Beau Papa. Lucie Se Venge De Sa Belle-Soeur: 16
Beau-papa
Chapitre 16
Je me venge de ma belle-sur. 3
- Cest moi qui commande ! Comme tes vraiment une grosse cochonne, je vais te faire couiner comme une truie ! Tu es béante mais je rencontre un peu de résistance!
Elle essaie dêtre la plus réceptive possible. Claude agrippe les jambes de Brigitte et les posent sur ses épaules, soffrant une voie royale dans la chatte luisante de cyprine. Il soulève le bassin de Brigitte pour mieux faciliter lenvahissement et pousse toujours. Brigitte est comblée, remplie au-delà du possible mais pourtant sa main, toujours agrippée au pénis, elle constate quune grande partie du membre nest pas entrée.
- Baise-moi ! Oui, baise-moi comme une salope !!!
Suite :
Cest sorti tout seul, la sueur commence à couler sur son visage, ses seins tandis que Claude pilonne sa chatte. Je lencourage :
- Tu vois
je le savais que tu apprécierais un partenaire TTBM, endurant et plein de savoir faire. Mais tu nas encore rien vu. Ferme les yeux, apprécie la pénétration profonde du sexe qui te remplit, qui circule librement dans ta chatte serrée.
Il est le maître du coït et jadmire les allers-retours de son pénis dans la vulve de Brigitte, laissant courir mon imagination quand il me demande douvrir la bouche. Maintenant, il passe de lune à lautre. Jai en face de moi ce mandrin fabuleux dont je réussis à memparer. Jagrippe sa verge, baissant avec difficulté lorgueilleuse trique pour en goûter le museau mafflu entre mes lèvres pressées de sentir cette colonne de chair glisser à l'intérieur de ma bouche.
Comme dans un rêve, je lentends me demander :
-Serre le doucement avec tes lèvres pendant que tu fais des va et vient avec ta main, caresse le prépuce du bout de ta langue.
Je branle doucement ce sexe dur qui palpite dans ma main. Instinctivement, japproche mon visage de cet obélisque qui me fascine dont le gland est à quelques centimètres de mes lèvres.
Le bruit de succion lexcite encore plus que je me demande sil ne bande pas plus fort encore.
Il pousse un gémissement de plaisir, rejetant la tête en arrière, et pose ses mains sur ma tête. Claude donne de petits coups de reins, me baisant la bouche sans que je ne puisse rien ny faire. Le plus énorme, le plus gros, le plus long sexe que je connaisse va et vient dans ma bouche déformant mes joues, écrasant ma glotte. Mes mains crispées sur le reste de la hampe essaient den contrôler lintroduction et butent sur ses couilles. La tentation est si forte que je les saisis dans ma main droite, les faisant rouler lune contre lautre dans leur sac fripé. La chose lui plait et je me demande si son gland ne grossit pas encore. Claude, conscient du risque que je le fasse jouir, arrache sa poutre de ma bouche et replonge dans la chatte esseulée de Brigitte sans aucun ménagement et se fige, le temps de laisser la pression redescendre un peu.
Une fois calmé, Claude reprend le limage, changeant régulièrement de rythme, bousculant le Plug toujours plongé dans son petit trou. Brigitte a un moment dinquiétude. Elle doit se dire que ça ne passerait jamais
- Mets-toi à quatre pattes. Lui ordonne til, je vais te faire hurler comme la truie que tu es !
Brigitte ne proteste même plus, elle se positionne, les mains et la tête posées sur le dossier du divan, présentant son arrière-train à son tourmenteur. Il retire dun coup sec le Plug qui laisse entrouvert la porte de service.
- Mmmhhh ! Beau petit cul, tentant...
Brigitte tressaille. Sa supplique résonne dans la pièce quand elle sent lénorme queue appuyer sur son sphincter heureusement déjà préparé au pire.
-Noooonnn, pas par là !!!
- Tais-toi, ma petite cochonne ! Que tu le veuilles ou non, je vais te prendre par le cul !
- Non, pas par là, tes trop gros !!! Reprend-t-elle, avant de pousser un cri de truie quon égorge.
- Haaannnn !!!
Claude vient de léperonner avec son gourdin dun formidable coup de reins, pénétrant sans délicatesse le cul offert, il est tellement embouqué que ses couilles tapent sur la fente de Brigitte.
- Ta gueule salope ! Je suis sûr que tu mourrais denvie te faire enculer par une si grosse queue! -
Sous la douleur, Brigitte sest presque évanouie. Elle est dans un tel état que ses neurones ont disjonctées, elle râle, pousse des feulements rauques telle une lionne prise par le roi des animaux. Une chaleur intense se propage dans ses entrailles submergeant ses zones érogènes dadrénaline. Son corps est secoué par de longs spasmes de jouissance, ses cris résonnent encore une fois quand Claude se retire et, plaquant les mains sur ses fesses, défonce à nouveau le petit orifice en raillant :
-Tes vraiment une vraie machine à jouir ! Il a suffit de moins dune minute pour que tu trouves ton plaisir, et tu disais : « Non, pas par là », une vraie petite pute ! Tu vas voir ce que ça fait quand une grosse cylindrée met les gaz !
Et pendant de longues minutes, il défonce méthodiquement son arrière-train, se perdant de temps en temps au plus profond de la chatte béante et trempée qui inonde son jonc vigoureux dune abondante sécrétion vaginale.
-Alors ? Je suis toujours un petit con ? Un abruti qui ne sait pas piner ?
Des crispations violentes narrêtent plus de traverser le vagin de Brigitte qui contracte son périnée pour mieux sentir la « bête ». Claude les ressent jusqu'au bout de son gland, déclenchant enfin son plaisir. Il sent la sève monter dans sa tige. Il se crispe, agrippe les seins de Brigitte et presse son corps contre le sien, graissant de son sperme le puits béant qui ne tarde pas à déborder de foutre,
déclenchant aussitôt un mini orgasme de ma belle-sur qui lui jouit dessus.
Ils tombent tous les deux épuisés sur le divan, Brigitte est satisfaite de l'ouvrage réalisé, admettant en me regardant:
-Bon, tu avais raison Lucie, je dois admettre que Claude est un sacré bon coup. Tu las déjà pratiqué ?
-Oh que oui ! Je ne voulais pas te le dire avant, je lui rétorque, mais tu te trompes si tu crois en avoir déjà fini avec lui, Tu viens à peine de finir les hors-duvre
-Tu veux dire que ? Minterroge Brigitte.
Mais je nai même pas besoin de lui répondre. La verge de Claude qui a repris vie joue déjà avec lanneau fripé de Brigitte qui se détend comme attendant avec impatience de connaître à nouveau loutrage. Claude plante sans aucune résistance son défonce-cul jusqu'à son diamètre le plus large et reprend son travail de sape.
-Je narrêterai que quand tu me demanderas grâce, jy passerai des heures sil le faut. Les abrutis nont aucune limite
Il a fallu encore une heure avant que Brigitte ne lui demande grâce :
-Arrête, je suis lessivée, je te présente toutes mes excuses Claude ! Je dois bien reconnaître que tu es un étalon infatigable avec ta bite de poney !
Bon
Je me suis vengée de mon mari et de ma belle-sur, (mais je me demande maintenant si ma vengeance ne sest pas retourné contre moi car elle y a trouvé tant de plaisir quelle a demandé à Claude son numéro de téléphone pour remonter à cru un de ces jours)
Il ne reste plus que ma belle-mère. Mais là, je ne sais pas si joserai
bien que
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