Ma Première Pose (Deuxième Session)
Javais repensé intensément tous les jours à ma première séance. Ce jour ou après avoir enfin osé contacter le club de dessin je métais retrouvée à poser nue devant tous ces hommes, pendant plus de deux heures, exposant progressivement toute mon anatomie à leurs yeux avides. La prise de photo finale mavait beaucoup troublée et à la fois effrayée et excitée.
Le mercredi matin dès le réveil je ne pensais plus quà ça. Je travaillais le midi mais fut de retour a la maison vers 15H30. Dès mon retour à la maison je respectai les consignes le cur battant et retirai mes dessous pour « éviter les marques », comme ils me lavaient précisé. Me regardant dans le miroir je vis les marques du string et du soutien-gorge. Me mordant les lèvres jespérais très fort que ça disparaitrait avant la séance, pour ne pas avoir de remarques désagréables ou e moqueries.
Je me sentis étrange, à vaquer à mes occupations en attendant la fin daprès-midi en étant ainsi nue sous ma robe légère. Une sensation inhabituelle mais pas désagréable, au contraire, qui me rappelais à chaque instant que jaurais ce soir encore à me dévêtir devant tout le groupe de dessinateurs. Lexcitation mêlée dangoisse faisait régulièrement pointer mes seins, ce qui se voyait sous ma robe. Je men aperçu au regard que mon père me lança en détournant aussitôt les yeux. Heureusement il ne fit aucune remarque, devant penser que vu la chaleur, javais « allégé ma tenue ».
Laprès-midi passa assez vite, dans cet état second. Je pensais sans cesse aux derniers mots prononcés par David : « nous attaquerons les poses érotiques »
me demandant en quoi cela pouvait bien consister. Je trouvais moi quils avaient déjà bien regardé mon intimité sous toutes les coutures et de façon pas mal érotique. Bien sûr, il mavait demandé de venir avec des talons plus haut, ça devait être ça, jallais poser en escarpins.
Un peu avant 19 heures je passais dailleurs les chaussures que javais choisie, et qui devait répondre à la demande.
La salle municipale étant assez peu éloignée de chez nous, je my rendis à pied, cette fois-ci aussi, en partant 15 minutes avant. En sortant, je prétendis aller boire un verre avec des amies et je précisais que je ne rentrerais pas très tard. Ma mère me souris dun regard entendu (elle devait se dire que jallais voir un copain vu ma tenue un peu sexy) et mon père en me souhaitant bonne soirée posa à nouveau son regard sur mes seins pointés à travers ma robe.
Pendant tout le trajet, qui ne dura quun quart dheure, jeu limpression quil était écrit sur mon front que je ne portais aucun dessous. Sensation étrange ou jinterprétais toujours les regards des quelques personnes croisées. Bien sûr ils ne pouvaient se douter de rien.
Jarrivais à la salle le cur toujours battant. Dès mon arrivé, David mattendait à la porte principale. Il me salua et me fit le précéder dans le petit hall. Tandis que nous le traversions, il sarrêta devant un des panneaux daffichage que javais déjà vu la fois précédente et ou étaient affichées les nouvelles communales ainsi que lactivité des différents clubs. « Regarde » me dit-il, en souriant dune façon un peu perverse, « tu deviens célèbre ». Je mapprochai et avant même de pouvoir déchiffrer ce quil y avait décrit sur laffichette A4 je reconnu mon visage sur la photo imprimée en haut. Intriguée je me dépêchais de lire laffichette. Je ressentis un drôle de sentiment en constatant que sous mon visage un peu tendu (heureusement la photo, prise à la fin de la séance précédente) avait été coupée et on ne voyait que mon visage de face et mes épaules nues) étaient mentionnés, les horaires des séances de pose prévue » et la mention suivante :
-Caroline Martin, de notre village, posera nue pour le club de dessins tous les mercredis à 19H.
