Et Ma Femme L'A Trouvée...
Et deux soirs plus tard, à son retour du boulot, je lus par son rayonnement que ma femme avait conclu, et jétais impatient quelle se confesse.
Devant une coupe de champagne, confortablement assise sur le divan, lumière tamisée, elle se lança :
- Comme tu las voulu je lai fait. Ce matin jalors que jétendais le linge, il se trouvait dans son jardin en train de bouquiner. je sentais quil allait se passer quelque chose entre nous. Je pense que ma façon très spéciale dêtre habiller mhabiller na fait quaccroître son désir et donc franchir le pas.
« Pour prendre le linge dans la corbeille je me baissais, debout courbée en avant, exhibant intentionnellement ma chatte à travers une petite culotte transparente blanche, spécialement achetée pour loccasion, sous ma jupe courte. Javais un peu honte, je ne savais pourquoi, dimaginer quen ce moment son sexe se dressait dans son slip. Je prenais toutefois un plaisir pervers à troubler plus encore mon jeune voisin. Il devait en prendre plein les yeux ».
« Cest alors que sans crier gare, je lai vue enjamber le grillage et me prendre fermement dans ses bras, avec cette audace folle que manifestent parfois les timides, mentraînant sur la table. Amusée, je me laissai guider. Javais semé le vent, je récoltais la tempête ».
« Dune voix rauque, il avoua quil me désirait depuis longtemps. Quil pensait souvent à moi, le soir, avant de sendormir. Quil avait envie de moi depuis le premier jour, me confia-t-il. Quil nen pouvait plus de me voir, surtout avec mes tenues sexy. Mon émotion était telle que je me rendis compte que je mouillais ma culotte ».
« Le reste se passa si vite que je ne trouvai pas les mots pour réagir. Jétais coincée en compagnie du jeune homme qui commençait à me peloter avec maladresse. Mon trouble augmentait de minute en minute. Je pris même peur, comme une gamine au cours de son premier flirt. Il haletait en me regardant.
« Il sacharna contre ma dentelle. Javais le souffle coupé. Je gigotais mollement, la folie du garçon annihilait ma volonté, alanguissant mes gestes. Il devait sentir que je cédais à sa démence. Si tant est que je lui résiste. La cambrure de mes reins et le relâchement de mes fesses étaient autant de signes qui lui donnaient de laudace. Il écarta lempiècement trempé de ma culotte. Je me sentais désarmée et ne pouvais nier le désir qui montait en moi. Sa langue froissa la gousse de chair molle qui saillait au milieu des poils. Je lentendais renifler bruyamment, flairant mes odeurs intimes. Dans un accès de pudeur, je passai ma main sur le haut de son crâne et tentai de le repousser, sans insister. Crois-moi mon chéri ! Tant jaimais ce qui se déroulait dans notre jardin ».
« Alors jai ouvert largement mes cuisses, libérant une coulée de mouille. Des sanglots nerveux secouaient ma poitrine. Je marc-boutais aux montants de la table pour ne pas basculer. Je ne fis rien quand il me retira ma culotte, la faisant glisser le long de mes jambes. Étourdie, je le vis porter ma lingerie sous ses narines, et tu sais ce qui ma dit :
- Je devine !
- Vous sentez bon de la chatte ! Oui comme ça ! Puis il plaqua son visage contre ma fourche. Jentendais mes soupirs. Je me déhanchais, frottais mon con contre ses lèvres. Dans mon vagin qui ruisselait, la langue sactivait.
« Je pris alors linitiative de le faire sasseoir sur la chaise. Je magenouillai à ses pieds, mes genoux dans lherbe. Avec des gestes dinfirmière, jabaissai son pantalon. Mes mains chaudes remontèrent entre les cuisses du garçon et lui emprisonnèrent les couilles. Je gobai instantanément son sexe. Mes lèvres glissaient sur sa verge qui sentait très fort. Je laspirais, salivais, mescrimais pour lui faire du bien. La bouche grande ouverte, comme sil étouffait, les yeux fixés au plafond, le jeune homme dégustait ma caresse buccale. Je pompais en creusant mes joues déformées par lépais gland, en faisant rouler les testicules lourds entre mes doigts ».
