Julie Experte En Mise En Bouche
Cette histoire remonte à mes 25 ans, je m'étais encore séparé de ma copine pour la deuxième fois car je la soupçonnais une fois de plus de me tromper. Effectivement lors d'un appel sur son portable, un autre homme avait décroché m'indiquant être son copain, cela avait été encore une fois un électrochoc, le ciel me tombait à nouveau sur la tête après 7 ans de couple. Elle avait eu beau nier en pleurant de toute son âme et en prétextant que c'était une blague d'un pote, je foutais ses vêtements à la porte de chez moi en appelant ses parents pour qu'ils viennent récupérer leur salope de fille.
À cette période, ma situation financière n'étant pas au top, je décidais de rendre mon appartement pour aller vivre chez ma grande sur afin de suivre une formation située près de chez elle. Au même moment, mon pote Nino qui n'avait rien trouvé de mieux que de tromper à maintes reprises sa copine chez qui il vivait se retrouva foutu à la porte par cette dernière et emménagea également avec moi chez ma sur, nous étions donc cul et chemise comme à notre habitude. Nino grand fêtard de surcroît avait toujours un bon plan à proposer, boîte de nuit, pub, soirée dans des pavillons bourgeois de banlieue, crémaillère dans des appartements parisiens, nous étions toujours de droite à gauche. Nino à cette époque avait trouvé une nouvelle copine, une femme beaucoup plus âgée de pratiquement 15 ans son aîné et qui devait avoisiner les 38 ans, Nora me semble-t-il, mère célibataire d'une fille de 17ans. Il adorait me raconter ses parties de jambes en l'air avec Nora, une sacrée cochonne sous ses aires de maman cool . Nora était une Maghrébine, brune et très mince, un visage sympathique avec des joues creusées, Nino me décrivait comment il l'a baisé dans tous les sens dans des chambres d'hôtel où chez elle, elle aimait les relations hard et il lui arrivait parfois de devoir lui enfoncer le bout d'une bouteille de champagne dans le cul en même temps qu'il s'occupait de sa chatte pour la faire jouir.
Sonia et moi nous appelions le soir, toujours au moment de se coucher et quand toutes les lumières du petit F2 de ma sur étaient éteintes. Je dormais au salon dans un petit matelas de fortune, ma sur dans sa chambre et Nino dans la buanderie qu'on avait emménagée en petite chambre supplémentaire, système D. Nino était souvent absent car toujours fourré dans une chatte de droite à gauche et moi suivant ma formation, je devais me lever tôt.
C'est Sonia , la gamine de 17ans qui m'initia aux joies du téléphone rose, m'appelant tous les soirs vers 23h30 la chatte en feu pour me raconter ses fantasmes de baise torrides, je l'écoutais silencieusement se mettre des doigts en haletant comme une petite chienne derrière son téléphone, elle me décrivait les scènes sexuelles qu'elle s'imaginait vivre, fantasmait qu'elle voulait aussi comme sa mère se faire baiser par des grosses bites noires. Sonia aimait mettre son téléphone portable au niveau de son entre jambes pour que je puisse entendre le bruit de ses doigts qui effectuaient des va-et-vient dans sa petite chatte remplie de cyprine, mon sexe gonflé au maximum d'entendre tant de perversion de la bouche d'une jeune fille, je lui demandais à voix basse pour ne pas me faire entendre par ma sur, qu'elle me donne plus de détails sur les situations qu'elle rêvait de vivre.
Nino me présenta Julie lors d'une soirée, une pote à lui de la Vendée qu'il avait essayé de baiser sans succès. Julie était dans le style baba cool que Nino appréciait temps et que j'aimais si peu, mais bizarrement, par manque de sexe depuis ma récente rupture ou par réel coup de cur, je flasha sur cette fille. Elle avait un truc qui me plaisait beaucoup dans son visage et dans son attitude. Julie était une petite brune d'environ 1m60 et d'origine grecque, une silhouette mince cachée sous des vêtements plutôt amples qui ne permettaient pas de voir ses formes. Nino me fila son numéro en lui touchant quelques mots sur mes intentions et apparemment Julie avait également eu un coup de cur réciproque. Très vite on commença à s'appeler et en moins de trois jours, je me pointais devant son petit studio de Levallois-Perret.
