Ma Soeur Est Une Connasse
Chers amis lecteurs, après vous avoir fait découvrir mon éveil sensuel avec mon grand frère, voici une histoire presque vécue avec ma petit soeur. En effet rien de sexuel ne s'est passé dans la vraie vie mais les envies réciproques de vivre cette histoire étaient là, palpables. Belle lecture.
Ma petite sur arrivait de province pour un entretien dembauche à Paris ce vendredi. Du coup, elle en profitait pour débarquer la veille et passer une nuit chez moi. Elle venait avec son nouveau petit copain quelle voulait présenter officiellement à mes parents à Noël. Elle mavait prévenue que cétait une étape importante dans sa vie. Mais bon, elle en est à son troisième petit copain présenté à mes parents. Donc elle navait pas trop de crédibilité à mes yeux. Elle avait beau me dire que cette fois-ci cétait le bon, javais un grand doute et demandais à voir.
Ils arrivent avec presque deux heures de retard. Je leur ouvre ma porte vers neuf heures du soir. Le rire, lénergie et la volubilité de ma sur occupent tout lespace du couloir en une seconde. Je me sens soudainement envahie. Elle parle très fort. Les voisins qui ne me connaissent même pas, depuis deux ans que javais aménagé, vont être surpris. Je navais jamais fait de fête chez moi et ne métais jamais présentée à eux. Je referme vite la porte derrière ma petite famille. La soirée allait être longue
Jembrasse son copain une fois dans lappartement. Un grand brun baraqué autant que je suis une petite blonde menue. On se prend une décharge électrostatique tous les deux au premier contact. On en rigole ensemble, surpris. Il sort une petite blague pleine dhumour. Son parfum est délicieux, fin, léger. Je parierais sur Bleu de Chanel. Il porte de belles bottines marron et un manteau assorti. Jean, chemise blanche et veste noire. Jaurais dû mieux mhabiller et me sens un peu ridicule. Je porte mon pull fétiche, une écharpe et une robe longue dautomne.
Ma sur est une connasse.
Je meurs de faim et sers un apéro plus copieux que prévu. Mon repas ne sera pas bon une fois réchauffé. Mais pourquoi ai-je cuisiné des pâtes fraîches sachant que ma sur nest jamais à lheure ? Elles vont être toutes collées. Ma bêtise ménerve parfois.
Lapéro et le repas se passent bien. Ils mexpliquent leur rencontre, leurs voyages, leurs amis, leurs voitures, leurs appartements et je me tasse dans le canapé, impressionnée par leur vie sociale et leurs succès. Son regard à lui menveloppe et me détend. Car je sens sa douce présence mapaiser. Il ne dit pas grand-chose et cela renforce son côté ténébreux. Il faut dire quavec ma sur, ce nest pas simple den placer une. Son regard si stable me donne chaud. Je remonte les manches de mon pull et enlève mon écharpe et mes chaussettes blanches. Je suis souvent pieds nus chez moi, jadore. Je remonte mes cheveux dans un chouchou. Pourtant, je naime pas dévoiler mon cou à des inconnus. Normalement, je cache mon cou au regard des autres du mieux que je peux, car jadore sa fragilité. Je le trouve beau, fin, élancé, séduisant.
À un moment où ma sur reprend sa respiration, il me complimente pour mon choix de musique jusque-là totalement couverte par la voix aiguë de ma sur. Je me sens rougir et plus je lutte pour ne pas montrer que je rougis, plus jai limpression de tourner écarlate. Cest vrai que ma musique est belle. Jadore cette piste de lecture. Je suis ravie de son compliment et me surprends moi-même de glousser comme une idiote. Jai plusieurs types de rires et quand celui-ci sort de mon corps, je comprends que je suis sous son charme. Cest mon rire débile de fille séduite. Je prends conscience que je narrête pas de me caresser le cou et de me tortiller sur le canapé. Jespère que ma sur ne me connaît pas aussi bien que moi et jessaye de me calmer.
Je continue découter ma sur parler et essaye de me concentrer sur elle. Bien sûr je suis heureuse pour eux, mais comment dire : je ne peux retenir ma jalousie qui grandit au fur et à mesure quelle partage toutes ses histoires avec moi. Cest fou comme les cicatrices de la jeunesse remontent si vite, toutes ces petites vengeances denfance qui mont fait mal. Jécoute sans écouter. Je suis plus troublée par le regard de cet homme sur moi et leffet quil me fait. Je me sens bien avec lui, comme en harmonie. À la fois apaisée et excitée. Jai envie de le séduire, mais nose pas. Je me sens attirée, mais sais quil ne le faut pas. Mon éducation minterdit des choses comme draguer le mec de ma sur par exemple. Ma religion aussi et je me sens au bord de devoir confesser avoir lenvie de convoiter les choses de mon voisin. Jessaye de me rappeler les dix commandements de la bible sur les choses à ne pas faire.
