La Découverte De La Sexualité: Mon Frère Se Masturbe Alors Que Je Suis Cachée

Je me suis présentée vous dans un premier texte. Pour ma seconde publication je voulais vous raconter la façon dont j’ai découvert la sexualité, l’été de mes treize ans. Je m’en rappelle comme si c’était hier. Rien n’était prévu ou prémédité, cela n’est tombé dessus par hasard.

Nous vivions dans un domaine viticole dans la région de Perpignan. Ma famille avait rénové une partie d’un ancien corps de ferme pour que nous nous y installions. Je vivais avec mes parents, ma petite sœur et mon grand frère. Nous avons presque quatre ans d’écart entre chaque .

Sous les combles, nous avions une grande salle de jeux avec canapé, télévision, jeux de société, baby-foot, maison de poupées, livres… Mon père avait installé des étagères sous la partie basse des pentes et ma mère avait cousu des rideaux. C’est là que nous rangions les affaires pour que la pièce reste un peu présentable. Ces sous-pentes aménagées étaient aussi un endroit idéal pour les parties de cache-cache avec nos amis.

Le matin de ce fameux jour, nous avions été faire les courses avec ma mère et ma sœur. Pour nous faire plaisir, ma mère nous donnait le droit d’acheter un seul produit à chacun, qui n’était pas dans la liste des courses. J’avais choisi ce jour-là choisi une glace au citron avec des morceaux de citron confits. J’étais la seule de la famille à aimer cela avec mon père. C’était un peu notre moment de complicité à nous deux. Je savais que mon choix lui ferait plaisir.

Après le repas, mes parents faisaient la sieste, tandis que nous vaquions à nos occupations d’s. L’envie de goûter à cette glace ne m’avait pas quittée depuis le matin. Alors que la maison était sans bruit, je me faufilai vers le congélateur pour subtiliser à l’indienne l’objet de ma convoitise. Il me sembla que l’ouverture du volet du congélateur fit un bruit d’aspiration sourd et que des craquements de glace résonnaient dans toute la pièce. Je pris le bac au citron pas facilement dissimulable et passai dans la cuisine récupérer sans bruit une cuillère dans un tiroir.


Mon frère et ma sœur étant dans le coin nuit, je filai donc en haut, dans la salle de jeux, ouvrir à grand bruit le couvercle du bac de glace tant convoité. Le parfum citron était encore meilleur que dans mes rêves. Je laissais fondre la glace dans ma bouche pour garder les morceaux de confit de citron qui piquaient sur ma langue. Un vrai régal. J’avais à peine terminé la première cuillère que j’entendis des pas dans l’escalier.

Ni une ni deux, je me cachai, coupable, avec mon bac de glace, derrière le rideau de la sous-pente, au niveau de la télévision, là où il n’y avait pas d’étagère. J’avalai une seconde cuillère de glace avant que mon frère n’arrive avec son ordinateur pour s’affaler sur le canapé. Je pouvais le voir au niveau de l’ouverture de la tringle à rideaux. Comme j’étais à contre-jour, il ne pouvait probablement pas me voir. Surtout, il me pensait dans ma chambre.
Il commença à insérer un DVD dans le lecteur de son ordinateur et je commençais à craindre pour ma glace qui allait fondre. J’étais un peu prise au piège. Ou je sortais de ma cachette et me faisais prendre pour recel de glace au citron, ou j’attendais qu’il ne parte après son film, mais tout serait fondu. L’enquête matriarcale aboutira ment à ma mise en inculpation directe.

J’étais en plein dilemme existentiel, moi qui ne sais jamais quoi choisir, quand mon frère mit fin à mes hésitations. Il venait de baisser son jogging et tenait en main son sexe tout bandé. J’étais à deux mètres de sa nudité. Visiblement son DVD n’était pas un film comme les autres. Je comprenais mieux pourquoi il utilisait son ordinateur et pas la télévision.

Il avait mis le son de son ordinateur très bas, mais je pouvais déjà entendre des bruits d’ébats amoureux. Je n’avais que treize ans et mes débordements émotionnels se limitaient à la glace aux citrons confits. Je n’avais jamais vu un sexe bandé ni entendu de bruitage de films pornographiques. Et je dois avouer que l’effet sur moi fut immédiat.
Je ne sais comment décrire cela, mais c’est un peu comme si le sol s’était ouvert sous mes pieds, en chute libre dans un précipice.
J’adorais mon grand frère. Il était aussi grand et beau que mon père, alors que ma mère, ma sœur et moi, étions toutes trois menues, petites et fines. Et voir ce grand frère adoré, jogging et caleçon descendus à ses genoux, en train de bander est une image qui restera à jamais gravée dans mon esprit. Allongé sur le canapé, il commença à se masturber.

