Collection Vengeance. Vengeance Sans Limite (2/3)
Cocu, Françoise mon épouse me fait cocu moi le jaloux qui pourtant essaye de me soigner.
Cest toujours la même chose, un cocu est souvent le dernier à lapprendre et souvent comme moi, cest un concours de circonstances qui ma permis de le découvrir.
Je suis agent immobilisé et si je découvre le pot aux roses cest la convergence de deux faits principaux.
Le premier, je devais rester à lagence dOrléans en attendant le soir ou avec Françoise je devais fêter nos 8 ans de mariage, mais Vivian mon patron menvoie à lagence de Blois avec des clients intéressés par une maison dans leur portefeuille de vente.
Première convergence.
La deuxième des travaux avec une déviation me menant vers la gare.
Cest là que je vois Françoise avec son amie Adrienne.
Rapidement je les vois rejoindre Fred, mon pote de football qui les prend par la taille avant dentrer à lhôtel de la gare.
Jattends leur sortie et cest là que jai la confirmation quelles ont dû sauter sur la grande bite de ce Martiniquais.
Je connais très bien sa verge, dans les douches, certains lappelaient léléphant, dautres la trompe.
Jai confirmation de leur tromperie, car cela fait plusieurs fois quelle me dit aller faire des courses avec sa copine Adrienne.
Pleins de petits faits me reviennent en mémoire.
Simon, notre fils quelle a réussi à refiler à ses parents sous couvert de reprendre du travail alors que mes revenus suffisent largement à nous faire vivre.
Tu parles, cela fait presque un an et ça fait presque un an quelle va se promener avec cette salope dAdrienne.
Quand je suis allé à Blois, laffaire ayant capoté, je charge mon notaire dacheter cette maison invendable vue les antécédents quelle a accumulés au fil des années et surtout de la Seconde Guerre mondiale.
Jarrive à faire laffaire en restant dans lombre au détriment de nos économies faites en prévision du tour du monde que nous envisageons de faire dans deux ans et nos dix ans de mariage avec le voilier que nous souhaitons acquérir.
Afin dêtre près, jai abandonné le foot où je jouais pourtant au plus haut niveau régional pour un petit voilier que je barre sur la Loire tous les dimanches.
La vie de rêve jusquà la déviation me plongeant dans une rage folle mais froide.
Mon plan de vengeance venant de se réaliser.
Françoise dans cette cave nue attachée par le cou par un collier de fer que je rive pendant le sommeil dans lequel je lai plongé lors de son repas danniversaire me tend les bras se demandant pourquoi je lui faisais subir ce supplice.
La cave où jai remis en service la baignoire qui va lui permettre de se laver ainsi que des toilettes qui lui permettront de vivre.
Le collier étant fixé au mur et surtout à un des deux crochets dorigine qui ont dû voir des résistants attendre leur tour pour passer à la question.
Je suis installé dans le fauteuil que jai descendu, car je compte bien profiter de moment chaud.
- Tu vois cette chaîne, elle limite tes mouvements.
Essaye de venir jusquà moi, elle est trop courte.
Je vais te laisser, je reviendrais avec une surprise.
- Je ten supplie Sylvain libère-moi, je serais aimante et fidèle.
- Tu mas dit ça devant monsieur le maire et les promesses surtout les tiennes, je men bas la queue.
Tu vois cette bouffe, as-toi de savoir te restreindre, je serais de retour dimanche prochain, jespère avec une surprise.
Cri autant que tu veux, la cave étant entièrement insonorisée.
Autre chose oublie notre tour du monde, jai tout dépensé pour ma vengeance.
Je quitte, la cave devant ma femme en pleure prenant conscience que ce que vengeance veut dire pour moi.
- Adrienne, je venais te donner des nouvelles de Françoise.
Elle est partie jusquà samedi prochain avec notre fils et ses parents et je viens de mapercevoir quelle a oublié son portable.
Oui, elle rentre samedi en début daprès-midi, elle mavait demandé de nous prévoir un petit repas, si tu es libre bien sûr.
Alors à samedi 20 heures.
Le samedi, la suite de mon plan est prête.
- Adrienne entre, Françoise a appelé sur le portable de sa mère, ils sont en retard Paul mon beau-père ayant eu un léger malaise.
Elle ma dit de te recevoir en amie que vous êtes.
- Merci Sylvain.
Nous mangeons toujours un repas que jai fait livrer avec une bonne bouteille de bourgogne.
Elle a la descente facile et est légèrement pompette.
Je la fais sinstaller dans un de nos fauteuils le temps d'amener le café.
- Dommage que je sois trop amoureux de ton amie, tu es une si belle femme, que je te parlerais bien de prêt.
Grrr.
Je lallume pour endormir son attention avant daller dans la cuisine.
Je pense la trouver endormie, mais jai dû mettre une dose trop faible.
Je minstalle avec ma tasse quand elle vient vers moi à quatre pattes telle une chienne en chaleur.
