Le Temps Du Renouveau Chapitre 1

Je suis rentré d’un long voyage de 18 mois en pleine crise sanitaire et j’ai atterri chez un ami en mai, qui m’a gentiment prêté son appart. Eric s’appelle t’il. J’ai dû m’isoler 15 jours, vous connaissez la musique. Et un récit de mes voyages sera sans doute fait si j’en ai le temps.

J’ai eu une coupure de sexe de quatre mois et je craignais le pire pour rencontrer à nouveau quelqu’un. Et quand je dis rencontrer, je ne parle que de sexe, avoir une relation fixe ne m’intéresse pas du tout pour le moment.

C’était déjà compliqué de rentrer, d’atterrir, de me poser de nouveau dans mon pays, les conditions sont assez précaires en général.

Eric m’a prêté son appartement donc pour une durée de 5 semaines. Absent les trois première semaines, il allait logé chez sa copine avec qui il est depuis six mois pendant deux semaines et pendant ce temps, j’allais essayer de trouver un travail et un logement.

Les cinq semaines vite écoulées, je n’ai toujours rien trouvé et la copine d’Eric, Nelly, se retrouve dans la même situation ou presque : elle devait héberger un ami chez elle. Le logement de Nelly étant trop exigu, Eric m’a demandé s’ils pouvaient venir chez lui pour y passer une semaine ou deux. J’acceptais bien évidemment. L’appartement fait 60 m2 et dispose de 2 chambre et d’une salle de séjour, une collocation de fortune s’organisait chez Eric. Moi je cherchais encore en vain travail et logement. Autant dire qu’à ce niveau, je e voyais pas ma vie sexuelle décoller de sitôt…

Eric à mon âge, 34 ans et travaille dans la com. Je le connais vraiment super bien, il est adorable et très populaire. Il s’est trouvé une nana craquante, Nelly donc, assez grande, 26 ans, les cheveux teintés argent, coupé court, très cours sur la nuque et plus long sur le devant, faisant une vague épaisse sur son front, coiffée comme un personnage de manga, un percing à la narine assez discret, un regard très bleu, des lèvres pulpeuses, comme Scarlett Johanson, des traits assez rond globalement.

Eric a toujours eu de très belles copines. Et puis ce qu’on remarque chez elle c’est son abondante poitrine… Difficile de passer à côté.

En plus elle est super sympa. La cohabitation se passe bien, nous passons les trois premiers jours ensemble et ça me fait un bien fou. Après des semaines d’absence totale de contacte humain, je me sens revivre. Et puis il y a ce jour…

Eric part tôt ce matin là, les rendez-vous s’enchaînent et la vie reprend son cours. J’ai laissé la grande chambre à Nelly et Eric bien sûr et je dors dans la petite chambre d’ami. Je me lève un peu tard et loupe le départ d’Eric. Nelly elle n’a pas repris le travail, elle est serveuse. Elle dort tard, une habitude chez elle. Je m’installe à mon ordi et je commence à trier des photos de voyage en prenant mon café. Nelly se lève enfin. Elle porte un large t-shirt qui appartient à son mec et ses seins étirent le tissu à outrance. Ses jambes sont nues mais je n’en vois pas plus.

Elle : Coucou !

Joviale mais embrumé, ses yeux s’ouvrent à peine. Elle file dans la douche. Nelly est sexy au sens le plus littéral du terme. Elle a quelque chose qui fait que dans toutes les situations, elle est sexy. Je me concentre sur ces photos. J’ai photographié pas mal de monde durant mes voyages. Des femmes beaucoup. Des portrait puis d’autre plus… disons plus sexy. je les regarde avec nostalgie, je tremble un peu, j’ai chaud, j’ai besoin d’un contact humain. Puis nelly sort de la salle de bain, habillée, elle porte un jean qui épouse ses courbes, et en haut une sorte de bustier faisant tout juste la largeur de ses seins dont on peut distinguer les courbes écrasées au dessus et en dessous. Ce bustier est noir et fermé par un lacet qui croise entre ses seins. Ses épaules son nu, comme son ventre. Elle porte très bien ce genre de tenue. Et le temps est beau et sec. Je la regarde sans doute avec insistance. Elle sourit : « Quoi ? »

Rien bien sûr à part que tu es la copine de mon pote, je cache mal mes émotions.
" Allons faire un tour" je lance. Je laisse tout en plan. Et nous sortons dans le premier espace vert que nous croisons pour marcher simplement. Nelly me parle de vie sentimental :

Alors Ivan, près à te remettre en selle ?

