Us Autem Invictus 11-1 : Dernier Noel En Famille.

"Mon chéri, tu m'as toujours pas dit ce qui te tente pour Noel, et c'est dans pas longtemps !!"

Ma mère désespère de savoir ce que je veux... Et que puis je lui dire ? Car la seule chose qui compte à mes yeux, c'est que mon frère ne parte pas de la maison... J'angoisse chaque nuit à l'idée de le perde, et je suis pourtant impuissant face à sa décision...

"-Rien maman, tu sais bien, comme chaque année, je n'ai besoin de rien...
-C'est toujours la même chose avec toi ! Bon dans tout les cas, cette année tes cousins reviennent des Etats Unis du coup on va vraiment pouvoir fêter ça en famille avec ton oncle, ta tante etc dans notre maison dans le sud ! T'es content ?
-Génial.... Au top...
-Quoi qu'est ce qui y'a encore ??
-Mais jlai connais même pas mes cousins ! On se voyait pas beaucoup avant et maintenant qu'ils sont au States... Enfin bref c'est cool"

Ne supportant plus personne je retourne dans ma chambre, m'isoler...
Je refuse toujours d'adresser la parole à mon frère, je sens bien que ça l'insuporte, mais il ne fait rien pour changer ! Alors je continu de l'ignorer... C'est trop dur de continuer à lui parler comme si de rien était, alors que dans quelques semaines il s'enfermera dans une caserne de militaire et m'oubliera complètement... Et pourtant mon principe est d’une absurdité flagrante. Quand vous savez que votre temps est compté avec la personne qui fait battre votre coeur. Ne voudriez vous pas passer le plus de temps avec ?
Je n'ai quand même pas arrêté toutes mes fixations sur lui... Dès que j'ai l'occasion de lui piquer un sous vêtement, celui ci me permet de passer une bonne nuit, en compagnie d'un doudou éphémère mais aux ressources inépuisables de fantasmes.

"J'ai besoin de ton aide, faut qu'on se voit Enzo, stp !"

Voila le sms que j'ai rédigé il y a déjà trois jours et que je n'ai toujours pas réussi à envoyer... Mais aujourd'hui je n'en peux plus.

.. Je bouillonne tellement d'avoir des réponses à mes questions qu'il faut que je passe par son meilleur pote. Voici sa réponse :

"J'ai basket là, si ça va vraiment pas, passe au gymnase, ton frère est au courant ?"

Deux choses me surprendront toujours chez les amis de mon frère (que ça soit Enzo ou Nassim d'ailleurs). A chaque fois qu'on veut leur parler, ils sont au sport, à croire qu'ils ne font que ça. Et à chaque fois ils veulent savoir si mon frère est au courant, oh c'est bon les mecs ! Mon frère va pas régir ma vie ! Il est pas obligé d'être au courant.
Je saute dans mes chaussures, et part au gymnase.
Mon dieu.... Jamais j'´aurai du y aller si tôt.... Ils sont encore tous sur le terrain. Tous plus grands les uns que les autres, des corps de rêves dont les muscles saillant apparaissent furtivement lors d'une quelconque action grâce aux larges maillots de basket. Les 3/4 de l'équipe sont de magnifiques blacks, donc la sueur créée de saillant relief sur leurs corps dénués de toute imperfection... Je ne pensais pas être attiré par les blacks mais finalement ils rentrent de plus en plus dans le panier commun avec les rebeu... Pas du tout les mêmes physiques, mais ils créent en moi les mêmes envies sexuelles : la soumission.
Enzo arrive à bien se démarquer dans son équipe. C'est l'un des plus grands, son corps (comme celui de mon frère d'ailleurs) à travers ses volumineux muscles, prouve qu'il ne fait pas que du basket... Et ça lui va à merveille... Au bord du terrain, je matte à mort, masquant mon érection, mon pantalon est tellement fin et clair que je commence à baliser à l'idée que la mouille sorte de mon gland et transperce à la fois le boxer et le pantalon pour faire une magnifique auréole de plaisir...
Enzo finit même par se la péter. Ils finissent par une série de panier, à chaque fois que c'est à lui il me regarde et me fait un clin d'oeil au moment de tirer et il n'a jamais raté sa cible. Sa fierté et son assurance font plaisir à voir. Il assume totalement et ça me rend fou...
L'entrainement arrive à sa fin, chacun récupère son sac et se casse. Mon esprit vicieux est presque déçu de découvrir qu'il n'y a pas de douche ou quand tout cas ils n'en profitent pas...
Je descend les quelques marches des tribunes pour rejoindre Enzo. Tout collant il ne préfère pas me faire la bise, je rate une super occaz mais je vais pas l'obliger non plus... Par contre c'est mon jour de chance, il a oublié sa serviette du coup pour s'éponger il retire face à moi son maillot et éponge délicatement son visage puis tous son torse, faisant rebondir chacun de ses muscles, les contractant les uns après les autres pour le plus grand plaisir de mes yeux.

"Qu'est ce qui se passe, Axel. Tu m'as inquiété ´taleur. Tu es pas du genre a envoyer des texto comme ça !
-J'ai besoin de toi...
-pour ?
-pour m'expliquer pourquoi.... Pourquoi il part ?... Pourquoi il me laisse seul ?..."

