Chapitre 11 : Le Soumis Avec Ses Vieux Au Manoir De Beuvron-En-Auge

Voici la suite du chapitre 10, concernant cette journée au Manoir en compagnie de Claude-Yves et Denis, la matinée fut plutôt torride et animée pour moi, avec deux bonnes « enculades » à la suite comme j’aime…Malgré tout, ce fut peut-être un peu trop violent (à ma demande) car j’ai la « rondelle » douloureuse au retour au manoir pour déjeuner.
La suite de la journée s’annonce tout aussi chaude avec la promesse de Denis de me soumettre à mes deux « Maîtres » et avec peut être une surprise…
En arrivant au Manoir, je distingue une quatrième voiture, une sportive, de mémoire c’est une belle Porsche, je trouve cela étrange, mais je ne fais aucune remarque.
Le couple qui s’occupe du Manoir, nous accueille, ce sont des Portugais, charmants, (j’aurai souvent l’occasion de les croiser au cours des trois prochaines années), Amélia, est de plus une excellente cuisinière, elle signale à Claude-Yves que son invité est arrivé et qu’il attend dans le salon…
Dans un premier temps, je suis surpris, car je pensais que nous allions déjeuner tous les trois…
- Ah bonjour Gérard, comment vas-tu ? Lui demande Claude-Yves
- Très bien, et toi, et vous ? Il y a un petit moment que je suis arrivé, je suis allé au musée, mais je pense que vous étiez bien occupés !!! Donc je n’ai pas voulu vous déranger…
- Ah oui, nous y étions Denis, Éric et moi, que je te présente Éric…Nous étions très occupés en effet…
- Bonjour Éric, comment allez-vous, Claude-Yves m’a beaucoup parlé de vous…
- Euh très bien Gérard…très bien… Ma réponse est un peu gênée et je pense être rouge de confusion…
Je ne comprends pas ce qui m’arrive, normalement nous devons passer la journée ensemble tous les trois, mais qu’est-ce que vient faire « ce Gérard » ici aujourd’hui.
Et puis, qu’entend –il par « vous étiez bien occupés », nous a-t-il vus, entendus ?
Tout cela me chagrine, et puis pourquoi Claude-Yves lui a parlé de moi ?
Et Amélia à bien indiqué que l’invité était arrivé…
Donc Claude-Yves a bien prévu de l’inviter, dans quel but ?
Pendant le repas, et en présence d’Amélia qui assure le service, la conversation se concentre sur des banalités de présentation et d’échanges divers, donc Gérard est un ami de Claude-Yves, c’est un grand patron à la tête d’un laboratoire pharmaceutique, il a 56 ans, il est grand, au moins 1.

90m, un peu enveloppé, un physique agréable, très raffiné et classe, une classe naturelle, sa voix est agréable et chantante, il manie bien l’humour, il semble doux. Je le trouve plutôt sympathique, mais j’espère que mes amis ne se sont pas imaginés que j’allais satisfaire « leurs » délires…
Après le café, dans le salon et le retrait d’Amélia, la conversation se précise, et je comprends très vite le but de l’invitation de Gérard…
- Alors Éric, mes amis m’ont dit que tu es bisexuel, que tu es marié, que tu aimes beaucoup le sexe, et surtout que tu prends du plaisir à offrir ta belle épouse…N’est-ce pas Denis ?
- Ah oui, Gérard, Éric est très doué pour nous faire du bien…
Je suis scotché, finalement Denis révèle à tous « notre jardin secret », aucun respect de mon intimité…
Le droit au respect de ma vie privée est bafoué, je suis déçu, et mes trois interlocuteurs plutôt habiles s’en aperçoivent et ne ménagent pas leurs efforts pour détendre l’atmosphère.
- Alors Éric, c’est ma présence qui te gêne, car tu me semble ailleurs. Me demande Gérard calmement.
- Non, c’est l’attitude de Denis, tout simplement…
- Voyons Éric, nous en avons déjà discuté. Me répond Denis.
- De quoi, de Gérard ?
- Mais de la possibilité d’étendre ou d’ouvrir notre relation à d’autres partenaires !!!
- Mais c’était pendant mes délires, que je t’affirmais que voulais plus de…
- Nous ne t’obligeons à rien, Éric, vraiment. Me dit très gêné Claude-Yves.
