N.

C'était il y a une dizaine d'années.
Je venait de me séparer d'une femme avec laquelle j'avais vécu une histoire qui s'était consumée dans le feu de la passion.
Je suis un homme, plutôt doux et attentionné, et je ne me connaissais, jusque là, pas cette facette de dominant presque brutal.

Je cherchais à noyer ma peine sur tous les sites de rencontres qui avaient un peu de succès. Plutôt beau garçon, j'obtenais quotidiennement des rendez-vous matin, midi et soir.
Jamais, je ne trouvais d'épanouissement. Je n'avais jusque là, que vécu de vraies relations, longues et rassurantes, et n'avait jamais profité de mon physique avantageux.
Mais, à ce moment de ma vie, j'avais décidé que plus rien ne comptais. Mon profil affichait clairement mon désir de relation sans lendemain.

C'est ainsi, qu'un jour, je reçois un message de sa part. N.
Je consulte ses photos, elle ne semblait pas très jolie. Beaucoup trop maquillée, un visage qui ressemblait à Geneviève de Fontenay jeune (en tout cas tel que j'imagine son visage quand elle était jeune).
Puis je consulte son profil. De 10 ans mon aînée, mariée, mère de 3 s, cherchant à discuter et plus si affinités...
Je me dis :" Tiens, une bourgeoise qui veut se dévergonder... Pourquoi pas."

Nous commençons donc à échanger. Je l'interroge sur ses motivations, elle m'explique que son mari souvent absent, est tout aussi violent lorsqu'il est présent, et qu'elle cherche surtout à se venger.
Puis, après quelques échanges, où elle m'apprend qu'elle est esthéticienne et bien entretenue (je déteste les poils), nous nous donnons nos numéros de téléphone.

Première surprise. Lorsque je l'appelle, c'est une petite voix si douce, si ine qui me répond, que je demande à parler à N.
C'est alors que dans un rire étouffé, elle me répond que c'est elle.
La confusion passée, nous décidons de nous retrouver chez moi.

J'habitais à Hyères dans le Var, dans un endroit un peu reculé, que même les GPS (peu performant à l'époque), ne trouvaient pas.


Alors qu'elle se perdait pour venir, je lui donne rendez-vous sur un parking. J'étais un peu stresser sur la route en allant la chercher.
Comme elle ne m'avait vraiment pas fait forte impression sur ses photos de profil, et compte tenu de la très forte activité sexuelle que j'avais à ce moment là, j'angoissais un peu à l'idée de ne pas réussir à dresser mon membre.

Deuxième surprise. En la voyant descendre de sa voiture, mes yeux se sont remplis de lumière.
Un petit bout de femme, 1,50 m tout au plus, de beaux cheveux châtains, un visage d'une grâce déstabilisante, et un corps, qui, dissimulé derrière ses vêtements, semblait déjà tenir bien des promesses.

Nous arrivons donc chez moi.
Je suis mal à l'aise. J'avais certes, déjà reçu beaucoup de jeunes femmes, mais elles n'étaient pas très jolies pour la plupart, et toutes étaient plus jeunes que moi.
N. était magnifique, rayonnante, elle avait une aura qui avait balayé le peu d'assurance acquis lors de mes récentes frasques.

Je lui proposais à boire, madame souhaitait un thé. Nous discutions de nos vies, de nos voyages. Elle avait fait le tour du monde. C'était un peu agaçant, car elle semblait avoir tout vu, tout vécu. Je me demandais alors ce que j'allais bien pouvoir lui apporter.
C'est alors qu'elle me regarda droit dans les yeux et me dis :" Bon... On passe à la chambre?"

Il n'en n'a pas fallu plus.
Nous nous embrassâmes, fougueusement. Je ne savais pas, n'osais pas, malgré les signaux ne laissant place à aucun doute qu'elle m'avait envoyé. Je me disais que tout de même, c'était une femme battue, mère de trois s, en train de monter son entreprise. Je voulais lui proposer de la douceur, mais c'est elle qui a pris es choses en mains. Et en bouche...
Elle m'a plaqué sur le lit, tout en m'embrassant, m'a ôté mon pantalon, et n'ayant pas mis de sous-vêtements, a immédiatement pris mon sexe en bouche. Elle suçait divinement bien et n'oubliait rien.
Le gland, le manche, les couilles... Tout passait par sa bouche gourmande, et j'appréciais à sa juste valeur.
Je crois qu'elle avait souhaitait m'amener au bout, et c'est là que le jeu à commencer à prendre une autre tournure.
J'adore me faire sucer. Mais les femmes qui sont parvenues à me faire jouir avec leur bouche, se comptent sur les doigts d'une main, et celles qui ont insisté pour y parvenir, sont plus souvent reparties avec de douloureuses crampes à la bouche, qu'avec ma semence.

Elle a donc cessé sa caresse buccale, et c'était à mon tour de prendre les commandes. Je la déshabillais doucement, avec beaucoup de tendresse. J'avais tant de douceur à lui proposer... Ce n'était pas ce qu'elle souhaitait.
Une fois nue, j'ai contemplé son corps. Magnifique. C'était à se demander si elle avait vraiment accouché de ses 3 s. Pas un pli, pas une vergeture, des seins naturels d'une rondeur parfaite, ni petits, ni gros, qui tenaient seuls, juste parfaits. Et un cul... Mon dieu ce cul!!! Je connais bien des gamines de 20 ans qui l'auraient jalousé, et qui l'auraient jalousée.
Il fallait que je me délecte de ce corps, que je le caresse. Je savais qu'il n'y aurait pas d'autres occasions (je le croyais en fait, car tout ne s'est pas arrêté ce jour-là).
Je lui faisais donc un cunnilingus comme je savais les faire. Et je les faisais très bien. Je lui léchais la chatte, le clito que le suçais par moments,et lui insérais un, deux, puis trois doigts tout en continuant mes jeux linguaux. Elle avait un goût et un parfum extraordinaire, je me régalais d'elle.
C'est ainsi que je l'amenais une première fois à la jouissance.