« Tu ne peux pas savoir comment jai été envahie dun immense bonheur en entendant le garçon japper comme un chiot au moment où le sperme émergea de sa verge. Il avait fallu que je mette ma langue en opposition, pour parer la violence de son éjaculation. Le jeune, insatiable, me donna de violents coups de reins, enfonçant sa bite au fond de ma bouche. Je crus m. Mon rouge à lèvres se perdait sur la hampe toujours généreuse malgré sa jouissance. Nétant plus apte à contrôler sa débordante excitation, il me redressa avec force et massit sur le plateau de la table pour la seconde. Jen perdis mes escarpins. Il bandait encore ferme, incroyable ! Et cela malgré sa précédente éjaculation. Il magrippa par les pieds pour mattirer contre lui. Ma vulve buta contre le gland qui me tamponna. Sa verge senfila carrément dans mon vagin, marrachant un cri de douleur. Le gland épais me distendait ».
« Le corps secoué dun long tressaillement, il sétait immobilisé. Seuls ses doigts sagitaient au creux du sillon velu de mes fesses quil maintenait écartelées. Il lissa les fronces de mon anus. Haletante, je fermai les yeux. Mon bassin en suspens, je tremblai de la tête aux pieds. Au bout dun moment, je soulevai les paupières et lui fis signe que tout allait bien.
« Montre-moi tes nichons, salope ! me lança-t-il. Et moi comme une conne je me suis exécuté, retirant mon chemisier, et mes seins jaillirent, les bouts dressés. Alors quil me pilonnait la chatte il exigeait de moi que je masse mes seins. Alors De ma main droite, je malaxais un sein tandis que de lautre je pressais mon clitoris. Je voulais quil crache sa sauce chaude dans ma chatte. Une preuve pour moi de te prouver mon coït avec le gamin. Sa queue infatigable me fouillait la vulve. Une épaisse bave engluait lentrée de mon vagin. Je nen pouvais plus, je me suis mise moi aussi à délirer. Lui envoyant des « Baise-moi
Oui, je ten prie
baise-moi ! ». Tout mon bas-ventre se mit à bouger au rythme de la queue qui me fourrageait. « Salope !Je me doutais bien que tu aimais ça » Ma dit-il lancer. Tu te rends compte ! Quel culot ! Freluquet ! Cétait bien pour te faire plaisir.
- Et toi dans tout ça ?
- Je lui ai-dis que jaimais ce quil me faisait. À demi inconsciente, tant ce quil me faisait me mettait dans tous mes états.
Javais perdu toute dignité. Il était en sueur et ahanait. Alors que je ne lattendais plus, je sentis une crème brûlante fouetter les parois de mes entrailles. Il déchargeait en poussant des cris sourds. Je me laissai aller à gémir pendant son orgasme.
- Voilà, mon chéri : à présent tu sais tout.
Elle se saisit de la bouteille de champagne et sen versa une nouvelle coupe.
- Bravo, ma belle ! Comme tu peux le constater, ton aventure ma mis dans un sacré état
Mon érection faisait une putain de bosse à mon pantalon, à men faire mal. Je me suis agenouillé au pied du divan, là même où était confortablement assise ma femme, la coupe de champagne à ses lèvres. Comme elle portait une jupe, je nai eu grand-chose à faire pour voir apparaître sa culotte transparente. Jai cru défaillir rien quen soulevant le tissu de la robe
Elle était plaquée à son mont de Vénus, dessinant avec une précision implacable le renflement du bas-ventre ainsi que le creux au milieu de celui-ci.
Javais moi aussi une fascination absolue pour son sous-vêtement. Jai enfoui ma tête sous sa robe. Le tissu de la lingerie était saturé de ses odeurs. Je compris à cet instant pourquoi le voisin avait disjoncté.
