Hélène : La Table

La table


Récit d’Anne So

Pierre est un type sympa, c’est un maitre qui n’est pas possessif pour un sou.
Quand il n’a pas épuisé Hélène la veille, il l’autorise à prendre le thé, le dimanche, avec nous, chez moi ou chez Mel. Et elle en profite pour nous raconter ce que son seigneur adoré lui a fait subir la semaine précédente.

Mais avant de passer nous voir, il faut payer son droit de sortie, comme elle le dit elle-même.

Ce dimanche après-midi, en lui ouvrant la porte, je note son élégante tenue bourgeoise : une jupe plissée, dont l’ourlet s’arrête un peu au-dessus du genou, une veste cintrée, et un foulard de soie, mais ce qui me frappe, ce sont ses yeux cernés. Je lui lance…

- Quel beau look sexually tired !!!
- Oh, si vous saviez, soupire-t-elle, en entrant dans le salon.
- Qu’est-ce qui t’arrive, ma belle, lui lance Mel.
- C’est Pierre, il est terrible…
- Il t’a fouettée.
- Pire, ma chérie, il m’a posé les bijoux.
- Quels bijoux, fais-je.
- Je vous montre, fait Hélène en déboutonnant sa veste.

Elle ouvre son chemisier, sa belle poitrine repose sur un coquet redresse-sein qui laisse ses mamelons à nu. Heureusement d’ailleurs, car ses tétons percés sont ornés de deux cabochons rouges.

- Je peux toucher, fais-je en avançant la main.
- Non Arrête, me lance Mel, et elle continue.
- les swarowskis sont munis d’une pointe qui pénètre le mamelon.
- Et ce n’est pas tout, il m’a fait la totale, continue Hélène

Et elle nous expose son ventre, en soulevant sa jupe.
Au-dessus de la lisière de ses Gerbes fumés, elle nous exhibe son sexe sans voile, arborant tous les signes de sa soumission.
Les anneaux de ses grandes lèvres sont ornés d’une courte chaine reliée à la lisière de ses bas.
Sa petite nymphe gauche est étirée par une lourde plaque en or reliée à une des deux autres fibules de sa vulve.


Un même bijou rouge orne le piercing de son clitoris.

- Mais comment pouvez-vous supporter ça
- Ma chère, je suis une soumise avec un maitre cruel et inventif, et j’aime sentir son emprise sur moi.
- Mais c’est horrible.
- Non c’est atroce, et délicieux, et elle poursuit…
- A chaque pas mes grandes lèvres sont étirées, et puis j’adore sentir le balancement de ma plaque sous ma jupe.
- Mais vos seins, votre clitoris...
- Ils sont à la fois stimulés, et douloureux. C’est une souffrance lancinante. Si vous les touchez, je peux hurler de douleur ou m’évanouir de plaisir.
- Ma pauvre chérie, viens t’asseoir sur le canapé, je vais te consoler avec quelques macarons et un thé, lui propose Mel

La belle mature se laisse tomber alors dans un fauteuil, non sans avoir fait voler sa jupe pour poser directement son cul nu sur le cuir de l’assise.
Hélène vient d’attaquer son troisième macaron quand un SMS en arrivée fait vibrer un téléphone.

- Mel, je crois que c’est le tien, déclare la brune.
- Oui, tu as raison répond Mel, en attrapant son portable, et elle continue.
- C’est bizarre, c’est Pierre qui m’écrit
- Tu peux lire, s’il te plait
- Chère Mel, puis-je vous demander un petit service. Je crois qu’Hélène a du s’habi à ses bijoux. Pouvez-vous visser d’un tour les cabochons rouges ? Merci d’avance.

A la fin de la lecture, la mature pâlit légèrement, elle se lève. Elle jette sa veste sur un siège, détache sa ceinture, puis enjambe sa jupe. Elle glisse ses mains dans son dos et dégrafe son soutien-gorge. Ses seins libérés s’affaissent légèrement. Elle pivote légèrement sur elle-même comme à la recherche de quelque chose.

Je peux l’observer. Elle est bien faite, de taille moyenne, ses seins ronds, même lestés des bijoux se tiennent bien. Elle a un petit ventre, mais ça doit être bien confortable pour la sieste de son chéri. Ses hanches sont rondes, sous une taille marquée, qu’elle met en valeur par un large porte-jarretelles gainant son petit bedon.

Et surtout, elle a un cul opulent, mais ferme, mis en valeur par la cambrure de ses reins. Ses fesses surplombent des cuisses charnues, des mollets bien ronds et des chevilles fines.
Ses hauts talons étirent ses jambes gainées d’une paire de bas fumés.
Bref, une quinqua sexy, sachant tirer avantage de ses formes.

