Collection Folle Du Cul. Tel Est Pris Qui Croyait Prendre (4/5)
Ouiii.
- Audrey, ça continue à marcher, Tony comme à son habitude ma répondu par ce simple mot, oui, mais un oui fort de sens.
Tu vois, tu doutais que je devrais le bousculer, il voulait jouer petit bras, alors que je viens de le faire entrer dans la cour des grands capable de partager sa femme avec un autre.
- Merci Chris, je te revaudrais ça.
- Plus rapidement que tu le crois.
- Dit men plus !
- Non, tu le verras au moment opportun, tu as encore une découverte à faire dans ton histoire.
Une nouvelle fois jai décidé de pimenter les choses, il veut du hard.
Comme il a bien pris que tu te sois fait sauter devant lui, alors que bon nombre de maris acceptent la trahison de leur femme simplement sils lignorent.
- Ou, font semblant dignorer leurs tromperies.
- Tout à fait, nous, ça a été direct, une piscine, un joint, des caresses et tout ce fini en double péné et double vaginal.
- Alors la suite.
Chris me raconte ce quil a suggéré à Tony pour la suite.
Si la piscine sétait hard, ce qui doit marriver le mardi est loin dêtre banal et tout aussi salace.
Voilà ce quil a élaboré dans sa perversité !
- Audrey, cest julien, peux-tu venir me voir, quelquun veut te rencontrer.
- Mes s jouent dans le salon, il mest impossible de venir.
- Je men doutais et comme ça risque dêtre un peu long, jai appelé une des mères dune élève de lan passé.
Sa fille va venir faire du baby-sitting.
- Tu avais le numéro dune mère de tes élèves.
- Jalouse ma biche, jaime.
Non, elle mavait donné sa carte pour que je lappelle pour sa jeune fille de 17 ans qui cherchait des heures afin de se faire de largent de poche.
- Ça sonne.
- Cest elle, je tattends.
Une vraie midinette, jaime Tony , mais la séance de la piscine ma marqué.
Dans les heures qui ont suivi et surtout après que mon mari est pris la route dimanche soir jusquà vendredi, jai pris conscience de ma vie sétiolant.
Mes s, mes s toujours mes s.
Maintenant ce sera moi, moi, moi.
Une fois les consignes passées, cest presque en courant que je change de domicile.
Je connais, la maison, je venais voir mamy gâteau lorsquelle était toujours parmi nous.
Tient, il a déjà réparé le portillon de la cour, il fallait le pousser fortement pour quil souvre.
- Entre, Audrey, heureux que tu sois venue.
- Pourtant, quand nous nous sommes revus le lendemain avec Tony, il ma fait jurer de te revoir seulement en sa présence.
- Seulement, oui, mais quelquun que tu as connu souhaite te voir.
- Tu mintrigues Julien, qui est-ce.
- Moi chère amie, mais il se peut que vous, vous soyez loin de me reconnaître.
Ça fait si longtemps.
Je regarde, Julien, je regarde cet homme.
Cest le parfait sosie de lautre, lun jeune, lautre plus âgé.
- Audrey, cest mon père.
- Comment se fait-il, tu ignores lhistoire de ma jeunesse et surtout celle de mes 17 ans.
- Tu te trompes, lorsque jai rencontré Tony au café là où je tavais emmené avant la fin de lannée scolaire le lendemain de notre soirée à trois.
Sur son Smartphone, il ma fait lire les textes écrits par Chris71 à qui il avait demandé une histoire parlant de ta sexualité loin dêtre débordante.
Il sest vanté de te faire f aire ce quil faut pour que tu deviennes une folle du cul.
Le dernier chapitre là où nous baisons devant lui ma fait énormément bander, il est vrai que tu es une salope ou réellement une folle de ton cul.
- Julien, sois poli, je te rappelle que tu parles à celle qui aurait pu être ta mère.
- Merci monsieur, mettez-moi au parfum, je quitte mes s en urgence pour rencontrer deux hommes se ressemblant malgré une différence dâge, je voudrais comprendre.
- Bien sur Audrey.
Dans le premier chapitre quand tu te substitues à ton cocu de mari pour orienter ta trahison, tu parles dun homme rencontré dans un bal de village avec qui tu avais dansé la lambada.
- Oui, je parle de mes 17 ans.
- Il se trouve depuis que je suis tout petit, que chaque fois que Jean mon père ici devant toi sengueulait avec ma mère, il lui disait quil aurait mieux fait daffronter ton père et de tépouser, après le coup de foudre quil avait eu pour toi.
A-te lire, ça semble avoir été réciproque ?
- Oui, ça fait partie des choses que jai toujours moi aussi regrettées.
Nous étions sur la côte et nous dans le Nord !
