Chapitre 11 : Le Soumis Avec Ses Vieux Au Manoir De Beuvron-En-Auge
Voici la suite du chapitre 10, concernant cette journée au Manoir en compagnie de Claude-Yves et Denis, la matinée fut plutôt torride et animée pour moi, avec deux bonnes « enculades » à la suite comme jaime
Malgré tout, ce fut peut-être un peu trop violent (à ma demande) car jai la « rondelle » douloureuse au retour au manoir pour déjeuner.
La suite de la journée sannonce tout aussi chaude avec la promesse de Denis de me soumettre à mes deux « Maîtres » et avec peut être une surprise
En arrivant au Manoir, je distingue une quatrième voiture, une sportive, de mémoire cest une belle Porsche, je trouve cela étrange, mais je ne fais aucune remarque.
Le couple qui soccupe du Manoir, nous accueille, ce sont des Portugais, charmants, (jaurai souvent loccasion de les croiser au cours des trois prochaines années), Amélia, est de plus une excellente cuisinière, elle signale à Claude-Yves que son invité est arrivé et quil attend dans le salon
Dans un premier temps, je suis surpris, car je pensais que nous allions déjeuner tous les trois
- Ah bonjour Gérard, comment vas-tu ? Lui demande Claude-Yves
- Très bien, et toi, et vous ? Il y a un petit moment que je suis arrivé, je suis allé au musée, mais je pense que vous étiez bien occupés !!! Donc je nai pas voulu vous déranger
- Ah oui, nous y étions Denis, Éric et moi, que je te présente Éric
Nous étions très occupés en effet
- Bonjour Éric, comment allez-vous, Claude-Yves ma beaucoup parlé de vous
- Euh très bien Gérard
très bien
Ma réponse est un peu gênée et je pense être rouge de confusion
Je ne comprends pas ce qui marrive, normalement nous devons passer la journée ensemble tous les trois, mais quest-ce que vient faire « ce Gérard » ici aujourdhui.
Et puis, quentend il par « vous étiez bien occupés », nous a-t-il vus, entendus ?
Tout cela me chagrine, et puis pourquoi Claude-Yves lui a parlé de moi ?
Et Amélia à bien indiqué que linvité était arrivé
Donc Claude-Yves a bien prévu de linviter, dans quel but ?
Pendant le repas, et en présence dAmélia qui assure le service, la conversation se concentre sur des banalités de présentation et déchanges divers, donc Gérard est un ami de Claude-Yves, cest un grand patron à la tête dun laboratoire pharmaceutique, il a 56 ans, il est grand, au moins 1.
Après le café, dans le salon et le retrait dAmélia, la conversation se précise, et je comprends très vite le but de linvitation de Gérard
- Alors Éric, mes amis mont dit que tu es bisexuel, que tu es marié, que tu aimes beaucoup le sexe, et surtout que tu prends du plaisir à offrir ta belle épouse
Nest-ce pas Denis ?
- Ah oui, Gérard, Éric est très doué pour nous faire du bien
Je suis scotché, finalement Denis révèle à tous « notre jardin secret », aucun respect de mon intimité
Le droit au respect de ma vie privée est bafoué, je suis déçu, et mes trois interlocuteurs plutôt habiles sen aperçoivent et ne ménagent pas leurs efforts pour détendre latmosphère.
- Alors Éric, cest ma présence qui te gêne, car tu me semble ailleurs. Me demande Gérard calmement.
- Non, cest lattitude de Denis, tout simplement
- Voyons Éric, nous en avons déjà discuté. Me répond Denis.
- De quoi, de Gérard ?
- Mais de la possibilité détendre ou douvrir notre relation à dautres partenaires !!!
- Mais cétait pendant mes délires, que je taffirmais que voulais plus de
- Nous ne tobligeons à rien, Éric, vraiment. Me dit très gêné Claude-Yves.
- Je sais, je sais, cest la manière qui me déplait
- Bon, pouvons-nous continuer à jouer mes amis, veux-tu continuer à jouer avec nous Éric, et avec qui veux-tu jouer si tu restes ? Me demande Claude-Yves.
- Bien sûr que je souhaite encore
Euh !!!
