Laetitia Et David Partie 3 : Une Branlette Au Cinéma

Partie 3 :
POV David.

Comment pouvait-on résister à son sourire ? Comment pouvais-je résister de jouir ?
— Oui, souris je, c'est excitant de faire l'amour dans des lieux insolite.
Léa continua de caresser mon pénis avec son genou. Le contact de collant contre ma queue était si irrésistible. Un gémissement s'échappa de ma bouche.
La femme pouffa de rire.
— Tu ne me dis pas…
Elle savait et cela lui amusait, elle souleva ma jupe délicatement et découvrit une tache blanche sur mon collant noir. J'avais joui ! Cela faisait rire Léa.
— J'ai fait jouir un homme avec mon genou ! J'ai fait jouir un homme avec mon genou !
La sœur de Léti n'en revenait pas.
— Je t'ai fait jouir avec mon genou, répéta-t-elle.
— J'ai compris.
— C'est à mon tour de jouir, informa Léa.
Elle attrapa mes lèvres pour les embrasser. Elle dégageait une certaine chaleur, cela la rendait irrésistible. Elle dirigea ma main vers ses fesses. Ma main droite se glissa sous sa robe pour atteindre son sous-vêtement.
— j'attends ça depuis si longtemps, me chuchota-t-elle. Faufile-toi à l'intérieur de mes lèvres intimes.
J'obéis sans hésitation, je dégrafais les boutons de son body, et avec joie mon doigt dérapa à l'intérieur. Léa me regarda dans les yeux, elle adorait ça visiblement !
— Tu es si délicat ! J'ai l'impression que tu as des doigts de fée, murmura-t-elle entre ses gémissements.
J'accélérais mon mouvement. Son souffle devenait haletant, c'était excitant de l'entendre. Ma main semblait toute trempée et glissa de plus en plus profondément dans son vagin.
— En fait, je sais pourquoi je suis toujours célibataire…
Elle s'arrêta pour reprendre son souffle.
— Je ne cherche pas dans la bonne direction, j'aime les femmes…
Léa cria, j'avais cru que l'orgasme arrivait.
— Ne t'arrête pas ! Me commanda-t-elle.
J'obéis à ses ordres.