- Mel, s’il te plait, tu peux avancer le pouf.

Elle s’assoit sur le petit meuble de cuir, puis bascule en arrière. Elle écarte ses jambes, et laisse pendre ses bras après avoir libérer sa chevelure noire, étalée jusqu’au parquet.
Ses seins s’étalent sur son torse. Elle nous offre son sexe grand ouvert et ses mamelons durcis.

Récit d’Hélène.

Voilà, je suis comme une vierge prête au sacrifice. Je suis arrivée là où je voulais que mon maître m’amène.

Flash-back, une heure plus tôt.

Avant de partir chez mes amies, je me prépare à faire la bise à Pierre, quand il me présente la petite boite où sont rangés mes bijoux si particuliers. Je comprends tout de suite.
J’ouvre mon corsage.

Avec délicatesse, il pose les demi-anneaux de sein, puis il visse les cabochons. Les pointes pénètrent doucement mes mamelons. Je ne ressens qu’un léger picotement, puis un début de piqure.

Il stoppe, puis il s’agenouille. Je saisis l’ourlet de ma jupe plissée, et je dévoile ma lingerie. Il passe ses deux index dans l’élastique de ma culotte et la fait glisser jusqu’à mes genoux. Elle tombe à mes chevilles, je danse d’un pied sur l’autre pour m’en débarrasser.
J’écarte les jambes, et je bombe mon con en avant. Du pouce, il dégage mon bourgeon. Je sens le froid du métal sur mon clitoris. Ce petit coquin gonfle sous l’effet de l’excitation. Puis cette sensation si familière d’agacement qui remonte de mon sexe.

- Serre un peu plus, mon chaton.

La pointe presse mon petit gland. Enfin, cette souffrance si délicieuse qui se joint à celle de mes seins.
Je sens qu’il ouvre en grand ma vulve, il crochète de fine chaines sur mes grandes lèvres, et les étire. Je n’ai pas besoin de me pencher et de regarder ma chatte pour savoir que je suis ouverte.

- Ne bouge pas, je vais te mettre une nouvelle plaque.

Un petit déclic, et ma nymphe gauche est libérée, comme allégée. Un deuxième clic, et je sens un étirement de ma chair.

- Ouf, ça tire, fais-je en soupirant.
- Oui, elle est deux fois plus lourde que l’autre. D’ailleurs, il faudra régulièrement changer de lèvre pour qu’elles soient étirées de la même longueur.
- Pierre, tu m’as ouverte devant, s’il te plait, ferme me moi derrière.
- Tourne-toi et cambre-toi un peu.

Je pivote, et j’écarte mes fesses à deux mains. Il laisse couler un filet de salive dans ma raie culière. Quand elle atteint mon cratère, il pousse dedans son index, puis il me pistonne lentement. J’apprécie ce doigtage, mais en moi-même, je regrette qu’il ne se livre pas à une lubrification linguale.
Il doit lire dans mes pensées, car je sens une caresse râpeuse sur mon œillet, puis sa langue me pénètre, me fouille.
J’adore cette feuille de rose, et je lui montre en roucoulant, Il m’encule si divinement.
Je commence à partir, et il m’achève par une pression du pouce sur mon bijou de clito. Je disjoncte.
Mes jambes me lâchent, Il accompagne mon agenouillement en douceur sur le fauteuil.
Et sans attendre, il pousse mon rosebud dans mon anus. Ma dilatation anale provoque un deuxième orgasme.

Après avoir récupéré, je me dirige vers la porte. Il m’accompagne et au moment de passer le seuil, il me retient par le poignet. Je tourne sur moi-même et dans le mouvement, je prends ses lèvres et je lui roule un patin d’enfer en saisissant sa nuque rasée. Il me plaque contre lui, sa main droite sur ma taille. En même temps qu’il m’embrasse, il écrase les trois pointes contre ma chair. Il glisse sa gauche sous les plis de ma robe.


Tout le voisinage peut me voir me faire peloter le cul. Je m’en fous. Je suis une femme aimée, voir adorée, et j’aime le montrer. Mes voisins n’ont qu’à fermer les yeux
J’abandonne les bras de mon chéri à regret, et je me dirige vers ma voiture. Un coup de vent découvre mes fesses. Je le laisse sur cette vision.
Le court trajet est un mélange infernal de souffrance et de volupté. Chaque changement de vitesse, accompagné d’un appui sur la pédale d’embrayage tire sur ma lévre gauche. Je suis trempée quand j’arrive chez mes amies.

Retour au présent.

