Maurice.
Maurice Adoumba mesurait 1m86. c'était un grand Malien distingué de 40 ans à la musculature puissante et au baratin bien rodé. Dragueur invétéré, il aimait se balader dans les quartiers animés de la capitale pour séduire les femmes désoeuvrées avec une prédilection certaine pour les bourgeoises blanches aux formes opulentes. Maurice avait un don pour repérer du premier coup d'oeil ces belles femmes prêtes à tomber dans les mailles de son filet. En chasseur affûté, il devinait après un examen plus approfondi, celle qui se laisserait séduire, et il l'abordait peu après certain d'en faire sa maîtresse avant la fin de la journée.
Maurice était un véritable Alpha, sûr de lui, un amant exceptionnel à l'endurance extraordinaire. Doté d'attributs virils Hors normes, Ce Priape d'ebene était capable d'honorer n'importe quelle femelle des heures entières sa hampe orgueilleuse invariablement dressée vers le ciel bien qu'il ne se prive jamais de libérer à de nombreuses reprises son abondante semence dans les orifices écartelés de ses maîtresses. Maurice ne comptait plus les bourgeoises sexuellement dépendantes prêtes à tout pour passer un moment avec lui. Ainsi la belle Violette Rozay du Sairan qui devait se rendre régulièrement dans un foyer d'immigrés africains et y rester jusqu'au petit matin pour servir de vide couilles à une douzaine d' ouvriers sevrés de sexe pendant des semaines.
Cet après-midi là, Maurice se promenait sur les grands boulevards non loin de l'opéra lorsqu'il remarqua sa proie: une magnifique femelle brune aux formes généreuses et dont l'air hautain bien loin de rebuter le séducteur le conforta dans son choix. La femme qui devait approcher de la quarantaine portait avantageusement une jupe noire au dessus d'un genou bien rond, un chemisier crème tendu par des seins fermes et opulents, des bas de soie marron et des escarpins en serpent. Elle flanait en faisant du lèche vitrine et tandis qu'elle examinait les pièces exposées dans une boutique de lingerie, Maurice l'aborda avec son aplomb naturel.
Maurice tenait Françoise par la taille et l'odeur virile du mâle éveillait les sens de la belle. Tout en devisant avec nonchalance le noir conduisait sa nouvelle conquête vers son appartement situé dans un immeuble de la rue Blanche.
Lorsqu 'ils furent dans le hall d'entrée Maurice plaqua Françoise contre lui et remonta sa main sous la robe de la femme pour masser son sexe nu et humide. Soumise, Françoise offrit ses lèvres à l'homme qui l'embrassa fougueusement.Il la prit alors par la main et la fit entrer dans l'ascenseur qui s'ouvrait sur un vieux type qui lorgna vers Françoise avec concupiscence avant de sortir. Dans la cabine Maurice fit jaillir les 2 seins de Françoise qu'il malaxa avec dextérité. Bien vite le couple se retrouva dans l'appartement cossu où Françoise fut jetée sur le canapé sans ménagement. Défiant la brune du regard Maurice se dégraffa alors libérant son énorme dard qui bien qu'encore mou dépassait déjà en épaisseur et en taille celui de jêrome, le mari de Françoise, au mieux de sa forme. Françoise était fascinée par le somptueux braquemard et vint s'en saisir afin de le porter dans sa bouche. Elle tenait la hampe à pleines mains et bien vite son gland fut si gros qu'il devint douloureux de le garder entre ses lèvres. Tout en maintenant la tête de Françoise Maurice avait retiré sa veste et sa chemise et il ne tarda pas à être nu. Son torse musclé et très large impressionnait la belle brune qui n'était plus vêtue que de ses bas son pj et ses escarpins. L'Africain la prit dans ses bras, l'emmena dans sa chambre et l'étendit sur son large lit avant de se coucher sur elle. Aprés s'être assuré en introduisant plusieurs doigts dans la chatte trempée de Françoise qu'elle pourrait accueillir son énorme queue sans trop de difficulté, il pénétra enfin la femme qui ruisselait d'impatience. La sensation procurée par la mentule d'ébene était si délicieuse que Françoise crut défaillir de plaisir. Jamais elle n'aurait pensé recevoir un tenon pareil dans sa chatte complètement écartelée. "Alors ma belle, tu sens comme la grosse queue du nègre te remplit bien déclara fièrement Maurice conscient de l'effet produit par sa bite phénoménale. "J'adore défoncer les chattes accueillantes des bourgeoises comme toi, bonnes à se faire défoncer par des étalons black" Françoise gémit avant d'enrouler ses jambes autour de la taille de son amant." Continue, c'est trop