Surprise !!!

Christophe :

Je suis bien, tranquille. Je suis allongé sur mon canapé, nu, je me réveille doucement. Contre moi, je sens le corps chaud d’une femme, nue elle aussi. Elle me tourne le dos, le cul encastré dans mon bassin. Mon sexe se trouve dans la raie qui sépare ses fesses et commence lui aussi à se réveiller.

Je ne vois d’elle que sa chevelure brune, longue, qui me chatouille le torse. Je passe un bras au-dessus de son corps et pose la main sur un sein, ferme et rond. Elle ronronne, bouge un peu, ses fesses s’appuient un peu plus contre mon sexe maintenant dur.

Je caresse son sein, pince doucement le téton, elle gémit. Je commence de petits mouvements de bassin, ma main descend sur son ventre.

Elle passe une main entre ses cuisses et att ma queue qu’elle glisse entre elles. Je me masturbe ainsi, frôlant son sexe humide à chaque aller retour. Ma main a atteint son pubis, descend vers sa vulve et trouve le clitoris sur lequel j’appuis d’un doigt.

Elle soupire doucement, envois un bras en arrière et passe une main derrière ma nuque. Elle tourne la tête vers moi, je me soulève sur un coude et viens poser mes lèvres sur les siennes. Le baiser est langoureux, mon bassin continue ses mouvement, elle gémit dans ma bouche.

Après un soupir un peu plus long, elle se retourne entièrement vers moi. Sa poitrine vient s’écraser contre mon torse. On s’embrasse maintenant avec fougue. L’une de ses main est sur ma nuque et me presse contre sa bouche, la deuxième me sert la verge. Les miennes sont sur ses fesses.

Elle se redresse, me fait assoir dans le canapé et se met à genoux devant moi.

Elle souri malicieusement en prenant mon sexe en main et en commençant une lente masturbation.

- Tu es dur. Merci pour ce doux réveil, mais maintenant, j’ai envie de toi.

Elle plonge alors sur ma queue et me prend en bouche.

Je regarde cette femme qui à vingt ans de moins que moi me sucer goulument.

Je profite de sa langue qui s’enroule autour de mon gland, de ses lèvres qui montent et descendent sur mon vit. Une main me ceresse les testicules, l’autre tient la base de ma bite.

- Tu es merveilleuse, tellement belle.

Elle se relève et vient s’assoir sur mes genoux. Elle m’embrasse, les mains sur mon torse. Les miennes viennent se poser sur ses reins. Son corps ondule contre moi, elle frotte sa chatte sur mon sexe.

Elle met fin au baiser et se soulève un peu. Elle passe sa main entre ses cuisses et att ma queue qu’elle dirige à l’entrée de sa vulve. Elle se caresse un instant avec mon gland avant de s’empaler doucement avec un profond soupir. Elle chaude, douce et humide autour de moi.

Elle ne bouge plus, les yeux dans les miens. Je sens son sexe me serrer, puis me relâcher, me serrer encore. Elle met les mains autour de mon cou et revient m’embrasser, ses seins s’écrasant contre moi. Elle commence à bouger les hanches, d’avant en arrière, lentement.

Derrière elle, une porte claque.

- Christophe ? Chéri, tu es là ?

La brune sur mes genoux relève la tête, un grand sourire aux lèvres. Les yeux rieurs, pleins de désir et d’excitation, elle commence à accélérer ses mouvements.

J’entends ma femme passer par la cuisine.

- Christophe ?

Devant moi, la brune accélère encore. Elle gémit doucement. Par-dessus son épaule, je regarde l’entrée du salon, elle va bientôt arriver, et ça ne fait que renforcer le plaisir que je sens monter dans mes reins.

Je vois les seins de ma petite brune rebondir devant, je vois son visage se changer sous l’effet du plaisir. Ses yeux s’ouvre et se fixent aux miens, elle murmure.

- Ca va être énorme.

Elle accélère encore un peu, frottant son clitoris contre mon pubis. Je regarde de nouveau derrière elle, ma femme surgit à l’entrée du salon.

L’instant est grandiose. Je la vois se figer, les yeux écarquillés.
Elle devient pâle, vacille sur ses jambes, se ratt d’une main au montant de la porte.

Je me mets à bouger moi aussi sous la brune qui se resserre autour de moi. Je regarde ma femme changer de visage. De pâle, elle devient écarlate. Sa bouche s’ouvre et se referme sans qu’aucun son n’en sorte.

Je pose les mains sur les hanches de la brune pour la faire accélérer encore.