- Donc, tu veux encore jouer, mais à combien, à deux, trois ou quatre ? Me demande encore Claude-Yves.
- Eh bien, cest comme vous voulez, mais soyez doux
- Tinquiètes tu vas être notre soumise, nous avons des surprises, tu vas aimer et en redemander, ma petite salope
Déclare Denis.
Denis me demande daller aux douches du pool house de la piscine, quil va me rejoindre, avec des accessoires, pendant ce temps, Claude-Yves et Gérard se dirige vers le musée
, arrivé au pool house, une douche minutieuse , et jai bien retenu la leçon des autres rencontres, rituel habituel : je dévisse la pomme de douche pour mon lavage intégral, jenfonce bien le tuyau et je fais couler leau lentement, jusquau retour de leau claire, voilà mon cul est très propre, comme le désire Denis.
Cest à ce moment quil me rejoint, me donne des accessoires, je dois mhabiller en femme, avec un petit haut boutonné sur le devant, une jupe courte, des escarpins et une perruque de couleur brune, cheveux mi- longs.
Bien entendu, aucun sous-vêtement.
Je passe le chemisier à boutons cintré et la mini-jupe à volants qui marrive un peu au-dessous des fesses, puis la perruque, je me regarde dans la glace, je ne me trouve pas trop ridicule, sauf la marche avec les escarpins, mais Denis est très fort pour trouver ces vêtements parfaitement à ma taille
Denis minvite à le suivre vers « le musée » dans cette tenue
Jespère simplement ne croiser personne, un étrange sentiment menvahit : lappréhension, je nai aucune idée de ce qui va se passer.
En arrivant au musée nous croisons Armindo, le mari dAmélia qui nous sourit
Je respire profondément, je rentre dans une espèce détat second dans lequel je deviens un objet, une chose qui ne mappartient plus.
Denis me demande deux heures dabandon et dobéissance avec des règles que je dois respecter à la lettre.
Qui aurait pu me dire que jallais être capable de faire ça !
Nous sommes dans la salle de cinéma, je traverse, puis je monte à létage.
Ils maccueillent tous les trois, marcher avec des escarpins ce nest pas simple
- Tu es très belle ma chérie !!! Cest une déclaration commune.
- Tu es prête ? Tu peux encore faire marche arrière, tu le sais !!! Me demande Claude-Yves.
- Oui, je suis prêt
« Je suis prête » Je respire profondément. Mais cet après-midi-là, trois dun coup, je sais que je vais avoir fort à faire.
Je préviens mes trois hommes
- Je veux bien être envahi, mais sans violence. Vous pouvez être bestiaux mais sans me violenter. Vous comprenez !!!
Denis me bande les yeux.
Les corps de Denis, Claude-Yves et Gérard se frottent contre moi.
Six mains pour mes seins, trois bouches pour souffler le chaud et le froid dans mon cou, trois bouches pour attr le lobe de mon oreille.
Six mains pour retirer le petit chemisier.
Six mains qui font semblant de vouloir me caresser le sexe sans loser.
Et que deux mains pour déboutonner trois pantalons, une bouche pour faire durcir trois membres, un visage pour leur laisser le loisir de limaginer recouvert de leur sperme.
Un cul pour sentir trois pieux se mouvoir entre mes fesses tandis que deux mains pincent le bout de mes seins de cette façon si ferme et si douce à la fois, de celle qui me rend docile tant jaime ça.
Jai les yeux bandés. Je les embrasse tour à tour sans savoir qui jembrasse.
Mes mains caressent les deux membres déjà bien durcis qui se faufilent le long de mes fesses, bientôt dans mes fesses.
Mais là aussi, les rôles changent vite ; jai limpression dêtre en pleine danse, tournant au gré des bouches et des sexes qui soffrent à moi.
Jentends mes partenaires se dévêtir.
Enfin, déshabillés, leurs mains viennent à moi sans ménagement.
Je tiens debout parce que leurs corps se serrent contre moi, sinon jaurais déjà vacillé.
Denis mordonne de magenouiller, puis me ligote les chevilles sans ménagement, en attachant une sorte de barre décartement, puis mordonne de les sucer tous les trois ensemble.
Je me sens partir, plus par le contact que par les caresses.
