Féminisation

L'eau de la douche a rincé les dernières traces de crème à raser sur mon ventre et mes cuisses. J’avais rasé mon giron dans l'espoir d’obtenir une fellation de ma femme. Elle détestait avoir des poils dans la bouche et me demandait de rester rasé de près sur toutes les zones qu'elle aimait embrasser, alors j'ai fait de mon mieux pour lui plaire.

La douche touchait à sa fin. J'ai rincé mes cheveux et mon corps, puis j'ai coupé l'eau. J'étais détendu par la chaleur de l'eau et j’ai attendu un moment avant de lever la main pour ouvrir le rideau de douche. Le plastique, pendu aux anneaux métalliques, a glissé sur la tringle avec ce bruit grinçant que font tous les rideaux de douche. C'était une douche tonique.

En tendant la main pour attr ma serviette sur le porte-serviettes, j'ai remarqué quelque chose que je n'avais certainement pas placé là. Sur ma serviette, il y avait un string. Je l’ai pris en main pour étudier le mince objet noir.
À cet instant, j’ai remarqué le message écrit sur le miroir embué de vapeur. 

"Mets-le !" Le message était simple et complexe. J'ai réfléchi. J'ai pensé ignorer le message et m'habiller. Puis, j'ai repensé aux deux verres de vin que ma femme avait bu pendant le repas. J'ai envisagé la possibilité qu'elle soit d’humeur coquine. J'ai décidé de jouer le jeu pour savoir ce qu'elle avait prévu pour moi.

J'ai manipulé le ridicule petit morceau de tissu prévu pour couvrir ma bite. Juste un triangle et deux élastiques.

"Ça n’ira jamais !" soupirais-je en glissant mon pied gauche puis mon pied droit. L’élastique s'est étiré pendant que je le remontais au-dessus de mes genoux. Le matériau, en toute honnêteté, était doux et sexy de manière étrange, et le triangle de tissu recouvrait mon sexe, tandis que la ficelle à l'arrière s’insérait dans la raie de mon cul.

J'ai positionné la ceinture pour qu'elle soit droite, et je me suis admiré dans le miroir.

 J'ai vu mon paquet gonfler le matériau. Clairement, ce produit n’était pas conçu pour quelqu’un d’aussi bien équipé que moi, mais je me sentais sexy. Je me tournais en essuyant la buée pour avoir une bonne vision. 

L’élastique horizontal était haut sur mes hanches et le triangle de tissu tirait mon paquet vers le haut. Je me suis tourné pour voir la ficelle disparaître dans la raie de mon cul, et réapparaître au-dessus de mes fesses pour rejoindre la ceinture horizontale. Dans un mouvement presque involontaire, j'ai frotté ma main sur le triangle du string et j'ai immédiatement senti ma bite s’émouvoir. Je n'aurais jamais soupçonné que porter ce string pouvait autant m’exciter.

J'étais prêt pour le petit plan coquin de ma femme, quel qu'il soit. J'ai ouvert la porte de la salle de bain et une angoisse soudaine s'est emparée de moi. Et si c'était une blague? Et si tout un groupe d’amis m’attendaient, cachés, pour me surprendre en string, et en érection ? J'étais soudain circonspect en marchant dans le couloir jusqu'à notre chambre.

"Chérie ?" Ai-je appelé en franchissant la porte de notre chambre. L'endroit était atrocement vide. J'ai commencé à me demander où elle était jusqu'à ce que j'entende la voix de la maîtresse de cérémonie:
"Va m’attendre sur le lit !"
J'ai ressenti un sentiment de soulagement au son de sa voix. Je suis allé m’installer docilement sur le lit.

J'ai placé mes deux mains sur le matelas, et j'ai levé mon genou droit pour monter sur le lit. J'ai immédiatement ressenti à quel point j'étais exposé dans ce petit string. Je n'étais pas nu. C'était pire. J'étais exposé, féminisé. Pour la première fois, j’ai imaginé ce devait ressentir la femme, en grimpant sur un lit, pour se soumettre au désir du mâle. J'étais mal à l'aise avec ça, alors je me suis rapidement assis sur le bord du lit, et je l'ai attendue.

