Je Cherche Un Puceau Pour Ma Femme...
À plusieurs reprises lors de nos galipettes, je soumis à ma femme, le souhait dajouter dans nos ébats un jeune partenaire masculin. Mais pas nimporte lequel. Jaurais de préférence aimé que ce soit avec un puceau. Et comme un fait exprès, ce que je cherchais désespérément ce trouvait tout près. De lautre côté de mon grillage. Oui ! Le fils du voisin. Ce nétait pas son physique qui mattirait mais sa timidité. Qui le rendait doux comme un agneau. Idéal pour réaliser mon fantasme.
Mais à présent le plus dur restait à faire. Créer une liaison avec lui. Et ce ne fut pas de la tarte. Après quelques cuisants échecs, le hasard fit que le jeunot frappa un matin à ma porte pour un problème de batterie sur sa voiture.
Grâce à une paire de pince, un début de relation commençait à naître entre nous. Au point que quelques jours plus tard, il passait de son propre initiation, par-dessus le grillage pour me venir en aide à poser le liner dans la piscine. Et cétait comme ça quétait née notre amitié. Je nétais pas mécontent de moi. Mais notre relation était encore fraîche pour le pousser à faire ce que je désirais de lui. Jusquau jour où je le surpris en train de feuilleter un magazine de cul dans mon garage.
- Je vois que tu as trouvé de la lecture ! Ça te plait ?
- Je croyais que
arrivait-il à articuler.
- Ne ten fait pas, jen ai dautre ! Tu veux les voir ?
Je mabsentais quelques instants et revins avec une pile de revues. Que je posais devant lui. Il ne savait plus où se mettre. Je pris place près de lui. Et me mis à commenter les photos.
- Tas celle-là, elle est bien foutu, non ?
Il était obligé de reconnaître que javais raison.
- Et celle-là, regarde un peu, cette chatte poilue.
Je me mis à tourner les pages ayant sur chaque modèle une opinion. Quand jeus fini le magazine, je me penchai pour men saisir dun autre.
- Tiens, celle là est super excitante, non ?
Et je continuai mon commentaire.
- Ça te fait bander ? Lui fis-je. Parce que moi oui ! Vivement que ma femme rentre, si tu vois ce que je veux dire !
Cela le fit sourire.
- De toi à moi, tu la trouve comment ma femme ?
- Je ne sais pas
- Comment ça tu ne sais pas ! Elle ne branche pas ?
- Oui bien sûr
mais
- Mais quoi ! Elle est mariée cest ça ?
- Oui en quelque sorte
- Mais il ne faut pas ! À ton âge jétais déjà de belle lurette lamant de ma voisine mariée avec deux s.
- Et alors ?
- Et alors sétait lextase ! Dit moi tu tais branler en fantasmant sur ma femme.
- Je ne sais pas si je dois
- Tout est permis. Tiens pour revenir à ma voisine, un jour jai attendu pour quelle aille cherchait son courrier pour entrer chez elle. Et comme son appartement était identique au mien jai tout de suite trouvé la salle de bain et par la même occasion le panier de linge sale. Jai fouillé pour trouver une culotte delle. Je lai fourré dans la poche et je me suis empressé de ressortir. Heureusement pour moi elle poussait la discussion avec je ne sais qui. Je te laisse deviner ce que jai fait avec la culotte.
- Oui, jimagine
- Ça tarrive de faire la même chose.
Comme il restait mué, je lai poussé.
- Deux fois
oui. Me murmurait-il.
- Il ny a pas de honte. En prend le plaisir où il est ! Non ? Tu nais pas daccord avec moi ?
- Oui.
- Tu préfères lodeur de la chatte ou du cul ?
- De la chatte.
- Le cul ne taime pas.
- Non !
- Attends moi là je reviens.
À mon retour javais en main une culotte en tulle marron de ma femme.
- Regarde moi celle-là, elle nest pas bandante ?
- Oui
- Touche un peu comme le tissu est doux.