Et là tout s'éclaire dans l'esprit d'Enzo, je pense qu'il ne s'attendait pas à ce que je lui parle de ça :

"-Axou... Lâche l'affaire... Tu vas te faire du mal pour rien...
-Non je veux pas !!! Je veux pas qu'il m'abandonne. J'ai trop besoin de lui... C'est mon grand frère il a encore plein de chose à m'apprendre. En moins d'un an jme suis deja fait agresser 3 fois, heureusement qu'a chaque fois il etait là pour veiller sur moi...
-On s'occupera de toi avec Nassim. On veillera sur toi... Il nous en a donner l'ordre.
-je comprend pas votre groupe... C'est lui le leader ? Pourquoi vous lui obéissez tout le temps ?"

Enzo sourit et s'approche de moi. Par réflexe je recule mais je suis vite arrêté par les barrières des tribunes. Il m'att au niveau des épaules, puis fait glisser lentement ses mains sur mes bras jusqu'à prendre mes mains. Ce contact entre nous est vraiment étonnant d'intimité. Il me plait mais me met mal à l'aise surtout après ce qu'il me sort :

"- tu ne t'es jamais dit qu'on ne lui obéissait pas, mais qu'au contraire, veiller sur toi était un plaisir. Prendre soin de toi, te voir grandir et t'épanouir, découvrir tes premières expériences. Nassim et moi n’avons pas de frère ni de soeur sur qui veiller, alors on transpose sur toi ce qu’on aurait adoré être pour nos familles. »

Il se rapproche de moi, me regardant profondément dans les yeux :
"Si ton frère part c'est que cette tache lui devient insupportable. Il n'arrive plus à s'occuper de toi... Car plus tu grandis plus tu dégages quelque chose d'impressionnant. Tu ne t'en rends pas compte, et lui refuse de voir la vérité en face, alors il préfère partir que de fauter"

L'émotion fait que je ne comprend pas tout ce qu'il a voulu insinuer mais je me met à pleurer, c'est trop lourd pour moi.... Et là.... Enzo m'enferme dans ses bras, il compresse mon visage directement sur ses pecs (pas difficile quand on fait 2 têtes de plus Que moi) je sens ses lèvres sur mon front m'embrasser. Et avec un ton viril :

"Chut, ca va aller Axou.... On est là avec Nassim. Promis on te laissera pas tomber. On t'aime. Peut être pas autant Que ton frère mais moi jte considère vraiment comme mon pti frère...."

J'entend son coeur battre hyper fort, mes larmes continuent de couler sur son torse... Je me calme doucement...

"Il veut m'oublier ?
-oui"

Pour être cash c'est assez cash quand il répond. Mais il me rajoute :

"Et tu veux la vérité ?
-Oui....
-il n'y arrivera pas... Il ne t'oubliera jamais, et te le prouvera à son retour, il faut juste que tu sois patient, et parfait pour ce jour là...."

L'ensemble de ses pecs et biceps qui m'entourent commencent à avoir un autre effet sur moi que de me rassurer... Je sens ma queue gonfler. J'essaye de me libérer de son étreinte pour ne pas qu'il sente ma grosse boss... Quand il me libère enfin je remarque son torse est trempé de mes larmes qui perlent encore et se nichent entre deux abdos... J'avoue ne plus me souvenir comment ca c'est passé, toujours est il que je me suis avancé j'ai sorti ma petite langue agile et j'ai commencé à lécher son torse pour ramasser chacune de mes larmes. C'était délicieux, le mélange entre transpiration et mes larmes salées. Le voir se laisser faire etait encore plus jouissif. J'aime voir a quel point un bogoss fier et fort peut perdre ses moyens grâce à moi.

"Axel ! Stop ! Arrête toi !"

Mais je n'en fais plus qu'à ma tête, et lorsque ma langue atteint son téton, et qu'il se met à pointer, je sais que j'ai gagné. Il me suffit de mordiller un peu plus son pec pour sentir sa main caresser ma tête pour m'inciter à continuer. Ses râles de plaisir sont faibles, autant que sa volonté de m'arrêter. Il doit avoir peur que ce qui est arrivé à Kevin, lui arrive aussi.

"-Axel, calme toi. Ne fait pas ça !
-Mais je ne fais rien... C'est toi qui tiens ma petite tête, tu es trop fort pour moi, je ne peux que t'obéir"

J'avoue j'en rajoute à fond en parlant comme une petite lope, un peu vicieuse, et le résultat est au rendez vous, au lieu de se contrôler et réprimer sa force, il l'affirme encore plus, guidant ma tête sur tout sont corps :

"Humm si tu savais comme j'aime ton odeur de mâle. Mon frère ne t'a jamais dit ? Que chaque nuit je pique un de ses vêtements ou sous vêtements usagés pour m'endormir avec.
-Tais toi maintenant Axel, tu joues un jeu dangereux, j'ai fais une promesse à ton frère"

Pourtant, pour la première fois il me fait tester une nouvelle expérience. Je le vois placer sa main derrière sa tête laissant apparaitre son aisselle à la pilosité bien entretenu. Et de l'autre main il guide avec force ma tête vers son aisselle. J'ai compris mon travail et je m'exécute avec le plus grand plaisir... Je lèche d'abord de bas en haut dans toute sa hauteur, il frémi tellement c'est bon. Moi aussi je suis fou de son odeur, de son gout, pas trop amer, pas trop prononcé, juste ce qu'il faut de virilité. J'embrasse son aisselle et sort ma langue comme si je lui roulais un patin... Je n'ai qu'une seule envie : l'achever en lui disant...

