Caroline 8
Partie 8 :
Une nouvelle semaine de travail avait repris, le lundi en entrant sur le parking, cétait un autre agent de sécurité. Tous les matins cétait un peu la loterie pour elle, son amant africain ne lui disait jamais quand il travaillait, ni où il travaillait en fait elle ne savait pas grand-chose de lui, il ne discutait pas, venant juste prendre son dû comme il disait et repartant comme il était venu en coup de vent.
Lhomme de ménage le soir nétait pas là, elle sen inquiéta auprès de la remplaçante, il semblerait quil avait été changé de site, cela nétait pas pour lui déplaire, voilà au moins un risque dindiscrétion de moins pour elle.
En partant le lundi soir, elle trouva une enveloppe à son nom sur son parebrise, elle louvrit, un bandeau opaque était accompagné dun petit mot lui demandant de se garer dans le fond du parking au deuxième sous-sol le lendemain et dappliquer les consignes qui suivaient. Caroline sourit intérieurement, encore une idée lubrique de Bienvenu pensa-t-elle.
Le mardi matin, toujours pas de Bienvenu à lentrée du parking, lagent la salua, elle lui rendit avec un sourire poli. Elle ne se gara pas sur sa place attitrée mais descendit jusquau deuxième sous-sol et se stationna tout au fond, là ou quasiment plus personne ne se garait. Le bip de fermeture de la voiture puis le bruit de ses talons qui frappaient le sol résonnaient dans ce grand volume vide, traverser cette entendue peu fréquentée était un peu angoissante pour elle.
Lascenseur mit du temps à arriver, elle entra, il sarrêta au rez de chaussée pour prendre du monde et elle sortit à son étage.
Toute la journée, elle était émoustillée par son rendez-vous du soir, imaginant les scénarios les plus inattendus et pervers.
La journée touchait à sa fin, comme chaque soir, il ne restait plus grand monde dans le bâtiment, Caroline rassembla ses affaires et prit lascenseur en direction du deuxième sous-sol.
Les instructions étaient claires, elle devait mettre le bandeau sur ses yeux et attendre assise près de la voiture. Les secondes défilaient, les yeux dans le noir, ces secondes ressemblaient à des minutes, à une éternité. Combien de temps elle est restée à attendre elle ne le sait pas mais ses sens étaient tous en éveil, écoutant, sentant, cherchant à deviner lapproche de son amant.
Soudain des pas ! Des pas lents se dirigeant en silence vers elle. Et si ce nétait pas Bienvenu ? Non, ce nétait pas possible, qui viendrait à cette heure-ci dans cet endroit. Une personne qui passe aurait parlé, demandé ce quelle faisait là. Ce doute était terriblement excitant. Dans le silence du parking, elle entendait à peine la respiration de la personne. Adossée, contre sa voiture, elle attendait, offerte, sans défense.
Lhomme sapprocha sans un bruit, elle sentait sa présence à ses côtés. Les mains se posèrent sur son chemisier, défaisant les boutons un à un jusquau dernier. La fine étoffe était complètement ouverte sur le devant, elle sentait le passage de lair frais sur son nombril découvert. Une main fit glisser une épaule du vêtement, un sein devait être à présent visible par celui qui se tenait devant elle, son téton pointait, dun mélange de froid et dexcitation. La main poussa létoffe de lautre épaule et le chemiser, glissa silencieusement jusquau sol. Elle était torse nu et bombait la poitrine, quémandant une caresse sur ses seins érigés.
La main prit un téton, le tourna, le pinça puis létira brutalement, Caroline émit un petit cri de douleur. La main prit lautre téton et lui fit subir le même traitement, la directrice réagit de la même façon.
Le petit jeu cessa, de longues secondes, rien ne se passa, elle attendait droite avec sa jupe comme seul vêtement et lautre ne bougeait pas. Perdre la vue rendait ses autres sens encore plus en éveil et cela lui donnait encore plus denvie, elle aurait eu envie de retirer son bandeau et de lui crier de la baiser sans ménagement mais elle attendait soumise la suite des évènements.
Les mains se posèrent sur ses épaules, dune pression conjuguée, elles firent pivoter lentement la directrice. Elle devait se tenir face à sa voiture et lautre devait être dans son dos. Les mains agrippèrent la fermeture éclair de la jupe, elle entendit doucettement le zip descendre et souvrir. La jupe glissa de ses hanches à ses cuisses et sécrasa sur ses pieds. Elle était nue dans ce parking, incapable de voir quoi que ce soit mais la situation la faisait mouiller abondement.