Preuve du plaisir intense que je prends à être lobjet de ces trois hommes.
- Elle jouit déjà la salope !!! Dit Denis en me donnant des coups de martinet.
- Tu vas nous faire des pipes « Marie » à tous les trois, tu dois nous sucer comme ta pute de femme
Dit encore Denis en me secouant.
Donc comme Marie je mapplique, sur la première queue venue, je reconnais Claude-Yves, je garde bien son pénis en bouche en initiant une série de va-et-vient. Je malaxe ses testicules, lui lèche sa verge de bas en haut et de haut en bas et jutilise mes mains pour le masturber tout en serrant bien son pénis.
Je reproduis exactement ce que me fait Marie !
Je promène un doigt entre les bourses et l'anus.
Je passe délicatement ma langue sur la zone du frein plus sensible.
Je lèche puis recule, puis revient
et ainsi de suite.
Jai limpression d par moment, après trois ou quatre va-et-vient en gorge profonde, je lubrifie bien sa queue, je salive pour une bonne fellation baveuse
Claude- Yves commence à perler, signe que l'éjaculation ne va pas tarder.
- Il me rend fou
ce nest pas possible
ooooh la pute, la salope, quest-ce que tu suces bien ma salope
Cest à ce moment quil a explosé au fond de ma gorge en poussant un râle animal.
- Et avale ma salope
Mordonne Denis.
Javale rapidement, comme quand je gobe un médicament, pour en être débarrassé vite !!!
- Oui, mais je peux avoir une coupe de champagne car jai chaud et soif ?
- Cest Claude-Yves qui doit décider, si tu as sucé comme Marie !!!
- Je nai pas encore eu la chance dêtre sucé par Marie, mais si elle suce aussi bien quÉric, je devrais être gâté si nous nous rencontrons un jour. Répond Claude-Yves en mamenant une coupe à mes lèvres ayant toujours les yeux bandés.
- Bon, cest bien, ma petite salope, tu peux continuer ? Dit Denis.
Pendant que jentends Claude-Yves soupiré et sallonger sur un lit, je reprends un peu ma respiration, car cest épuisant de pomper comme je le fais
- La pute
. Cest bon !!! Me demande Denis.
- Non, jai encore soif, je nai plus de salive
Jai le droit à une autre coupe de champagne que javale rapidement, me faisant passer le gout du sperme de Claude-Yves.
- Cest bon, je suis prêt !!!
- Tu es prête petite salope, alors att la queue que tu veux !!! Dit Denis.
Au hasard, car je suis toujours ligoté aux chevilles et les yeux bandés par un voile vraiment opaque, jatt une deuxième queue
Je mapplique sur cette deuxième queue, je ne reconnais pas celle de Denis, donc ce ne peut être que Gérard, il sent bon Gérard, japprécie la douceur de sa peau, je maventure à lui caresser avec une main ses fesses très douces, jaime beaucoup, je lui caresse sa petite rondelle, il semble apprécié et cela mexcite vraiment de nouveau, je garde bien son pénis en bouche, série de va-et-vient, je malaxe ses testicules, lui lèche sa verge.
Je reproduis exactement ce que jai fait à Claude-Yves !
Je lui caresse l'anus encore.
Pendant ce temps, Gérard me caresse les cheveux, le cou, me fait du bien, japprécie ses mains caressantes, il est très prévenant, je gémis, je suis en nage, comment expliquer ça ?
Puis je passe à quelques va-et-vient en gorge profonde, je salive bien, je prends bien ma respiration, et je continue de pomper cet homme qui me semble très doux.
- Tu es très doué Éric, cest très bon, jaime beaucoup, continue
Me dit-il.
- Ouais ! Avec la bouche bien remplie par son sexe de bon calibre.
- Cest une fellation royale, mon petit Éric
Je nai jamais connu cela
Timagines !!!
Fier du travail réalisé et des compliments que Gérard peut me faire, jaccélère, malgré une très grande soif après avoir beaucoup salivé pour lui donner un maximum de plaisir, Gérard se contracte, puis je reçois un premier jet, une première saccade dans la bouche, Gérard se retire pour éjaculer sur mon visage en plusieurs saccades espacées en sexcusant.
