tout le monde discute et profite de ses vacances et ne semble pas prêter attention à nous.
" David, ta bière est excellente mais elle donne envie de pisser.
" Je t'attends, Bébé.
Je ne traîne pas et, à mon retour, le charme n'est pas rompu. Il profite que je passe à côté de lui pour toucher mes cuisses de sa large main de mec manuel en faisant mine de m'aider puis recommence ses roucoulements.
David a pris de l'assurance, sûr de l'amour que je lui porte.
Comme tous les hommes qui draguent, le ton est descendu plus bas. Je bois ses paroles et me roule dans ses phrases. J'en perçois tout l'érotisme et toute la sexualité suggérée.
Lorsqu'il me parle de la mer, du flux et du reflux, j'entends va-et-vient entre mes reins et les clapotis des vagues sont pour moi bien autre chose et se perdent sur ma peau
Je n'aurais pas imaginé qu'il puisse en arriver là. Il se surpasse, m'éblouit, sait toute l'admiration que je lui découvre, voit mes yeux briller. Il me raconte des choses qui n'auraient aucun sens pour un curieux qui nous écouterait mais moi, je sais qu'il exprime là toute sa tendresse sans peur du jugement, que j'en tire les mêmes conclusions que lui sur ce qu'il veut me dire.
La rue est envahie de touristes, des clients rient aux éclats, d'autres, plus discrets, profitent simplement des rayons du soleil.
Je suis irradié de bonheur par mon homme et brûle d'impatience de rentrer à l'appart pour qu'il conclue, qu'il m'introduise son appareil reproducteur dans le cul, qu'il me féconde.
J'adore quand, tel un phoque sur moi allongé sur le dos, il me farfouille le cul de sa grosse pine, m'ensemence d'un flot de spermatozoïdes et se réjouit que, moi aussi, je gicle, je me vide entre nos ventres collés l'un à l'autre, que je succombe sous ses étreintes.
" Voilà pour vous, Messieurs.
Le serveur nous apporte deux autres bières.
" Vous avez dû vous tromper de table.
" Non, non. Pas du tout. On m'a chargé de vous les offrir, avec ce petit carton.
Puis le serveur s'en va, appelé par d'autres clients.
Sur le carton, d'une belle écriture
" Vous transpirez d'amour l'un pour l'autre, c'est magnifique"
Nos regards se dirigent vers les tables à proximité mais rien ne laisse penser que ce soit un de ces clients là l'auteur du mot. David ne prend pas ombrage de la situation et semble même en tirer une énorme fierté. Lui qui m'avait dit "je ne sais pas draguer" réagit comme s'il avait décroché une médaille.
Au serveur:
" S'il vous plait, vous pouvez nous dire qui est le client qui nous a offert les bières. Nous voudrions le remercier.
" C'est le monsieur barbu, de l'autre côté, près du bac à fleurs.
" Merci.
Nous restons un peu stupéfait d'avoir été épié de si loin mais finalement rien de grave. David réfléchit et décide d'aller pisser
il a dû aussi débander un peu.
A son retour, il me sourit:
" On va le remercier. On va voir ce qu'il cherche. Bébé, s'il veut te baiser, c'est hors de question. Pour le reste, si tu as envie de piment, faut voir.
" Doudou, c'est toi que j'aime et mon corps n'est que pour toi. Fais lui signe. On va lui parler.
" D'accord Bébé mais c'est toi que j'ai envie de baiser.
" Je sais, Doudou.
David se retourne et, d'un signe discret, l'invite à venir nous rejoindre.
Les présentations sont polies. L'homme, de toute évidence, a une certaine classe. Il a vu la balafre de David mais son éducation est là et il n'en montre rien.
La soixantaine, une barbe poivre et sel correctement taillée, de taille normale et élégamment habillé. Il s'excuse de nous avoir surpris et épié et passe directement à ce qui l'intéresse.
" Moi c'est Charles. J'aimerais bien vous voir faire l'amour.
Je sens David un peu plus rassuré même si la demande est inattendue.
" Très excitant comme demande. Qu'en penses tu, David?
" J'ai déjà baisé un mec dans un sauna devant d'autres mecs. Ca ne m'a pas gêné
A condition que vous soyez à poil vous aussi, sans nous toucher et sans nous parler.
" C'est d'accord pour moi
je vais respecter vos conditions. Je peux vous recevoir en toute discrétion.
Il reprend son petit carton et rajoute un chiffre, un très beau chiffre.