Après quelques secondes, elle avait retrouvé ses esprits et me dit :" Fini le touche-pipi, je te veux en moi. Prends moi"
Face à une telle autorité, je m’exécutais. Je l'allongeais donc sur le ventre et la prenais en missionnaire. Après quelques minutes et quelques variations, nous nous rendions compte que nous n'y prenions guère de plaisir.

Elle me suggéra donc de m'allonger, afin de venir sur moi. Madame aimait dominer la situation... Elle se mit donc à califourchon au-dessus de moi, et s'inséra mon membre en elle.
Elle bougeait bien la coquine. De haut en bas, des rotations des hanches, elle avançait et reculait sur ma bite en frottant son clito sur mon pubis. Je savais qu'à ce jeu, elle allait finir par me faire jouir.
Je me souvenait alors de cette discussion frustrante sur ses voyages, sur le fait qu'elle avait tout vu et tout fait, et je m'interdisais alors de la laisser gagner. Il fallait que je lui prouve, et que je me prouve, qu'elle avait encore des choses à découvrir.
Je l'attrapais donc par les hanches, me redressais et l'embrassais. Puis, je me suis rallongé et j'ai commencé, à mon tour, à imposer le rythme.
D'abord lentement. Je faisais des va-et-vient doux et langoureux. Elle semblait apprécier. Puis j'accélérais. Petit à petit, j'allais de plus en plus vite. De plus en plus fort, jusqu'à imposer des coups de hanches frénétiques. Ses premiers soupirs, c'étaient transformés en petits cris, puis en hurlements. Au bout de quelques minutes de ce traitement, elle jouit. Mais elle jouit comme elle n'avait jamais jouit. Elle éjacula.
Il y en avait partout sur mes draps, c'était magnifique. Ma première femme fontaine.
C'est ainsi qu'elle s'écroula sur le côté, haletante, et me demanda:" C'était quoi ça?"
Et là... Toute cette frustration qu'elle avait fait naître en moi est ressortie. Moi, un individu si doux, si poli, si attentionné.
Je l'ai alors regardée dans les yeux et lui ai répondu, avec une voix graveleuse :" Ça... C'est le marteau-pilon toulonnais". Je ne pu m'empêché un sourire victorieux et orgueilleux à ce moment-là. Je ne me connaissais pas cet aspect de ma personnalité.
Puis, en regardant les draps, elle me dit :"En tout cas, tu t'es bien vidé.". Du tac au tac je lui répondis :" Ah non ma chérie, c'est pas moi qui ai fait ça, d'ailleurs regarde, je suis encore droit comme un I.
Tu peux même goûter si tu veux t'en assurer."
Ce qu'elle fit sans attendre, et après quelques minutes d'une fellation, à nouveau divine, elle me dit :" Je ne savais pas que j'étais fontaine... Fais ce que tu veux de mon corps."
Ma réponse ne se fit pas plus attendre :" Tu es sûre?" "Oui, me répondit-elle". Et à nouveau, je me sentis envahi par cette vague de désir de soumettre dans des propos graveleux. Je me souvenais alors d'une réplique du film "Bad Santa", que j'appliquais à la situation :" Je vais t'enculer tellement fort, que tu vas plus chier droit les 3 prochaines semaines."
Aujourd'hui encore, je me demande comment j'ai pu faire preuve d'une telle grossièreté. C'était pas moi. Je me sentais comme possédé, avec la seule envie de la faire taire et de la voir partir de chez moi en titubant.
Et à ma grande surprise, elle me répondit :" Vas-y, déchire moi!".
Je la plaçais donc à 4 pattes, lui léchais un peu la rondelle, y glissais sans effort 3 doigts. Elle semblait habituée à ce genre de traitement.
A nouveau elle couinait, je m'introduisis en elle par la petite porte et la labourais les 10 minutes qui s'en suivirent.
Alors que je commençais à avoir la bite qui chauffait, je sortais de son anus, présentais ma bite devant sa bouche qu'elle s'empressât de sucer.
Je ressentis un court instant un sentiment de culpabilité en me disant que cette bouche allait embrasser ses s par la suite.
Nous avions d'ailleurs déjà bien avancé dans l'après-midi, et il allait falloir qu'elle s'en aille chercher sa progéniture. Il fallait donc que je finisse, j'avais moi aussi envie de me libérer...
Je la couchais donc sur le ventre, légèrement sur le côté, et m'introduisais dans sa chatte inondée de mouille. Bien profond en elle, je la fis monter une dernière fois, et nous jouîmes à l'unisson dans un concert de cris de plaisir.

Je la raccompagnais à sa voiture, lui déposa un doux baiser sur la bouche et avec une claque aux fesses lui dit :"Reviens quand tu veux pour ta revanche..."

En rentrant à mon appartement, je passais devant la baie vitrée de mon voisin, qui le sourire aux lèvres et le sopalin à la main, me fit un clin d’œil et un signe du pouce. Lui aussi semblait avoir apprécié la prestation.

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