Chapitre 10 : Retour Difficile Et Sodomies À La Chaine.
Pour tous ceux qui ne suivent pas, petit rappel de la fin du chapitre 9, nous sommes de retour de Bretagne., ce séjour fut riche en émotions et en expériences, avec Denis, Marie mon épouse et moi Éric, double-pénétration, baise sur la plage, tenues provocantes et photos de nue sur les rochers entre autres.
Comme pour les rencontres précédentes, Marie culpabilise et se reproche de faire nimporte quoi avec cet homme beaucoup plus âgé quelle, plus âgé de 21 ans
Quelle va arrêter de le rencontrer, que ce type a un pouvoir sur elle qui lui permet de lui faire faire nimporte quoi.
- Je me conduis comme une pute Éric, une pute, je suis une pute
Et toi tu prends du plaisir à voir baiser ta pute de femme, tu nes pas normal Éric !!!
- Arrête Marie, franchement, tu es ridicule
- Timagine si mes parents ou notre entourage découvre nos relations particulières avec Denis, et même mes amies où mes collègues de travail !!! Et léducation reçue par mes parents, mon école religieuse, les valeurs, la famille. dit-elle !!!
- Ne tinquiète pas Marie
- Si je minquiète, pour nous, notre couple, notre fils, nos liens du mariage
notre obligation de fidélité
je ne veux pas être considérée comme une fille facile, et toi pour un cocu magnifique et soumis, voire impuissant.
- Mais non, ce nest pas ça, cest le désir de partager avec toi
Et même sur ton propre désir et ton plaisir, cest une histoire de complicité. Je ne suis en aucun cas « cocu », puisque je suis à l'initiative de la démarche et que je participe volontairement à l'expérience.
- Cest pas normal Éric, ce nest pas cela une famille. Tu te retrouves dans la position d'un réalisateur de films X qui prend du plaisir à faire tourner sa propre femme !!!
- Et le plaisir Marie, tu ne prends pas de plaisir avec Denis ? Et pendant la double ?
- Si justement, et cest ça le plus grave, cest une véritable révélation, où plaisir, excitation et aventure se mêlent, Éric.
- Je ne timpose rien Marie, cest toi qui décide, mais je peux continuer à voir Denis seul ?
- Oui, si vraiment tu ne peux ten passer Éric...Nous devons préserver notre couple, pense à Antoine. (notre fils)
De toute façon, nous sommes en juin, nous partons trois semaines à Antibes en juillet, et Denis part aux Etats-Unis deux semaines avec ses deux fils en aout
Donc pour organiser des rencontres entre nous, cela ne va pas être simple.
Pendant cette période, Marie a un comportement étrange, peu bavarde, moins souriante quà son habitude, facilement irritable, irascible, coléreuse, hargneuse, nerveuse, ombrageuse, et côté relations sexuelles, cest le calme plat, son désir sexuel est en berne, nous ne pratiquons plus de sport en chambre, elle na plus envie, et cest très étrange, car avant, elle était très gourmande, voir trop gourmande
Je ne comprends pas ce qui arrive à Marie, je lui dis bien que « lappétit vient en mangeant » car lappétit sexuel vient en ayant des rapports sexuels
- Cest pour cela que je me conduis comme une pute ensuite, Éric
Tu vois, quand jétais avec Denis et toi en Bretagne et bien je me suis surprise à avoir encore dautres envies
dautres hommes
Tu comprends, je dois arrêter, tout cela nest pas normal, cela me dépasse !!!
- Mais, voyons Marie, nous pratiquons entre adultes consentants et avertis, tu dois arrêter de te référer à des normes. Nos relations ne doivent souffrir d'aucun jugement de valeur. Tu dois prioriser ton propre plaisir et accessoirement le mien.
Pendant trois semaines, notre relation ne saméliore pas, abstinence sexuelle, chamailleries pour des bêtises, je ne reconnais pas Marie.
Je reste en contact téléphonique régulier avec Denis qui me propose de le retrouver dans la résidence secondaire de Claude-Yves près de Beuvron en Auge, mais cest encore à deux heures de mon domicile et de mon bureau.