" Voici mon petit cadeau.
Quelle élégance. David me frotte le bras et Charles perçoit aussitôt que c'est positif.
Enthousiasmé par notre réaction, il se propose de régler nos bières, s'attirant les bonnes grâces de David
comme quoi un détail peut faciliter les relations.
Nous voilà arrivés chez lui. Tout reflète la classe, le bien être et le confort. Lorsque nous rentrons dans la chambre, je me sens à l'aise tout de suite, le luxe sans tapage, de l'espace sans avoir soldé l'intimité.
Charles propose d'aller se rafraichir dans la salle de bains mais David passe son doigt sur sa bouche pour lui signifier qu'il est déjà sur "on" et vient me frotter la nuque
David m'attire à lui et vient m'embrasser, me bécoter avec douceur et passer ses mains sur mes joues pour redescendre palper tout mon corps. Il me laisse embrasser sa balafre, son pêché mignon
Ses gestes sont doux, ses caresses sensuelles telles qu'il sait les faire. Il me fait tourner et offre à notre voyeur la langueur de mes frémissements sous ses étreintes amoureuses.
On aurait pu se dessaper comme des enragés et aller se sucer la bite, s'emmancher dans la foulée. Non, ce n'est pas nous.
David dirige, étalant tout son art pour m'effeuiller, utilisant tous ses sens pour plaire et se faire désirer. Il connaît mes limites et surfe sur la perfection.
Toute la plastique de mon corps lisse découvert est analysée sous ses mains rugueuses et ses lèvres en parcourent, en cherchent les moindres recoins
Il se laisse dévêtir lui aussi, mais pas tout de suite. L'érotisme doit être suggéré
non étalé. Mon balèze d'artisan s'offre sous mes lèvres enflammées et mes mains audacieuses parcourent son corps
Mes mains vont caresser sous son teeshirt son ventre chaud, si poilu, si accueillant pour aller titiller ses petits fruits, ses tétons. La splendeur de mon mâle se découvre, petit à petit, pour me laisser suçoter ces bonbons d'amour noyés dans sa forêt de poils.
Il geint de ce bonheur exquis et me passe de l'un à l'autre, puis, ne tenant plus, se dégage du teeshirt.
Mon homme est magnifique, d'une splendeur naturelle, brut de chantier, les pectoraux velus et puissants, le ventre ferme tout autant fourni, un regard de mâle affirmé, les bras noueux pour me retenir. Une odeur de mâle et de testostérone explose de ce corps.
D'un geste, il ordonne à Charles d'évacuer le dessus de lit, ce qu'il fait dans la foulée, comme s'il était sous ses ordres. Charles a bien compris les règles, se régale du spectacle et admire.
Avec des gestes lents, une main palpe ma braguette pendant que l'autre glisse à l'intérieur de mon bermuda
La fièvre monte et David le déboutonne, laissant apparaître mon slip trempé par la mouille.
Charles est là devant moi, ébahi, transis de désir et suit ces larges mains qui connaissent si bien le chemin et savent le bonheur qu'elles me procurent. Son souffle court et sa bouche ouverte trahissent sa satisfaction.
Puis j'apparais nu comme au premier jour, le sexe droit et tendu vers le ciel pendant que David vient le caresser et en vérifier la beauté.
" Tu es magnifique, mon chéri.
Les yeux de Charles caressent mon corps. Je sens son envie de me sucer, de participer mais il se retient, se fait violence et résiste. Il se pince un téton pendant que l'autre main a maintenant pris possession de son sexe et le branle légèrement.
Je me retourne vers David qui me prend dans ses bras et me couvre de baisers humides. Puis il me pose sur le lit et fait descendre lui-même son bermuda...
Son sexe apparaît, tel une sculpture de César, brut et massif, splendide, gorgé de désir, le gland décalotté et fier, au dessus des cuisses larges et musclées de mon homme. Charles semble scotché et ébahi, comme moi aussi la première fois je l'ai été mais il respecte les conditions et ne se jette pas dessus. Peut être est il apeuré de savoir comment je vais le prendre en moi, ou envieux
va savoir
David sait qu'il est superbement monté et savoure son effet. Il se saisit le manche et se branle doucement, faisant encore accroitre la stupéfaction de notre hôte. L'engin est magnifique, assorti aux larges mains de mon colosse d'artisan et laisse penser qu'il faut une excellente dilatation de la rondelle pour le prendre.