- Je sais, je sais, c’est la manière qui me déplait…
- Bon, pouvons-nous continuer à jouer mes amis, veux-tu continuer à jouer avec nous Éric, et avec qui veux-tu jouer si tu restes ? Me demande Claude-Yves.
- Bien sûr que je souhaite encore…Euh !!!
- Donc, tu veux encore jouer, mais à combien, à deux, trois ou quatre ? Me demande encore Claude-Yves.
- Eh bien, c’est comme vous voulez, mais soyez doux…
- T’inquiètes tu vas être notre soumise, nous avons des surprises, tu vas aimer et en redemander, ma petite salope…Déclare Denis.

Denis me demande d’aller aux douches du pool house de la piscine, qu’il va me rejoindre, avec des accessoires, pendant ce temps, Claude-Yves et Gérard se dirige vers le musée…, arrivé au pool house, une douche minutieuse , et j’ai bien retenu la leçon des autres rencontres, rituel habituel : je dévisse la pomme de douche pour mon lavage intégral, j’enfonce bien le tuyau et je fais couler l’eau lentement, jusqu’au retour de l’eau claire, voilà mon cul est très propre, comme le désire Denis.
C’est à ce moment qu’il me rejoint, me donne des accessoires, je dois m’habiller en femme, avec un petit haut boutonné sur le devant, une jupe courte, des escarpins et une perruque de couleur brune, cheveux mi- longs.
Bien entendu, aucun sous-vêtement.
Je passe le chemisier à boutons cintré et la mini-jupe à volants qui m’arrive un peu au-dessous des fesses, puis la perruque, je me regarde dans la glace, je ne me trouve pas trop ridicule, sauf la marche avec les escarpins, mais Denis est très fort pour trouver ces vêtements parfaitement à ma taille…
Denis m’invite à le suivre vers « le musée » dans cette tenue…
J’espère simplement ne croiser personne, un étrange sentiment m’envahit : l’appréhension, je n’ai aucune idée de ce qui va se passer.
En arrivant au musée nous croisons Armindo, le mari d’Amélia qui nous sourit…
Je respire profondément, je rentre dans une espèce d’état second dans lequel je deviens un objet, une chose qui ne m’appartient plus.
Denis me demande deux heures d’abandon et d’obéissance avec des règles que je dois respecter à la lettre.
Qui aurait pu me dire que j’allais être capable de faire ça !
Nous sommes dans la salle de cinéma, je traverse, puis je monte à l’étage.
Ils m’accueillent tous les trois, marcher avec des escarpins ce n’est pas simple…
- Tu es très belle ma chérie !!! C’est une déclaration commune.
- Tu es prête ? Tu peux encore faire marche arrière, tu le sais !!! Me demande Claude-Yves.

- Oui, je suis prêt…
« Je suis prête » Je respire profondément. Mais cet après-midi-là, trois d’un coup, je sais que je vais avoir fort à faire.
Je préviens mes trois hommes…

- Je veux bien être envahi, mais sans violence. Vous pouvez être bestiaux mais sans me violenter. Vous comprenez !!!

Denis me bande les yeux.
Les corps de Denis, Claude-Yves et Gérard se frottent contre moi.
Six mains pour mes seins, trois bouches pour souffler le chaud et le froid dans mon cou, trois bouches pour attr le lobe de mon oreille.
Six mains pour retirer le petit chemisier.
Six mains qui font semblant de vouloir me caresser le sexe sans l’oser.
Et que deux mains pour déboutonner trois pantalons, une bouche pour faire durcir trois membres, un visage pour leur laisser le loisir de l’imaginer recouvert de leur sperme.
Un cul pour sentir trois pieux se mouvoir entre mes fesses tandis que deux mains pincent le bout de mes seins de cette façon si ferme et si douce à la fois, de celle qui me rend docile tant j’aime ça.
J’ai les yeux bandés. Je les embrasse tour à tour sans savoir qui j’embrasse.
Mes mains caressent les deux membres déjà bien durcis qui se faufilent le long de mes fesses, bientôt dans mes fesses.
Mais là aussi, les rôles changent vite ; j’ai l’impression d’être en pleine danse, tournant au gré des bouches et des sexes qui s’offrent à moi.
J’entends mes partenaires se dévêtir.
Enfin, déshabillés, leurs mains viennent à moi sans ménagement.
Je tiens debout parce que leurs corps se serrent contre moi, sinon j’aurais déjà vacillé.