Posté devant sa porte avec ma bouteille de vin blanc "Monbazillac ", Julie m'ouvrit la porte en bas de survêtement et avec un petit débardeur blanc, bizarrement comparé à beaucoup d'hommes, j'ai toujours trouvé le bas de survêtement terriblement provocant chez une femme, non pas pour le côté esthétique de la chose mais pour le côté pratique, qu'est-ce qui peut s'enlever plus vite et sans résistance qu'un bas de survêtement ? Il suffit juste de tirer dessus et on a accès aux fruits de la passion qui se libère sans résistance, cette vision de la paire de fesses qui s'offre à nous progressivement et rebondi sous la pression de l'élastique, le tissu est tellement léger que même à travers sans culotte, on peut quasiment ressentir la douce chair en pelotant les formes de la femme convoitée, pratique pour pouvoir assouvir des pulsions pressantes dans des endroits inappropriés et le remonter aussi tôt comme si de rien n'était, oui.
Julie vivait dans un minuscule studio d'à peine 20m², en ouvrant la porte d'entrée, on tombait directement sur une fenêtre qui exposée plein sud et qui laissait entrer un grand soleil, sur la droite de la fenêtre était disposée un lit en mezzanine où se trouvait un bureau juste en dessous, et à droite de la porte, une petite cuisinette ouverte sur l'ensemble de la pièce.
Julie me fit la bise en rougissant et j'étais plutôt intimidé aussi en ce début de soirée, mais évidemment, je ne devais surtout pas le montrer et être entreprenant. Le feeling passa très vite entre nous, et nous savions déjà quel était le but de ce rencard. On cuisina un plat de spaghettis au beurre et des steaks hachés, nos maigres salaires de jeunes travailleurs ne nous permettant pas le grand luxe, puis on s'installa pour discuter, Julie était une vraie pipelette, me racontant son parcours, son arrivée en région parisienne, son intégration dans son nouveau job, cela me changeait d'avoir affaire à une femme aussi bavarde car mon ex-copine était muette comme une tombe , j'aimais bien l'écouter raconter sa vie même si de temps en temps, je déconnectais pour m'imaginer dans quelle position et à quel endroit je pourrais la baiser dans ce petit studio, si elle portait une culotte en-dessous de son jogging, si elle était cochonne. Les heures passèrent et il fut bientôt 1h00 du matin, Julie me proposa de rester dormir chez elle car vu la distance qui nous séparait il n'était pas trop prudent de prendre la route à cette heure-ci après quelques verres de vin blancs, ayant fait le plein de préservatif avant de venir, j'acceptais évidemment l'invitation.
Julie alla se changer dans la salle de bain, pendant que j'enlevais mon pantalon et ma chemise au salon, quand elle revint en nuisette beige, elle me trouva en tee-shirts et en boxer, à la vue de cette jeune femme dans une tenue tellement légère qui me laissait voir ses jambes et remontait pratiquement à hauteur de sa culotte, très vite une bosse commença à se former dans mon boxer, Julie l'aperçu mais fit mine de rien, elle monta la petite échelle qui permettait d'accéder sur son lit en mezzanine.
Nos corps était tourné l'un vers l'autre et sans perdre une minute de plus, on s'embrassa passionnément, une main passa très vite sous le fin tissu de sa nuisette pour remonter jusqu'à sa poitrine qui ne portait pas de soutien-gorge, Julie avait de minuscules seins mais je pouvais tout de même sentir ses tétons qui pointaient déjà très dure. Je sentis sa main qui me caressait le bas du dos faire le tour de mes hanches pour ensuite commencer à rechercher l'entrée de mon boxer, elle y plongea les doigts délicatement puis finit par me saisir le sexe à pleines mains. Mon corps eut un léger tremblement de plaisir. Elle commença à me branler lentement avec des petits va et vient à cause de l'étroitesse que mon boxer lui offrait comme possibilité de mouvement. J'enlevais donc mon boxer pour lui permettre de se rendre compte plus amplement de ce qu'elle avait dans la main,
« Tu aimes ce que tu touches ? » lui demandais-je, en continuant à lui faire des petits bisous dans le cou, des petits bisous qui la faisait frémir à chaque fois.
« Oh oui, c'est très agréable, je ne suis vraiment pas déçu pour le moment » me répondait-elle tout en continuant à me branler de sa petite main chaude qui recouvrait a peine la moitié de ma verge.
Je la mis sur le dos, lui enleva entièrement sa nuisette pour l'avoir nue, elle portait uniquement une petite culotte noire à dentelle qui n'allait pas tarder à sauter aussi.