La paire de couilles en dessous, tout aussi splendide, est un véritable appel à vénérer cet attribut, tant elles sembles gorgées de semence.
Puis, ravi de son effet, il me rejoint
Allongés sur le lit, son corps massif ne m'écrase pas et il me laisse me tortiller de désir. Nous nous enlaçons, faisant encore monter la fièvre. Les étreintes sont fortes, sensuelles, les gémissements de désir apparaissent et David m'envahit de mots doux. Les poses sont variées et Charles a tout loisir de voir et d'imaginer ce braquemart qui va bientôt me pénétrer et remplir sa mission.
Il ne me suce pas la tige et me laisse simplement caresser son magnifique gourdin et ses couilles remplies de sperme onctueux. Sans doute réserve t'il ces gestes pour des relations plus intimes, entre nous deux, comme nous le faisons dans des moments privilégiés.
Il s'attarde sur mes cuisses puis suçote mes orteils, vient frotter son ventre poilu sur moi, me faire lécher et profiter de ses aisselles et de sa poitrine velue
Mon corps se tend et ondule et cherche son mâle pendant que le corps sculpté et charnu de David se prépare à l'accouplement.
Charles, excellent gestionnaire du moment, a disposé, sur un coin du lit, tout le nécessaire, si besoin et envie.
Je brûle d'impatience de recevoir le gourdin de David en moi et me laisse préparer sans manière. J'ai confiance et je connais son amour.
David choisit de me prendre debout. Allongé sur le dos sur le bord du lit, il me fait serrer mes bras autour de sa nuque pendant qu'il me soulève par les cuisses. Il va m'empaler sur sa queue, mon cul ainsi offert à sa volonté.
Il me porte dans ses bras puissants et se tourne face à Charles pour le faire baver d'envie, lui montrer toute sa puissance tel le minotaure ou une sculpture que Botero n'a jamais osé réaliser.
Ma fleur sent son gland tel un abricot qui se positionne et cherche le chemin
ma corolle se déploie et accueille ce fruit du péché qui se blotti dans mon puits d'amour.
Le bambou m'ouvre, m'élargi, me pénètre, continue sa progression sans s'arrêter jusqu'à ce que toute l'épaisse tige soit en moi. Le bonheur est divin. Mes gémissements remplissent l'atmosphère ouatée de la chambre et sont la preuve d'une saillie en cours et les grognements de bonheur de mon homme me renvoient sa satisfaction de mâle comblé de me l'avoir si bien envoyée.
Seul un coup de reins habituel vient s'assurer que tout le potentiel soit utilisé.
Les yeux de David lisent mon bonheur et il sait mon envie de recevoir ses lèvres, de boire sa salive. Mon corps se cambre, lui signifiant que je suis à lui, offert, heureux.
Mon puissant amant est au summum de son plaisir tant il sent son braquemart en moi et qu'il voit, qu'il lit les sens égarés dans les yeux de Charles.
L'accouplement est nature, tel que nous l'avons toujours fait depuis notre premier matin. Charles, qui ignore notre relation exclusive, hallucine de cette confiance sexuelle.
Les va-et-vient qui suivent m'envoient dans un arc en ciel, m'envoient au paradis. Le frottement de son énorme piston qui coulisse en moi se font doucement afin que Charles en sente toute la force virile, comme au ralenti. Ses grosses couilles poilues viennent buter sur mon intimité pour lui prouver qu'il me la fourre en entier, qu'il me baise à fond et va bientôt me féconder de son sperme fertile.
La copulation monte en cadence, les corps se lâchent, le plaisir s'étale. Un moment il me laisse m'enfoncer sur son pieu pour lui prouver la chaleur de mon désir.
La fièvre traverse Charles qui se branle maintenant sans la moindre pudeur et s'imagine sans doute dans cette scène érotique.
Mon Doudou me démonte le cul, me défonce carrément jusqu'à ce qu'il entende la variation de mes gémissements et sait mon arrivée imminente. Lui-même ne va pas tenir bien longtemps, trop excité par cette démonstration. Il décide de changer de position et de me prendre par derrière.
D'un geste, David fait comprendre à Charles l'emplacement qu'il doit prendre pour avoir la meilleure vue. Les convenances sont balayées, seul le résultat compte.
Nous sommes debout et Charles est assis au sol à regarder cette introduction virile, entre nos jambes. Il doit voir les grosses couilles de David venir se coller à mon cul pendant que son braquemart me laboure le conduit.
" Charles
Laurent va venir, prend son jus.