Je m’offre aux quatre mains de mes amies. Je tremble légèrement. Comme toujours avant d’être suppliciée ou fouettée, je sens monter mon excitation. Je suis sûre que mon sexe rosit et mouille. Vivement qu’elles commencent.

- Tiens bien son nichon gauche, ordonne Mel.

Les mains d’Anne So entourent mon sein. Je frissonne, mais pas de froid. Les doigts se posent sur le cabochon et le visse lentement. Je sens la pointe s’introduire dans ma chair. Je retiens mon souffle. Mais la douleur est trop forte. Je gémis. Ma bourrelle s’arrête.
Elle passe à l’autre mamelle. Je soupire.

Je sens leurs souffles sur mon ventre. Je m’ouvre encore plus, bombant mon sexe.
Des doigts s’insinuent dans ma vulve et remontent vers mon clitoris. Mel le pince avec douceur entre pouce et index. Elle tourne le bijou rouge, la pointe pénètre mon bourgeon de chair. La piqure est atroce, je me mords le poing pour ne pas crier. Mais je ne peux plus me retenir, je laisse échapper un gémissement. Mel s’arrête instantanément.

Elle pose sa bouche sur ma chatte et lape ma mouille. Sa langue reptilienne s’insinue dans tous mes replis sexuels.
Anne So se jette sur mon sein gauche et la tête, faisant grossir le téton et incrustant davantage le piquant dans ma framboise érigée. C’est atroce et délicieux.
Mel en profite pour mordre mon clito gonflé de sang. Je pars dans un râle.

Quand j’atterris, mes amies me câlinent, puis elles m’aident à me rhabiller, mais je ne remets pas mon soutien-gorge, car j’adore le frôlement excitant de la soie sur mes seins embijoutés.

Nous poussons le pouf dans un coin et nous nous installons dans le salon pour un moment cocooning avec les gâteaux et une petite liqueur.
Nous délaissons les fauteuils, pour nous vautrer sur les coussins jetés en vrac sur le parquet. En plus, je me cale contre le ventre de Mél, j’aime le moelleux confortable de ma soumise blonde. Elle glisse sa main dans mon corsage et pince délicatement mon téton droit. Anne-So quant à elle s’allonge, près de mes chevilles, et les caresse distraitement, puis remonte ses doigts le long de mon mollet puis de ma cuisse. Elle ne s’arrête qu’à ma lèvre étirée.
Je soupire d’aise. De temps en temps, jouer à la domina a du bon.


Anne So reprend

- J’ai vu que vous étiez toutes les deux percées. Vous vous l’êtes fait faire ensemble, nous interroge notre odalisque.
- Non, moi, je l’ai fait pour Pierre.
- Et moi, pour Hélène, poursuit Mél
- Ça fait mal.
- C’est atroce, mais après, au moindre coup de langue, c’est jouissif, confirme ma maitresse brune.
- Ma belle, je vais te raconter, fait Mél en glissant ses doigts dans la chevelure devenue acajou de notre nouvelle amie.


Récit de Mel.

Je suis nue, juste une paire de bas autofixants, remontés jusque sous mes fesses. Et un masque et des talons.
Dans quelques instants, je vais offrir à ma déesse ce qu’elle a offert à son maitre. Je vais être percée.
A ma demande, Hélène a revêtu la tenue qu’elle portait le jour de mon expiation.
Je tremble du haut en bas. Elle me prend la main. J’ai peur, peur de la croix, de la sangle autour de mon front, peur de la douleur, peur de ma peur.
Elle ouvre la porte et me tire par le poignet.

Je suis surprise : pas de croix, juste une table de massage, grande comme un lit biplace, et autour une demi-douzaine de femmes masquées, habillées de noir.

- Monte dessus, et installe-toi sur le dos, ma chérie. Puis elle continue.
- Etends tes bras et tes jambes, poursuit-elle.
- Tu ne mets pas un gode dans le cul, comme toi.
- Non, tu n’es pas là pour t’amuser, mais pour souffrir, me répond-elle.

Je m’allonge sur le dos. La table est moelleuse. De moi-même, j’écarte mes bras et mes jambes. Des femmes me saisissent les poignets et les chevilles, et les maintiennent.
L’officiante me présente la pince à bouts plats triangulaires, troués pour le passage de l’aiguille. On m’étire.

- Je vais avoir mal ?
- Oui, très, ma chérie
- Tu me soigneras bien après ?
- T’inquiète pas, je vais chouchouter tes nichons, et ta chatte.
- Tu t’occuperas aussi de mon cul.
- Oui ma cocotte, avec un martinet pour bien faire circuler le sang.