Les mains la prirent par les hanches et la déplacèrent pour la positionner face au capot de sa voiture. Caroline avait failli se prendre les pieds dans sa jupe mais son partenaire avait anticipé et lavait retenue. Face au capot, les mains appuyèrent sur son dos pour lui indiquer de se pencher, elle se plia à linjonction. Se baissant un peu trop, la pointe de ses seins toucha le métal froid de la voiture, elle frissonna, rendant encore plus dur ses tétons.
Un doigt partait du dos et glissait doucement dans une caresse légère jusquà ses fesses, cette lenteur était une sensuelle, Caroline aurait voulu se faire prendre sans ménagement et ce doigt jouait avec sa peau, glissant sur le bas du dos, sur les fesses et entre ses jambes mais sans jamais toucher à sa fente détrempée. Voulant signifier à lautre quelle était prête, elle écarta sensiblement ses jambes pour rendre encore plus accessible sa grotte damour mais le doigt continuait tranquillement ses passages sur tous les endroits de son corps.
Le doigt disparu, sa respiration sétait accélérée à cause de son excitation, elle nattendait que cela. Le bout dune verge dhomme sétait posé sur ses lèvres vaginales, dun petit mouvement de recul, elle avait fait pénétrer le gland, lhomme sintroduit entièrement en elle dun seul coup. Elle gémit et gloussa un « oui
» Les mains la tenaient par la taille et la verge entamait son délicieux va et vient dans son antre lubrifié à souhait. La directrice se laissa retomber sur le capot froid de la voiture pendant que cette queue visitait ses chairs les plus intimes.
En excitation permanente toute la journée en prévision de cet épisode, elle savait quelle nallait pas être longue à jouir, elle espérait que son amant nallait pas trop durer non plus, même si la situation lui plaisait, elle courrait toujours le risque dêtre surprise par une autre personne. Elle gémissait doucement de plus en plus, la chair de poule parcourrait tout son corps, cette jouissance attendue pointait le bout de son nez et la submergea dun coup. Les coups de queue avaient accéléré, son amant nétait pas loin lui non plus.
Dun coup la verge sortit brusquement de sa grotte et força lentrée de la bouche de la femme, elle sappliqua à sucer comme un démon cette queue qui lavait fait jouir. 4 longs jets de sperme se déversèrent dans la bouche, Caroline avala les deux premiers sans problème mais les suivant coulèrent de sa bouche. Elle caressait délicatement ce sexe qui ramollissait quand elle rendit compte quil était poilu ! Et Bienvenu lui était rasé !
La directrice voulut se redresser et enlever son bandeau mais en lui saisissant les poignets, les mains len empêchèrent, avant quelle ait pu réagir, une seconde queue avait pris place dans son sexe.
- Mais qui
. Non
Un vent de panique sempara delle, qui étaient ces deux hommes lequel était Bienvenu ? Était-ce bien celui qui la pénétrait en ce moment ? Cela ne pouvait pas être lautre qui avait éjaculé dans sa bouche, il était au contraire de Bienvenu très poilu.
Le sexe passait et repassait en elle, à quoi bon se rebeller, ces deux hommes avaient eu le temps de la mater et de la baiser, ça naura plus beaucoup de sens maintenant. Sous les coups de bite, Caroline se détendait de plus en plus. Celui qui avait souillé sa bouche lui caressait doucement les cheveux et la nuque, elle appréciait cette caresse pleine de sensualité et de tendresse.
Quand elle sentit une nouvelle main prendre son sein qui pendait, elle sursauta mais se laissa faire sans réaction. Combien étaient-ils ? Qui étaient-ils ? Lequel était son amant africain ? Des collègues ? Des copains de Bienvenu ? Lhomme de ménage ? Trois millions de question traversaient lesprit de la directrice. Nue dans ce parking, caressée par deux hommes, baissée par un troisième, elle sentait à nouveau un orgasme monter dans son corps. En parallèle de sa pénétration, celui qui avait fait son nid dans sa chatte, massait son illet brun de son pouce. Caroline ne voulait pas offrir son cul, elle sen ouvrit.
- Non, pas par là, pas mon cul.
Lhomme la prit par les cheveux et tira sa tête en arrière, la directrice se sentit soumise à la poigne de son baiseur.
- Oui baisez moi la chatte mais laissez mon cul !
Lhomme claqua plusieurs fois son pubis contre celui de la femme, elle gémit, le poussa à continuer.
- Oui défoncez moi la chatte, jaime ça me faire baiser !
Lhomme augmentant la tension sur les cheveux la fit se cabrer encore plus, il en profita pour appuyer son pouce plus fortement, il força lillet de Caroline.
- Aïe, non pas mon cul.
