Le Garage (14)
Je mapproche de Paul. Jai envie de le prendre à nouveau mais ma jouissance a été trop forte et jai besoin de récupérer. Je pose ma main droite sur son cul et je commence à mamuser à étaler mon jus qui coule de son trou, mêlé au gel lubrifiant, sur les poils de ses petites fesses rondes, fermes et poilues. Les poils se collent en dessins abstraits sous leffet de mes caresses. Paul gémit un peu sourdement, heureux visiblement de cette douceur après lassaut. Petit à petit lenvie de la pénétration reprend le dessus et je glisse un doigt, puis deux, dans son trou détrempé. Cest chaud et cest bon et le simple fait dêtre ainsi en lui me comble de plaisir.
- Mmmmmm, cest bon
caresse moi
Je ne me fais pas prier. Paul me trouble profondément, tellement désireux de jouir de tout son corps mais avec une forme dinnocence qui me va droit au cur.
Notre petit jeu dure de longues minutes puis, comme le soir tombe, il commence à faire plus froid dans le garage et Paul frissonne.
- tu as froid ?
- un peu oui
- une douche bien chaude ?
- oui, génial
- viens
Paul descend du pare-choc chromé impressionnant du 4X4 et je me retrouve face à lui. Il bande, beau comme un dieu avec son collier de cuir et sa queue enserrée dans lanneau.
- on va aller dans le vestiaire des mécanos, il y a des douches
- tu as tout prévu
Paul sourit en me disant cela. Y met-il une allusion et suppose-t-il que je fais mon marché parmi mes employés pourvu quils soient mignons et bien foutus ?
Arrivés dans le vestiaire Paul sassied sur un banc, défait les lacets de ses grosses pompes, enlève les chaussettes épaisses qui vont avec. Javance et dégrafe son collier de cuir. Je le veux nu pour moi et jessaye de dégager sa queue du cock ring. IL bande encore à moitié mais finalement je le libère. Il est assis sur le banc, il me regarde droit dans les yeux, la queue encore gonflée entre ses cuisses puissantes et poilues.
Je massieds près de lui, me libère moi aussi de mes pompes et lui montre le chemin des douches. Leau chaude est puissante. Dabord nous nous abandonnons chacun sous la cascade réparatrice. Puis je prends du gel douche et commence à le laver. Le torse,dur et velu sur lequel la mousse séparpille, son ventre doux comme une peluche denfance, son pubis et sa queue puissante. Il se retourne, la tête sous leau, les mains levées appuyées sur le mur. Je frotte son dos musclé, puis ses fesses encore collantes de mon sperme. Je mapplique pour enlever toutes les traces et passe mes doigts ou la tranche de ma main dans sa raie pour me rappeler les folles émotions de notre étreinte.
- Oui
cest bon
jaime quand tu me laves
- Je taime Paul
- Je sais. Moi aussi je taime.
Après sêtre un peu reposé sous leffet bienfaisant de leau chaude, nous échangeons nos positions et il commence à me laver avec le même soin que celui avec lequel mes doigts ont couru sur sa peau.
Je suis bien, je moublie.
Il se colle à moi pendant que je suis face au mur carrelé et je sens sa queue dure entre mes fesses. Jaime. Puisque cest lui, cest magique et jaime cette présence contre moi. Il pose sa queue à la verticale contre le bas de mon dos et commence des lents va-et-vient contre mes reins.
Il fait chaud, latmosphère est moite. Il se savonne en même temps quil me couvre de mousse et, au moment où il se colle à nouveau à moi, sa queue tendue à lhorizontale se fraye un chemin entre mes fesses et vient buter contre mon trou.
Instant de grâce. Pourquoi. Hasard, inconscient à luvre ? Le veut-il ?
- Eric ?
- Oui
Il murmure à mon oreille, la tête dans mon cou
- Tu veux ?
Je crois avoir compris. Son gland contre mon anus, il a besoin de mon autorisation pour continuer. Moi lactif qui rêve toute la journée de plonger ma verge dans un petit cul accueillant, je suis à deux doigts de basculer dans lautre monde.
- Je
.
- Jai envie
.
- Moi aussi
- Cest vrai ? vraiment ?
- Oui
très envie
.prends moi mon amour
Lenvie est là, irrépressible,libératoire, qui brouille et rééquilibre tout. Parce que cest lui et que jai limpression de ne plus pouvoir continuer à vivre sans avoir connu son pénis au fond de moi.
Le savon suffit à nous lubrifier tous les deux. Il appuie contre moi et je mouvre. Jai un peu mal mais beaucoup moins que ce que jimaginais, grâce au savon généreusement répandu sur son sexe et mon cul.
Il membrasse dans le cou et je comprends que je fais connaissance avec sa queue,millimètre par millimètre. Il est en moi, il est moi, je suis lui parce que nous nous aimons et que nous fusionnons par lâme en même temps que par le corps.
- mmmmm
- tu as mal ?
- nonnnn
.cest bon
.
- Tu aimes ?
- Oui
jadore
.fais moi lamour Paul
Paul est costaud, bien planté sur ses jambes musclées, il plie légèrement les genoux en cadence pour faire glisser son sexe dans mon ventre. Je fléchis les miennes pour lui ouvrir le meilleur accès à mon anus, le cul tendu vers lui et il me pilonne en trois dimensions, à la fois davant en arrière et de haut en bas. Je me sens envahi par sa belle queue que jimagine se décalotter dans mon trou à chaque frottement contre mon intimité.
Paul saisit ma queue et comprend que moi aussi je suis revenu au comble de lexcitation. Il me masturbe dune main pendant que lautre, posée sur mon épaule lui permet de menfoncer à fond sur lui.
Il est adroit et sauvage. Je le prenais pour un passif exclusif mais il semble avoir de lexpérience. Ou de linstinct
comme je le comprendrai plus tard.
-
.mmmmm
- oui
.baise moi bien
.
- Je vais jouir
- Oui
.jouis dans mon cul mon amour
- Je peux ?
- Oui
.vas-y
.vide toi bien
.
- P
.
Je deviens fou. Jai rêvé ou jai senti quil minondait ? Il a joui comme une bête tout à lheure, il na pas pu me remplir avec une quantité folle de jus mais jai quand même limpression que mes veines sont maintenant remplies de son sperme qui aurait pris la place de mon sang.
- oh
p
. ! Ohhhh
.p
! cest trop bon
- tu as aimé ?
- ohhhh oui alors
..
Paul continue à membrasser dans le cou. Je sens son érection faiblir dans mon anus inondé, il se retire, et garde son sexe collé à ma raie. Son jus doit couler et se mélanger à sa queue avant de dégouliner le long de mes cuisses. Quelques minutes plus tard je sens le liquide tracer son chemin sur mes poils et mon cerveau associe les deux images de ses jambes marquées par ma semence et des miennes que jimagine balafrées des mêmes traces blanches.
Je me retourne. Nous nous embrassons furieusement. Deux mâles, deux amis symétriques aujourdhui, fécondés lun par lautre, amoureux.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!