Je retrouve mes deux amants, dans un beau et vaste manoir typique du Pays dAuge avec une piscine chauffée, grand étang, et sa collection de voitures anciennes, Claude-Yves a apparemment une certaine aisance financière.
Un couple soccupe de lentretien des extérieurs et de lintérieur du manoir, et est chargé de préparer le repas du midi, pendant ce temps nous faisons le tour de la propriété, nous repassons au « Musée », cest lappellation de Claude-Yves, cest un grand bâtiment en colombage, contenant une vingtaine de voitures anciennes et sportives, mais aussi un bar reconstitué avec une grande salle de cinéma et à létage dune grande chambre disposant de plusieurs lits et dune grande salle de bains, finalement, cela lui sert aussi de pavillon de chasse.
Claude-Yves nous prépare une coupe de champagne derrière son bar, puis une deuxième, il ouvre une deuxième bouteille, nous bavardons tranquillement, nous parlons de Marie, Denis a apporté plus dune centaine de photos de Marie, prisent lors de notre séjour à Trébeurden, elle est sublime, bien mise en valeur par le talent et le matériel « pro » de Denis, cela me gêne un peu et finalement je prends un certain plaisir.
- Marie est sublime Éric, jaimerai la rencontrer aussi !!! Déclare Claude-Yves, en regardant une photo de Marie nue, les jambes légèrement écartées dévoilant son épilation maillot « bikini », sa petite toison est sublime.
- Moi, aussi, mais en ce moment, ce nest pas facile !!!
- Tu es là Éric, je vais moccuper de toi
Puis il me sert dans ses bras et membrasse, je ne résiste pas, au contraire. Denis est plutôt discret.
Il memmène, derrière, dans la salle de cinéma, où il y a un coin salon et me pelote où me caresse, épaules, poitrine, cuisses, enfin partout.
Nous montons à létage avec le champagne, laffaire se fait tout simplement sans vraie décision par simple laissé faire. Je me retrouve tout nu sur le plus grand lit entre mes deux hommes dans lobscurité de la chambre car les volets sont fermés.
Claude-Yves membrasse et je sens bien sa langue...
Ses mains, qui tiennent mon cou et mes joues, sont douces et sa langue viole toujours ma bouche et mouille ma langue en dialogue muet tourbillonnant.
Denis, lui, entreprend une visite buccale de mon ventre et présentement me bouffe mon nombril. Je pense, quil sattarde sur cette zone qui nest pas très érogène et perd son temps et le mien. Il peut mieux faire, plus bas, prendre mon sexe. Je suis bien à laise entre ces deux hommes qui soccupent de moi et prétendent, chacun de leur côté, de mapporter le plaisir.
Sur ma poitrine deux mains balaient en caresse mes seins. Des mains douces qui pratiquent un effleurement sensuel.
Mon cul est tout ouvert, une tendre moiteur nappant mes fesses, mes jambes écartées et mes genoux levés, mon bassin rétro-versé en accueil espéré de la bouche et de la langue qui viendraient me brouter et sucer mon anus.
Tout cela arrive, mais je ne sais plus lequel des deux fait telle ou telle chose. Je moffre à eux
Jai pour ma part chopé leurs bites, une dans chacune de mes mains. Elles étaient assez différentes tant en longueur quen épaisseur.
Dans ma main droite, le gros sexe de Denis épouse ma paume caressante.
Dans ma main gauche, le sexe de taille normale de Claude-Yves, je le décalotte et le caresse à nu. La tête est humide, moite. Et cela déclenche un désir irrépressible de le sucer.
Ma bouche plonge et mes lèvres gobent.
Ma main gauche ne lâche rien et tient fort cette bite et ses couilles dures.
Par ailleurs jai entre les cuisses un « Denis » qui saffaire avec douceur de bouche et de langue saliveuse autour de ma petite rondelle.
Puis de ma main droite, loutil très raide de Denis mérite que je men occupe.
Et jastique, doucement dabord en respectant les sensibilités de mon amant, puis plus violemment en conscience que nous les mecs nous nous branlons sans retenue et jouissons de notre douleur.
Par ailleurs je sens avec bonheur que Denis sintéresse toujours à mon cul.