"Tu sais Enzo... Je suis vierge d'absolument tout les trous..."

Je lui murmure ça à son oreille en passant ma langue sur son lobe puis pénétrant son oreille avec ma langue.
Il m'att soudain par la taille, et me rapproche au maximum pour que mon corps se colle à lui, et qu'il me fasse sentir sa grosse queue bien dure. Je vois dans ses yeux le déchirement psychologique qu'il ressent à ne pas trahir mon frère, mais l'envie de s'abandonner à ses pulsions animales à l'air vraiment plus forte...
Il finit par me repousser tellement violemment que je finis par tomber au sol :

"Axel, c'est mort. J'ai fais une promesse à ton frère, mon meilleur ami je ne le trahirai pas. Je suis là pour te protéger et veiller sur toi en son absence et c'est tout ! Rien de plus ! Je sais que tu détestes ton frère. Sache qu'il t'aime très fort et qu'un jour tu comprendra pourquoi il a pris cette décision. Tu devrais être heureux de ton parcours, jcomprend ta frustration, mais soit patient. Et je peux te promettre que ça sera payant..."

Il récupère ses affaires et me laisse par terre. A t'il peur de moi ? Ou peur de mon frère s'il savait ce que j'étais entrain de faire ? Je me rend de plus en plus compte du pouvoir de séduction que je peux avoir sur les hommes, ça me plait énormément et je n'ai qu'une envie me trouver une nouvelle proie : Nassim ? Pourquoi pas. Il rêve d'un harem de princesse rien qu'à lui, en attendant je peux lui offrir ma petite bouche...

Je rentre sagement à la maison. Envoyant un texto à Nassim, qui me répond direct :
"Cherche pas Axel, Enzo m'a tout raconté. L'amitié est plus fort que tout, on a fait un pacte, c'est le plus important pour nous...."

Je suis assez déçu et impressionné de leur force de caractère. On dit que les mecs ont une bite à la place du cerveau, ba je viens de découvrir deux exceptions...

Mais comme le hasard fait terriblement "mal" les choses, mes parents m'annoncent qu'ils doivent partir un peu plus tôt dans la maison dans le sud pour tout préparer, et donc que je descendrais un peu plus tard avec mon frère... Tout ce que je redoutais un tête à tête de 9h dans une voiture avec mon frère, à qui je refuse d'adresser la parole depuis ce qu'il m'a annoncé... L'angoisse... Je décide d'abord de me mettre sur la banquette arrière sans rien lui dire en faisant une tête de ptite terreur comme je sais bien faire. Je ne vois que le bas de son visage se refléter dans le rétro intérieur. Je le vois esquisser un sourire de plus en plus grand... Magnifique sourire et regard comme d'habitude....
C'était pas le but, je veux qu'il comprenne que je lui en veux !
"-pourquoi tu souris ?!
-parce que t'es mignon !
-je suis pas mignon !!! Je suis énervé ! Et je suis énervé après toi, alors arrêté de me parler.
-tu m'as posé une question alors je te répond frangin... Je devrai t'énervé plus souvent, vu comment ça te rend mignon."

Il a toujours réponse à tout, il m'énerve celui là ! C'est insupportable, je n'arrive pas à lui faire la gueule... Il sait trop bien y faire... Même pire, il n'a pas grand chose à faire pour me faire céder, juste sourire.... Et puis... Il a des arguments de chocs :

"Mais bon si tu souhaites gâcher les derniers instants que l'on peut passer ensemble avant que je ne parte, c'est ton problème...."

Aaaaaah mais quel connard d'idiot !! Il a tellement raison... Même s'il a donné pour mission à Nassim et Enzo d'être là pour moi, personne ne peut le remplacer au quotidien...

Dès que l'on fait une pause sur une aire d'autoroute, je repasse à l'avant de la voiture...

"-Tu as des nouvelles des cousins depuis qu'ils sont partis ?"

Je ressens que ma question le met mal à l'aise mais je ne comprend pas du tout pourquoi !

"-Oui, oui on se skype régulièrement... Même avec le décalage horaire on se débrouille, Miami c'est pas la porte à côté.
-Mais pourquoi ils ont pas gardé contact avec moi ??
-je leurs donne de tes nouvelles régulièrement...
-ca y est tu m'énerves à nouveau !
-quoi encore ? Qu'est ce que ton grand frère à encore fait ?
-tu m'exclues ! T'essaye de me mettre à l'écart de tout le monde ! Je comprend pas pourquoi tu fais tout le temps ça mais c'est insupportable Romain !
-jte met pas à l'écart... Tu... Tu comprendra en les rencontrant. Patience frérot..."

