« Expérience Avec Un Collègue Et Ami »

Antone a 20 ans, il fait du culturisme, 1,90 m, 90 kg. Un beau bébé. Je ne suis pas homo, plutôt hétéro, mais j’aime découvrir les nouveaux plaisirs. Vous allez comprendre pourquoi.
Antone m’avait invité à aller au Parc des Princes, pour assister au match PSG-Lyon. A l’issue du match, nous sommes allez boire quelques bières dans un bar à proximité du stade. Il était déjà 1h00 du matin et je m’apprêtais à rentrer ; lorsqu’Antone me proposa de prendre un dernier verre chez lui et par la même, me faire visiter son appartement. Sa compagne était partie à la campagne chez sa grand-mère, à Bordeaux.
Antone est un collègue de bureau, très sympathique. Je partage beaucoup de complicité et de points vue. Antone me fit visiter son appartement, un beau duplex dans le 15ème arrondissement. Les bières englouties m’avaient donné envie d’uriner, je demandai les toilettes :
- Tu veux que je te la tienne ?
- Non merci, je fais pipi tout seul comme un grand !
Nous avons beaucoup bu et rit, nous avons refait le monde, les bouteilles s’amoncelaient et mes yeux commençaient à se brouiller.
- Nous avons parlé, de politique, sport, culture, musique et…, de sexe féminin bien sûr.
- Tu as déjà sucé un mec, me demandât-il ?
- Ah non jamais et toi ?
- Antone répondit aussitôt, que dans sa jeunesse, il avait sucé un copain mais sans plus, juste pour essayer.
Nous étions ivres et nous partions dans des délires.
- Tu veux que je te suce ?
- Mais non, qu’est ce que c’est ce délire ?!
- Oh allez, juste pour rigoler, on en parlera à personne, ce sera « top secret ».
Il s’approche de moi et commence à me toucher l’entre jambe,
- Mais elle est toute molle
- Arrête tes conneries, tu es un grand malade.
Il continue à me peloter les testicules et commence à me masturber à travers mon short bermuda.
- Arrête, ça suffit,
J’avais l’impression d’avoir des fourmis dans les jambes, mon ventre se crispait, mon cœur se mis à battre plus fort et plus vitre.