Je nai pu résister à lenvie de la lui retirer, la faisant descendre le long de ses jambes jusquà ses escarpins noirs. Je lai portée à mes narines sous les yeux moqueurs de ma femme. Je navais jamais encore senti quelque chose daussi fort. Elle se pencha pour poser sa coupe sur la table basse, son regard sur moi, sondant ma réaction. Dun geste sensuel, elle retroussa sa robe au-dessus de sa taille, exhibant son con.
Lâchant la culotte, je rampai jusquà elle. La vulve parut sépanouir, prendre vie. Le clitoris se déplia doucement. Je contemplai longtemps sans la toucher, puis me penchai et louvris complètement, fouillant dans les replis jusquà trouver lentrée collée du vagin. Je ne pouvais pas croire que ce même jour un sexe dhomme sétait enfoncé là, avait dégorgé son foutre épais. Jessayais dimaginer les chairs qui sétaient écartées sous lintrusion du pénis du jeune voisin. Mais cétait impossible. Jaurais voulu des marques, mais il ny en avait pas.
- Cochon ! Tu dois être content ? me lança-t-elle ; tu as eu ce que tu désirais
Elle reprit sa coupe de champagne.
Sans répondre, je posai mes mains sur lintérieur de ses cuisses, les écartant au maximum. Des lèvres et de ma langue, je fouillai son fruit juteux, tel un explorateur du plaisir à la recherche des pétales nacrés et pas moins parfumés. Je lapai le mélange de sécrétions et sperme qui sécoulait. Un épais ruban de ce cocktail pendait sous mon menton.
Je glissai mes deux mains sous ses fesses pour mieux attirer vers ma bouche le plat de roi que jétais en train de déguster. Bientôt, le manège conjugué de ma langue et de mes lèvres eut raison. Elle se tortillait sur mon visage. Des sursauts secouèrent son bassin et elle jouit. Lorgasme lui arracha des cris étranglés. Une tempête de plaisir lenvahit, lemportant, avant de la laisser retomber.
Ma verge était plaquée contre mon ventre, toute chaude et surtout très lourde. Je la dégageai, la fis glisser hors de ma braguette. Je navais pas lintention de la baiser tout de suite ; je désirais me branler dabord en la tripotant.
Je baignais dans ses odeurs. Jentendais sa respiration saccadée au-dessus de moi. Elle cuvait son orgasme. Son souffle chaud me tombait sur la nuque. Mallongeant à moitié, je me mis à me branler à même le sol. À lents coups de cul. En même temps, jenfonçais les doigts de ma main droite à lintérieur de son con. Jy collai trois doigts à la fois. Comme elle sécartait de plus en plus, jy allai carrément : tous les doigts plus le pouce. Je les enfonçais de plus en plus loin. Jappuyai bien au fond tout en la branlant du gras du pouce avec lautre main, en faisant tourner son bout de chair, en le retroussant.
Mon visage se trouvait à vingt centimètres de son cul. Je nen perdais pas une miette. Jétais tout près déjaculer. Ma bite me brûlait, me faisait presque mal tant je bandais. Je voyais son ventre qui se creusait. Elle ahanait tout en avançant son cul en rythme pour bien venir à la rencontre de ma main qui sengouffrait aux trois quarts à lintérieur de son con.
- Vas-y ! Vas-y ! souffla-t-elle soudain. Vas-y à fond, mets tous tes doigts !
Elle agita son bassin, voulant manger ma main qui était presque entière dans son con. Je raclais lintérieur du con avec le bout des doigts.
- Ooooh ! Ooouuuii !
Je ne pus résister et giclai sur le sol, souillant le carrelage. Hébété, je continuais mécaniquement à la pilonner, la main fermée dans sa vulve luisante. Alors elle se raidit, trembla ; de sa gorge monta un cri plaintif, un gémissement animal, qui alla crescendo. Des soubresauts irrépressibles collaient son bassin à ma main. Elle nen finissait pas de jouir. Puis elle retomba, exténuée.
Elle lavait bien mérité !
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