Jadore quon sintéresse à mon cul. Je peux rester longtemps à me faire lécher le cul, (même encore maintenant).
Sa langue badigeonne ma rondelle de salive et se fait maintenant intrusive et prétend à une visite intime.
Je suis bien, je plane, je me laisse faire, et jexécute des gestes sans réfléchir.
Nous sommes dans une sorte de double soixante-neuf avec un amant qui me suce lorsque lautre me visite loigne et que de mon côté je fais une pipe à lun et un pompier à lautre...
Les choses se décantent toutes seules. Le premier à décharger est Claude-Yves. Jen ai plein la paume.
Cest chaud, cest bon, gluant et fluide. Je lèche ma paume, ce qui excite encore plus Denis.
Il poursuit ses caresses anales puis pénètre un doigt, un deuxième, un troisième, me fait bien positionner à quatre pattes le cul en lair, je suis prêt à absorber son énorme sexe
sans lubrifiant, ses doigts élargissent bien mon orifice pour faciliter « la glissade », son gland est happé
- Je vais tenfiler mes vingt centimètres dans le cul
Salope !!! Me déclare Denis
- Oooooh oui, Denis, vas-y !!!
- Je vais te dégager les voies respiratoires, ma salope, tu vas pouvoir gueuler !!!
Mon rectum shabitue à son membre et mon cerveau en redemande.
Cest lheure des va-et-vient, très lentement au début, trop lentement à mon gout.
Jaugmente le rythme avec mes reins, imprimant une cadence relativement rapide, je messouffle, Denis également, mais nous sommes en parfaite harmonie, cest la défonce totale, Claude-Yves se refait une santé, se branlant en regardant le spectacle.
- Elle aime ça la pute
Claude-Yves !!!
Sentant la fin de partie pour Denis qui ne va pas tarder à éjaculer je demande à Claude-Yves
- Jai envie de ta queue, Claude-Yves
tu viens ?
Donc comme prévu, fin de partie pour Denis et moi, nous nous effondrons lun contre lautre.
Mon canal va se rétracter lentement et va exfiltrer Denis.
Si lacte est fini, la zone est toujours très sensible.
Je me retrouve avec l'anus rempli de foutre.
Et Claude-Yves voit le sperme qui dégouline de mon petit trou.
- Tu lui en as mis plein le cul à la salope
A son tour Claude-Yves me pénètre, cest différent avec lui, plus doux, plus caressant, mais une deuxième sodomie de suite cest le graal, je lui demande daccélérer, jimprime de nouveau le rythme avec mes mouvements de reins, je me fais sodomiser par mon vieux de 62 ans fougueux.
Il me ramone avec plaisir mon trou du cul avant de finir par éjaculer dedans.
Je me retrouve avec le cul remplit dun cocktail de foutre de mes amants.
Je reste un court moment à reprendre mes esprits, effondré sur le lit, je suis essoufflé, javais très envie dune bonne double « enculade », je suis plutôt gâté, mais jai un peu mal au cul tout de même, car nous navions pas lubrifiant, sans le savoir, Denis avait pris un peu de gel douche dans la salle de bains
Puis Denis me demande de leur nettoyer leurs sexes un peu « sales », je refuse car il y a eu quelques accidents, je ne me suis pas douché totalement
- Mon anus est rarement sale, Denis
Alors après une sodo nette et sans ...bavure, je veux bien, au contraire, jadore
Mais quand il y a des accidents, là c'est la douche directement
Denis !!!
Denis insiste lourdement, complètement excité, me badigeonne son sexe sur le visage, mais Claude-Yves calme le jeu en nous signalant de nous rendre à la douche, que le repas doit être prêt au manoir.
- Ce nest pas grave
Petite salope
Pour avoir désobéit, tu vas avoir le droit dêtre soumis à tes deux maitres cet après-midi
avec peut être une surprise !!!
- Je veux bien essayer, mais jarrête quand je le souhaite
Messieurs !!!
Nous, nous dirigeons vers le manoir, pour déjeuner et vous devez un peu patienter pour connaitre la suite avec le chapitre 11 en cours de rédaction.
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