- Effectivement !
- Prend-la, vas-y !
Il la prit entre ses mains la scrutant.
- Je tinvite à la porter à tes narines !
- Je ne sais pas si je dois !
- Cest moi qui te le dis. Tu verras-tu ne le regrettera pas.
Et il sexécuta.
- Alors ? Quest-ce que tu en penses ?
- Ça sent la pisse.
- Tu veux dire que ça pue sa moule oui ! Sa grosse moule poilue ! Tu aimes les chattes poilues. Quest-ce que je peux être con. Cest vrai que tu nen as jamais vue.
Et comme il ne disait toujours rien, jai ajouté.
- Cela te dirai ten voir une ? Celle de ma femme.
- Vous membarrassez là monsieur.
- Mais cest moi qui te le propose.
- Alors si cela viens de vous, pourquoi pas.
- Bon ! Voilà comment on va si prendre
Et je me mis à lui expliquer ce que je voulais quil fasse. Le soir même après dîner je proposais à ma femme daller se poser près de la piscine. Je métais saisi du caméscope et elle avait tout de suite pigé.
- Tu veux peut-être que je me fasse belle !
- Sil te plaît, oui ! Tu me rejoins ?
Elle me rejoignit en déshabiller transparent noir. Dessous elle portait une parure de bas fixé à une porte jarretelle aux pieds des mules à talons.
- Je te plais ?
- Encore plus quen tu auras retiré ton déshabillé.
- Mais si le voisinage me voit quest-ce quils vont penser de
Moi ?
- Que tu as ce que tu ais soit une grosse cochonne qui a envi de ce faire baiser.
- Pas si fort, on pourrait nous entendre.
- Qui veux-tu à dix heures du soir ce trouve encore dehors.
- On ne sest jamais !
- Ce sera alors pour lui pour bonne occasion pour se donner un plaisir. Aller maintenant retire ta merde que je filme ta chatte.
Sitôt dit, sitôt fait. Je lui fis faire quelques pas pour que le gamin derrière la haie se rince les yeux.
- Jespère que je te fais bander ?
- Viens voir de toi-même.
Elle ne ce lait pas fait dire une seconde fois. Se jetant sur moi comme la famine sur le monde.
- Tu as pris le caméscope pour rien ? Me fit-elle.
- Quand je te dis quil nous faudrait une partenaire ? Fis-je en faisant sauter le bouchon.
- Tu sais que le jeune voisin à le béguin de toi. Lui ai-je lancé en lui tendant la coupe.
- Comment tu sais ça, toi ?
- A la manière quil a de te regarder.
- Ah oui !
- Cela te fait plaisir ?
- Nous les femmes, aimant quon nous regarde.
- En voilant un puceau intéressant.
- Tu ne vas pas me remettre cela !
- Je ne pense quà ça. Si tu veux savoir. Je me masturbe même en y pensant.
- Je vais y réfléchir.
- Avoue quil est bien ?
- Oui ça va !
- Tu limagines venir te rendre une petite visite à la maison et là hop ! Il sen voit en lair.
- Mais Alain tu rêves ! Il ne sera incapable de faire cela. Cest un grand timide.
- Il faut toujours se méfiait des timides, ma chérie. Répond maintenant à ma question, tu te laisserais faire.
- Je ne sais pas ! Si je suis excité pourquoi pas !
- Tu es toujours excité ma chérie. Imagine quil possède dans son pantalon une grosse queue.
- Arrête Alain tu me fais saliver.
- Je suis sûr quil a une belle queue, moi. Je compte sur toi pour te renseigner.
- Daccords ! Baise-moi maintenant !
- A une condition !
- Daccords, mais baise-moi.
- Mais je ne te lai pas dit !
- Je suis devins.
- Alors cest oui ?
- Si il a une belle queue, sans problème.
- Jespère quil técoute.
- Et pourquoi il écouterait. Il doit faire dodo à cette heure.
- Viens tasseoir sur ma queue !
- Chouette !
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