Mes va-et-vient s'intensifiaient. Léa semblait être sur le point de jouir. Je continuai avec énergie.
— Continue !
Je ne compris pas ce qu'elle disait, cela semblait à un gémissement érotique. Léa était bruyante depuis de longues minutes, j'espérais que cela ne dérangeait pas les voisins.
La sœur de Léti jouit sans retenue. Elle suça ma main pour la nettoyer puis boutonna son body.
— Oh, dit-elle en regardant mes ongles, j'ai oublié de te mettre du verni à ongle.
Elle me fit asseoir, et me sourit.
— Il te faudrait un nouveau nom féminin, Lysa, qu'en dis-tu ?
— C'est joli !
Elle déposa le verni sur mes ongles tout discutant, elle semblait avoir une dextérité incroyable.
— Lysa, si tu fais un pas de travers, je raconte que tu t'es branlé à Léti, tu as compris, ordonna-t-elle.
Cela m'excitait quand Léa prononça le mot « Lysa ». Maintenant j'étais une véritable femme, je devais juste entraîner ma voix. Cette pensée me fit bander. Mon sexe grossit. Le sperme séché semblait tellement désagréable.
— Oui…
— Tu n'as l’air pas très convaincu.
— Je serais sage !
Léa me sourit.
— Vas retrouver Léti, elle doit s'impatienter.
— Je dois me changer, mon collant est sale.
— Tu n'as qu’à en acheter.
J'aurais trop honte d'acheter des collants.
— D'accord, dis-je sans conviction. Tu m'accompagnes en bas de de l'immeuble.
Léa me fit un sourire aux lèvres. Quelques minutes plus tard, on se retrouva dehors, le vent berçait ma jupe. Je la réajustai. Elle était si courte qu'on pouvait voir mon cul grâce à un coup de vent. Léa était partie bien trop vite, j'étais seul, vêtu comme une femme. Personne ne peut démasquer mon identité. J’essayais de me rassurer.
Je serais vraiment idiot à rester là, immobile face à l'immeuble de Léa. Quelques passant me regardaient. Je fis des petits pas comme si j'étais gêné de porter une jupe.
Je pénétrais dans le métro, il était presque désert.
Une femme qui pianotait sur son ordinateur portable, et un homme qui me regardais par à coup. Je lui souris par politesse.
Savait-il mon petit secret ? Je réajustai une nouvelle ma jupe, sa longueur pouvait seulement cacher mes cuisses.
Le métro s'arrêta, je devais sortir à cette station. Je marchais lentement. Heureusement, je ne portais pas de talons. J'avais d'élégante basket féminin.
Je pénétrais dans mon immeuble et je montais aux étages. Je pris une grande inspiration et j'entrais…
Léti était superbe vêtu dans sa robe rouge moulante. On pouvait admirer sa poitrine plate, mais selon moi c'était tout son charme. Elle n'avait pas vu, son téléphone lui occupait toute son attention.
— Léti ! Chuchotais-je.
Et la femme sursauta.
— Je ne t’ai pas attendu…
Son regard se fixa sur ma tenue, Léti resta un moment immobile avant de réagir.
— David est-ce bien toi ?
— Non c'est Lysa, ris-je.
Elle me sourit.
— Évidemment, j'aime bien Lysa, Lysa la sissy. Alors comment ça s’est passé avec ma sœur, tu as pu résister à son charme ?
— Oui cela s’est bien passé, dis-je avec un ton normal.
— Tu n'a pas répondu à ma question ?
— Ta question est trop vague, elle était sexy, j'ai bandé, oui, c'est compliqué de résister à son charme, dis-je à haussant la voix.
— Désolée, je suis jalouse. Enfin bref ! Comment te sens-tu, habillée comme une femme ?
— J'ai sans arrêt des érections ! Je suis vraiment excité par les collants.
Léti me sourit.
— Tu ne dois plus te branler, ne s’est pas autorisés pour les sissy.
— Cela va être un peu compliqué, répondis-je.
— Tu es une soumise bien obéissante, pas vrai Lysa ?
Je baissais les yeux, honteux et humilié.
— Pas vrai ?
— Je suis une soumise obéissante, j'espère ne pas te décevoir Maîtresse.
— Très bien, tu prends ton rôle de soumise très à cœur, je te félicite. Je me suis renseigné aujourd'hui sur le sujet.
Cela m'excite beaucoup de te dominer. Et mon imagination est débordante. Et toi tu es prêt à te soumettre ?
La question semblait théorique, mais je répondis tant même.
— Oui.
— Bon, tu es prête on va aller au cinéma, en cette heure-ci de l'après-midi, la salle sera déserte.
C'était moi où elle venait de me parler au féminin. C'était à la fois excitant et humiliant. Elle me demandait de la suivre jusqu'à son véhicule. Une érection apparaît très vite. Ma jupe semblait cacher mon sexe excité.
A l'accueil du cinéma, Léti me prit pour m'embrasser. Elle voulait savoir l'effet que ça faisait d'embrasser une fille en public, visiblement.
— Deux places pour la séance de 17h, dit Léti,
L'homme nous regarda avec dégoût, il ne devait pas aimer les lesbiennes, apparemment. Nos billets en poche, on se dirige vers la salle obscure du cinéma. Nous étions que cinq dans la salle.
Quand le film commença, Léti s'approcha de mon oreille et murmura :
— Je te laisse le soin de te branler, avant qu'il soit trop tard, mais ne jouis pas, compris.
— Oui Maîtresse.
Léti se replaça sur son fauteuil et grignota des pop-corn. J'avais peur de me masturber, ce qui était aberrant. La salle était plongée dans la plus grande obscurité. Ma main, tremblante, se plongea sous ma jupe. Je caressais mon sexe à travers du nylon.
— Ne retire ta main uniquement à la fin du film, dit Léti. Et si tu jouis tu seras puni.
Je me retournais vers Léti, elle mastiquait bruyamment ses pop-corn.
Avait-elle parlé ?
Ma main pénétra à l'intérieur de mon collant encore souillé de mon éjaculation quand j'étais avec Léa.
Pourquoi était-ce si dur de résister ? Je faisais des caresses lentes. Mais J'accélérais sans me rend compte.
Je stoppais, et ma main se retira.
— Remets ta main, dit Léti en mangeant ses pop-corn.
J'obéis. Comment avait-elle pu le voir ?
— Branle-toi ! M'ordonna Léti.
J'obéis une nouvelle fois.
Mon sexe grossit de plus en plus, et j'étais sur le point de jouir.
Ma main resta au contact de mon sexe sans faire de caresse. J'allais jouir dans quelques minutes.
Tant pis…
Une fois de plus ou une fois moins qu'est ce va changer ? pensais-je.
Je sentis mon sperme dégouliner entre mes doigts. Cela faisait tellement du bien de jouir dans des collants de filles.
Le film était bien terminé, je fis semblant de me branler pour éviter tout soupçon. Au générique, j'enlève ma main pour l'essuyer au revers de ma jupe.
— Viens Lysa, j'espère que tu t'es bien branlé ? Demanda-t-elle.
— C'est frustrant de ne pas pouvoir jouir.
Léti rit.
— J'ai vu une boutique de collant en passant, on pourrait y passer, tu dois posséder une collection de collant maintenant.

Nous entrons dans l'appartement, je portais un sac rempli de collant de toute sortes.
— Essaye les ! Me dit Léti.
J'en allais dans ma chambre pour me changer.
— Tu es pudique, mon amour ? Reste là.
Elle allait ment découvrir le sperme sur le sous-vêtement. Tant pis, J'obéis…
Je déshabillais lentement, Léti souleva ma jupe et fut surprise de voir mon sexe totalement imberbe. Elle sourit.
— Tu t'es même épilé le sexe, bravo. Par contre, c'est normal que tu bande comme ça ?
— Je suis fétichiste des collants.
Léti rit de nouveau. Elle me donna une nouvelle paire, un collant noir transparent très sexy. Léti saisit mon ancien collant et remarqua très vite la tache blanche au niveau de mon entre jambe.
— Tu aurais dû me prévenir que tu as jouis. Ce n'est pas grave, tu seras puni. Je connais quelques choses qui pourrait t'aider.
— Je suis terriblement désolé !
— Lysa tu me déçois beaucoup.

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