Leslie Nr63

Leslie NR63 – Nouveaux récits
Rencontres insolites – Carine et sa colocataire, suite et fin

Diane et Carine s’aimèrent lentement mais avec passion, très classiquement au début, comme deux lesbiennes traditionnelles,
Jusqu’ici, toutes les amantes de Carine étaient silencieuses, à peine un petit cri au moment de l’orgasme. Mais Diane, elle, lui indiquait clairement qu’elle aimait ses caresses et l’incitait à en faire davantage et aller toujours plus loin. Diane montra qu’elle aimait se faire sucer les seins et Carine savait comment faire pour faire plaisir à sa partenaire.
Puis vint me moment d’embraser doucement son entrecuisse et ne se rapprochant que lentement de son bouton d’amour. Puis la langue de Carine tourna doucement autour de son clito et elle se mit à lécher sa base. Carine sentit que le clito de Diane devenait de plus en plus dur et qui sortait de sa gaine pour se livrer complètement nu, sans protection.
Elle prenait son temps et Diane avait l’air vraiment d’aimer cela, puis tout en continuant de lécher sa nouvelle amante, se permit pour la première fois de sa vie d’introduire un doigt dans le sexe de Diane, puis deux, faisant échapper des petits cris mêlés de gémissements de la bouche de Diane…

Diane lors de leurs conversations avait décrit à Carine ce qu’elle ressentait et qu’elle appelait sa jouissance féminine intérieure lors d’une pénétration et Carine était surprise de constater la vérité de ses propos.
Puis après une violente jouissance Diane se colla tendrement à Carine et elles restèrent un moment enlacé l’une à l’autre.

Après cette pause et un bon verre de vin, elles recommencèrent à se caresser, puis Diane dit à sa compagne :
- Es-tu prête ?
- Oui je le suis, répondit Carine.
Alors Diane emmena Carine vers la commode où se trouvaient les objets de désir, elle désigna un gode-ceinture et lui dit :
- Celui-là est mon préféré !
Diane aida Carine à enfiler le gode-ceinture, et à genoux devant Carine, elle se mit à le sucer.

Carine éprouva, malgré ses réticences de pénétrations, un certain plaisir de jouer le rôle du mâle et elle se rendit compte que malgré elle, sa chatte commençait à mouiller et ce, de plus en plus.
Puis Diane se détacha de Carine et s’allongea lascivement sur le lit, sur le dos les jambes repliées sur sa poitrine afin d’offrir au mieux son intimité.
- Maintenant, dit Diane.
Carine s’approcha de sa compagne et Diane saisissant le gode contre son anus en rajoutant ;
- Maintenant !
Carine, aidée des mains de Diane posées sur ses hanches commença à pousser dans l’intimité de son amante, le gode pénétra de deux centimètres, puis se bloqua. Diane à cet instant dit :
- Je suis très serrée, soit patiente je vais m’habi, tu vas voir cela va aller…
Carine sentait qu’elle procurait un mélange de plaisir et de douleur à don amante et elle se dentait un peu perdue.
Mais, soudain le godemiché s’enfonça jusqu’à la garde dans le vagin de son amante, qui avait certainement détendu son sphincter, et maintenant entré facilement Diane, les mains sur les hanches de Carine, imprima les mouvements du bassin de sa compagne en elle.
Diane lâchait des gémissements qui semblaient venir du plus profond de son être. L’arrière du gode frottait sur le sexe de Carine qui avait l’impression que son clitoris devenait un organe masculin, une première pour elle et en plus elle constait que ces frottements étaient des plus agréables.
Les cris de jouissances de Diane l’excitaient terriblement et lorsqu’elle atteignit l’orgasme, Carine se lâcha dans sa jouissance.
Elles s’écroulèrent toutes les deux en se tenant dans les bras, pour former qu’un seul être. Et elles s’endormirent toutes les deux couchées côte à côte.

