Le Juste Prix...
Plus quun excellent dîner aux chandelles, Myriam mavait réservé une surprise de taille. Elle avait demandé à sa nièce si elle pouvait venir nous servir le dîner. Et lui avait précisé quelle serait doublement payée si elle acceptait dexécuter certaines, de nos petites fantaisies. Yasmina donc sa nièce, sétait surtout décidée quand sa tante lui avait indiqué quelle navait pas besoin de coucher.
Donc la jeune fille nous a gentiment servis, nue sous son tablier, comme il était convenu. Je nen croyais pas mes yeux. Elle avait tout là où il fallait. De beaux seins généreux, une paire de fesses larges et bien modelées, des cuisses longues recouvertes de bas. Elle me regardait à chaque occasion, dun il luisant de désir. Je ne lui étais pas indifférent !
Comme elle nétait pas très bavarde et se montrait très obéissante, je me suis laissé aller à mes instincts pervers et jai claqué ses fesses nues alors quelle memplissait mon verre de vin. Elle restait immobile, comme si elle attendait une suite. Jen profitais pour faire monter mes doigts, effleurant délicatement une jambe rugueuse par le nylon. Pour en recevoir plus, la coquine déplaçait ses pieds, lun de lautre, écartant ainsi le compas des jambes.
Je pouvais par cette mobilité, arrivé aisément jusquen haut de la cuisse. Pour y rencontrer le contact doux des lèvres. Remontant par la suite, le long de la fente du sexe pour marrêter sur la minuscule protubérance du clitoris. Yasmina eut un soupir et sappuya des deux mains sur la table pour ne pas tomber. Je fis alors tourner mon majeur avec adresse, autour du petit rond point de chair, juste comme il fallait. Tout de suite la respiration de la jeune fille saccéléra.
Cela dura un assez long moment, jusquà la faire jouir. Exhorté par son orgasme, jenvoyai mon autre main rejoindre sa jumelle sous le tablier. Tâtonnant un instant, avant de trouver ma voie et, doucement, pénétrais dun doigt le sexe.
Deux, trois allers et retour, puis je joignis un second doigt au premier, dans le conduit imbibé. Et pendant tout ce temps le majeur de mon autre main continuait ses éternels tours de manège autour du clitoris. Et cela pour le plus grand plaisir de la jeune fille, qui gémissait de plus belle. De grosses gouttes de sueur coulaient sur ses tempes. Jen avais le souffle court. Myriam de son côté, se masturbait frénétiquement. Puis les yeux de la nièce se révulsèrent. Et très vite après, elle extériorisa de nouveau son plaisir. Faisant rouler des hanches comme pour précipiter le mouvement du branlage sur mes doigts. Brusquement elle se cabra et râla de plus belle.
- Oui !
Oui !
lâcha-t-elle en serrant violemment les cuisses, emprisonnant mes doigts qui la fouillaient.
Je profitai quelle récupère pour sortir ses tétons du tablier et de jouer avec eux copieusement. Les malmenant sous les yeux envieux de la tante.
Puis mes doigts tripotèrent le mamelon. Dune longueur et dun volume étonnants. Les yeux hagards, Yasmina ouvrait une bouche de carpe. Elle adorait quand la touche la coquine ! Elle remuait même les hanches, tout en gémissait sans discontinuer.
Je ne résistai pas à la tentation de me pencher pour lécher un mamelon. Et cela tout en malaxant le sein. La coquine se trémoussait toujours, tout en faisant une moue boudeuse. Une bouche en cul de poule. Une bouche prête à recevoir une bite. Et cela me donna une idée. Mais avant il fallait que je me renseigne auprès de la tante :
- Est-ce quelle à le droit de me sucer ?
- Sucer nest pas coucher ! A répondu la tante. Mais ce nest pas gratuit.
- Combien ?
- Cent balles ! Riposta Myriam.
- Va pour cent balles.
Après un signe de tête affirmatif de sa tante, Yasmina se baissa à hauteur de ma verge. Et sans faire de manière, elle me débraguettait avant dempoigner fermement ma verge. Du bout de sa langue aiguisée, elle lécha le gland, et peu à peu sempiffrait du reste.
- Branle-le, aussi ! Lâcha la tante. Tu vas voir, il aime cela !
Alors quelle me pompait de plus belle, avec des mouvements de tête, sa main droite vint à laide. Emballant ma hampe de ses petits doigts pour me la traire, dun mouvement souple du poignet. De haut en bas et de bas en haut. Jétais aux anges. Et que dire, quand elle envoya son autre main qui disparu sous mes fesses. Et de sentir tout de suite après, un de ses doigts se planter dans le cul. Leffet fut immédiat ! Sentant que jallais décharger, elle retira sa bouche de ma verge, au summum de son excitation, et sans cesser de me branler, elle se pencha en avant pour recevoir les jets de sperme visqueux, qui sécrasèrent entre ses deux mamelons. Je nai pu mempêcher de geindre en lâchant ma purée. Je trouvais que la jeune fille était pleine daudace, sous son air de ne pas y toucher !