Pourquoi est il toujours aussi énigmatique....
Un peu plus loin sur la route je sens qu'il somnole, on dérive de plus en plus sur la droite, la glissière de sécurité se rapproche dangereusement, impossible de maîtriser mes angoisses, je lui renverse la bouteille d'eau froide sur le visage et le torse... Il cri, m'engueule comme pas possible mais au moins nous sommes vivants...
Sur la prochaine aire d’autoroute, il sort de la voiture toujours un peu énervé. Je le connais, quand il est comme ça, le seul moyen de se calmer c’est de faire du sport… Il me balance son t-shirt bien trempé et me demande d’aller le sécher sous le sèche main, et il part faire le parcours sportif en plein hiver…. Complètement ridicule, attitude basique de mec… qui finalement me plait trop… Une fois son t-shirt sec je retourne dehors et le regarde au loin finir une longue série de traction, il revient vers moi en courant… C’est la première fois que je vois ce phénomène se produire (si ce n’est jacob dans Twilight) mais il fait tellement froid dehors et il a tellement couru que tout son torse nu dégage une épaisse vapeur d’eau. Un fin nuage de volute de fumée se forme à partir de ses bras, ses trapèzes, ses pecs d’acier. Spectaculaire et magique, sa respiration saccadée met encore plus l’accent sur ses muscles gonflés transis par le froid… Je n’analyse même plus mon comportement, je sais très bien que quoi qu’il fasse j’en serai fan de lui, de son corps, et de son caractère. Et si c’était à refaire ? il se prendrait le double d’eau pour qu’il enlève aussi le bas :

« -Ca va mieux ?
-Oui merci !
-Rhabille toi avant qu’on se fasse arrêter.
-Ca vaux toujours mieux, que de se faire arracher la tête par son grand frère ?
-Très drôle, tu somnoles encore une fois et c’est le thermos de café »

Et je pointe mon regard sur sa queue. Il n’a pas l’air insensible à mon petit caractère. J’ai l’impression d’avoir détendu l’atmosphère. Et même s’il n’a pas du se rendre compte que le thermos n’était qu’une manière détournée d’oser parler de son sexe, je suis content d’avoir réussi à franchir des limites qui en dehors de nos écarts de conduite passées, sont très rares…
Le plus beau voyage en voiture, serait de le voir conduire, et vicieusement il m’expliquerai que le meilleur moyen pour ne pas s’endormir serait qu’il soit stimulé en continue. Il me dirait cela en pressant lentement son paquet pour me faire comprendre de quelle stimulation il parle. Je ferais exprès de ne pas être réceptif à ses sous entendu pour qu’il ose bien plus…. Et ça serait mon moment préféré… Quand la balance du vice et de la vertu penche vers le vice. Que pour me faire comprendre son sous-entendu, il ouvre sa braguette, sort son énorme queue lourde et encore pendante, qu’il prenne bien soin de sortir aussi ses deux grosses boules, et que sans rien dire concernant son acte, il me fasse juste remarqué que les vitres sont totalement teintées et que je ne risque rien… je n'aurai alors qu'à pencher la tête sur le coté, il passerai ensuite son bras par dessus moi pour atteindre le levier de vitesse et me bloquer auprès de lui. Et là, le visage à quelques centimètres de sa queue chaude et dont l'odeur masculine est en parfait équilibre entre le mâle en rute, et le mec entretenu. Et ce qui me plait c'est que malgré la position, je suis le seul à décider de comment m'en occuper, comme il conduit il ne pourrai pas intervenir, juste profiter du moment...
A cet instant, lui et moi sérions les plus heureux au monde de savoir que 9h de route nous attendent. Je ne lui laisserai aucun répit ! J'aurai envie de l'entendre me supplier de le faire venir ! J'ai envie de voir combien d'heure il peut tenir avec la queue raide et gorgée de sang. Je veux tout découvrir, combien de temps après avoir giclé il faut attendre pour qu'il redevienne dur. Etre surpris en découvrant que finalement c'est lui qui ne me laisse pas de pause, car il m'aurai rempli ma petite bouche durant ces 9h de trajet, qu'après avoir jouis il ne débande même pas et me permet de recommencer immédiatement à pomper. Que la voiture soit envahi par son odeur de queue qui nous excite pendant tout le voyage, ce qui fait qu'à chaque pause sur une aire d'autoroute, en retournant dans la voiture cette odeur ne tarde pas à nous exciter à nouveau, au fur et à mesure des pauses ce n'est plus seulement la braguette qu'il ouvre, mais aussi le bouton de son jean, puis baisser carrément le jean aux genoux. Me laissant tout le loisir de m'amuser avec sa queue et ses couilles.
Mais bon ce n'est qu'un fantasme... Assez compliqué à gérer car je bande comme un malade, a en avoir mal tellement je suis compressé, essayant d'éviter qu'il ne voit dans quel état il me met...
Heureusement le voyage est bientôt finit !

Pour ne pas faire compliqué... A peine arrivé mes parents nous indiquent qu'il y a un dégât des eaux dans une des chambres et du coup qu'il faudra qu'on partage la même avec Romain pour laisser les deux autres aux cousins et à notre oncle et tante... Quoi de plus délicieux et horriblement difficile que cette situation ? Je vois que Romain reste stoïque face à l'annonce alors je tente de faire pareil... Ne rien laisser paraître, ça.... Ca il sait bien faire....
On monte nos affaires sans bruit, nous sommes les premiers arrivés.