Je sens l’explosion arriver, et pour tous les trois. Je vois la colère monter sur le visage de ma femme, le plaisir sur celui de la brune, je sens mon sexe se tendre un peu plus. Je passe une main entre les cuisses de mon amante et appuis du pouce sur son clito.

Et, alors que ma femme va hurler, je me déverse dans la chatte de la femme sur mes genoux dans un long râle, déclenchant une réaction en chaine.

Le plaisir de la brune explose, coupant le cri qui allait sortir de la gorge de ma femme.

Deux sons se font entendre simultanément. Celui, étranglé, plaintif de celle qui vient d’entrer dans le salon, et celui, jouissif et heureux de celle qui est sur mes genoux.

La brune s’écroule sur moi, la tête dans mon cou, prise de spasmes de plaisir. Ma blonde épouse titube, par un peu en avant, s’accroche à un fauteuil pour ne pas tomber.

On reste ainsi quelques instants. Je sens le sourire de la brune dans mon cou alors que son orgasme redescend. Je vois ma femme relever la tête et me regarder, incrédule.

Le temps semble arrêté, suspendu.

La brune se relève et m’embrasse langoureusement. Je vois ma femme prête à exploser, je la devance en m’adressant à elle.

- Bonjour ma chérie. Tu as passé une bonne journée ?

Je viens de la scotcher. Mon ton enjoué, pas du tout inquiet la laisse pantoise. Alors que je devrais faire profil bas, me confondre en excuses et en explications, je l’accueil comme s’il n’y avait rien d’anormal à la situation dans laquelle nous sommes.

Je sens mon sexe quitter celui de la femme encore sur mes genoux.
Je l’aide à se relever alors que ma femme s’assoit sur le fauteuil, visiblement complètement dépassée par les évènements.

- On va prendre une douche. Tu veux bien nous préparer un café en attendant ?

Ma femme à la bouche ouverte, on dirait que sa mâchoire s’est décrochée.

J’att la brune par la main et l’entraine hors du salon. En passant à côté de ma femme, elle se penche vers elle et dépose un baiser sur sa joue.

- Bonjour madame. Et merci.

Là, ce doit être le bouquet pour ma femme. Elle fait la carpe, comme tout à l’heure, sa bouche s’ouvre et se ferme sans arrêt.

Nous sortons du salon, et entrons dans la salle de bain. Je laisse la porte entrouverte et entre dans la douche. Derrière moi, la brune éclate de rire.

Je me retourne, le regard faussement sévère, le sourire aux lèvres.

- Jenny, arrête, il n’y a rien de drôle.

- Non, mais t’as vu sa tête ? Elle doit vraiment se demander ce qu’il se passe. Et quand je l’ai embrassée ? J’ai cru qu’elle allait disjoncter.

Je reprends mon sérieux.

- Tu te rappels ce que l’on a dit, ne rien dire avant le resto.

- Oui, il me tarde qu’Anaïs nous rejoigne.

- Tu lui as bien tout expliqué ?

- Oui, ne t’inquiète pas, elle est remontée comme une pendule.

Nous nous lavons mutuellement, tranquillement. A un moment, il me semble apercevoir quelqu’un dans l’entrebâillement de la porte. Nous nous séchons et retournons au salon. Ma femme est assise dans le fauteuil, le visage fermé, elle a reprit ses esprits. Sur la table basse, la cafetière, du sucre et trois tasse.

J’ai une serviette autour des hanches, Jenny est enveloppée dans une autre. Nous nous asseyons sur le canapé, face à mon épouse.

- Valérie, je te présente Jenny. Jenny, voici ma femme.

- Enchantée madame.

Je vois ma femme bouillir, prête à sauter à la gorge de la gamine.
Je bois tranquillement mon café, tout le monde s’observe en chien de faïence. Mon café terminé, je mets fin à la tension.

- Bon, c’est pas tout, mais Jenny doit partir.

Jenny se lève avec un sourire, laisse tomber sa serviette et récupère ses vêtements. Ma femme la regarde s’habiller, tremblante de colère. Quand elle est prête, Jenny vient déposer un baiser sur mes lèvres et part du salon. Arrivée à la porte, elle se retourne vers nous.

- Au revoir Christophe, au revoir Valérie.

Ma femme la suit du regard sans rien dire. La porte d’entrée claque et elle se tourne vers moi.

Sa voix est roque quand elle parle enfin. Elle tremble de rage.

- Bon, tu t’explique avant que je ne fasse mes valises ?

Je lui souris tendrement.

- Que je m’explique sur quoi. Tu viens de me voir baiser avec une autre, et tu me demande de m’expliquer ? C’est marrant non ?