Hélène se penche, sa chevelure soyeuse balaie ma poitrine. Elle embouche mon sein droit, le mouille, le suce, et l’aspire. Il se gorge de sang et gonfle. Il durcit. Elle s’écarte et serre ma mamelle à deux mains pour faire saillir mon auréole.

La perceuse saisit mon téton dans la pince, l’écrase et le tire. Elle pousse la pointe, et me transperce, je serre les dents, mais je ne peux m’empêcher de pleurer. Dans l’élan, elle passe la barrette.

Ma maitresse s’incline et embrasse mes yeux mouillés, puis elle glisse sur ma poitrine, pose ses lèvres sur ma mamelle meurtrie et aspire les petites gouttes de sang qui souillent ma peau livide.

L’officiante lance

- On passe à l’autre.
- Oui, tout de suite, répond Hélène à ma place

La séquence recommence de la même façon. Je ne peux m’empêcher de crier.
On me relâche les poignets. Mes seins me lancent, mais je me retiens d’y porter les mains. Hélène se penche au-dessus de moi.

- On va s’occuper de ton clitoris, et après, pour les lèvres, tu ne sentiras presque rien.
- Bâillonne-moi, s’il te plait.

Elle approche sa main de ma bouche, mais je l’arrête.

- Non pas comme ça.

Elle comprend, et grimpe sur la table. Elle m’enjambe. Sous sa jupe, au-dessus de la lisière dorée de ses bas, je distingue la tache sombre de sa culotte. Elle la fait tomber le long de ses jambes, et s’en débarrasse.

Juste avant qu’elle m’offre sa chatte, je demande qu’on me lâche les mains.
Hélène s’agenouille et fait voler le tissu au-dessus de mon visage. Je ne vois plus rien. Je glisse mes mains le long de ses cuisses, et j’empaume ses fesses. Elle pose sa chatte sur ma bouche. J’ouvre mes lèvres, elle coule, je la bois. J’embrasse sa vulve, je la mâchouille.
J’entends son halètement.
Je suis prête, assourdie et plongée dans une obscurité moite et odorante.
On embrasse mon con, on m’ouvre, on suce mon bourgeon, il se gonfle et se gorge de sang, comme s’il ignorait ce qui l’attend.
Cette douce caresse s’arrête, je sens la pression de la pince à œil autour de mon petit gland.
Je fais glisser ma belle sur mon visage et je faufile ma langue dans son anus.

Hélène.
Je m’assoie sur la bouche de Mel, elle commence à lécher mon petit trou du cul, puis elle pousse sa langue dans mon anus, elle me ramone le rectum. J’adore cette caresse râpeuse.
Je jette un œil vers son ventre. Les aides ont ouvert ses genoux en grand. La perceuse a aspiré et fait gonfler son bourgeon. Elle le coince dans la pince et approche l’aiguille.
J’appuie toute ma croupe sur son visage, presque à l’r.

Mel

La douleur est atroce, je me contracte de tous mes muscles. J’hurle mais mon cri est étouffé par la masse de son cul. Puis je me relâche.
J’ai tellement mal que je sens à peine l’infibulation de mes lèvres.

- Voilà, c’est fini, fait une voix étouffée.
- Tenez la encore un peu !

Hélène bascule en avant, libérant mon visage, mais je reste enfouie sous sa jupe, baignant dans un océan de parfum et d’odeur de sexe.
Ses lèvres se posent sur mon sexe annelé, sa langue mon clito. J’explose dans un mélange de plaisir et de douleur. Je perds pied.


Retour au présent

- Et après questionne Anne So?
- Je me suis bien occupée de ma soumise. Tous les jours, j’ai désinfecté ses piercings, et je faisais tourner les tiges et les anneaux pour éviter que la cicatrisation les fasse coller
- Au début, ça me lançait, puis ensuite ça me chatouillait, ajoute Mel
- Mais il a bien fallu changer les barbels pour les bijoux définitifs en or.
- Oui, il y a deux mois, Hélène m’a posé les barrettes des mamelons
- Et quand je t’ai posé la tige du clito, tu t’es pâmée et quasiment évanouie.
- Je n’avais jamais joui aussi fort, c’était presque douloureux

Sans me gêner, je remonte la jupe de Mel pour mater son clitoris percé, et j’écarte son corsage pour exposer ses seins. De même, Hélène se trousse et dévoile sa poitrine.
J’envie ces femmes.

- Je veux les mêmes…
- Tu préfères le fauteuil gynécologique, la croix, ou la table, me demande ma domina brune ?
- La table. Mel tu me tiendras, et toi Hélène, tu me bâillonneras avec ton cul.

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