Je commençais à lui bouffer ces petits seins dressés et à lui mordre les tétons tout en collant ma bite en érections sur sa chatte. Je lui branlais le clitoris à travers sa culotte à l'aide de mon sexe gonflé par le plaisir, je simulais l'acte sexuel à venir en fessant des va-et-vient bien appuyé sur son vagin, les jambes écartées, Julie sentait la longueur de ma bite chaude et dure qui entrait parfois en contact direct avec ses grandes lèvres, lorsque sa culotte se mettait accidentellement sur le côté, sous l'effet de la friction et de la mouille qui commençait à se répandre dans sa vulve excitée. Nos corps chauds et serrés dans cette nuit éclairée uniquement par la lumière des réverbères qui entraient dans la petite chambre, Julie me tenait la tête en lâchant des soupirs de ses plaisirs grimpants. Je continuais ma descente, abandonnant ses seins pour commencer à lui embraser le ventre, le nombril, et enfin arriver sur son pubis. Je me redressai lentement et lui souleva légèrement les fesses afin de lui enlever sa culotte, la renifla discrètement dans la pénombre pour m'imprégner des effluves de son excitation, puis m'allongea le nez à hauteur parfaite de son minou et commença enfin à lui déguster cette chatte rasée qui me donnait tant envie. Huuum, Julie avait une odeur agréable de vanille sur la peau et un goût délicieux entre les jambes, cela commençait plutôt bien pour moi qui suis friand du léchage de minou. Je lui suçais à grande bouche ses grandes lèvres, salivant dessus une fois qu'ils étaient en bouche, tirant dessus pour aspirer la mouille qui s'y dégageait, j'adore la texture en bouche que peut avoir les grandes lèvres. Je lui écartais le vagin de mes doigts pour essayer d'introduire ma langue le plus loin possible et la baissant ainsi avec de profond va et vient, je lui remontais les jambes au niveau de sa poitrine afin d'avoir pleinement accès à sa croupe luisante, je titillais et me délectais de son clitoris dans un bruit de succion qui remplissait la pièce silencieuse. Julie appuyait ma tête en lâchant des gémissements pour que je l'embrasse toujours plus loin entre ses jambes, relevant de temps en temps son visage afin de m'observer en pleine action avant de retomber, tremblotante, dans l'oreiller en m'appuyant encore plus fort le visage dans son anatomie. j'adorais ça, faire monter le désir lentement chez une femme juste avec une bouche experte, sentir son sexe vibrer et palpiter juste au bout de ma langue, lui lécher et sucer goulûment tous les recoins de sa chatte juteuse afin de déterminer grâce à ses pulsations, sa zone la plus érogène et une fois la cible trouvée, insister dessus jusqu'à l'apothéose de ses sens. au bout de 10 minutes à lui manger littéralement la chatte et à lui introduire des doigts en simultané, son corps tout entier finit par trembler avec passion, donnant des petits à-coups secs comme électrifier. Le lit en mezzanine grinça. Julie jouissait et j'étais satisfait d'avoir fait jouir Julie des nôtres premier rencard.
Mais tout ceci n'est rien devant la bouche experte de Julie. Ce fut la première fois et la dernière fois qu'une femme me fit jouir à un degré aussi intense grâce à une pipe, juste à écrire ces mots, je suis encore en émoi par tant de douceur et de savoir-faire que ces douces lèvres ont su procurer à mon membre dressé. Je n'aurais jamais imaginé qu'une telle intensité de jouissance puisse exister, des spasmes déchirants de plaisir explosant d'entre mes cuisses.
Julie descendit lentement comme un fauve vers sa proie, dans cette chambre sombre éclairée uniquement par la lumière des étoiles qui reflétait des fenêtres, me déposant un baisser à chaque endroit de mon corps où ses lèvres passaient comme pour ne pas perdre le chemin du retour, une fois arrivé à mon sex dressé vers le ciel, elle commença par le lécher de haut en bas, en partant de mes couilles rasées, bouffant et suçant mes testicules à pleine bouche, elle prenait son temps pour remonter sur ma verge en gobant lentement petit bout par petit bout, massant de sa langue chaque partie de ma bite qu'elle prenait en bouche, mes fesses tremblaient toutes seules à chaque happement de cette déesse fellatrice. Sa salive augmentait et je pouvais ressentir le glissement de sa bouche qu'elle effectuait sur les côtés de ma bite en allant de haut en bas, je regardais sa tête me sucer de profil, monter et descendre sur ma verge comme sur une glace à l'eau qui fondrait trop vite au soleil, elle arriva enfin sur mon gland qui avait dû doubler de volume vu l'excitation dans laquelle elle m'avait mis, commença à le mettre en bouche, mais juste le petit bout du gland, elle jouait juste avec lui, à le sucer, le titiller de sa langue baveuse, le mordiller délicatement, sa main chaude se posa sur mon pénis et commença à me masturber très, très, très lentement et d'une main tellement douce et légère que j'avais l'impression qu'elle la tenait à peine, à ce moment précis, je crus que j'allais lui exploser en bouche, mon plaisir au bord et mon cur tremblant dansait le chant des tam-tams, c'est comme si ma bite ne fessait plus parti de mon propre corps tellement elle avait atteint un état de plénitude sexuelle, Je regardais dans cette pénombre la jolie bouche de julie me sucer le gland comme une experte et je me demandais où est-ce que cette jeune femme de 23 ans avait pu apprendre à être une si bonne féllatrice. Sa petite bouche essaya de descendre plus profondément sur ma bite, et je commençais à sentir petit à petit l'intérieur de sa gorge chaude, elle me suça en me branlant, sa salive faisant glisser mon sexe entre ses lèvres qu'elle serrait juste assez pour que je puisse ressentir la pression de sa langue contre ma peau, par réflexe bestial, j'attrapais sa tête et commença à lui baiser lentement la bouche comme s'il s'agissait d'un vagin juteux, pour amplifier mon plaisir elle commença à me masser délicatement les boules de ses fins doigts... Il fallait que cela s'arrête... tout de suite... c'était trop bon... trop intense... encore 10 seconde et je lâchais tout mon sperme au fond de sa gorge comme un puceau devant son premier magazine porno, une jouissance inopinée qui aurait déclaré par la même occasion un Game Over de ma part.