"-Tu veux dormir de quel côté Axel ?"

Je veux dormir dans tes bras.... La tête sur ton torse musclé avec un de tes bras qui longe ma colonne vertébrale et dont ta main finit par envelopper mes petites fesses...

« Moi le lit, toi par terre » en prenant un ton le plus froid possible »

Je jette un petit froid bien mérité.

"Je vais courir sur la plage, tu veux venir frérot ?
-c'est gentil mais je vais te ralentir, jvais plutôt me poser un peu"

Le connaissant c'est pas après la plage qu'il va courir, mais après la première pute qu'il lui offrira sa chatte dans les bois !

Une fois parti, je me prépare un bon bain brulant avec bougie encens et musique lounge. J'adore... La mousse est épaisse, l'eau brulante et parfumée, je me glisse dans l'eau avec une sorte de coussin gonflable pour poser ma tête. Une merveille de détente. Mais même dans ces moments là... Impossible de ne pas penser à mon frère et toujours son corps de rêve. Je me surprend à sentir mes doigts trainer près de mon anus... Les yeux fermés, j'ose seulement me caresser sans aller plus loin, pas l'habitude ? Peur ? Je ne sais pas... Jprefererai juste que quelqu'un d'autre me mette en confiance... Tout mon corps fume tellement l'eau est chaude, je ne me rend même pas compte que je suis entrain de perdre connaissance. La seule chose dont je me souviens c'est qu'en me réveillant complètement dans le gaz je vois mon frère en panique au dessus de moi, me frappant de plus en plus fort mes joues en me suppliant de me réveiller. Le stresse redescends quand il me voit ouvrir les yeux. Je suis sur son lit, complètement nu et quasiment sec. Je n'ai même pas le temps de reprendre mes esprits qu'il m'étouffe déjà dans ses bras puissant et contre son torse :

"Putain tu m'as fait peur Axel ! Tu msaoul à toujours faire des conneries ! Jtai déjà dit je serais bientôt plus là ! Grandit un peu !"

Oh c'est bon là... J'ai fais que prendre un bain... Certes un peu chaud... Mais ce n'est qu'un bain...
Pourtant ma perte de connaissance à du être longue, car vu son odeur masculine et son haut en lycra humide de sueur, le visage rougit par l'effort, il devait tout juste rentrer de son footing. Ayant pour seule tenue un haut moulant et un cycliste arrivant jusqu'aux chevilles, mon frère reste ultra sexy, et quoique son odeur soit un peu forte, le fait de m'avoir "sauver et la vie" et que naturellement il me sert fort contre lui me fait oublier tout le reste.
Est ce ça la seule solution ? Toujours devoir me mettre en danger pour qu'il fasse attention à moi, et se dévoile enfin comme le frère dont je rêve chaque jour : sincère et aimant ?
Doucement il me glisse sous les draps, mon importante fatigue m'empêche d'être le petit minet pudique de d'habitude, je suis complètement nu face à lui, je me sens gêné mais je suis incapable de faire quoi que ce soit. Il soulève sans difficulté mes jambes l'une après l'autre, les fait glisser sous la couette. Je n'ai plus de force, je suis content qu'il soit là pour m'aider, et le faire sans arrière pensées. Il m'embrasse sur le front puis me dit :

"Je vais me laver puis jvais descendre manger avec les parents, les cousins n'arrivent que demain. Je leur dirais que t'es pas trop en forme, reste tranquille et repose toi..."

Je m'étale un peu dans le lit. Habituellement j'aurai bondi pour espionner dans la salle de bain et le mater un peu, là ? Impossible... Mon malaise n'était pas une comédie, je m'endors donc sans faire plus attention à lui...

Sans m'en rendre compte, dans mon sommeil je me transforme en étoile de mer... Et le lit a beau être un king size, je crois que Romain n'a absolument pas la place de s'y allonger. Il n'a même pas osé me déranger vu qu'en ouvrant les yeux je le trouve endormi, assis sur la chaise face au lit, avec pour seul drap un plaid...
De mon côté même sous la couette mon corps est gelé. Je me lève pour le réveiller, avec douceur je fais bouger son épaule. Son corps doit être naturellement à 39 degrés là où le miens est à 34.... C'est d'ailleurs la fraicheur de ma main qui le réveille en sursaut. Complètement dans le gaz il se lève laissant tomber le plaid au sol, complètement nu, je regrette d'avoir une si mauvaise vue nocturne, car c'est le flou total.

"-Vient te coucher, romain ! Tu es ridicule sur ta chaise !
-c'est toi qui est ridicule à claquer des dents comme ça !"

On est toujours très agréable au réveil. Mais en peu de temps et avec peu de force, je le sens qui me soulève, me porte jusqu'au lit, me pose délicatement sur le côté puis il s'allonge enfin sur le côté contre moi.
Je sens ses pieds brulants entrelacer mes jambes gelées. Ses jambes se replient et se calent sous mes fesses comme si j'étais assis sur un siège sur le côté. Son torse est tellement volumineux que même mon dos arrivent à différencier ses abdos et ses pecs. Un de ses bras passe en dessous de ma tête pour caler ma nuque et le deuxième m'enveloppe complètement. En deux minutes je suis complètement rechauffés. Un peu surpris je ne peux m'empêcher de lancer un petit :

"-Mais ? Romain ? Qu'est ce que tu...
- Tais toi et dort !"