Denis m’ordonne de m’agenouiller, puis me ligote les chevilles sans ménagement, en attachant une sorte de barre d’écartement, puis m’ordonne de les sucer tous les trois ensemble.
Je me sens partir, plus par le contact que par les caresses.
Preuve du plaisir intense que je prends à être l’objet de ces trois hommes.

- Elle jouit déjà la salope !!! Dit Denis en me donnant des coups de martinet.
- Tu vas nous faire des pipes « Marie » à tous les trois, tu dois nous sucer comme ta pute de femme… Dit encore Denis en me secouant.
Donc comme Marie je m’applique, sur la première queue venue, je reconnais Claude-Yves, je garde bien son pénis en bouche en initiant une série de va-et-vient. Je malaxe ses testicules, lui lèche sa verge de bas en haut et de haut en bas et j’utilise mes mains pour le masturber tout en serrant bien son pénis.
Je reproduis exactement ce que me fait Marie !
Je promène un doigt entre les bourses et l'anus.
Je passe délicatement ma langue sur la zone du frein plus sensible.
Je lèche puis recule, puis revient… et ainsi de suite.
J’ai l’impression d’ par moment, après trois ou quatre va-et-vient en gorge profonde, je lubrifie bien sa queue, je salive pour une bonne fellation baveuse…
Claude- Yves commence à perler, signe que l'éjaculation ne va pas tarder.
- Il me rend fou… ce n’est pas possible… ooooh la pute, la salope, qu’est-ce que tu suces bien ma salope…
C’est à ce moment qu’il a explosé au fond de ma gorge en poussant un râle animal.
- Et avale ma salope… M’ordonne Denis.
J’avale rapidement, comme quand je gobe un médicament, pour en être débarrassé vite !!!
- Oui, mais je peux avoir une coupe de champagne car j’ai chaud et soif ?
- C’est Claude-Yves qui doit décider, si tu as sucé comme Marie !!!
- Je n’ai pas encore eu la chance d’être sucé par Marie, mais si elle suce aussi bien qu’Éric, je devrais être gâté si nous nous rencontrons un jour. Répond Claude-Yves en m’amenant une coupe à mes lèvres ayant toujours les yeux bandés.
- Bon, c’est bien, ma petite salope, tu peux continuer ? Dit Denis.
Pendant que j’entends Claude-Yves soupiré et s’allonger sur un lit, je reprends un peu ma respiration, car c’est épuisant de pomper comme je le fais…
- La pute…. C’est bon !!! Me demande Denis.
- Non, j’ai encore soif, je n’ai plus de salive…
J’ai le droit à une autre coupe de champagne que j’avale rapidement, me faisant passer le gout du sperme de Claude-Yves.
- C’est bon, je suis prêt !!!
- Tu es prête petite salope, alors att la queue que tu veux !!! Dit Denis.
Au hasard, car je suis toujours ligoté aux chevilles et les yeux bandés par un voile vraiment opaque, j’att une deuxième queue…
Je m’applique sur cette deuxième queue, je ne reconnais pas celle de Denis, donc ce ne peut être que Gérard, il sent bon Gérard, j’apprécie la douceur de sa peau, je m’aventure à lui caresser avec une main ses fesses très douces, j’aime beaucoup, je lui caresse sa petite rondelle, il semble apprécié et cela m’excite vraiment de nouveau, je garde bien son pénis en bouche, série de va-et-vient, je malaxe ses testicules, lui lèche sa verge.
Je reproduis exactement ce que j’ai fait à Claude-Yves !
Je lui caresse l'anus encore.
Pendant ce temps, Gérard me caresse les cheveux, le cou, me fait du bien, j’apprécie ses mains caressantes, il est très prévenant, je gémis, je suis en nage, comment expliquer ça ?
Puis je passe à quelques va-et-vient en gorge profonde, je salive bien, je prends bien ma respiration, et je continue de pomper cet homme qui me semble très doux.
- Tu es très doué Éric, c’est très bon, j’aime beaucoup, continue… Me dit-il.
- Ouais ! Avec la bouche bien remplie par son sexe de bon calibre.
- C’est une fellation royale, mon petit Éric…Je n’ai jamais connu cela…T’imagines !!!
Fier du travail réalisé et des compliments que Gérard peut me faire, j’accélère, malgré une très grande soif après avoir beaucoup salivé pour lui donner un maximum de plaisir, Gérard se contracte, puis je reçois un premier jet, une première saccade dans la bouche, Gérard se retire pour éjaculer sur mon visage en plusieurs saccades espacées en s’excusant.