Le lendemain matin, l’odeur du bacon réveilla Diane, elle s’était levée plus tôt et avait préparé le petit déjeuner.
En déjeunant elles parlèrent de la veille au soir et Carine avoua avoir pris beaucoup de plaisir à faire l’amour à son amante comme un homme et qu’elle recommencerait bien.
Diane étant d’accord ce fût le cas dès ce matin-là et aussi les jours suivants…
Maintenant amantes, les filles faisaient l’amour le plus souvent possible, sans négliger leurs études et le soir elles s’endormaient après de torrides ébats dans les bras l’une de l’autre.
Quelques jours plus tard, un soir alors qu’elles faisaient une longue pause sensuelle, elles reprirent leurs caresses. Carine était intriguée que Diane n’ait pas encore exprimé sa volonté de la pénétrer, alors que la plupart de ses autres partenaires, toutes féminines d’ailleurs, ne pensaient qu’à cela, comme pour conquérir un trophée en lui volant ses virginités. Diane semblait se satisfaire de son rôle passif dans leurs ébats amoureux.
Pour Carine, si cette obsession du pénis la refroidissait depuis toujours elle s’avouait quand même prendre beaucoup de plaisir avec Diane, tant pendant qu’elle pénétrait sa compagne avec un gode ceinture, que pendant les moments où elle recevait les caresses intimes de Diane.
Diane connaissait tous les endroits les plus sensibles d’une femme et savait conduire ses compagnes vers la jouissance totale avec ses doigts et sa bouche, alors Carine se demanda s’il en était de même rn utilisant des accessoires.

Carine ne se souvenait plus combien de fois, depuis leur première rencontre, elle avait pénétré la chatte de Diane avec les godes de sa compagne, sans que celle-ci lui demande quoique ce soit en retour, simplement heureuse d’avoir rencontré une fille, lesbienne comme elle, avec qui elle avait des passions et des affinités communes et qui en plus la faisait jouir pas ses caresses et ses pénétrations…
Ce soir-là, pour la première fois Diane demanda à Carine de la sodomisée et bien qu’un peu réticente au début, Diane en tira beaucoup de plaisir, surtout quand en la prenant en levrette elle vit la rosette de sa complice s’ouvrir sur la poussé du pal.
Carine cette nuit-là s’endormit quelque peu bouleversée et fit des rêves érotiques.

Le lendemain matin, samedi, Carine traîna un peu dans le lit repensant aux rêves de la nuit et elle s’avoua que l’envie de se donner la tenaillait, non pas que la peur d’avoir mal avait disparue, mais plus simplement parce qu’elle pensait qu’elle aimerait…
Quand Diane apporta le petit-déjeuner, elle trouva Carine nue sur le lit, tranquillement elles déjeunèrent sans un mot, mais Diane constata un certain trouble en Diane, alors d’une voix douce elle lui demanda :
- Quelque chose ne va pas ce matin, ma chérie ?
- Disons que… humm… je suis troublée par nos ébats d’hier soir.
- C’est de m’avoir sodomisé qui te mets dans cet état ?
- Oui et non, oui pour t’avoir sodomisé et non par ce que de l’avoir fait non seulement ça m’a plu, mais en plus je crois que j’aimerais que tu m’initie…
- Ohhh, ma chérie, tu te sens prête à m’offrir tes orifices ?
- Oui je suis prête car je t’aime !
Carine se donna ce matin là à son amante, elle lui offrit en premier sa virginité originelle, elle la perdit dans la douceur que son amante lui témoigna, Carine eu un orgasme terrifiant après quelques douleurs dues à la première fois, puis par la suite c’est sa virginité anale qu’elle offrit à sa compagne.

Diane à des côtés très masculins et pour tous les gens qui les fréquentent ou qui les croisent dans la rue, elles passent pour un petit couple de lesbiennes dont Diane a le rôle du mâle. Mais dans l’intimité, dans les secrets de leur univers sexuel, elles sont aussi passives qu’actives, Carine ne redoute plus les pénétrations, elle en est même accroc, avec un petit penchant pour la sodomie…

Les deux jeunes filles d’ailleurs se sont chacune achetées un gode double sans ceinture pour leur relations intimes, Carine en a choisi un crème tandis que Diane a choisi un noir, qui sont devenus leurs jouets favoris dans leurs ébats…
Carine était loin de se douter que sa vie allait changer en rencontrant Diane, cette jeune fille qui devait être sa colocataire et qui avec patience lui avait fait découvrir le plaisir entre femmes qui ne redoutent et ne refusent pas les pénétrations.
Elles étaient désormais amantes et elles allaient passer de belles années l’une près de l’autre à étudier et à s’aimer.
Et pourquoi pas, ensuite, vivre ensemble longtemps…

A suivre…