Avec lui, y'a jamais de prise de tête j'ai l'impression. J'essaye de ne pas me poser de question et profite juste de la situation... Je suis juste bien embêté de sentir chaque partie de son corps sauf une.... Il a du en faire exprès nous sommes quand même complètement nu lui et moi.
En faisant semblant de m'endormir je me tortille comme un asticot pour cambrer un peu plus mes fesses histoires d'atteindre son entrejambe. Impossible de l'atteindre, et dès que je me décale trop il finit par grogner et resserrer son étreinte au niveau des bras et des jambes. Etreinte plutôt agréable, son sexe n'est pas ment au centre de tout. Mon frère a l'art de me démontrer sa virilité avec le reste de son corps. Et pour ce soir, l'épuisement fait que je m'en contenterai... La position est déjà tellement merveilleuse et inespérée. C'est l'une de mes plus belles nuits ! Je me souviens avoir fait un cauchemar et après mettre réveillé en sursaut j'ai senti son étreinte rassurante se resserrer sur moi, ainsi que ses lèvres caresser délicatement ma nuque de bisous pour me rassurer et me permettre de me rendormir....
Le réveil fut beaucoup plus décevant. Car j'étais seul dans un lit terriblement froid. Mon grand malade de frère est surement reparti faire du sport...

Après un énorme petit dej, jvais me mettre en maillot de bain. Et oui dans la baraque bourrée de fric de mes parents, il y a au sous sol une piscine chauffée, couverte. Avec jacuzzi, sauna, salle de jeu... Je ne suis pas un grand sportif mais je me sens comme un poisson dans l'eau alors ça va me plaire d'être la bas. Et puis la natation ça vide bien la tête ! Mais évidemment quand j'arrive sur place mon frère est justement en pleine entraînement... Dès qu'il me voit il de stop sur un bord de la piscine, je le sens mal à l'aise presque à rougir :

"Hey Axel ! Ca va mieux ?
-oui beaucoup mieux merci ! Et toi ca va ?
-oui oui mais... Ca te dérange de me passer mon maillot de bain sur ma serviette ? Je pensais être seul... C'est plus agréable pour nager"

Ah bon ? Tu m'en dira tant ! Tu n'etais pas aussi pudique cette nuit.... Le voir timide et gêné est d'une grande satisfaction pour moi alors je récupère son maillot je le fais tournoyer autour de mon doigt...

"Hum... Je sais pas si tu as été assez sage... Je ne sais pas si tu mérites vraiment que je fasse ça pour toi..."

Je m'amuse beaucoup et quand il finit par perdre patience, il fait ce dont je ne m'attendais absolument pas.... Il s'aide de ses bras et sort de l'eau entièrement nu face à moi, avec son regard de défi, de beau dragueur. Alors que c'est ce dont je rêve depuis toujours (le voir nu en pleine lumière) mon corps a une réaction terriblement bête et pudique : je me retourne violemment en fermant les yeux... Je le sens se rapprocher et s'arrêter juste derrière moi. Avec l'élan je sens discrètement son membre frapper mes fesses puis revenir entre ses jambes. J'hésite à avancer d'un pas pour qu'il avance à nouveau et que je ressente une nouvelle fois sa queue cogner mes petites fesses... Il glisse alors à mon oreille avec sa voix grave :

"Alors ? On fait moins le malin petit frère"

Il m'arrache son maillot des mains et l'enfile. Avant même que je ne puisse réagir, je le sens me ceinture avec ses gros bras. Il me fait quitter le sol, mon dos s'appuyant sur son torse, mes fesses s'enfonçant sur son maillot gonflé... Et il me jette assez rapidement dans l'eau.

"Tu me montres ce que tu vaux ?" Me lance t'il.

"Avec joie ! Et pour une fois, je ne suis pas sur que tu me suives, car je suis très endurant à ce jeu là !"

Il a l'air heureux de partager un moment sportif avec moi. Je lui prépare dont mon entraînement préféré. Quand on ressort de chaque côté du bassin pour faire pompe, abdo ou squat. Mon frère fait les gros yeux par rapport au programme que je lui propose mais je sais que c'est seulement pour mieux se vanter une fois qu'il aura réussi. Je suis quand même content de partager ce moment avec lui, et j'avoue que je serais surement plus performant lors de l'exercice si je n'arrêtais pas de le mater à chaque fois qu'il sort de l'eau... Néanmoins je suis heureux de m'apercevoir qu'il faibli avant moi, j'en profite pour le doubler et lui montrer à quel point je suis endurant. Je fais trois quatre longueur de plus que lui puis je le rejoins au bord de l'eau essayant de rendre ma respiration la plus calme possible :

"J'arrête là, je ne voudrai pas que ton égo en prenne un trop gros coup !
-arrête de dire ça ! Au contraire je suis fier de toi ! T'es un nageur génial ! Tu m'as surpris et j'avoue que je suis comme dans du coton. Tu es doué. Ca a fini par payer, tes cours de natation !"

Il est vraiment sincère, ça s'entend et ça se voit à la manière qu'il a de me regarder avec son sourire ravageur.