Jai remarqué un discret tatouage sous la paume de son poignet. Cela lui donne un petit côté bad boy craquant. Tout chez lui me fait vibrer. Alors je le regarde de moins en moins et me concentre sur ma sur. Elle a fait une école de commerce et adore parler en public, tout mon opposé. Elle avait eu de nombreux amoureux, les uns plus beaux que les autres. Jamais de ma vie, je naurais la chance davoir un homme comme lui à mon bras.
Ma sur est une connasse.
À moment donné le boy friend va chercher de leau à la cuisine et je lui indique le bon placard du fond de mon canapé. Je jurerais quil bande. Tout cela me trouble tellement. Est-ce le pli de ses jeans ou bande-t-il vraiment ? Son regard sur moi me rend toute chose et me trouble.
Puis enfin le moulin à parole sarrête de parler. Tout cela pour me poser une question. La seule à ne pas me poser. Elle me demande une chose toute simple et hyper compliquée :
Et toi, tu en es où dans ta vie ?
Et là, je prends une grande gifle, car je réalise que je nai rien dautre à dire quun grand blanc.
On en reparle après, car là, je dois filer aux toilettes.
Ouf ! Sauvée par le gong. Totalement décontenancée, je commence à ranger le dîner. Il me suit dans la cuisine en portant les verres et me coince fermement dans un angle.
Viens ici !
Sa voix est presque imperceptible, mais ferme. Il pose sa main sur mon petit cou. Je frissonne. Il me tient par la gorge sans forcer, tout en légèreté et en fermeté. Comment sait-il que mon cou est mon point sensible ? Je ressens encore la pression de ses cinq doigts exercés sur ma peau.
Embrasse-moi !
Il sapproche et je me fige sur place. Comment devine-t-il que jaime tant quon me demande de faire des choses ? Jadore quon me dise des mots. Il membrasse délicieusement et je me laisse faire. Je nai pas la force de refuser ce baiser volé, si doux et si mâle à la fois. Jai tant besoin de son réconfort, de sa force, de sa stabilité, de sa puissance.
Tu embrasses avec tant de douceur.
Il me complimente dune voix calme. Je me sens si bien, flattée et comblée. Il engouffre sa main sous mon pull et va chercher mes petits seins nus tout en me regardant défaillir.
Tu me dragues depuis des heures.
Pas du tout, il se trompe, cest moi qui suis séduite. Mais je nose pas le lui dire, lui avouer. Je sens sa queue tendue contre moi. Tout se trouble dans ma tête.
Tu aimes me faire bander toute la soirée avec tes petits seins nus et libres ? En te caressant le cou.
Penaude, je hoche la tête en approbation. Je suis à cet instant précis tellement rassurée de me savoir capable de séduire un homme comme lui. Ses doigts semparent de mes tétons qui se sont érigés en une milliseconde.
Tes yeux sentent le sexe.
Il nest pas le premier à me dire cela. Certes, je nai pas eu de relations sexuelles depuis longtemps. Peut-il le lire sur mon visage ? Est-ce que je porte vraiment cela sur moi ? Ou bien est-ce juste une expression que les hommes aiment dire aux femmes ?
Tu es une petite salope, toi.
Ma respiration se bloque. Comment sait-il que je ne rêve que dêtre cette fille-là ? Surtout pour un homme comme lui. On entend le bruit de la chasse deau.
File sur le canapé retirer ta petite culotte !
Je mexécute sur-le-champ pour méloigner de lui, tandis quil continue de ranger des choses dans la cuisine. Jai envie dêtre à dix kilomètres de lui quand ma sur reviendra. Je vois quil me regarde retirer mon petit shorty rose pâle. Ne sachant quoi en faire, je le glisse sous laccoudoir du canapé.
Jentends leau du lavabo cesser de couler et ma sur revient. Jai les joues dun rouge cramoisi, sans culotte sous ma robe longue. Je nose plus bouger sur le canapé. Je suis en effet la pire des salopes. Ce que je viens de faire à ma sur est le plus ignoble des choses. Jaurais dû résister. Me défendre, crier, partir, claquer la porte. Mais non, je reste là, à subir ces moments jamais vécus. Heureusement, ma sur poursuit sa diarrhée verbale sans que je naie rien dautre à faire. Elle parle encore et encore de sa vie. Heureusement, car je nai rien à dire.
Ma sur est une connasse.