- Je suis désolé, Éric, je ne voulais pas !!!
- Au contraire, Gérard, la petite salope adore ça !!! Lui répond Denis, qui a été très caressant pendant ma prestation.
- Tu aimes ça, petite salope ? Me demande Denis.
- Ooooh Oui, Denis.
Pendant que Gérard fait des commentaires élogieux sur ma prestation à ses deux amis, je récupère un peu, mais cette position devient de plus en plus inconfortable, je demande à Denis de me nettoyer le visage du sperme de Gérard et surtout j’ai très soif, vraiment soif…
- Pour le nettoyage, petite salope c’est non, tu dois te nettoyer avec tes doigts et les sucer.
- Mais !!!
- C’est bon pour la peau !!!
Je m’exécute, je bois une coupe tranquillement, je savoure, je suis toujours à genoux, humilié devant mes trois hommes que je ne distingue pas, je devine que Claude-Yves a été rejoint par Gérard sur un lit.
Gérard n’en revient toujours pas…
- Merci à toi Denis, merci beaucoup, quel moment !!! Il y a bien longtemps que je n’ai pas…Oui, il y a bien longtemps !!!
- Reprends toi, Gérard, le meilleur est à venir, tu vas voir, quand il va te donner son cul, il devient incontrôlable !!! Lui répond Denis.
- Bon, avant de passer aux choses sérieuses, la petite pute a encore une petite gâterie à me faire !!! Tu es prête ?
- Oui, encore une petite coupe et c’est bon !!!
J’avale ma coupe de champagne et hop, ma bouche frétille… et son pénis aussi !
Après ma reprise en bouche,Denis est directif, c’est lui le mal dominant, il veut démontrer à ses amis qu’il sait bien baiser, qu’il a une grosse queue, il m’att la tête et en fait, il me baise la bouche, c’est peu agréable pour moi, il prend son pied comme une bête, il est violent, brutal, je manque de respiration, c’est pas évident, j’ai même mal à la tête, je manque à plusieurs reprise de vomir, mais il continue…
- Oh, la salope, ce que je lui mets, t’aime ça salope ?
Je ne peux malheureusement pas répondre, bien trop balloté de part et d’autre, Denis me fait mal, me tire les cheveux, j’ai mal aux chevilles attachées avec la barre, puis c’est la délivrance, si je peux dire, il m’éjacule bien au fond de la gorge, en me provoquant une sorte de rejet tellement son sexe est rentré profondément…
Il me donne deux gifles sur les joues en me déclarant…
- T’es bien qu’une pute…Tu aimes ça que l’on te malmène !!!
- Oh Oui, Denis.
Je ne sais pas pourquoi, j’ai répondu cela, et pourtant c’est vrai que j’aime cela, après avoir subi, il m’arrive souvent de penser que je vais arrêter, mais après quelques jours, j’en redemande !!!
Et je vais en redemander pendant trois ans en entrainant Marie dans mon délire…
Bon après cela, Denis me demande quand même si je vais bien, si je veux me détendre avant de passer aux choses sérieuses, c’est-à-dire la deuxième mi-temps et les prolongations…
- Tu veux te détendre un peu à la piscine… Me demande Claude-Yves.
- Oui, je veux bien, cela va me faire du bien !!!
Nous quittons le « musée », tous les quatre à poil, pour nous rendre à la piscine…
La baignade est rafraichissante, le Schweppes aussi, et les mains caressantes de Gérard me sont très agréables.
Après ce petit moment de détente, enfin façon de parler, car Gérard est lui très tendu, après encore une petite mise en bouche pour le fun et son plaisir…
Nous regagnons le « musée ».
Je retrouve également « mon Maître » Denis qui me déclare :
- Ca va petite pute, tu apprécies…surtout Gérard…Il me semble, enfin sa bite !!! Me dit Denis.
- Oui, il est très doux…
- Bon, nous reprenons notre petite partie…Messieurs, après la fellation royale, je vous suggère de continuer par l’enculade tout aussi royale, son cul est vraiment extra pour l’enculade, tu vas voir Gérard, elle aime ça, la petite salope !!!
- Ah oui, un si joli petit cul bien ferme et rebondi, miam-miam, lui répond Gérard.