Hmm bof, là je suis un peu rouillé tu sais

Pfff tu blagues ?! Tu claques des doigts, y’en a dix qui tombent !

Je ne crois pas que ça fonctionne comme ça, répondais-je en riant, t’inquiète pas pour moi, c’est la période.

Hmhm, tu devrais t’entraîner un peu.

A quoi ?

Tu sais… à séduire… Aborde une nana, vois comment tu peux exercer ton pouvoir de séduction, reprend confiance…

Je la regarde. je crois bien qu’elle m’agace un peu, après tout j’ai rien demandé, j’insiste pour changer de sujet. Elle répond.

Comme tu veux… mais depuis un quart d’heure, cette nana promène son chien et te regarde…

Nelly, franchement avec toi à mes côtés je pense que c’est mort

Tu penses que les gens nous croient ensemble ?

Oui c’est certain

Je crois plutôt qu’ils pensent que je suis lesbienne…

Je suis surpris…

Ah bon ?!

Ouai… les cheveux, les gens croient que je suis lesbienne à caus de ma teinture argentée… et les cheveux courts… il en faut pas plus…

… ok… écoute j’ai juste pas envie ou alors je…

Arrête Ivan, t’es en manque et ça se sent. Aller va lui parler, je rentre à l’appart et tu me racontera…

Elle m’embrasse sur la joue de façon amicale, de manière à ce qu’on remarque qu’on est juste copain.

Je regarde la fille en question, une brune aux cheveux bouclés, elle a l’air jolie, fine et sexy, dans un pantalon blanc assez ample et un débardeur vert. Son chien c’est un labrador… ça va c’est plutôt gentil… Je m’approche…

Il s’appelle comment ?

Elle ! Elle s’appelle Dune

…

Je rentre à l’apparte sur en tout début d’après midi.
Je croise Nelly qui lit sur le canapé. Elle ne perd pas de temps :

Alors ? j’avais raison ?
Je souris…

Oui tu avais raison. On a parlé une grosse demi-heure de son chien, enfin de sa chienne, Dune, et comment elle était ravie que le confinement soit terminé. Elle a… beaucoup insisté pour m’expliquer que c’était dur d’être seule avec un animal pendant le confinement…

Ben oui Ivan, parce que si toi tu t’es senti seul, y’en a d’autres dans ce cas là donc tu vois, fallait y aller… Comment elle s’appelle ?

Julie. On s’est dit qu’on se rappelait dans la semaine.

Nelly m’apporte une bonne énergie, simple et apaisante. Je retourne à mon ordi, et je constate que Nelly s’en ai servi et avant que je ne dise quoi que ce soit, Nelly me dit :

Dis, j’ai vu tes photos, t’es un petit coquin toi…
Elle sourit…

Qu’en dis-tu ? lui rétorquais-je

Que tu t’es pas fait chier… Elles sont pas mal… les photos hein, enfin les modèles aussi.

Les photos en questions était une série de buste nu de femmes, toute habillée des pieds jusqu’à la ceinture. J’ai trouvé ce contraste entre nudité et parure de mode très sexy et artistique. Et la question est tombée…

Et tu leur a enlevé le bas un moment à tes petites copines ?

Et bien non figure toi. Il fallait que je sois sincère quand je leur demandais d’être nue, sans les désirer…

Et tu ne les désirais pas ?

Et bien… si… mais j’avais l’intention ferme de passer outre mon désir si tu veux…

Nelly sourit…

Et ivan ?

Oui…

Tu me prendrais en photo ? pour Eric…

Si tu veux… enfin… quel genre de photo ?

Le même style je dirais…

J’avoue que la demande m’a fait faire un tour de grand huit intérieur. L’excitation grimpait d’un coup sans que j’y soi préparé.

Je… ok… quand veux-tu…

Là maintenant. Tant qu’à faire… me coupe-t’elle.


Ok…

Je vais chercher mon appareil photo. Et quand je reviens, Nelly toujours sur le canapé, les genoux pliés et les talons sur le bord de l’assise.

Waoh… t’étais sérieux alors?

Ben… je… c’est comme tu veux après…

Oui oui carrément ! Désolée, ouui allez, montre moi comment tu les mets à moitié à poil !

Arrête…

Quoi je détend l’atmosphère, je vais quand même te montrer mes seins c’est pas rien…

Je ne dis rien, j’enlève le cache…

Alors tu leur demande d’enlever le haut et hop ?

Je prend d’abord d’abord quelques photos avant, je leur montre et leur montre que c’est plutôt artistique etc… je prend mon temps…

Ok… tu fais ça ?