"-Merci...
-De rien. Aller faut qu'on remonte les cousins vont pas tarder à arriver !"

En sortant de l'eau, on enroule nos serviettes autour de la taille, encore une fois je le charrie par rapport à la séance de sport. On chahute un peu et il finit par m'attr la tête, l'encerclé avec son bras pour me plaquer contre ses abdos et avec son autre main il ébouriffe mes cheveux en me disant :

"Fripouille va !"

Je me laisse faire en rigolant. J'aime cette complicité. Jusqu'au moment ou j'entend rire à quelques mètres de nous on releve nos têtes, moi encore enfermé dans ses bras. Face à nous, les cousins... Etonnés et amusés de nous voir comme ça. Mon frère me lâche un peu gêné de la situation.

"-Hey Flo ! Chris ! Comment ça va ?!"

Il s'avance et les embrasse quasiment en les prenant tours à tours dans ses bras. Comme si ça faisait longtemps qu'ils ne s'étaient pas vu mais qu'ils se connaissaient depuis toujours. Je sens ma jalousie monter mais je ferme ma bouche et m'avance à mon tour. Comme pour refroidir l'ambiance et pour montrer qu'ils n'avaient qu'à garder contact avec moi, je leur tend ma main pour faire une poignet de main alors qu'ils s'apprêtaient à me faire la bise.
Pourtant... Si vous saviez à quel point je voulais me montrer directement gentil avec eux... La génétique fait extrêmement bien les choses. Je découvre que j'ai des cousins magnifiques... Le plus âgé, Chris, est physiquement comme mon frère, la même gueule de bogoss, le même corps développé et emballé dans des vêtements bien ajustés. Un sourire à l'américaine, des attitudes viriles. Bref une copie conforme de mon frère.... Quand à l'autre, Florian, fait nettement plus jeunot, on dirait moi mais avec les muscles beaucoup plus développés.
Mon attitude me fait déjà souffrir ça ne fait pas 30 secondes que je connais mes cousins, du moins que j'apprend à les reconnaitre après de longues années sans les avoirs vus, que je flash déjà sur les deux.... Que je les dévisage et les matte... Je vais passer directement pour un PD qui n'a jamais vu d'homme de sa vie.
Le plus marrant, c'est quand j'ai tendu ma main à Chris, il a eu la même expression du visage que mon frère quand il est amusé de voir que j'essaye de montrer mon mécontentement. Plonger mon regard dans le sien fut une expérience tellement puissante que j'ai cru ne jamais réussir à en ressortir. Et lui aussi arrive à me surprendre et au lieu de me serrer la main il l'att délicatement et me fait un baise main avec un petit clin d'oeil.... Son audace et son humour me font rougir :

"- tu n'attendais pas ça ? Je le fais à la Française non ?"

Quand à Florian, impossible de lui tende ma main, il se jette presque que moi pour me faire la bise :

"Je suis trop content de te rencontrer enfin ! Ton frère nous a énormément parlé de toi !
-ah bon ? J'aimerai pouvoir en dire aut...."

Mon frère me coupe la parole et nous fait remonter. On va vite fait se changer pour dire bonjour à nos tante et oncle puis leur faire visiter le domaine.
Je ne sais comment l'expliquer. Mais il y a quelque chose d'étrange dans les attitudes de Chris et Flo... Je comprend pas quoi mais... Chris a l'air d'être un grand frère avec les même attitude que Romain, les même intentions envers Florian. Mais Flo y est beaucoup plus réceptif, beaucoup moins farouche que moi. Bref je ne sais pas... Peut être à force de vivre ensemble en Floride ils ont tissé des liens forts... En tout cas c'est merveilleux de les voir monter les marches... Flo a le fessier dont je rêve... Il est tellement développé que ça créer naturellement une belle courbure dans son dos. Chaque lobe a l'air indépendant et rebondit. Je suis quasiment sur que quand son cul n'est pas retenu par un sous vêtement, il est tellement musclé que même en se baissant très peu, ses beaux lobes doivent bien s'écarter pour laisser apparaître son....
Hey !! Mais tu te rends compte de quoi tu parles ?? Tu flash sur le cul de ton cousin !!! A vrai dire... Je flash plus sur son cul car je voudrai le même d'ailleurs quand je remarque mon frère mater son cul au point de louper une marche, ma jalousie reprend le dessous et je lui pince fortement la peau de la hanche pour le lui faire comprendre...
Quand à Chris... Il est a tombé... Ca me donne un petit aperçu de ce que sera mon frère dans 10 ans s'il continu à s'entretenir ainsi... Dormir entre deux mecs comme Chris et Romain serait un rêve...
Soudain Chris interpelle Flo :

"Tiens bébé, tu peux aller chercher le cadeau de bienvenu pour leur parent ?
-oui bien sur.
-merci mon coeur."

Je bug énormément face à cette situation paranormale.... C'est quoi ces surnoms ? Et devant nous en plus ! Je me retourne vers Romain qui n'a l'air absolument pas surpris... Devant ma moue d'incompréhension Chris prend enfin la parole :

"Oh.... Je sens que Romain ne t'a rien dit..."