Imaginez l’impact sur une gamine de treize ans. Avec du recul, je crois que c’est ce jour-là que je basculai dans l’adolescence. Certes, on commençait à regarder les garçons différemment avec mes copines, à imaginer les embrasser, à vivre nos premiers émois. Mais moi, je venais en deux secondes de griller toutes les étapes. Je passais des émotions provoquées par les croche-pieds que me faisait mon copain préféré, à mon frère avec son sexe bandé dans sa main.
Et quel sexe ! Il me fit peur de par sa taille énorme. Je n’avais pas imaginé un sexe d’homme aussi long, aussi épais, aussi fort, aussi tendu. Mais comment un sexe aussi démesuré pourrait un jour entrer en moi ? Mon frère avait une main assez grande et elle paraissait petite en comparaison de son sexe.
La bande-son résonnait dans ma tête. Même si le volume était au minimum, j’entendais des bribes de conversations, des halètements, puis des cris. Il me semblait que je n’entendais que des sons de femmes.

J’étais paralysée devant cette scène qui se déroulait sous mes yeux. J’étais tétanisée. Je sentis mes jambes trembler. J’étais prise au piège, ne pouvant pas m’enfuir. Que se passerait-il si mon frère devinait ma présence ? J’essayai de fermer les yeux et de détourner mon regard, mais ma lutte ne fut que mentale. Tout mon corps voulait regarder ce que faisait ce jeune homme à ce moment-là. J’oubliais à quel point il en était mon grand frère.
J’enregistrais ces images comme au ralenti. Il se caressa de plus en plus vite, par de longs gestes rapides.
Il pinçait sa verge de deux doigts. Elle me paraissait si longue. Son corps se tendit, sa respiration se figea. Il éjacula yeux fermés, abdos serrés. Trois jets de sperme partirent sur le côté. Ayant repris ses esprits, il remonta son jogging et son boxer et regarda si la porte était toujours fermée.
Il utilisa le mouchoir en papier qu’il avait posé sur la table à côté de son ordinateur pour nettoyer sommairement les dégâts. Une odeur délicieuse vint jusqu’à moi. Cela sentait le chaud. Son sperme devait être collant, car le mouchoir resta scotché sur un doigt. Ce détail-là m’interloqua.

Il sortit le DVD de son ordinateur. Il était doré et il y avait deux lettres « DD » écrites au gros feutre noir indélébile. Mon grand frère partit de la pièce aussi vite qu’il était arrivé, probablement par peur d’être surpris en plein acte. La glace n’avait pas encore fondu. Une fois qu’il fut parti, je refermai le couvercle. Je laissai passer quelques minutes avant de sortir de ma tanière et courir au congélateur y déposer l’objet de mon délit. Mais avant, je récupérai le mouchoir dans la poubelle et le mis dans ma poche.
C’est troublé que je rejoint ma chambre. L’image de ce sexe bandé et de cette éjaculation sous mes yeux revenaient dans mon esprit. L’odeur de ce petit mouchoir et la force des émotions que j’avais vécues déclenchèrent chez moi mon premier petit plaisir solitaire. Le premier des nombreux que je m’offris de plus en plus souvent.

Mon grand frère était apprenti boulanger et travaillait au village. Il partait vers quatre heures du matin et mon père se réveillait vers six heures, ma mère à huit. Alors, aussitôt qu’il fut parti, je partis à la recherche de ce DVD doré aux initiales « DD ». Maline et motivée comme j’étais, je ne mis que quelques minutes à le trouver.

J’avais le même ordinateur que mon frère, notre cadeau du Noël dernier. Je glissai l’ordinateur sous ma couette et coupai le son entièrement. C’est avec une grande fébrilité que j’introduisis le disque dans le lecteur.
À ma grande surprise, il contenait de courts scénarios lesbiens, visiblement téléchargés d’un site amateur. C’est ainsi, je crois, que ma destinée sexuelle s’écrivit…

Jamais plus, je n’osai me cacher dans les sous-pentes de la salle de jeux. Mais nombreuses furent mes empreintes digitales déposées sur ce CD de mon grand frère.

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