Javais toujours trouvé ridicule de lire des histoires de femmes qui retirent leur culotte. Je trouvais cela pas hygiénique et sale. Et je dois dire que de le vivre à ce moment-là est terriblement troublant. Je suis dans un état dexcitation jamais atteint. Heureusement, je sais intérioriser beaucoup. Cest ce que je fais de mieux dans ma pauvre vie. Mon cerveau droit écoute ma sur parler et mon gauche est en ébullition. Lexpression « se liquéfier à vue dil » sapplique à moi. Jai limpression que mon organisme est devenu une machine à secréter de la cyprine. Jai des papillons dans le ventre comme jamais. Je glisse un coussin sous mes fesses en espérant navoir pas déjà taché le canapé.
Il est une heure du matin quand ma sur dit quelle doit filer à la salle de bain prendre une douche avant de dormir. Je frise la crise de panique au fond de moi, sachant que je vais me retrouver seule avec lui. Une fois quelle est partie, je tremble, blottie dans le canapé. Je fuis son regard. Il sapproche de moi avec la lenteur du chasseur devant un gibier quil est assuré dabattre.
Lève-toi !
Sa voix est toujours à mi-mot, basse, grave et elle résonne en moi. Il repose sa main sur mon petit cou au niveau de la gorge. Jaimerais que ses empreintes digitales restent à jamais gravées sur ma peau. Ou me les faire tatouer. Sa main ferme moblige à me lever. Jentends ma sur se déshabiller dans la salle de bain. Elle ne mettra que deux secondes à nous rejoindre si elle a oublié quelque chose. Jai peur.
Embrasse-moi.
Il ne bouge pas, attendant que je vienne à lui. Je nai pas la force de le regarder et ferme les yeux. Je mapproche lentement, colle mon corps à lui, lenserre dans mes bras et prends sa force. Mes lèvres sapprochent des siennes. Elles se frôlent, se redécouvrent. Ma langue vient entrouvrir ses lèvres avant de se mêler longuement à sa langue. Jentends leau de la douche se mettre à couler et ressens comme un soulagement.
Retourne-toi et penche-toi. Appuie tes mains au mur, murmure-t-il.
Je mexécute sans trop savoir comment my prendre. Dieu que jadore cette voix.
Je vais mettre tes petites fesses de tentatrice à lair.
Comme je suis fière dêtre cette fille-là pour lui. Il remonte ma robe longue sur mes hanches. De la cyprine a coulé le long de mes petites cuisses, jespère quil ne la verra pas. Ses mains fermes semparent de mes fesses. Il les malaxe avec envie, les écarte. Je me sens défaillir.
Je vais te prendre en levrette.
Je nose lui dire que cette position debout encore inconnue me faisait tant rêver. Jai une boule de plaisir au ventre. Heureusement, je fixe le mur et nai pas à le regarder. Mes jambes tremblent. Jentends la boucle de sa ceinture se défaire et ses jeans tomber à ses pieds. Il déchire la pochette dun préservatif quil a sorti de je ne sais où.
Tu es une vraie petite salope.
Et je dois avouer que je le suis. Ne serait-ce que pour ce que je fais à ma petite sur. Il prend sa queue en main et guide son gland vers mon petit sexe trempé.
Je vais te défoncer.
Et cette promesse se réalise. Il pose son autre main sur ma bouche pour tout ce qui pourrait en sortir. Puis il rentre en moi, lentement et profondément. Il sempale en moi. Leau de la douche coule toujours. Heureusement que sa main est ferme sur ma bouche. Je dois ravaler mes bruits.
Car jaime défoncer une salope, une tentatrice qui ma cherché toute la soirée.
Son rythme lent change. Et sa force se fait sentir. Ses allers et retours me font rapidement défaillir. Surtout quand mes pieds ne touchent plus le sol tellement il y va fort. Javale mes halètements, ne contrôle plus ma respiration et me sens voler dans tous les sens. Je suis rapidement toute en spasmes sans trop savoir ce quil en est de son côté. Leau de la douche stoppe et il sort de moi. Ma jouissance se poursuit, des vagues de plaisirs viennent prolonger mon plaisir
Ne dors pas, je reviendrai te voir cette nuit.
Il relève sans bruit ses jeans, baisse ma robe et part dans la cuisine. Je trouve la force de rejoindre le canapé à deux mètres et de my affaler dans la même position où jétais toute la soirée. Je suis probablement toute rouge et essaye de reprendre mes esprits.
Il est dans la cuisine et finit de ranger quand ma sur rentre, toute belle et désirable dans mon peignoir. Il file à son tour sous la douche tandis que jorganise la logistique de la nuit avec ma sur. Elle accepte de prendre ma chambre, me laissant dormir sur le canapé. Je prends un grand tee-shirt qui fera office de chemise de nuit. Du placard de ma chambre, je frôle la porte de la salle de bain où il prenait sa douche, nu. Nous sommes à un mètre lun de lautre.
Je ne prends pas de douche, voulant garder son parfum et le contact de ses doigts sur mon cou. Ils me souhaitent bonne nuit en se tenant la main tous les deux depuis la porte de la chambre.