L'attente n'a pas été trop longue, mais suffisamment pour me permettre de me caresser, par-dessus le string.
 
C’était incroyablement doux et sensuel sur ma virilité palpitante et j'ai commencé à en profiter. 
Ma femme m’a surpris en surgissant brusquement dans la pièce.

"Tu aimes ?" J'ai d'abord été décontenancé et j'ai rapidement retiré ma main de ma manivelle, comme un adolescent surpris en train de se masturber par sa maman. J'ai souri, un peu gêné.

"Ouais, j’aime … un peu ..."

"Qu'est-ce qui te plaît, là-dedans ?" questionna-t-elle avec un sourire diabolique.

"C’est sexy" ai-je répondu sur un ton neutre, pour ne pas me dévoiler.

"Et comment tu te sens, là-dedans ?" s'enquit-elle, indiscrète. 

Cette question m'a fait réfléchir, mais j’ai avoué rapidement : "Vulnérable !"

Cela devait être la bonne réponse, car elle m’a souri, un grand sourire qui me laissa le temps de détailler sa tenue.
Elle était juchée sur des hauts talons en cuir noir. Ses jambes interminables étaient gainées dans des bas résille qui s’arrêtaient au-dessus des genoux. Une mini-jupe en cuir noir drapait ses hanches. La peau blanche de ses cuisses était barrée par les jarretelles qui retenaient ses bas. En haut, rien de plus qu'un soutien-gorge noir qui rehaussait le galbe de sa poitrine. Entre les deux, son ventre clair qui contrastait sur la noirceur de sa tenue de vamp séductrice.
Les cheveux relevés étaient attachés en une sorte de queue de cheval. Elle était magnifiquement sexy. Sublime.

"Approche" murmura-t-elle et me faisant signe avec son index. Je lui ai obéi, subjugué. J’aurais voulu l’enlacer, l’embrasser passionnément, mais elle m'a stoppé en posant la paume de sa main sur ma poitrine. Sa main a glissé de mon torse vers mon entrejambe. Elle a saisi mon paquet d’une main ferme pour continuer le travail que je faisais avant.

Mais c'était bien meilleur quand c’est elle qui le faisait.

Puis elle m'a fait faire demi-tour. J’ai senti ses seins s’appuyer contre mon dos lorsqu'elle m’a enlacé.
 La paume de ses mains a retrouvé ma poitrine, mon ventre, puis ses deux mains se sont posées sur ma bite. Elle me caressait lentement et je me sentais devenir raide comme une barre d’acier. 

Elle a dû sentir que j’étais prêt à envoyer la purée, parce qu’elle s’est arrêtée net.
J’ai ronchonné : "Je déteste quand tu me laisses en plan comme ça !"
Ça l’a fait rire, un rire clair, cristallin. Elle se foutait de moi.

"Ne te retourne pas !" ordonna-t-elle, pendant que je lui tournais le dos. Je me suis demandé ce qu'elle manigançait.

"Retourne-toi, maintenant" J'ai obéi et j'ai été bien attrapé.

Elle avait ouvert le devant de sa jupette en cuir. Par l’ouverture, jaillissait une bite en latex noir de quinze centimètres qui était maintenue en place par un harnais en cuir noir. Tout ce noir ! J’ai failli lui demander si elle avait perdu un proche.
Elle me souriait, un sourire coquin, en épiant ma réaction sur mon visage.

"Qu'est-ce que tu comptes faire avec ça ?" Ai-je demandé anxieusement. Si elle en voulait à mon cul, pourquoi pas ?

Comme j’étais persuadé de savoir ce qui allait m’arriver, elle m'a surpris une fois de plus. Elle posa fermement ses mains sur mes épaules et me poussa avec force. J'ai fourni peu de résistance en tombant à genoux devant elle. 
Elle n'avait jamais demandé ça auparavant. Était-ce le fait que je porte un string et elle une bite, mais j'ai ouvert grand ma bouche et elle s’engouffra dedans.

"Tiens ! Voilà ! Suce ma bite !" L'espièglerie avait disparu de sa voix. 