Romain se fait tout petit, moi je suis un peu énervé :

"Pour faire simple. Flo et moi, nous sommes ensemble."

Face à mon visage interrogatif il reformule :

"Nous sommes en couple. Quand on a compris qu'on arriverai jamais à se passer l'un de l'autre, on a décidé de faire notre vie ensemble. Partir aux Etats-Unis était la meilleure chose à faire pour vivre une nouvelle vie et s'aimer..."

Flo revient avec le cadeau, le donne à Chris puis l'embrasse amoureusement. Je tombe des nus, comme toujours, et ma principale remarque fut en rapport à leur parents :

"Ils ont eu énormément de mal, ce qui les a aidé je pense c'est que s'ils n'acceptaient pas, ils perdraient leur deux seuls fils..."

J'étais complètement sonné... Tout le monde était au courant sauf moi... Et ma réaction fut celle d'un à qui on cache la vérité... Je fuis... J'entend simplement au loin Chris retenir mon frère :

"Laisse lui le temps de digérer ça... Il ne nous connait pas mais tu lui as menti pendant tellement longtemps... Il comprendra pas tes choix..."

Je fuis dans la crique. C'est con mais c'est trop d'émotion d'un coup... Je pleure sans me contrôler. Je pense à plein de choses en même temps : tout ce que Romain me cache, aux sentiments que peuvent éprouver l'un pour l'autre ces deux frères, savoir que l'interdit est franchi, et avec le consentement de leur propre parent, la manière dont finalement mon propre frère me déteste en essayant de m'éloigner de tout le monde, ne plus comprendre ses actions, ces réactions.
Je sens quelqu'un approcher dans mon dos, je supporte pas qu'on me voit pleurer :

"Dégage Romain, t'en a déjà assez fait !"

Pourtant en silence la personne continue de s'avancer vers moi, finissant par poser sa grosse main sur mon épaule, je me retourne vivement pour lui coller un poing dans le visage. Mais mon petit poing est rapidement arrêté par Chris dont la force n'a d'égale que celle de mon frère. Ma violence s'apaise en voyant que ce n'était pas mon frère qui m'avait suivi mais Chris :

"Tu vas avoir froid, ne restons pas là Axel"

Mes sanglots reprennent de plus belle :

"Ne soit pas trop dur avec ton frère, il pensait te protéger...
-Me protéger de quoi au juste ?? Il justifie toujours ce qu'il me fait subir en me disant que c'est pour mon bien !!
-Il est sûrement maladroit, mais c'est une situation compliquée et difficile tu sais. Il veut faire les choses bien avec toi, que tu grandisses et t'épanouisse sans son influence, pour te laisser ton libre arbitre... Mais tu ne lui en laisses que trop rarement l'occasion..."

Je ne comprend pas tout ce qu'il sous-entend mais dans l'ensemble la conclusion est la même, il me quitte, il disparait dans une caserne et je finis seul, je me réfugie dans les bras de Chris :

"J'ai besoin de lui ! Je ne veux pas qu'il parte ! C'est tellement... Douloureux....
-Je sais bébé je sais...."

La voix de Chris est aussi rassurante que celle de mon frère, son corps comporte les mêmes avantages que celui de mon frère à la différence qu'il se contrôle beaucoup moins bien que mon frère... A peine 30 secondes passé dans ses bras, et je sens la bosse de son pantalon durcir et gonfler contre mon ventre. Je le sens me serré bien contre sa queue, renifler longuement mes cheveux... La situation est étrange mais c'est peut être ça plaire à un gay... S'il me le montre avec autant de conviction et d'ardeur par rapport à mon frère c'est peut être simplement parce que mon frère est réellement hetero et pas Chris.

"Mon petit frère était comme toi il y a encore quelques années, c'est d'ailleurs ce qui m'a toujours plu : sa fragilité. J'ai jamais su me contrôler. Depuis toujours j'ai fais en sorte de lui montrer qu'il me plaisait."

Il continue de se frotter, alors que mes premiers gémissements font leur apparition :

"Toi, tu ne comprendra pas, mais je sais pourquoi il part. Et il a raison... On rentre maintenant. C'est Noël, tu voudrai pas gâcher une des dernières journées avec ton frère. Profite de chaque instant avec lui"

Après une tite tape sur les fesses, il me raccompagne. C'est la première fois que je vois mon frère avec le visage aussi triste et le regard bas... Le premier repas tous ensemble est assez étrange mais au fur et a mesure de la semaine ça se passe de mieux en mieux. Même si je ne sais ou part dormir Romain car chaque nuit il me laisse seul...

Vient le soir de Noël où l'on s'échange nos cadeaux, étrangement mon frère me les offres en me demandant de seulement les ouvrir quand je serai seul, et qu'il sera loin...
Quand à son départ il fut brutal, il reprend le même train que les cousins, le lendemain de Noël...
Je ne me souviens même plus de ces dernières paroles, de nos derniers moments... La douleur fut vive, ruina mes vacances, inquiéta mes parents.
Avec le temps ça s'arrangera peut être. Sur la route du retour, j'ouvris le premier cadeau (il les avait numéroté). C'était une enveloppe contenant une lettre. Tiens mon frère sait écrire ? Bien sur que oui ! Mais ça sera pour le prochaine épisode....