- Je suis désolé, Éric, je ne voulais pas !!!
- Au contraire, Gérard, la petite salope adore ça !!! Lui répond Denis, qui a été très caressant pendant ma prestation.
- Tu aimes ça, petite salope ? Me demande Denis.
- Ooooh Oui, Denis.
Pendant que Gérard fait des commentaires élogieux sur ma prestation à ses deux amis, je récupère un peu, mais cette position devient de plus en plus inconfortable, je demande à Denis de me nettoyer le visage du sperme de Gérard et surtout jai très soif, vraiment soif
- Pour le nettoyage, petite salope cest non, tu dois te nettoyer avec tes doigts et les sucer.
- Mais !!!
- Cest bon pour la peau !!!
Je mexécute, je bois une coupe tranquillement, je savoure, je suis toujours à genoux, humilié devant mes trois hommes que je ne distingue pas, je devine que Claude-Yves a été rejoint par Gérard sur un lit.
Gérard nen revient toujours pas
- Merci à toi Denis, merci beaucoup, quel moment !!! Il y a bien longtemps que je nai pas
Oui, il y a bien longtemps !!!
- Reprends toi, Gérard, le meilleur est à venir, tu vas voir, quand il va te donner son cul, il devient incontrôlable !!! Lui répond Denis.
- Bon, avant de passer aux choses sérieuses, la petite pute a encore une petite gâterie à me faire !!! Tu es prête ?
- Oui, encore une petite coupe et cest bon !!!
Javale ma coupe de champagne et hop, ma bouche frétille
et son pénis aussi !
Après ma reprise en bouche,Denis est directif, cest lui le mal dominant, il veut démontrer à ses amis quil sait bien baiser, quil a une grosse queue, il matt la tête et en fait, il me baise la bouche, cest peu agréable pour moi, il prend son pied comme une bête, il est violent, brutal, je manque de respiration, cest pas évident, jai même mal à la tête, je manque à plusieurs reprise de vomir, mais il continue
- Oh, la salope, ce que je lui mets, taime ça salope ?
Je ne peux malheureusement pas répondre, bien trop balloté de part et dautre, Denis me fait mal, me tire les cheveux, jai mal aux chevilles attachées avec la barre, puis cest la délivrance, si je peux dire, il méjacule bien au fond de la gorge, en me provoquant une sorte de rejet tellement son sexe est rentré profondément
Il me donne deux gifles sur les joues en me déclarant
- Tes bien quune pute
Tu aimes ça que lon te malmène !!!
- Oh Oui, Denis.
Je ne sais pas pourquoi, jai répondu cela, et pourtant cest vrai que jaime cela, après avoir subi, il marrive souvent de penser que je vais arrêter, mais après quelques jours, jen redemande !!!
Et je vais en redemander pendant trois ans en entrainant Marie dans mon délire
Bon après cela, Denis me demande quand même si je vais bien, si je veux me détendre avant de passer aux choses sérieuses, cest-à-dire la deuxième mi-temps et les prolongations
- Tu veux te détendre un peu à la piscine
Me demande Claude-Yves.
- Oui, je veux bien, cela va me faire du bien !!!
Nous quittons le « musée », tous les quatre à poil, pour nous rendre à la piscine
La baignade est rafraichissante, le Schweppes aussi, et les mains caressantes de Gérard me sont très agréables.
Après ce petit moment de détente, enfin façon de parler, car Gérard est lui très tendu, après encore une petite mise en bouche pour le fun et son plaisir
Nous regagnons le « musée ».
Je retrouve également « mon Maître » Denis qui me déclare :
- Ca va petite pute, tu apprécies
surtout Gérard
Il me semble, enfin sa bite !!! Me dit Denis.
- Oui, il est très doux
- Bon, nous reprenons notre petite partie
Messieurs, après la fellation royale, je vous suggère de continuer par lenculade tout aussi royale, son cul est vraiment extra pour lenculade, tu vas voir Gérard, elle aime ça, la petite salope !!!
- Ah oui, un si joli petit cul bien ferme et rebondi, miam-miam, lui répond Gérard.