- Dis que tu aime !
Antone, accentuait sa pression sur mon sexe et passa sa main sous mon caleçon, par la jambe de mon bermuda. J’étais troublé par cette main musclée et chaude qui me tripotait. J’avais chaud, mes palpitations, l’alcool et ses caresses augmentaient mon trouble.
- Allez laisse toi, aller, lâche prise !
Je commençais à respirer de plus en plus fort et me laissais faire. Mais pourquoi, j’ai craqué, je ne comprends pas, je n’aime pas les hommes, je n’aime que les femmes. Je ferme les yeux, la tête en arrière. Cette main est habile et me donne du plaisir. Ma bite durcit, sa main s’active. Il prend ma main et la glisse dans son caleçon pour que je le branle. Il est déjà dur, je le trouve gros et grand, ses testicules sont épilés, son pubis aussi. Je n’ose le regarder, j’ai honte de mon action.
Il cessa et m’entraînât dans la salle de bain.
- Prenons une douche, ça va nous calmer.
Nous nous sommes déshabillés et de voir Antone nu m’a émoustillé, nous bandions toujours, excités par nos attouchements réciproques. La douche était chaude et ne calmait pas nos esprits, au contraire.
- Tourne-toi, me dit Antone, je vais te laver le dos.
- Je m’exécutai. Il me savonnait avec douceur et délicatesse. Enserrait ma taille pour me frotter les pectoraux et passer sur mes tétons. Je sentais son sexe durci, contre ma raie. Il se branlait dans mes fesses. Il connaissait parfaitement les points sensibles et s’y attelait. Ses mains descendaient sur mes cuisses et sa main est retournée sur mon sexe érigé, il lavait tout. Il plaçât ses doigts dans ma raie et me nettoyât l’anus avec insistance. Mon excitation était à son comble.
Je me suis retourné et j’ai savonné Antone, comme il me l’avait pratiqué. Sentir ses muscles, ses parties génitales, son anus sous mes doigt était irréel, ma queux coulissait entre ses fesses, je ne faisais que du mimétisme. Un déclic s’est produit dans ma tête, je l’ai embrassé sur la bouche, mêlant ma langue et ma salive à la sienne.
Nos haleines sentaient l’alcool mais l’excitation faisait fi de ce goût et de cette odeur. Nous nous caressions mutuellement, nous nous branlions, nos doigts s’immisçaient dans nos endroits les plus intimes et défendus.
Nous allâmes aux toilettes pour nos lavements respectifs du rectum. A l’issue, nous nous sommes retrouvés dans son lit, j’étais entrain de le sucer. J’avais un sentiment bizarre de téter son sexe turgescent, où perlait son précum. Je me surprenais à lui envelopper son gourdin tout en le branlant. Je l’aspirais, je le suçais, je le tétais, je buvais ce membre viril qui emplissait ma bouche.
Nous nous étions mis tête bêche, il me goûtait et me léchait mon petit trou du cul. Oh lala, que c’est bon, mon épouse n’a jamais voulu le faire. Mais quel bonheur de sentir ce bout de langue sur cette zone tant innervée. Je l’imitai, je ne voulais pas le frustrer.
Il se retira et se plaça derrière moi. Il passât un préservatif. Je m’étais déjà introduit un ou deux doigts à cet endroit. Je pratiquais régulièrement les toys pour la prostate mais jamais de sexe, ni de gode ne m’avaient encore pénétré. Il a été très doux, après avoir bien lubrifié son chibre et mon trou, il le poussa sans heurt, ni violence.
Il progressait lascivement dans mon antre. Je poussais pour qu’il puisse aller au fond de moi et pour détendre le sphincter. Il se retira puis repris sa progression. Les va et vient se sont accélérés. Je sentais ses couilles frapper les miennes, ses mains agrippaient mes hanches ou mes épaules pour me baiser profondément. Il se déhanchait pour faire jouer sa bite danns tous les recoins de mon tunnel.
Mon sexe avait ramollit, il m’a pris la bite et m’a astiqué pour lui redonner de la vigueur. J’ai atteint l’orgasme anal suivi d’un autre orgasme mais, prostatique. Il s’est lâché, son préservatif recueillant son sperme chaud. Il est venu dans ma bouche, pour je que connaisse et découvre cette odeur de ce liquide frais. Je le pompais mais très vite, j’ai senti les dernières gouttes de son sperme dans ma gorge, il me pinçât le nez pour que je déglutisse.
Un goût fort salé et âpre régnait dans ma bouche. Je bandais très fort, j’avais mal dans le ventre, il fallait que je crache mon jus, moi aussi.
Je déroulai une capote sur mon sexe et Je l’ai plaqué sur le dos, en position du missionnaire. Il était déjà bien mouillé. Je n’ai eu aucun mal à le pénétrer. Je me suis enfoncé et je me suis immobilisé, il contractait volontairement son sphincter, avec une telle force, que j’avais l’impression qu’il me pompait le dard. C’était divin. Une fellation avec son cul. Ouahouuuuuuuu !!!!!!
Je sentais son sexe ramolli sous mon ventre. Nos tétons se frottaient, nos langues se cherchaient et se trouvaient, elles jouaient ensembles. Nos corps ne faisaient qu’un L’orgasme éjaculatoire montait et je ne savais pas si je devais me retirer ou tout lâcher dans la protection. Je ne voulais pas le prendre pour une salope, j’ai lâché ma semence dans mon contraceptif. Je me suis retiré.
Ensuite, je me suis branlé à hauteur de son visage, pour me remercier, il m’a léché jusqu’à la dernière goutte. Inutile de lui pincer le nez, il avala sans brocher et ça lui plaisait visiblement, lâchant des soupirs et des râles de satisfaction, à l’instar d’une bonne glace ou d’un bon plat.
Nous nous sommes endormis, le réveil fut difficile. Les vapeurs d’alcool s’étaient dissipées. J’étais honteux, je culpabilisais. En même temps, je ressentais encore le plaisir qu’Antone m’avait procuré. Ma prostate me titillait. Ma bite était gonflée de tout ces va et vient. Il est vrai que les orgasmes tardaient à venir, eu égard à notre état alcoolique bien avancé. Tantôt nous bandions comme des cerfs, tantôt nous ramollissions sans le vouloir.
Je ne sais pas si je recommencerai cette expérience, je ne pense pas que je la provoquerai. Si j’ai une proposition, si les circonstances, l’envie du moment, se présentent, pourquoi pas… .

Ce n’est pas mon « Kiffe », juste du plaisir, de la jouissance. Je préfère les femmes. Peut-être suis-je « BI » ?!
Mes souvenirs sont vagues, l’alcool nous a désinhibés et nos attitudes ont été générées par cet état.
En écrivant, ce texte, je recommencerais à bander, c’est dingue, le bonheur ressenti ! Surprenant non ?!
Au bureau, je ne regarde plus mon collègue comme avant. A quand le prochain match ?!
Fiction, réalité ou fantasme… ?
Je vous laisse le soin de deviner !

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