Ma sur est une connasse.
Enroulée sous une grosse couette dans le canapé, je ne peux mendormir, ne cessant de repenser à tout ce que je viens de vivre. Ma tête est à dix centimètres de la petite culotte que javais cachée sous laccoudoir. Je narrête pas de me caresser, passant dun orgasme à lautre. Cest vers trois heures du matin que jentends du mouvement dans la chambre.
Comme au ralenti, la porte souvre sur lui. Je ne bouge ni ne respire. Il savance lentement pour venir me faire face. Il est là, stable, posé, imposant, tranquille. Il me fait signe douvrir la couette, ce que je fais, puis de relever mon tee-shirt. Je nai pas baissé le store du balcon et il y a la lumière des néons de la rue et de la lune. Je suis nue des pieds à mes genoux et en remontant mon grand tee-shirt, lui dévoile donc mes petites cuisses, sexe, ventre et seins. Son sexe, impressionnant, est déjà tendu et sorti de son caleçon.
Il att mes chevilles et me fait glisser comme une plume vers lui jusquà ce que mon bassin se trouve en haut de laccoudoir, à la hauteur de ses hanches. Là, il place mes pieds sur ses larges épaules, me laissant indécente, jambes ouvertes et écartées devant son regard. Il enfile un préservatif sans bruit. Il positionne son gland et rentre en moi sans problème. Je suis plus que lubrifiée. Jamais personne ne mavait fait lamour dans cette position. Et il faut dire quil rentre en moi plus profondément quaucun autre homme de ma petite vie.
Je ne vois pas son visage ni son regard, la seule lumière est dans son dos. Je ne dois pas faire de bruit et me concentre sur ne pas laisser un seul son sortir de ma gorge. Cette situation méchappe totalement. Jai perdu le contrôle. Il me prend comme la petite salope que je suis. Celle dont les yeux puent le sexe. Il de sa force animale dhomme. Je suis son jouet. Il me percute, me pilonne avec régularité et détermination. Mon plaisir est rapide. Tout cela va si vite pour moi. Je suis perdue.
Sentant que je ne suis que spasmes, il se retire de moi et déroule lentement son préservatif. Il se penche pour attr mon cou. Jen frissonne encore. Il me fait asseoir sur le canapé avant de présenter sa belle queue à la bordure de ma bouche. Il ne me laisse pas le temps de la caresser, de leffleurer, de la lécher. Il la fait rentrer en moi, au plus profond de moi, au fin fond de ma gorge. Là où je ne peux plus respirer, au contact des amygdales qui me donnent envie de vomir. Et cest ma gorge quil baise. Son désir est aussi rapide que le mien. Et au moment fatidique, il sort de ma bouche pour venir éjaculer en trois jets sur mon ventre, mes petits seins et enfin mon cou. Mon Dieu, un homme qui éjacule sur mon cou. Enfin !
Il part vers les toilettes me laissant seule et nue face à la nuit. Ces moments étaient bizarres, inattendus et tant désirés, heureux et glauques, emplis de plaisirs malsains, de désirs destructeurs. Je ne peux mempêcher de lécher ce sperme chaud. De le faire mien. Détaler ce quil reste sur mon ventre mes seins et mon cou. Je veux garder son emprise, sa force, son parfum.
Il tire la chasse deau à grands bruits. Une envie daller aux toilettes était probablement son alibi sil venait à être surpris par ma sur. Le préservatif a dû partir dans les toilettes pour ne pas laisser de trace dans ma poubelle.
Je baisse mon grand tee-shirt et menroule sous ma couette sans bruit. Je suis toute blottie dans le canapé quand il passe derrière moi. Il repart dans la chambre au même rythme lent avec lequel il était arrivé. Tout cela naura duré que quelque minutes peut-être.
Je ne peux mendormir et me caresse le reste de la nuit, continuant à passer silencieusement dun orgasme à un autre, portée par la folie de cette soirée. Je guette chacun des bruits, espérant quil revienne. Je massoupis à laube, juste avant que le réveil ne sonne.
Ma sur entre dans le salon comme un tourbillon, déjà coiffée et maquillée. Elle membrasse et file comme léclair avec son chéri sans petit déjeuner. Une décharge électrostatique nous frappe à nouveau tous les deux quand il membrasse. Cela nous fait bien rire. Je me sens toute bizarre dêtre nue sous mon grand tee-shirt à ses côtés. Jemplis mes pouvons de son parfum et les regarde partir tristement. Ma petite vie va encore être plus morne. Caché derrière ma sur en attendant lascenseur, il me fait un clin dil et un petit geste de la main. Je vais de toute façon le revoir à Noël, dans ma famille, si dici là ils sont encore ensemble.
Ma sur est une connasse.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!