Je la ramenais vers moi, l'embrassant à grand coup de langue pour la remercier de temps de délices et sentir le goût de sa langue encore imprégner de mon excitation, pendant que je restais allongé sur le dos et les yeux à moitié clos pour calmer mon excitation, Julie sortit un préservatif de dessous son oreiller et me le mit avec aisance sur cette bite dure comme du bois. C'est la première fois qu'une femme me mettait elle-même la capote et cela me plut. Je la mis sur le dos, lui lécha encore un peu la chatte pour la remettre dans le bain et lubrifier cette partie de son anatomie que je comptais bien pénétrer dans quelques instants, je pris ma bite à la main en la branlant lentement, lui écarta les jambes bien grand et glissa mon phallus gonflé jusqu'au bout de là où mes couilles me stoppèrent, Julie couina de plaisir sous l'impact et me serra fort dans ses bras, nos corps humides restèrent collés quelques secondes ainsi, à juste nous embrasser, à apprivoiser la sensation l'un et l'autre de nos deux sex en fusion. Julie sentait bon, elle était douce et je me sentais bien entre ses bras, je plongeais mon nez dans ses cheveux pour humer son doux parfum et lui faire des bisous tendre dans le coup, elle vibrait à chaque baiser... son point faible apparemment. C'était mon style de fille, j'aime les filles qui sont plus petites que moi en taille, 1m62 pour 1m77, c'est le ratio idéal, on peut l'envelopper facilement dans nos bras comme un gros Ourson en peluche.
Je commençais lentement mes mouvements du bassin, sortant ma bite au maximum, à la limite des grandes lèvres pour la réintroduire aussi tôt le plus profondément jusqu'aux couilles, qu'elle ressente en elle toute la longueur qui la pénétrait à chaque aller-retour. Julie haletait de plaisir, je soulevais avec aisance son petit corps léger, ses fesses décollées légèrement du lit et les genoux juste en-dessous pour mieux les soutenir, ma bite n'avait plus qu'à glisser dans ce vagin grand ouvert qui s'offrait à moi. Je lui pinçais les deux seins en même temps, Julie passa une main en-dessous de ses fesses pour attr mes bourses et commençait à les malaxer avec souplesse, mon sexe durcit encore plus fort, les veines de ma bite commençant à vibrer et mes mouvements en elle à s'accélérer. Je la mis sur le côté pour la pénétrer en cuillère. Je la collais contre mon torse en lui caressant toujours les seins, Julie donnait des coups du bassin pour que ma bite s'enfonce toujours plus profondément en elle. L'instant était magique, notre union était parfaite... la jouissance était imminente... je l'attrapais donc par la taille dans cette position allongée sur le côté et commençais à la culbuter bestialement
"Oh oui ! Oh oui... ça vient... ça vient "
J'accélérai mes coups de boutoir comme une bête enragée, mes couilles cognant violemment contre ses fesses comme une vague contre un rocher, le lit tremblait, Julie couinait de plaisir quand ma bite lâcha de long et puissant jet de sperme tout au fond de cette merveilleuse chatte chaude et serrée. Mon corps tremblait en entier tellement la sensation avait été puissante, je serrais Julie fortement dans mes bras en continuant à lui embrasser dans le coup.
Elle se retourna vers moi et on s'embrassa longuement avant de s'endormir coller l'un contre l'autre. Une belle histoire venait donc de commencer, cétait officiel, Julie, lexperte en mise en bouche serait ma copine.
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