- Si tu savais depuis le temps que jespère me retrouver seule avec toi, ta femme est loin de te mériter.
Il faut être complètement immorale pour baiser à trois dans cet hôtel et sans scrupule dire à celui qui se retrouve cocu quon a toujours voulu de lui.
Elle défait ma ceinture et sort ma verge quelle sempresse de fourrer dans sa bouche.
Elle me pompe en grande experte de cette perversion que Françoise ma toujours refusée.
Cest là quelle sendort ma bite dans sa bouche.
Je la charge sur mon épaule la place sur le siège arrière de ma voiture et je prends la route de ma cave de Blois.
- Ça va, tu tiens le coup, je tai amené de la compagnie.
- Sylvain je ten supplie, libère-moi, je serais ton esclave mais une esclave libre.
Et surtout mon fils me manque.
Adrienne, mais tu es complètement cinglé.
- Oui, fou damour pour celle qui ma donné un fils et qui ma trahi.
Tu viens de tenferrer un peu plus, tu as dit mon fils au lieu de notre fils.
Devant elle, je récupère un collier que je fixe autour du cou de son amie.
Je lattache à la deuxième chaîne identique en longueur et je monte me coucher sur mon lit de camp qui me servait pendant les travaux de préparation de ma vengeance.
Le lendemain je retourne dans la cave avec deux cabas.
Je minstalle dans mon fauteuil, Adrienne est en pleurs, Françoise semble lui avoir résumé la situation.
- Bonjours mesdames, je pense que dans cette chambre dhôtel vous vous caressiez pendant que votre étalon vous baisait.
Faite moi voir comment deux femmes saiment.
- Pauvre taré va te faire mettre.
- Sylvain, cest elle qui ma entraîné dans ces débauches alors que je tétais fidèle.
- Salope, cest toi qui mas dit de te trouver un mec pour te faire sauter.
Souviens-toi tu me confiais que ton mari avait une petite bite.
- Adrienne, dois-je te rappeler que lorsque tu tes endormi, ma petite bite tu lavais dans ta bouche sans scrupule du retour de ton amie !
- Oui, ça cest bon, crêpez-vous le chignon.
Jadore ça mais stop.
Vous voyez ces paniers, cest votre bouffe de la semaine.
Gouinez-vous sinon jenlève une ou deux portions, je veux prendre soin de votre ligne.
Françoise ayant eu du mal à tenir sa semaine arrête de combattre et embrasse sa compagne de misère.
Les deux filles roulent en 69 sur le lit et se lèchent la chatte pour le plus grand plaisir de ma verge que jai sorti de mon pantalon.
Si ce quAdrienne a dit est vrai, quand je me regarde, je suis loin dêtre linfirme que ma femme a décrit.
Certes, comparée à Fred, pour lui la comparaison est en sa faveur et de loin.
Elles éclatent dans la bouche lune de lautre, alors que jéjacule au pied de mon fauteuil.
Je profite du moment où elle récupère pour avancer les paniers dans la zone où elles pourraient mattr, leur laissant les parts que javais menacées denlever.
- Bonne semaine les filles, jai vu que vous avez de quoi passer le temps à la semaine prochaine.
Cest le samedi suivant que je téléphone à Fred enchanté dentendre son pote.
- Jai acheté une maison près de Blois et jaurais des travaux daménagement à y faire, peux-tu maider.
- Je croyais quavec Françoise vous projetiez un tour du monde.
- On a réfléchi avec un , cest trop de risques alors nous investissons.
Je sens quil doit penser quil va pouvoir sauter ma femme et sa copine de long mois.
Le dimanche matin je le prends au bas de chez lui et nous prenons la route.
- Je vois que tu as une bouteille deau, je peux en boire.
- Oui, elle est encore fermée.
Sachant que Fred aime boire de leau pour enlever les toxines de son corps dathlète, jai pratiqué comme lavait fait un club lors de la finale régionale.
Deux packs deau nous étaient fournis par le club recevant.
Avec une seringue, ils avaient injecté du produit dopant à la base du bouchon.
Mais ces cons en avaient mis dans toutes les bouteilles.
Nous avons gagné le match sur tapis vert malgré le dopant, ils avaient gagné 6 à 0.
Jai fait de même, mais avec du somnifère.
Quand jarrive à ma cave, il dort comme un bébé.
Jai acheté des menottes quelques fois quil se réveille plus tôt que prévu.
Jai du mal à lamener dans la cave, mais en le traînant jy arrive.
- Mesdames, vous avez survécu cest très bien, voici de la compagnie.
Votre trio sera reconstitué.
- Libère nous Sylvain, nous avons compris la leçon, on se fiche de la queue de Fred.
- Vous voyez mesdames, je vais exaucer votre voeu du moins pour lune dentre vous.
Battez-vous celle qui dominera lautre sera libre et ce bellâtre prendra sa place à jamais.
Françoise, si tu maimes cest toi qui gagneras
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