Claude-Yves, Gérard et Denis m’entourent, Gérard est très tactile, m’embrasse dans le cou, me suce l’oreille, me caresse le sexe, c’est bon, j’aime ses mains et sa bouche sur mon corps…
Puis Denis me demande de m’agenouiller, le visage au sol, les fesses en l’air, j’ai revêtu la « petite » mini-jupe à volants, elle est remontée et me sert plutôt de ceinture.
Délicatement, il commence à me saucissonner, il m’attache les poignets qui sont liés aux chevilles, elles-mêmes liées à une barre d’écartement, régulièrement, il me demande si tout va bien et au fur et à mesure qu’il me prépare, car l’opération dure un petit moment…
Tandis que les caresses de Claude-Yves et Gérard continuent, Gérard me branle délicatement, c’est une première pour lui…
J’ai des flashes plein la tête.
Je me vois, pris en étau comme dans une scène des plus classiques du porno.
Je m’attends à plein de choses durant ce moment, y compris être cette chienne en chaleur défoncée par des bites.
Cette vision de moi-même, abandonné au plaisir, je l’ai eue au même instant…que Denis qui déclare…

- Messieurs, notre petite salope est prête, nous pouvons commencer à nous amuser…
- Nous pouvons jouer avec ta « fleur du jardin de derrière » Éric ? Me demande gentiment Gérard en me caressant, les fesses et aventurant un doigt près de mon jardin.
- Oh oui !!! C’est ma seule réponse.
- Tu peux nous supplier petite salope !!! Me demande Denis
- Oh oui, allez-y !!!
- Plus fort petite pute !!! Me lance Denis en me donnant un coup de badine sèchement.
- Je vous en supplie, vous pouvez…
La position n’est pas très confortable, mais à cette époque-là, je suis très souple, j’ai toujours les yeux bandés, cette position m’excite au plus haut point, bien avant que l’un des trois m’ai touché…
Je suis à leur merci. À la condition que cela soit pour mon plaisir : on peut me forcer la main dans une relation, mais ne pas me violer.
Et ils me forcèrent la main de fort belle manière, profitant de ma semi-conscience pour profiter de moi.
- La petite salope mouille déjà… Dit Gérard.
Je pense que c’est lui qui commence en premier à me masser l’anus et la zone périnéale, il me masse bien les testicules, il est doux, puis il se positionne bien et commence de longues caresses avec sa langue, à ce moment-là, c’est le meilleur anulingus de ma vie, peut être amplifié par le fait d’être attaché sans possibilité de bouger.
J’ai l’impression que c’est un petit chat qui me lape le cul, sa langue joue à essayer de pénétrer mon orifice, tandis que ses mains écartent le plus possible mes fesses pour laisser libre cours à sa langue, il avance tout en douceur sans forcer.
Pendant ce temps une main venue de nulle part me caresse, me branle, tandis que je suis fouetté avec un sexe…
Puis après le massage, c’est l’introduction d’un doigt dans le rectum avec un massage de la paroi côté ventral, d’une autre main il s’occupe de mes testicules, il me les masse avec le pouce et l’index, il me les compresse, c’est très délicat…
Pendant qu’une autre continue de me branler.
Puis Gérard étale un lubrifiant, pour mieux me pénétrer un deuxième doigt, c’est bon, je gémis, je suis en nage, j’ai une sensation de froideur, tout d’un coup, un des deux autres joue avec des glaçons, Gérard continue de me stimuler de me pénétrer avec un troisième doigt.
Mais je suis déjà ailleurs, un premier orgasme, très puissant, très profond et très long m’envahit.
Délicatement, Gérard retire ses doigts, je l’entends déchirer la pochette qui contient un préservatif avec ses doigts.
Il enlève le préservatif de sa pochette, je suis impatient à attendre son sexe, j’essaie de bouger pour signifier mon impatience, mais je suis fermement attacher, des doigts me pénètrent violemment et sans ménagement, puis se retirent aussi vite qu’ils sont rentrés, puis enfin Gérard me pénètre délicatement, mon anus est suffisamment dilaté et lubrifié.
Gérard m’encule avec douceur, il y va progressivement, il aménage quelques pauses en me donnant des petites claques sur les fesses que j’apprécie en gémissant.
- Ooooooh oui !!!
- Aller, Gérard, défonce la salope, elle n’attend que ça…Dit Denis.