Le pouce sortit, il plongea dans le sexe détrempé et remit de la mouille sur lentrée de ses fesses. Elle savait bien quil lui lubrifiait son trou serré et se doutait quil irait au bout mais elle tentait de le distraire pour quil change davis. Lhomme montrait des signes dexcitation, elle lançait ses fesses violement à la rencontre du sexe quand il sortait. Lui tirer son jus rapidement était son idée pour ne pas subir une sodomie dans ce parking. Lhomme se cabra et se colla à elle. Pendant quelle le sentait se vider dans sa chatte, elle le haranguait.
-Oui videz vos couilles dans ma chatte, jaime ça, cest bon.
Lhomme lâcha son étreinte et sortit sa queue. Caroline coulait, son sexe dégoulinait de sperme, elle attendait sans bouger la venue du troisième.
Les hommes la firent pivoter, elle se retrouva couchée allongée sur le capot, couchée sur le dos. Les hommes ne la laissaient pas toucher le sol, ils maintenaient ses jambes en lair et écartées, elle était offerte dégoulinante de la semence du second amant.
Le sperme sécoulait de sa fente, il lui dégoulinait entre les jambes, recouvrant son illet sombre. Des doigts fouillaient sa fente et récupéraient le précieux liquide pour sen servir à lubrifier son autre entrée. Les jambes en lair, elle sentait ces doigts qui forçaient lentrée interdite, le sperme mélangé à sa mouille étaient de parfait lubrifiant pour son cul. Elle ne disait plus rien, résignée à cette pénétration annoncée, écoutant les sensations de son corps.
Le troisième homme pénétra dun trait son vagin, elle envoya ses mains à sa rencontre et sentit un sexe rasé, Bienvenu peut être ? Lhomme était un ventripotent, une petite bedaine surmontait son sexe glabre. Ça ne pouvait pas être Bienvenu, lui son amant au corps musclé.
Lhomme quitta sa fente, plaça son gland sur son illet et poussa. La lubrification avait été bien faite, le sphincter laissa pénétrer ce sexe sans aucune résistance. Elle grimaça mais essaya de se détendre en acceptant cette sodomie. Nayant plus de contraception depuis quelques semaines, se faire remplir le sexe devenait risqué, la sodomie devenait à défaut une meilleure option.
Il passait et repassait dans son fondement, la douleur vive du début avait assez vite disparu, elle commençait à laisser le champ libre au plaisir. Caroline prenait du plaisir, son cul était labouré, ses seins étaient pétris, pincés, tordus, des doigts masturbaient son sexe, une multitude de sensations quelle appréciait. Cette queue qui allait tout au fond de ses entrailles et ressortait complètement, elle y prenait goût, le sexe glissait en elle sans effort, ses sphincters sétaient détendus.
Prise par les deux côtés, Caroline ne luttait plus, elle se laissait complètement envelopper par la montée du plaisir, laccompagnant de gémissements de plus en plus prononcés. Elle était un jouet dans les mains de ces hommes, oubliant toute pudeur ou retenue, elle les exhortait à continuer de plus belle et à la baiser comme la salope quelle était.
Lhomme la pistonnait sans ménagement, galvanisé par les demandes de la femme, il faisait claquer son pubis à chaque passage. Un coup un peu plus fort et il resta fiché tout au fond des entrailles de Caroline, grognant en se vidant logement dans son cul.
Elle y était presque mais navait pas joui, moite de plaisir, elle se laissa entrainer par les autres mains. Ils la placèrent à quatre pattes sur le sol en béton et un autre lencula dun coup. Caroline eut un hoquet de surprise et lâcha un petit « oui » de satisfaction. Lhomme ne soccupait pas de son plaisir, il profitait de son cul juste pour se faire plaisir. A chaque coup, les seins de Caroline bougeaient en cadence. Lhomme la tenait par les hanches mais de temps en temps, il attrapait ses seins, les tirant, pinçant violement. Une main vit sous le menton de la femme et le releva. Elle sentit un sexe pousser contre ses lèvres, elle ouvrit la bouche et laccueillit goulument entre ses lèvres.
Lhomme qui la sodomisait, la doigtait de concert, Caroline suçait le sexe devant elle, le plaisir sinvita assez vite, elle jouit intensément pendant de longues secondes. Lorgasme passé, elle se remit à sucer avec frénésie, aspirant comme une folle ce sexe offert à elle.
Lhomme qui lenculait se figea et jouit dans son cul. Le sexe dans sa bouche cracha peu après ses jets de semence et se retira.
Caroline restait à quatre pattes sur le sol, le sexe dans ses fesses perdait de sa rigidité. Lhomme se retira, laissant son trou ouvert. Un court instant plus tard, elle sentit une matière froide venir contre son illet et prendre la place du sexe parti. Une claque frappa sa fesse gauche, elle entendait les hommes séloigner mais elle ne bougeait pas.