bon! transperce moi" Suppliait elle alors que Maurice labourait sauvagement son antre intime s'enfonçant plus profondément à chaque coup de boutoir. Rapidement Françoise sentit le plaisir la submerger et elle se tendit sous la violence de la jouissance lorsqu'un jet chaud et violent inonda longuement son ventre. Les 2 amants s'immobiliserent alors momentanément tandis que Françoise essayait de reprendre ses esprits tant bien que mal. Maurice se releva le premier extirpant son dard toujours aussi raide de la grotte béante. Françoise admirait l'étalon infatigable qui venait de lui procurer un orgasme inoui. Mais Maurice était loin d'être rassasié: il saisit Françoise sous les fesses et la retourna avec une grande facilité .Puis il s'agenouilla alors sur le lit après avoir enfourché la femme dont il souleva la croupe. Elle comprit ce qui l'attendait lorque le gland monstrueux cogna la raie de ses fesses. En hurlant de terreur elle tenta de se libérer mais Maurice était trop fort et il la maintenait trop solidement.De rage et d'impuissance elle se mit à pleurer bruyamment tandis que Maurice Forçait doucement mais réellement son fondement qu'il avait préalablement huilé du mélange blanchâtre qui s'ecoulait de la chatte béante de sa maîtresse. Sous la violence de la douleur Françoise crut s'evanouir. À l'écoute des sensations de sa maîtresse, Maurice cessa alors de remuer laissant les sphincters de la jeune femme se décrisper. Puis doucement la colonne de chair reprit sa lente progression dans les intestins de Françoise. Alors que la douleur s'estompait peu à peu elle se mit à gémir appréciant le massage expert de sa chatte par l'étalon noir. Des ondes bienfaisantes se mirent à parcourir le corps de Françoise. Bientôt elle se mit à râler de bonheur tandis que Maurice accélérait son va et vient dans son fondement en étalon dominateur soucieux d'offrir à sa maîtresse la jouissance qui allait contribuer à la rendre soumise et reconnaissante. Le mâle attendit patiemment que le plaisir submerge la magnifique femelle avant de décharger une copieuse dose de foutre dans son fion. Lorsqu'il se retira, sa sève se mit à s'écouler par l'orifice béant de Françoise. Maurice la posséda ensuite à plusieurs reprises la faisant jouir plus intensément à chacun de ses assauts épargnant néanmoins son fondement dévasté par l'enculade précédente. Il était plus de 19 heures lorsque Françoise quitta l'appartement de son amant. Affolée par l'heure tardive, elle héla rapidement un taxi pour rentrer chez elle. Il était plus de 20 heures lorsqu'elle pénétra dans la coquette villa qu'elle habitait avec Jérôme son mari. Celui-ci était déjà rentré et Françoise tenta de gagner leur chambre avant d'aller le saluer. Mais Jérôme qui l'avait entendue se leva et l'apostropha alors qu'elle se trouvait en haut de l'escalier. "Tu rentres tard " S'étonna t-il. Françoise bredouilla "Oh oui il y a eu un incident dans le RER et j'ai du prendre un taxi pour rejoindre la gare. Mais ne t'en fais pas je me change et j'arrive." Il sembla à Jérôme que la tenue de sa femme était quelque peu provocante et cela l'intrigua mais il ne fit aucune remarque. Françoise respirait un peu et se demanda si son mari avait remarqué son acoutrement. Elle remit un slip et un sg et passa un jean et un gros pull de laine avant de descendre préparer le diner. Lorsqu'ils furent à table, Jérôme l'interrogea sur son aprés-midi. Françoise lui expliqua qu'elle était aller faire du shopping dans les grands magasins et qu'elle n'avait pas vu l'heure passer.Le repas se termina enfin et Jérôme passa au salon pour lire son journal.
Aprés avoir débarassé et rempli le lave-vaisselle, Françoise se rendit dans la salle de bains pour se laver enfin des excès de l'aprés-midi. Son corps encore rouge des marques témoignait de la poigne et de la force de Maurice tout comme ses orifices distendus par le diamètre incroyable du membre de l'Africain. Malgré cela la brune splendide ne pouvait s'empêcher d' admirer son corps sublime et pour la première fois depuis longtemps, elle se sentit comblée et sa soif de plaisir assouvie. Aprés avoir pris sa douche, elle se glissa dans une longue chemise de nuit et alla se coucher. Elle n'entendit pas Jérôme la rejoindre quelque temps plus tard. Celui-ci mit un moment à s'endormir tant il était intrigué par le comportement étrange de sa femme. Il se promit alors de tirer tout ça au clair.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!