- Non, je préfère la douceur, il y a bien longtemps que je n’ai pas sodomisé un si beau petit cul…Lui répond Gérard. (la femme de Gérard ne pratiquant pas la sodomie).
Puis je sens un doigt, mais lequel ? Me pénétrer en même temps que Gérard qui continue son va et vient.
Il accélère excité certainement par ce doigt visiteur d’anus…
J’ai de nouveau un orgasme, agenouillé entre ces trois hommes qui me retiennent.
Étourdi, chancelant, essoufflé, je continus à crier, tant le plaisir que je viens d’avoir m’a chamboulé.
Mes cris se calment avec leurs baisers sur mon corps.
Et puis Gérard commence à grogner comme un animal avant de lâcher…
- Ooh Oui, c’est bon, c’est trop bon, j’aime ton cul, oh putain que c’est bon !!!
Pour moi aussi c’est bon, j’aime beaucoup ce Gérard, sa façon de me prendre…
Avec lui, le chemin vers le 7e ciel n'est que plus agréable.
J’ai à peine le temps de réaliser, de savourer un baiser dans le cou de Gérard qui me remercie que Denis et ses 21 centimètres se sont fourrés tout au fond de mon cul sans même que je prenne conscience qu’il allait m’enculer.
J’ai hurlé, bien sûr, mais pas du même hurlement que précédemment.
Une douleur fulgurante qui se mue presque aussitôt en une vague de plaisir.
Denis est différent lorsqu’il est en présence d’autres hommes, il a besoin d’affirmer son rôle d’homme dominant, il est plus bestial, violent, même souvent désagréable.
Ses allées et venues aidant, je commence à pousser des cris au rythme de la pénétration, mais le sexe de Claude-Yves vient interrompre ce manège verbal.
Je ne sais comment, car je ne vois rien avec mon bandage serré qui me donne chaud, mais Claude-Yves a réussi à s’allonger sur le sol, pour pouvoir m’offrir son sexe, et me le mettre en bouche.
J’avais déjà sucé Denis pendant que mon cul servait de très bonne raison à Gérard de se vider les couilles.
J’aime bien n’être qu’un « sexe » pour mes hommes ; mais là, force était de constater que c’est plus délicat.
Pomper un homme, je sais faire. Le lécher avec délicatesse, souffler un fin filet d’air frais sur sa bite chaude pour la faire lever, je sais faire.
Mais de la délicatesse lorsque je suis ballotté par une bite qui me pistonne en étant attaché, ligoté et écartelé, c’est moins évident.
Pour l’instant, je lèche sa verge et son gland plus que je ne le pompe.
Je suis en train de me faire enculer de façon classique, Denis derrière moi, oui Denis, si j’ai bien suivi, balance mon bassin le long du sexe qui me pénètre ; quel pied d’être l’objet d’un plaisir m’envahissant de plus en plus !
Même si je n’avais pas voulu trois hommes pour moi, au départ, je dois avouer que c’est sans regret à ce moment précis, tant le plaisir est intense.
Claude-Yves continue de jouer de son sexe avec moi, plus que moi qui joue avec son sexe.
Mais vu le plaisir qu’il prend à se masturber dans ma bouche, il semble sur un petit nuage.
Je ne réfléchis plus, me laissant porter par cette sensation grisante de sentir mes fesses se serrer à chaque pénétration.
Douleur et plaisir à la fois : j’ai l’impression que mon cul va sortir de moi à chaque fois.
C’est intensément bon. Bon parce qu’obscène, bon parce qu’intéressant, parce que je ne contrôle plus rien.
Sans même que je m’en rende compte, les partenaires ont changé. Claude-Yves est maintenant en moi, j’ai le cul grand ouvert à ses coups de boutoir qui, tout en m’enfonçant son pieu, s’enfonce en moi, fort, bien fort pour mieux m’enculer.
La sensation de ce sexe si long que j’ai l’impression qu’il me traverse le corps.
Pendant ce temps, Denis, lui, me prend la tête, me la secoue comme un pantin, me rentre son sexe dégoulinant de sperme dans la bouche, et oui le « pauvre » à éjaculer dans mon cul, mais tout à mon plaisir, le cul défoncé, je n’ai pas ressenti de sensation particulière…
C’est pas facile de le lécher, pendant que Claude-Yves continue de me démonter le cul, Denis s’énerve, me demande de lui nettoyer le sexe, me bloque la tête sur son sexe.
J’aime pourtant le goût du sperme.