Quand le silence fût revenu, elle toucha ses fesses, un plug avait été mis dans son cul, bouchant le trou, empêchant le sperme de sen échapper. Elle enleva son bandeau et se releva. Elle se tenait nue, le parking était vide et silencieux. Ils étaient partis, qui étaient-ils ?
Reprenant ses esprits, elle chercha ses affaires, fit le tour de la voiture, regarda dedans espérant trouver son chemisier et sa jupe mais rien. Elle ne les voyait pas ! Quavaient-ils fait de ses vêtements, il les lui fallait pour repartir, elle ne pouvait pas conduire nue. Miséricorde, elle ne les trouvait pas, se rendant à lévidence, ils avaient dû les prendre en partant.
Que faire ? Dans un acte de désespoir, elle fouilla toute sa voiture mais rien pas un vêtement de rechange ou de quoi la couvrir pour rentrer chez elle. Il y avait bien son gilet jaune mais cela lui semblait ridicule. Elle lenfila quand même. Il était très transparent et ne cacha pas grand-chose. A chaque mouvement, un de ses seins séchappait et se montrait à qui voulait le voir. Pas trop de choix, elle se rendait à lévidence, elle allait rentrer chez elle avec juste ce petit gilet jaune sur la peau, les fesses à lair posées sur le siège, un plug enfoncé dans ses fesses. Elle avait bien pensé à lenlever ce plug mais le sperme aurait coulé et elle aurait tâché tout son siège. Comment expliquer après des grosses tâches de sperme sur le siège de sa voiture de fonction.
Elle monta dans la voiture et manuvra doucement. Un coup dil au plafond et elle faillit défaillir. Une caméra dans la pénombre, juste braquée vers le lieu de ses exploits. Quelle conne, bien sûr que le parking était entièrement sous surveillance vidéo. Bienvenu avait dû suivre du pc vidéo et devait même y avoir donné ses consignes. Elle allait le croiser à la guérite en sortant du parking, cétait maintenant évident pour elle. Puisquil voulait jouer, elle allait jouer. Elle sarrêta, enleva le gilet jaune et le posa sur le siège dà côté. Jouons, tu vas voir que je nai pas froid aux yeux se dit-elle. Elle redémarra. La guerite était ouverte, la barrière baissée, elle klaxonna attendant de voir son amant dominateur. Mais non, un autre agent de sécurité sortit et sexcusa.
- Pardon madame la directrice, je ne vous avais pas vu. Je vous ouvre.
Il resta un moment figé par le spectacle de cette femme pleine dautorité mais entièrement nue dans sa voiture. Caroline était rouge de honte, ce nétait pas ce quelle avait cru et sexhiber de la sorte à visage découvert était humiliant. La barrière levée, elle démarra en trombe et réenfila ce gilet jaune en roulant pour essayer de cacher sa nudité du mieux quelle pouvait.
Enfin elle arrivait chez elle, son calvaire allait cesser. Peu de monde dans la rue, seul cet abruti dHenri était dehors à regarder ses plantes. Justement à larrivée de la voiture de Caroline, il avait relevé la tête, regardant dans sa direction. Caroline attendait dans son véhicule, hors de question de sortir dans cette tenue sous les yeux du voisin. Henri était maintenant intrigué. Pourquoi donc ne sortait-elle pas pour aller dans sa maison. Elle le regardait, il la regardait. Elle attendait quil parte, il attendait quelle sorte. De plus en plus intrigué, Henri avança vers la voiture, elle devait maintenant faire vite, prendre une décision.
Repartir en voiture mais pour aller où ? Attendre quil arrive à la voiture mais comment expliquer linexplicable ? La nuit était tombée, personne dans la rue à part ce boulet qui lavait déjà vu se faire tringler par son amant. Elle prit une décision folle pour elle. Henri qui continuait à se rapprocher la distinguait dans la pénombre, elle avait détaché sa ceinture de sécurité, la portière souvrait lentement. Elle se leva pour sortir du véhicule, Henri se figea net. Sa voisine était quasiment nue devant lui, juste couverte par un gilet jaune de sécurité. Elle passa devant lui, lançait sans sarrêter un peu chaleureux « bonsoir Henri ». Il se tourna, la regardant aller vers sa maison, les fesses nues, marchant dun pas gêné par la présence dun plug dans les fesses. Quelle salope se dit-il ! Le temps quelle ouvre la porte dentrée, un sein était sorti de sa cachette, elle ne le remit pas en place et entra chez elle.
Une grosse bosse déformait le pantalon dHenri, plus que jamais il simaginait que sa voisine le cherchait, sinon comment pouvait-il expliquer son comportement.
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