- Arrêtes de jouer au con Christophe. Depuis quand ça dure.

- C’était la première fois. Enfin non, la troisième en fait, trois fois dans l’après-midi.

- C’est du délire. Comment est-ce arrivé ?

- Jenny s’est présentée à notre porte vers midi, elle avait un problème, je l’ai aidé à le résoudre. Et de fils en aiguille, on a baisé comme des dingues.

- Tu la connais depuis quand ? Pourquoi est-ce toi qu’elle est venue voir ?

- Je la connais depuis aujourd’hui, je ne l’avais jamais vu avant. Ecoutes, je t’aime, malgré tout ce que tu dois croire en ce moment, je t’aime toujours autant. Là, tu es énervée, trop pour entendre ce que j’ai à te dire. Alors voilà ce que je te propose. Ce soir, je t’invite au restaurant. Va prendre un bain, détend toi. Ensuite, fais-toi belle, sexy, comme tu sais l’être. J’ai envie de voir la jalousie sur le visage de ceux qui te verront à mon bras. On discutera de tout cela au resto, tu veux bien ?

- Mais, tu…..

- S’il te plait ma chérie. Je te promets que tu sauras tout. Je vais me préparer moi aussi.

Je quitte alors le salon, la laissant encore une fois pantoise.




Elle est belle Valérie, vraiment très belle. Et ce soir, elle est en plus sexy. Dans sa robe fourreau rouge, elle mettrait le feu à un monastère. Elle est très légèrement maquillée, et son regard colérique ne la rend que plus désirable à mes yeux. Elle est jalouse et j’aime ça.

Elle se dirige vers la porte d’entrée. Je la suis, les yeux sur ses courbes qui ondulent devant moi.

Nous montons dans la voiture et partons en direction du restaurant. Nous roulons sans un mot pendant cinq minutes. Quand elle s’adresse enfin à moi, elle est toujours en colère.

- T’as vraiment intérêt à trouver une explication crédible. Et même avec ça, je ne sais pas si je ne vais pas finir la soirée avec un autre.

- Tu vaux mieux que ça ma chérie. Aller te faire baiser par vengeance ne te ressemble pas. Je ne te dirais que la vérité, ensuite tu feras ce qui te semble adapté.

Je pose la main droite sur sa cuisse, main qu’elle repousse immédiatement.

- T’es sérieux là ? Tu crois vraiment que je vais te laisser me toucher après ce qu’il s’est passé.

- Je l’espère en tous cas.

- Et bien tu rêve.

Nous roulons encore quelques minutes sans parler.

- Où est-ce que tu m’amène ?

- Un restaurant très chic. J’y ai réservé cette après-midi un salon privée. Je suis sur que ça va te plaire.

- Tu as pensé à réserver un resto en baisant ta Jenny ? Et en pensant à moi ? T’es vraiment un mufle.

- Mais j’ai beaucoup pensé à toi cette après-midi, vraiment beaucoup.

- Qu’est qu’il t’arrive Christophe ? Je ne te reconnais pas aujourd’hui ?

- Moi non plus figure toi. Mais on est arrivés.

Je me gare un le parking privé du restaurant et nous descendons de la voiture. Nous entrons dans le hall, et je vais me faire connaitre à la réception, où l’on m’indique la direction à suivre. J’entraine donc Valérie vers le salon que j’ai réservé.

Nous traversons le restaurant, longeons un couloir sur quelques mètres, et j’ouvre la première porte à gauche. Je laisse passer Valérie devant moi. Elle fait trois pas et se fige, puis se tourne vers moi.

- Qu’est-ce que ça veut dire ?

Je la contourne et entre à mon tour dans le salon.

- Ha, je vois que nos invités sont déjà arrivés. Viens, je vais te présenter. Tu connais déjà Jenny.




Valérie.

Et ben ! Te voilà bien ma fille.

Autant Christophe a réussis à me surprendre, à me foutre en rogne, à me pousser à presque rentrer dans le lard de cette Jenny, autant là, je suis sur le cul. Presque littéralement d’ailleurs. Parce que là, j’ai du mal à tenir sur mes jambes, et il me faut un énorme effort de volonté pour ne pas partir en courant de ce salon.

Quand je suis entrée chez nous ce soir, je ne m’attendais pas du tout à la suite de cette soirée. Voir une jeune femme jouir dans notre salon, c’est déjà quelque chose. Mais la voir prendre son pied, et quel pied, sur la bite de mon mari, ça a de quoi retourner le cerveau.