Claude-Yves, Gérard et Denis mentourent, Gérard est très tactile, membrasse dans le cou, me suce loreille, me caresse le sexe, cest bon, jaime ses mains et sa bouche sur mon corps
Puis Denis me demande de magenouiller, le visage au sol, les fesses en lair, jai revêtu la « petite » mini-jupe à volants, elle est remontée et me sert plutôt de ceinture.
Délicatement, il commence à me saucissonner, il mattache les poignets qui sont liés aux chevilles, elles-mêmes liées à une barre décartement, régulièrement, il me demande si tout va bien et au fur et à mesure quil me prépare, car lopération dure un petit moment
Tandis que les caresses de Claude-Yves et Gérard continuent, Gérard me branle délicatement, cest une première pour lui
Jai des flashes plein la tête.
Je me vois, pris en étau comme dans une scène des plus classiques du porno.
Je mattends à plein de choses durant ce moment, y compris être cette chienne en chaleur défoncée par des bites.
Cette vision de moi-même, abandonné au plaisir, je lai eue au même instant
que Denis qui déclare
- Messieurs, notre petite salope est prête, nous pouvons commencer à nous amuser
- Nous pouvons jouer avec ta « fleur du jardin de derrière » Éric ? Me demande gentiment Gérard en me caressant, les fesses et aventurant un doigt près de mon jardin.
- Oh oui !!! Cest ma seule réponse.
- Tu peux nous supplier petite salope !!! Me demande Denis
- Oh oui, allez-y !!!
- Plus fort petite pute !!! Me lance Denis en me donnant un coup de badine sèchement.
- Je vous en supplie, vous pouvez
La position nest pas très confortable, mais à cette époque-là, je suis très souple, jai toujours les yeux bandés, cette position mexcite au plus haut point, bien avant que lun des trois mai touché
Je suis à leur merci. À la condition que cela soit pour mon plaisir : on peut me forcer la main dans une relation, mais ne pas me violer.
Et ils me forcèrent la main de fort belle manière, profitant de ma semi-conscience pour profiter de moi.
- La petite salope mouille déjà
Dit Gérard.
Je pense que cest lui qui commence en premier à me masser lanus et la zone périnéale, il me masse bien les testicules, il est doux, puis il se positionne bien et commence de longues caresses avec sa langue, à ce moment-là, cest le meilleur anulingus de ma vie, peut être amplifié par le fait dêtre attaché sans possibilité de bouger.
Jai limpression que cest un petit chat qui me lape le cul, sa langue joue à essayer de pénétrer mon orifice, tandis que ses mains écartent le plus possible mes fesses pour laisser libre cours à sa langue, il avance tout en douceur sans forcer.
Pendant ce temps une main venue de nulle part me caresse, me branle, tandis que je suis fouetté avec un sexe
Puis après le massage, cest lintroduction dun doigt dans le rectum avec un massage de la paroi côté ventral, dune autre main il soccupe de mes testicules, il me les masse avec le pouce et lindex, il me les compresse, cest très délicat
Pendant quune autre continue de me branler.
Puis Gérard étale un lubrifiant, pour mieux me pénétrer un deuxième doigt, cest bon, je gémis, je suis en nage, jai une sensation de froideur, tout dun coup, un des deux autres joue avec des glaçons, Gérard continue de me stimuler de me pénétrer avec un troisième doigt.
Mais je suis déjà ailleurs, un premier orgasme, très puissant, très profond et très long menvahit.
Délicatement, Gérard retire ses doigts, je lentends déchirer la pochette qui contient un préservatif avec ses doigts.
Il enlève le préservatif de sa pochette, je suis impatient à attendre son sexe, jessaie de bouger pour signifier mon impatience, mais je suis fermement attacher, des doigts me pénètrent violemment et sans ménagement, puis se retirent aussi vite quils sont rentrés, puis enfin Gérard me pénètre délicatement, mon anus est suffisamment dilaté et lubrifié.
Gérard mencule avec douceur, il y va progressivement, il aménage quelques pauses en me donnant des petites claques sur les fesses que japprécie en gémissant.
- Ooooooh oui !!!
- Aller, Gérard, défonce la salope, elle nattend que ça
Dit Denis.
- Non, je préfère la douceur, il y a bien longtemps que je nai pas sodomisé un si beau petit cul
Lui répond Gérard. (la femme de Gérard ne pratiquant pas la sodomie).