Mais là, c’est différent : avec les yeux bandés, et une odeur très particulière…
Je manque de vomir…
Je n’en peux plus.
Mon corps se résume à l’essentiel : un cul et une bouche pour crier lorsqu’elle n’est pas pleine.
Mon bassin, tenu par Claude-Yves, mon corps défoncé, je n’ai pas la force, et ne veux pas l’avoir de refuser quoi que ce soit à quelqu’un…
Surtout à Denis. Mes cris incessants m’empêchent de le nettoyer avec mon talent habituel, mais c’est si bon de sentir la puissance de Claude-Yves dans mon cul…
Enfoncé avec la puissance d’un marteau-piqueur sur un pieu qui démolit mon arrière-train, Je suis en extase ; je sens que le moment vient pour lui.
Moi, je suis déjà dans un état d’orgasme permanent. Mon anus sent que ce troisième sexe qui me pénètre se gonfle de façon de plus en plus précipité, augmentant encore la pression sur ma rondelle qui va exploser.
Quel soulagement lorsque je l’ai senti jouir !
Quel soulagement de pousser ce cri mêlé de plaisir et de douleur face à l’ultime pénétration plus profonde que les autres !
Une éjaculation qui semble ne plus finir, qui me déchire les entrailles tout en me faisant jouir encore plus intensément, si cela était encore possible.
Après avoir été défoncé comme une chienne – désolé, mais ça m’excite – il me faut reprendre mes esprits…
Je demande à Denis de bien vouloir me détaché, cette position est très inconfortable, j’ai très mal aux poignets, aux chevilles et aux genoux, j’ai également mal à la tête dû au mauvais traitement infligés par Denis, je retire le bandeau et je m’allonge enfin sur le lit.
Je vous laisse imaginer les sourires de Claude-Yves, Gérard et Denis, le plaisir que ces hommes ont eu à dominer un homme bien plus jeune qu’eux, « une lopette », à se partager un mec chaud comme la braise, à se faire pomper, à enculer mon derrière offert à leur fantaisies, à jouir sans question sur mon corps et dans ma bouche.
Nous nous quittons rapidement, je regagne la piscine seul et nu, un peu déboussolé je dois dire, pour récupérer mes affaires et me revêtir, il y a deux enveloppes posées délicatement sur le petit pouf ou mes vêtements ont été délicatement pliées…
Deux enveloppes contenant des petits mots de remerciements, et des grosses sommes d’argent (pour moi avec mes revenus de l’époque c’était énorme), les deux signés de la part de Gérard et de Claude-Yves.
Je suis payé pour prendre du plaisir, mes « hommes » achètent « mes services sexuels », suis-je devenu leur jouet ?
Est-il acceptable de se faire payer pour une relation sexuelle ?
Est-ce de la prostitution ? De la perversion ?
Je ne leur demande rien, que de me donner du plaisir, donc…
C'est une solution sure et discrète pour des hommes mariés (Claude-Yves et Gérard) ne voulant pas se retrouver avec une encombrante maitresse et voulant avoir des relations débridées jamais vécues avec leurs épouses respectives.
Le retour est difficile, vous ne ressortez jamais indemne de ce type de relations torrides, c’est difficile physiquement et mentalement, et puis toujours la peur du jugement, j’ai beaucoup de mal à assumer ce goût pour cette pratique, à assumer mes désirs…
Passer du fantasme à sa réalisation, m’a par contre donné un puissant sentiment de pouvoir, me permet de vivre pleinement l’excitation de « l’inconnu », le plaisir de l’abandon total et le pouvoir des sensations exacerbées.
Il y a aussi quelque chose de très primitif, de très animal dans ce choix, on contrôle moins l’origine de son plaisir.
Quand je me fais pénétrer, le plaisir est décuplé, je ne sais pas d’où il vient exactement, mais il parcourt tout mon corps.
J’apprécie vraiment de me faire pénétrer tout en faisant une fellation…
Le plaisir est aussi sexuel qu’intellectuel, mais tout ceci, n’est pas facilement explicable par écrit, il faut le vivre pour comprendre.
Voilà, c’est la fin du chapitre 11, en fonction des retours et des commentaires, il y aura peut-être un chapitre 12, vous racontant mon retour à la maison, mes aveux à Marie concernant cette relation « particulière » à quatre et sa réaction particulière et surprenante après nos vacances en famille avec notre fils.

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