Avait il prévu de recevoir mon sperme en bouche, je ne sais pas. Le ton donné par David ne lui laisse pas le choix ni le temps de la réflexion. Comme dominé, hypnotisé, il obéit.
Les lèvres chaudes de Charles se referme sur mon sexe et m'astiquent la queue avec gourmandise. La récompense ne tarde pas. Pris entre ces deux hommes, mes couilles envoient, les giclées fusent et lui remplissent la bouche pendant que je me libère, me soulage avec un grand cri d'enculé.
D'un ultime coup de reins, excité de savoir que je me fais pomper, que je gave ce voyeur estival, David décharge en moi sa semence au même moment, me remplissant de son sperme onctueux et abondant, feulant comme une bête en rut.
Il continue de rester en moi, juste assez pour que Charles, repu de ce breuvage inattendu, aperçoive plusieurs gouttes de sperme blanchâtre et gluant s'échapper de mon trou dilaté quand David se retire, la bite encore raide, toujours aussi imposante et magnifique.
La queue de Charles gicle et plusieurs jets vont maculer le superbe tapis Kilim pendant que, complètement étourdi de plaisir, un râle de jouissance le parcoure
.
Sonné, comme ébahi par cette libération, son immense satisfaction est évidente.
Pour la première fois, David touche Charles et l'aide à se relever. Nous nous congratulons, nus et la bite molle, pour la réussite de cette réunion et la fin explosive de nos ébats.
Dans la luxueuse salle de bains, David passe en premier et se lave uniquement la queue. Il est déjà habillé lorsque je sors de la douche. Il ouvre ses bras et me colle contre lui. Peut lui importe que je le mouille, il me serre, me câline, me frotte avec sa serviette ou il a laissé plein de poils.
" Laurent, je t'aime.
" Moi aussi, Doudou, énormément.
Il me présente sa joue et sait que mes lèvres vont parcourir avec amour sa balafre, que mes mains vont caresser sa barbe dure, sa nuque puissante.
Son doigt vient masser mon illet qu'il a fortement dilaté et il est ravi du foutre qui en suinte encore. David est heureux, amoureux, comblé.
Charles assiste à la scène et n'ose intervenir, encore secoué par son éjaculation et par mon sperme qu'il a dû avaler. Il attend poliment que nous soyons prêts, une serviette autour de sa taille pour masquer son sexe ramolli.
David récupère le cadeau que lui donne Charles sans vérifier le montant et le met dans une poche de son bermuda. Notre voyeur nous remercie pour la "prestation" et le petit supplément de la fin, qui l'a visiblement comblé. Il félicite David pour son sexe imposant et splendide qu'il m'a si bien envoyé et pour le plaisir qu'il m'a donné.
David, peu coutumier du geste, fait une bise à Charles et lui souhaite une bonne soirée. Les yeux pleins de bonheur, Charles, à son tour, m'embrasse et en profite pour me palper, me remercier du plaisir qu'il a eu à me voir subir les assauts de mon amant.
Nous ne sommes pas rentrés directement à l'appart, qui, à pied, n'était pas très loin. Nous sommes allés, en silence, regarder la mer.
Quelques promeneurs à cette heure tardive, quelques amoureux. David s'est mis derrière moi, m'a pris dans ses bras et, pour la première fois, en public, a frotté sa joue abimée contre la mienne et m'a embrassé tendrement.
Nul besoin de parler, seuls les rouleaux et le clapotis des vagues suffisaient
La plage de La Baule était belle, éclairée par les lueurs du soir, caressée par la mer
Les bras aimants de David, son souffle chaud dans mon cou, nous avons laissé passer le temps. Nos yeux se sont portés sur l'horizon, cette ligne au loin ou l'on apercevait les quelques lumières d'un bateau de passage.
Charles, notre voyeur, a réussi, l'espace d'un soir, à sublimer cette relation d'amour que nous avons.
Seule la fraîcheur du soir nous a dit qu'il était temps de rentrer.
" Bébé, il a doublé le chiffre.
" Doudou, c'est toi le meilleur.
" T'as aimé, Bébé.
" Mon gros Doudou, pas du tout.
" Salaud. Je t'adore, mon homme.
Et nous sommes rentrés directement à l'appartement pour prolonger cette relation intime
Caramel35
Cette histoire est "différente". J'espère néanmoins qu'elle vous plu.
Faites comme Charles, prévoyez le nécessaire. Après, chacun reste responsable
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