Puis je sens un doigt, mais lequel ? Me pénétrer en même temps que Gérard qui continue son va et vient.
Il accélère excité certainement par ce doigt visiteur danus
Jai de nouveau un orgasme, agenouillé entre ces trois hommes qui me retiennent.
Étourdi, chancelant, essoufflé, je continus à crier, tant le plaisir que je viens davoir ma chamboulé.
Mes cris se calment avec leurs baisers sur mon corps.
Et puis Gérard commence à grogner comme un animal avant de lâcher
- Ooh Oui, cest bon, cest trop bon, jaime ton cul, oh putain que cest bon !!!
Pour moi aussi cest bon, jaime beaucoup ce Gérard, sa façon de me prendre
Avec lui, le chemin vers le 7e ciel n'est que plus agréable.
Jai à peine le temps de réaliser, de savourer un baiser dans le cou de Gérard qui me remercie que Denis et ses 21 centimètres se sont fourrés tout au fond de mon cul sans même que je prenne conscience quil allait menculer.
Jai hurlé, bien sûr, mais pas du même hurlement que précédemment.
Une douleur fulgurante qui se mue presque aussitôt en une vague de plaisir.
Denis est différent lorsquil est en présence dautres hommes, il a besoin daffirmer son rôle dhomme dominant, il est plus bestial, violent, même souvent désagréable.
Ses allées et venues aidant, je commence à pousser des cris au rythme de la pénétration, mais le sexe de Claude-Yves vient interrompre ce manège verbal.
Je ne sais comment, car je ne vois rien avec mon bandage serré qui me donne chaud, mais Claude-Yves a réussi à sallonger sur le sol, pour pouvoir moffrir son sexe, et me le mettre en bouche.
Javais déjà sucé Denis pendant que mon cul servait de très bonne raison à Gérard de se vider les couilles.
Jaime bien nêtre quun « sexe » pour mes hommes ; mais là, force était de constater que cest plus délicat.
Pomper un homme, je sais faire. Le lécher avec délicatesse, souffler un fin filet dair frais sur sa bite chaude pour la faire lever, je sais faire.
Mais de la délicatesse lorsque je suis ballotté par une bite qui me pistonne en étant attaché, ligoté et écartelé, cest moins évident.
Pour linstant, je lèche sa verge et son gland plus que je ne le pompe.
Je suis en train de me faire enculer de façon classique, Denis derrière moi, oui Denis, si jai bien suivi, balance mon bassin le long du sexe qui me pénètre ; quel pied dêtre lobjet dun plaisir menvahissant de plus en plus !
Même si je navais pas voulu trois hommes pour moi, au départ, je dois avouer que cest sans regret à ce moment précis, tant le plaisir est intense.
Claude-Yves continue de jouer de son sexe avec moi, plus que moi qui joue avec son sexe.
Mais vu le plaisir quil prend à se masturber dans ma bouche, il semble sur un petit nuage.
Je ne réfléchis plus, me laissant porter par cette sensation grisante de sentir mes fesses se serrer à chaque pénétration.
Douleur et plaisir à la fois : jai limpression que mon cul va sortir de moi à chaque fois.
Cest intensément bon. Bon parce quobscène, bon parce quintéressant, parce que je ne contrôle plus rien.
Sans même que je men rende compte, les partenaires ont changé. Claude-Yves est maintenant en moi, jai le cul grand ouvert à ses coups de boutoir qui, tout en menfonçant son pieu, senfonce en moi, fort, bien fort pour mieux menculer.
La sensation de ce sexe si long que jai limpression quil me traverse le corps.
Pendant ce temps, Denis, lui, me prend la tête, me la secoue comme un pantin, me rentre son sexe dégoulinant de sperme dans la bouche, et oui le « pauvre » à éjaculer dans mon cul, mais tout à mon plaisir, le cul défoncé, je nai pas ressenti de sensation particulière
Cest pas facile de le lécher, pendant que Claude-Yves continue de me démonter le cul, Denis sénerve, me demande de lui nettoyer le sexe, me bloque la tête sur son sexe.
Jaime pourtant le goût du sperme.