Elle a posé ses deux mains sur ma tête et elle a commencé à baiser ma bouche. Plus vite, plus fort, plus profond.
L’extrémité du gode a frappé le fond de ma gorge et j'ai étouffé en éprouvant une sensation de nausée.

"Fais pas ta mijaurée" Elle a ralenti sa manœuvre. Elle a lentement poussé son gode dans ma gorge. 
J'ai un peu bâillonné, mais j'ai pu me détendre et continuer.


Elle a accroché ses doigts dans mes cheveux pour éloigner ma tête. Puis elle a baissé les yeux pour voir la trace d’humidité sur sa bite. Elle m'a giflé le visage avec le gode et m’a demandé : "Et maintenant, comment tu te sens ?"

"Comme une salope."

Elle a souri, orgueilleuse : "Tu es ma salope !" Et j'étais heureux et fier d’être sa salope.

"Lève-toi, salope, et penche-toi sur le lit." 

Docile, j’ai obéi à son désir, et je me suis mis en position. Mon cul étais exposé et j'ai reçu une claque sur ma fesse droite. Suivie d'une autre, puis d'une autre jusqu'à ce que mes fesses soient rouges. Puis la fessée a cessé, remplacée par des caresses. Elle caressait mes fesses en déposant de petits baisers sur mon dos.

Puis, avec la pointe de ses ongles, elle a délimité légèrement les contours du string. Ça chatouillait un peu d'être touché si légèrement, et j'ai pensé que les préliminaires étaient terminés lorsqu'elle a accroché l’élastique de mon string. Je la sentis glisser la ficelle sur le côté. Elle avait tout l'accès qu'elle voulait à mon anus. 

Je m'attendais à ce qu'elle me pénètre, mais elle ne l'a pas fait. J’ai tressailli lorsqu'elle écarta mes fesses et que son doigt s’aventura dans mon trou du cul. J'ai regardé derrière moi en entendant la bouteille de lubrifiant s'ouvrir. Elle a versé une dose de lubrifiant dans sa paume et a frotté sa bite. Puis elle a enduit mon trou du cul.

Sa main gauche s’est posée sur mes reins et sa main droite s'est enroulée autour de son gode. Elle a guidé sa bite vers mon cul et a exigé : "Écarte !" J'ai pris mes fesses à deux mains et j'ai expiré complètement. J'étais prêt.

Elle est entrée directement, sans à-coups, sans faire de pause, complètement dans mon cul. Elle est restée là, figée, pour me permettre de m’habi et de me calmer, avec toute sa longueur en moi. Ma tête s'est redressée avec la douleur initiale et elle a attendu que je me détende à nouveau. 

Des frissons montaient et descendaient le long de ma colonne vertébrale pendant qu'elle se retirait sur toute sa longueur, puis revenait m’empaler profondément. Je pouvais sentir son gode frotter sur ma prostate et envoyer de petites décharges électriques dans mes couilles. Elle bougeait lentement pendant que je m'adaptais, mon cul se détendait en s’élargissant, jusqu'à ce que je murmure : "Vas-y, baise-moi !"

La transformation était complète. J’étais devenu sa salope, et je la suppliais de me baiser. Elle a accéléré son mouvement de piston. Elle m'a baisé. Elle m'a pilonné. Ses coups sont devenus rapides et durs. Elle a saisi mes hanches et elle a claqué plus profond, plus fort, plus vite. Je tremblais de luxure. La pression dans mes couilles augmentait. La pensée qu'elle me baisait était trop excitante pour moi.

"Je vais jouir !" 

"Attends !" et elle tendit sa main sous moi pour attr ma bite. Sa main serra fermement ma bite par-dessus le string. Elle a glissé son poing serré de haut en bas sur ma bite. Elle m’a pompé fort pendant qu’elle continuait à me baiser le cul.

Le mélange de sensations était finalement trop difficile à supporter. J'ai éjaculé dans un orgasme torrentiel à l'intérieur et hors du string. Je gémissais, haletant et comblé tandis que ma femme poussait encore quelques coups dans mon cul.

Lorsqu’elle s’est retirée de moi, je me suis retourné promptement pour sucer cette bite qui m’avait si bien baisé.

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