Elle étalait toute ma jouissance sur sa chair bombée, en soignant particulièrement ses aréoles brunes et ses bouts durs.
Pas le temps de reprendre mon souffle que déjà la tante me proposa un dilemme :
- Yasmina, peu si tu le désire ten donné plus. Enfin si tu veux ?
- Et je dois donner combien pour cela ? Ai-je répondu.
- Je ne sais pas moi ! Lança Myriam.
- Cent balles ! Proposais-je.
- Aller deux cent balles et Yasmina se surpasse. Nest-ce pas ma chérie ?
- Oui tata ! Ajouta-t-elle.
Déjà elle posa un pied sur la table. Que sa pose faisait évaser ses fesses. Je mattardais sur la vision de sa raie ouverte où se détaché la rondelle brune de son anus. Ainsi que sur la fente bistre et baveuse. Je détaillais également les replis gluants. De même que le trou sombre et le clitoris à vif en érection, qui surplombait le sommet de tout ça.
Avec son trop plein de jus, elle humecta ladorable trou du cul. Qui nétait pas à en juger sa souplesse, à sa première pénétration. Je bandais de plus belle. Dailleurs je crois navoir pas débandé. Elle prit ensuite une banane dans la corbeille posée sur la table. Et prenant son temps, et tout en me fixant droit dans les yeux, elle se lenfila dans son trou de balle. Lentement, mais après chaque poussée, je voyais le fruit diminuer en longueur. Elle se servait du fruit comme elle laurait fait avec une bite dhomme. Son corps fut de nouveau secoué, comme si elle prenait des coups de queue invisible. Dans laction, ses mamelles gigotaient.
- Oui
putain que jaime ça ! Se mit-elle à crier.
Je navais pas pu résister à la tentation de me pencher pour poser ma bouche sur laine de la jeune fille, léchant la peau fine. Dilatant mes narines pour mimprégner de lodeur violente qui sen dégageait. Ne pouvant non plus minterdire de lécher dans le sens de la longueur la fente. Elle sécriait, surprise de ce que je faisais :
- Oh ! Monsieur, quest-ce que vous faites là ?
Je me retirai pour lui dire.
- Ma fille, quand un fruit est bon comme le tien, je ne peux mempêcher de le choyer, lembrasser, le manger.
Et je repris ma dégustation. Un liquide fluide coulait entre les petites lèvres. Je léchais, je léchais et léchais encore. Pour ne pas chuter, elle lâcha la banane qui fut tout de suite expulsé par son fion et qui a fini sa course sur le sol.
Jen profitais pour fouiller la grotte dilaté par lintroduction de la banane, de ma langue tirée. Appréciant ma caresse, la coquine vint au devant de ma tendresse. Son anus obéissant à linfluence dune caresse magnétique. Qui lattirait comme laimant attire le fer.
Je léchais quelques instants encore son cul, avant de prendre une autre position et par la même occasion lautre trou. Plus approprié pour ce que je comptais faire. Yasmina, debout devant la table, tendait son sexe à la rencontre de ma bouche.
- Cest bon ! Quest-ce que cest bon ! Gémissait-elle sourdement.
- Je te lavais dit ! Répondait la tante. Il sest y faire ce cochon !
Jenfonçais mon nez entre ses fesses, respirant lodeur de son anus. Puis dune langue dure et pointue, javais à nouveau violé le cul toujours autant amer.
Il était si bien dilaté, que javais farci sans difficulté le trou de trois doigts. La cochonne na pu sempêché de gémir. Suite à cette exploration, jôtais les doigts, et les portais à mon nez. Très satisfait, je les léchais. Faisant exprès de claquer ma langue. Cest linstant quavait choisi Myriam pour poser sur moi ses yeux ambrés.
- Je nai pas rêvé là ! Tu las pénétré.
- Attend ! Attend ! Je nai pas mis ma queue.
- Encore heureux ! Cela te coûtera tout de même le double.
Hypnotisée, Yasmina me fixait sans rien dire.
- Cest une soirée qui va me coûte cher ! Lançais-je à Myriam, alors que la jeune fille se précipita à quitter le lieu pour aller se changer.
- Cétait pour la bonne cause mon chou. La petite a besoin de fric. Répondait-elle. Dailleurs je te propose de me la mettre à moi. Et cela gratuitement. Ajoutait-elle en montant sur la table.
- Jespère bien ? Lui lançais-je, en me postant debout entre ses jambes.
Je retroussais sa jupe jusquà la taille, écartant par la même occasion son slip. Puis je la pénétrai dun seul coup de reins, et de tout mon long. Elle sagrippait au bord de la table tout en poussant des petits cris étouffés. Tout en me branlant dans son antre, je la regardais. Elle avait les yeux clos, la bouche ouverte, les lèvres un peu retroussées sur les dents. Ses joues se creusaient et elle ne se ressemblait plus tout à fait. La montée du plaisir aiguisait ses traits, leur donnait une expression avide, presque douloureuse.
Yasmina avait sagement attendu quon termine pour venir chercher son dû. Soit six cent balles
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