Mais là, cest différent : avec les yeux bandés, et une odeur très particulière
Je manque de vomir
Je nen peux plus.
Mon corps se résume à lessentiel : un cul et une bouche pour crier lorsquelle nest pas pleine.
Mon bassin, tenu par Claude-Yves, mon corps défoncé, je nai pas la force, et ne veux pas lavoir de refuser quoi que ce soit à quelquun
Surtout à Denis. Mes cris incessants mempêchent de le nettoyer avec mon talent habituel, mais cest si bon de sentir la puissance de Claude-Yves dans mon cul
Enfoncé avec la puissance dun marteau-piqueur sur un pieu qui démolit mon arrière-train, Je suis en extase ; je sens que le moment vient pour lui.
Moi, je suis déjà dans un état dorgasme permanent. Mon anus sent que ce troisième sexe qui me pénètre se gonfle de façon de plus en plus précipité, augmentant encore la pression sur ma rondelle qui va exploser.
Quel soulagement lorsque je lai senti jouir !
Quel soulagement de pousser ce cri mêlé de plaisir et de douleur face à lultime pénétration plus profonde que les autres !
Une éjaculation qui semble ne plus finir, qui me déchire les entrailles tout en me faisant jouir encore plus intensément, si cela était encore possible.
Après avoir été défoncé comme une chienne désolé, mais ça mexcite il me faut reprendre mes esprits
Je demande à Denis de bien vouloir me détaché, cette position est très inconfortable, jai très mal aux poignets, aux chevilles et aux genoux, jai également mal à la tête dû au mauvais traitement infligés par Denis, je retire le bandeau et je mallonge enfin sur le lit.
Je vous laisse imaginer les sourires de Claude-Yves, Gérard et Denis, le plaisir que ces hommes ont eu à dominer un homme bien plus jeune queux, « une lopette », à se partager un mec chaud comme la braise, à se faire pomper, à enculer mon derrière offert à leur fantaisies, à jouir sans question sur mon corps et dans ma bouche.
Nous nous quittons rapidement, je regagne la piscine seul et nu, un peu déboussolé je dois dire, pour récupérer mes affaires et me revêtir, il y a deux enveloppes posées délicatement sur le petit pouf ou mes vêtements ont été délicatement pliées
Deux enveloppes contenant des petits mots de remerciements, et des grosses sommes dargent (pour moi avec mes revenus de lépoque cétait énorme), les deux signés de la part de Gérard et de Claude-Yves.
Je suis payé pour prendre du plaisir, mes « hommes » achètent « mes services sexuels », suis-je devenu leur jouet ?
Est-il acceptable de se faire payer pour une relation sexuelle ?
Est-ce de la prostitution ? De la perversion ?
Je ne leur demande rien, que de me donner du plaisir, donc
C'est une solution sure et discrète pour des hommes mariés (Claude-Yves et Gérard) ne voulant pas se retrouver avec une encombrante maitresse et voulant avoir des relations débridées jamais vécues avec leurs épouses respectives.
Le retour est difficile, vous ne ressortez jamais indemne de ce type de relations torrides, cest difficile physiquement et mentalement, et puis toujours la peur du jugement, jai beaucoup de mal à assumer ce goût pour cette pratique, à assumer mes désirs
Passer du fantasme à sa réalisation, ma par contre donné un puissant sentiment de pouvoir, me permet de vivre pleinement lexcitation de « linconnu », le plaisir de labandon total et le pouvoir des sensations exacerbées.
Il y a aussi quelque chose de très primitif, de très animal dans ce choix, on contrôle moins lorigine de son plaisir.
Quand je me fais pénétrer, le plaisir est décuplé, je ne sais pas doù il vient exactement, mais il parcourt tout mon corps.
Japprécie vraiment de me faire pénétrer tout en faisant une fellation
Le plaisir est aussi sexuel quintellectuel, mais tout ceci, nest pas facilement explicable par écrit, il faut le vivre pour comprendre.
Voilà, cest la fin du chapitre 11, en fonction des retours et des commentaires, il y aura peut-être un chapitre 12, vous racontant mon retour à la maison, mes aveux à Marie concernant cette relation « particulière » à quatre et sa réaction particulière et surprenante après nos vacances en famille avec notre fils.
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