- Quand ton père ta arraché à moi et à ma queue, excuse dêtre grivois, il ta enguirlandé avec un fort accent du chnord comme il est souvent dit dans les films.
Jétais en rupture de travail, jai décidé de te rechercher, pour cela jai enquêté dans le village.
Chou blanc, tu devais être de passage.
La première chance a voulu que lANPE, en ce temps-là, me propose un poste à Lille.
Je lai accepté et je tai recherché.
Là encore chou blanc jusquà hier ou Julien ma appelé.
Tu correspondais en tout point, bien quun peu plus vieille, ce qui te rend plus charmante, à celle que je regrette depuis toutes ces années.
Ta frigidité relative avec ton mari malgré tes s ressemblait à la mienne avec Lory, la mère de Julien.
Un jour, jai rencontré cette femme, sans la lambada, on a eu un rapport sexuel.
Excuse Julien de ce que je vais dire, bingo, un coup et tu es venu au monde.
Le problème dans mon couple avant mon divorce, cest que ma femme simulait.
- Avant de lire les envies de Tony pour de possibles dépravations, pour ma part, jen faisais un peu autant et Chris71 a réveillé mes fantasmes et mes envies de luxures.
- Tu peux me prendre dans tes bras, je voudrais retrouver les sensations de ce soir-là !
Incroyable, devant mon amant, je me jette dans les bras de celui que mon cur de midinette de 17 ans avait toujours aimé.
- Mais une nouvelle fois tu bandes !
- Tu me fais toujours le même effet.
Une nouvelle fois, incroyable, la bouche, sa bouche, ma bouche, nos bouches se trouvent dans un baiser me faisant fondre littéralement.
Quand je lis le chapitre écrit sur cette rencontre par Chris, je maperçois que le titre au lieu dêtre « Tel est pris qui croyait prendre, » aurait pu être « Mes 17 ans. »
La seule chose qui est sûre, cest que la collection « folle du cul » est la bonne après ce quil va suivre.
- Inutile de nous faire le petit ici, papa emmène Audrey dans ta chambre, je crois que vous avez envie de vous retrouver plus intimement.
Pourquoi refuser une telle offre, je me dis quil faut suivre ses envies ?
Mes s sont en sécurité, du moins je le crois.
Mon mari aime que je sois prise par dautres.
Pourquoi refuser ce que bien des gens souhaiteraient faire ?
Un retour en arrière.
Vous savez, certains réalisateurs dans des films font défiler leurs images à lenvers jusquau moment où, ce qui va devenir une obsession gâchant la vie de ses ou de son héroïne pour mon cas, revient au point de départ.
- Audrey, merci pour cette danse fort érotique.
- Salope.
- Monsieur, modérez vos propos.
- Cest ma fille et si je veux la traiter de salope, vous la fermez !
- Mademoiselle prenez ma main et suivez-moi jusque chez moi à deux pas dici.
Hélas, ça cest dans les films, mais quand Jean memmène dans sa chambre, je veux croire que jai 17 ans.
- Audrey montre-moi que ton père avait raison et que tu es une salope.
La vie ma montré que salope ou non salope, certaines cachaient bien lune par rapport à lautre.
Agir plutôt que parler.
Montré à cet homme, les pires turpitudes dont jétais capable pour lui plaire.
Montré que sil avait eu du courage à affronter mon père, ma bouche laurait pompée activement comme je le fais 20 ans après.
Ce qui me plait le plus, cest sa verge sortie de son pantalon et qui mapparaît dans toute sa splendeur alors quelle mest restée à létat de fantasme toutes ces années.
- Aurais-tu été capable de me pomper aussi divinement si javais été plus courageux envers ton père ?
Pourquoi répondre à une telle connerie, Julien, Jean, Tony, une verge est une verge et seul, mon plaisir compte ?
Ce doit être ma partie cachée de mon être profond.
Il serait fastidieux quà chaque ligne, le mot salope apparaisse au risque de vous lasser chers lecteurs et surtout lectrices.
Mais quand la porte souvre alors que Jean vient de menfiler en levrette, cest une parfaite salope qui le prend dans sa bouche la jeune verge de Julien.
Dans cette partie de baise intense, je réunis, le passé, le présent et même le futur dont toute femme a besoin pour sépanouir.
Quand je quitte ces deux garçons, jai joui trois fois.
Je me suis fait sauter comme je lai dit en suçant le fils pendant que le père a fini par menculer.
Deux heures après ils mont achevé en double vaginal.
Quil a été jouissif de sentir ces deux verges me labourer alors quelle se touchait reliant ma plus de la trentaine à mes 17 ans.
Repu de sexe par mes deux amants,ayant retrouvé mes s, attendant le retour de mon mari, je vais à la porte, car lon vient de sonner...
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