Je braque sur elle mon objectif et la prend en photo. Exactement comme j’aurais fais avec mes autres modèles. Et Nelly s’en donne à coeur joie prenant des poses lascives, un peu décalées, toujours le sourire, et beaucoup de charme. Nous sommes en plein milieu de l’après-midi. Puis je m’assois près d’elle, elle pose sa main sur mon épaule et se penche sur le retour de mon appareil, lui montrant les photos, Nelly est fascinée par son image…

Elles sont trop belles tes photos !

Merci…

Elle me regarde…

Tu es doué, sérieusement.

Merci.

Nous échangeons un dernier regard, un large sourire progressif se dessine sur ses lèvres. Et elle me dit…

Bon… C’est parti ?

Ok… c’est parti.

Je me redresse et j’ai eu cette idée un peu étrange mais naturelle de l’enjamber et de me mettre sur me genoux de chaque côté de ses jambes. Je braque l’objectif, et dans le viseur je prend quelques dernier clichés d’elle, sa poitrine palpée dans son corset. Ses premiers gestes ont déclenché mon érection. Elle a joint ses doigts sur le lacet, et a commencé à le défaire… J’ai observé ses seins ses relâcher petit à petit, et enfin lentement ses doigts ont écarté le tissus… Deux seins absolument magnifiques ont surgis. Deux mamelles fermes et généreuses… Je prenais mes photos doucement, son visage était grave et son attitude naturelle…

Puis elle a voulu plaqué ses seins avec ses mains l’un contre l’autre, j’ai baissé mon objectif… j’ai ouvert la machoir… elle a compris que je n’y étais plus, que j’avais autre chose en tête puis elle a dit « pardon »… et a voulu se redresser pour cacher sa poitrine… J’ai dit « non ça va… » et j’ai posé ma main sur son sein pour la retenir. Elle s’est adossé au canapé, a relâché sa prise et j’ai pris son sein à pleine main…

L’objectif échoua à nos côté, et ses seins se pétrir dans mes mains accompagné de lent souffle chaud de sa part qui trahissaient petit à petit quelques gémissement de plaisir. J’ai compris que ce don de sa part, le don de ses seins sublimes ne serait qu’une étape, quand elle a posé ses mains mains sur mes cuisses. A ce moment là, j’ai compris qu’elle ne se contenterait pas de m’observer seulement la toucher, ébahi par sa beauté. Et désormais mon érection était grande et visible…

Puis ce moment de tension où tu ne sais plus où ça va et qu’une femme sait résoudre pour accélérer les choses.

Mes seins te plaisent on dirait…

Oui… ils me font grandir…

Je vois ça…

Je lâche sa poitrine pour défaire mon pantalon et sortir mon sexe long et dur sous ses yeux, pendant qu’elle crache entre ses seins comme une chorégraphie prémédité… Je m’avance et dépose ma queue de tout son long entre ses seins qu’elle presse maintenant avec force. Et comme si elle pouvait éprouver plus de plaisir que moi, elle commence à gémir et moi à bouger, à coulisser, à durcir encore… grossir encore et encore, elle se met à parler :

Putain, t’es bien dur, t’es chaud j’adoooore… hmmmm
Je lui baise lentement les seins. Dans cette position mon torse est très près de son visage. Mes main se posent sur ses épaules, son cou, son visage ses joues. J’ai ce corps de femme pour moi, je sens sa peau, je sens que l’orgasme est proche, je prend sa tête et la plaque contre mon bas ventre, je sens sa langue par à coup, elle me caresse le gland de sa langue. Je gémis et j’accélère. Mon sperme traverse ma queue et j’éjacule en explosion giclée sur sur ses lèvres, sa gorge, son cou et ses épaules. Elle gémit et je jouis… Enfin… Sous l’emprise d’une femme…

Mais c’est la femme d’Eric que je viens d’éclabousser de mon sperme…

Je m’écarte, ses yeux vitreux de désir frustré me regarde, mon sperme s’agglomère en de petites flaques épaisses sur sa peau. Je m’écarte et bien que j’aurais pu aller plus loin je choisis le chemin de la douche. Je la croise en sortant. Sa peau est moite et sa poitrine nue vibre et gonfle et dégonfle, le souffle court, quelque chose a changé depuis que je l’ai quitté… elle s’est faite jouir, son pantalon est ouvert. Elle me dit en souriant « Pardon » et elle prend ma place dans la salle de bain, je sors et refuse le spectacle de sa nudité complète. Je prend mes affaires et je sors.

Que faire ? Compromettre Nelly et être franc avec mon ami, ou ne rien dire et le trahir ?

A suivre.

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