Et lui qui m’accueille comme s’ils étaient en train de boire le thé. J’ai eu du mal à réagir malgré la colère qui me tordait les tripes.

Je n’ai réellement repris mes esprits qu’après qu’ils soient partis prendre une douche. Et encore, pas tout de suite, parce qu’en partant, cette petite trainée m’a embrassée, et remerciée. Non, mais quel culot !!

J’ai vraiment pensé à me barrer, sans autre forme de procès. Mais déjà, j’avais besoin d’une explication, et puis, que celui qui n’a jamais péché lui jette la première pierre comme a dit JC.

Je suis même montée voir ce qu’ils faisaient. Et ils prenaient juste une douche, ensembles, mais rien de plus. Je suis redescendue la rage au ventre.

Je les ai regardés boire leur tasse de café en silence, en me retenant de sauter à la gorge de la brune. Quand il a dit que la nana devait partir, j’étais soulagée, l’explication allait pouvoir venir. Et l’autre qui se fout à poil devant moi, qui roule une pelle à mon mari et qui me dit au-revoir !!

Et bien non, il m’a invité au resto ce con. Et le pire, c’est qu’il était d’un calme olympien. J’avoue que ça m’a encore empêché de réagir.

Et puis, il y avait cette petite voix qui me disait qu’il y avait un truc qui n’allait pas. Que tout ça allait me retomber sur le nez. La gamine qui se fout ouvertement de ma gueule, mon mari qui se comporte comme si tout allait pour le mieux. Mais merde, il aurait du rentrer dans un trou de souris, lui qui s’excuse vingt fois quand il casse un verre.

Et les paroles qui ont suivies. Calmes, posées, j’ai fais le dos rond, je voulais savoir.

Dans la voiture, j’ai essayé de reprendre le dessus. J’ai viré sa main de sur ma cuisse, je l’ai rembarré vertement, je l’ai menacé d’aller me faire sauter par le premier venu. Mais quand il m’a dit qu’il avait réservé le resto dans l’après-midi, qu’il avait beaucoup pensé à moi, alors même qu’il baisait la brune, là aussi j’ai tiqué, ça n’avait rien de normal.

Et cette dernière phrase avant de sortir de la voiture, alors que je venais de lui dire que je ne le reconnaissais plus.

- Moi non plus figure toi.

De qui il parlait ? De lui ou de moi ?

Je l’ai donc suivi, et maintenant, j’y suis dans ce salon.



Christophe.

- Ha, je vois que nos invités sont déjà arrivés. Viens, je vais te présenter. Tu connais déjà Jenny.

Le visage de Valérie est blanc, crispé. Elle a compris, je le sais.

Alors que Jenny se dirige vers moi, je revois ce début d’après-midi, quand elle a sonné à notre porte.

J’ai ouvert sur la vision de cette magnifique brune habillée d’une robe blanche boutonnée sur le devant et qui semblait agacée. Elle a d’ailleurs attaqué franco. Elle m’a collé un téléphone portable sous le nez avec une photo de ma femme prise devant chez nous.

- Bonjour. C’est votre femme ?

- Bonjour mademoiselle. Oui, il s’agit bien de ma femme, mais elle n’est pas là, elle ne rentrera que ce soir.

Là, elle m’a pris en photo et elle a tapoté sur son téléphone.

- Je peux entrer ? Il faut que l’on parle tous les deux.

- Je vous en pris.

Elle m’amusait la gamine. Elle était agacée mais n’avait pas l’air dangereuse. Qu’aurait bien pu me faire une si frêle jeune fille ?

Elle est donc entrée et a ouvert son sac pour en sortir une tablette qu’elle m’a tendu après avoir sélectionner un fichier photo. Et quelle photo !!! Son portable a bipé, elle a lu le message.

- Faites défiler, c’est très intéressant. Je dois passer un coup de fil.

Et j’ai fais défiler les photos, j’ai juste entendu le début de sa conversation.

- Anaïs ? T’as vu la photo….

Ensuite j’étais trop concentrer sur les photos que je voyais pour écouter.

Quand elle a raccroché, j’étais estomaqué par ce que je venais de voir. Et là, je ne souriais plus. Même quand elle s’est rapproché de moi en déboutonnant sa robe.

- Ma copine vous trouve plutôt mignon, et moi aussi. Mais elle dit que vous devez être un mauvais coup au pieu. Elle a raison ?

- Hein ? Mais qui êtes vous ?

La robe est tombée à ses pieds et elle m’est apparue en culotte de dentelle blanche. Elle a passé les bras autour de mon cou et a posé ses lèvres sur les mienne.

- Vous êtes vraiment mauvais au lit ?

Là, j’étais piqué au vif, atteint dans mon égo de mâle. Non seulement par ses parole, comment pouvait-elle demander si j’étais un bon coup cette minette tout juste sortie de l’adolescence ? Mais aussi par les photos que je venais de voir.

Et excité aussi, par ce corps chaud et ferme que je sentais se presser contre moi. Marié oui, mais je reste un homme.

Piqué au vif dans mon égo, excité, mais voulant aussi comprendre.

- Tu m’expliques avant que je ne te montre si je suis un bon coup ?

La main sur ma braguette, puis dedans, elle m’a expliqué.

- T’as vu le blond qui roule une pelle à ta femme devant la porte ? Celui qui la prend contre le mur, en levrette sur la table du salon, qu’elle chevauche sur votre canapé ? Il s’appelle Thomas, c’est mon mec.

Pantalon et boxer sur les chevilles, sa main qui me branlait lentement mais surement, elle a continué.

- J’avais des doutes depuis quelques temps sur sa fidélité, alors je l’ai suivi la semaine dernière. Et j’ai pris des photos derrière votre baie vitrée.

Ma main sur son minou a pu constater qu’elle était plus que prête.

- Je suis venue faire un scandale à ta femme. Mais finalement je vais me payer sur la bête et égaliser les scores.

Egaliser les scores ? Et bien soit, on a commencé à égalisé. D’abord contre le mur de l’entrée, ses jambes autour de mes fesses, puis en levrette sur la table du salon. C’est là que je me suis lâché une première fois, elle avait pour sa part prit son pied deux fois.

On est allé boire un coup, et elle a de nouveau appelé sa copine.

- Anaïs ? Tu avais tort, c’est un très bon coup.

C’est pendant cet appel que j’ai réfléchi à la réplique que je devais donner à ma femme et que j’ai réservé le resto. Je lui ai expliqué mon idée, elle a adhéré de suite et a rappelé sa copine pour la mettre dans le coup. D’ailleurs, il me restait une question à poser.

Mais avant, on a détaillé ensemble les photos.

Je n’avais jamais vu Valérie sous cet angle là, et pour cause, d’habitude, j’étais à la place du baiseur. Il y avait même une petite vidéo, digne des meilleurs pornos, ne manquait que le son.

C’est cette vidéo qui m’a rappelé la question que je devais poser.

- Au fait, c’est qui le brun ?

- Ha oui, le brun. C’est Lucas, le mec de ma copine Anaïs.

- Ha, tu as bien fais de l’inviter.

- Ben oui, elle veut sa part elle aussi. Mais on n’en a pas fini tous les deux. Je voulais te montrer un truc.

Elle a repris la tablette, sélectionner une photo, agrandi.

- T’as pas l’impression qu’il la sodomise là ?

- Oui, peut-être, c’est pas bien visible quand-même. Mais de toute façon, comme ils la prennent à deux sur les suivantes, il n’y a pas de doute, elle s’est faite enculée, et par les deux. Merde, elle n’a jamais voulu avec moi.

- Moi non plus je n’ai jamais voulu avec Thomas, je suis encore vierge de ce côté-là.

On s’est souri, et puis on a remis ça.

Il me fallait encore marquer des points pour égaliser avec Valérie. Alors, Jenny m’a sucé pendant que je dégustais son bel abricot. Puis je l’ai prise sur la table de la cuisine, avant de lui prendre son dernier pucelage à quatre pattes sur le canapé. Elle a découvert qu’elle aimait ça, moi aussi.

Deux fois en trois heures, on s’est endormi l’un contre l’autre.



Et donc, nous voilà tous dans ce salon privé, dans un restaurant sélect.

Ma femme figée et pâle qui regarde Jenny se coller contre moi. Qui voit la petite Anaïs, une délicieuse brunette, me rouler une gamelle en mettant la main sur ma queue.

- La jeune demoiselle si affectueuse, c’est Anaïs. Et puis il y a aussi Thomas et Lucas.

Ils sont livides eux aussi, comme ma Valérie.

Et Ils manquent de s’effondrer quand Anaïs s’adresse à moi.

- Moi aussi je suis vierge du cul, il va te falloir remédier à ça.

Et puis, il a fallut s’expliquer, tous. Ca a prit un peu de temps, on l’a fait sans éclats de voix, en dégustant un excellent repas.

Ensuite ?

Ben A VOUS DE VOIR.

Mais sachez quand même je j’aime toujours autant ma femme. J’adore la déguster, de toutes les manières possible. Même en sandwich.



FIN.

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