Je restais figée devant le tableau ne sachant que dire, et ayant du mal à réaliser les implications de ce que je voyais. Mais je comprenais petit à petit que tout le monde pouvait potentiellement savoir ce que je faisais. Une dernière remarque de David acheva de me troubler « On a dû refuser du monde, ils viendront la prochaine fois. Laffiche de la boulangerie a généré encore plus de retour. Cest fou le nombre de personnes qui souhaitent se mettre au dessin ». Jétais à deux doigts de tourner les talons et de repartir, un peu paniquée par tout cela, mais David me saisit le bras et m entraina en serrant un peu plus fort vers la même salle que lautre fois.
Je remarquais brièvement en passant que la salle den face était également occupée cette fois-ci, et vis par la porte ouverte quil devait sagir du club de lecture ou de littérature, une quinzaine de personnes hommes et femmes assis ou debout et semblaient échanger autour de livres. David me poussa presque devant lui dans la grande salle dédiée au club de dessin les mercredi soir, et où je remarquai tout de suite que les pupitres avaient étés disposés en plus grand nombre autour de lestrade ou jallais poser.
Avant même que jai le temps de compter les participants ou de les reconnaitre tous, David maccompagna jusque à lestrade ou je montai et me dis dune voix que je trouvais autoritaire « donne-moi ta robe ». Je pris alors conscience, tout en défaisant les quelques boutons qui la maintenait fermée, que désormais il me tutoyait. Je navais pas noté ce changement dans le hall, trop occupée à lire laffiche. Je laissais ma robe glisser le long de mes bras et la lui tendis. Il ne prit pas la peine comme lautre fois daller la poser lui-même mais la roula en boule et la jeta à un autre plus au fond qui lui-même la fis suivre et je la perdis de vue, tandis quil me jetait « on te la rendra plus tard
.
Il me regarda à nouveau de bas en haut, approuvant labsence de marque de sous-vêtements ainsi que la hauteur de mes talons que javais conservé. Sadressant à la salle, il lança : « vous voyez que vous avez bien fait de venir », puis à moi, « allez reprend la pose là où tu lavais laissée
mets-toi a 4 pattes ». Le rouge au front je mexécutai en mefforçant de lancer a la salle un regard circulaire pour regarder en douce lassistance. Plus nombreux que lautres fois en effet, je ne dénombrais pas moins de 38 personnes, qui toutes me regardaient intensément. Certains que je reconnue de la première fois, et des nouveaux parmi lesquels je reconnus pas mal de personnes des environs, des voisins, sans doute attirés par les affichettes annonçant ma « prestation », mon ancien camarade de lycée, mon ancien prof qui madressa un petit signe et à côté duquel je reconnu aussi un autre enseignant, que javais eue (il avait dû passer le mot !) et avec lequel je ne métais jamais bien entendue et japerçue même désespérée mais impuissante un collègue du restaurant qui habitait lui aussi le bourg.
Tandis que je commençais à réaliser que tous ces gens attirés par lannonce ou le bouche-à-oreille devaient eux même en parler autour deux et que tout le bourg risquait bientôt dêtre au courant, David me forçait avec moins de ménagement que lautre fois à prendre une pose correcte. Sa main appuya au creux de mes reins, tandis quil forçait de son autre main mes genoux à sécarter un peu plus. Il écarta mes mains au sol également, soupesant un de mes seins en indiquant « il faut quon les voie bien », releva mon menton en me disant « regarde bien en face » et fini par se relever en me collant une claque sonore sur les fesses et en concluant « voilà tu es parfaite ainsi, ne bouge plus ».
Je restais la, à 4 pattes, cambrée, genoux et bras trop ouverts, aussi immobile que je le pouvais, tandis que lassistance me dévorait des yeux et me dessinait (pour les nouveaux inscrits, je ne suis pas sure en fait que tous dessinaient vraiment).
Je refis cette pose une autre fois, tournée de lautre côté, afin, comme il le disait, que chacun puisse me voir sous tous les angles et sentraine à me dessiner. Pendant la totalité des poses jentendais les murmures dans la salle sans en comprendre clairement la plus grande part mais en captant parfois quelques mots, à propos de mon anatomie bien sûr et de qui jétais : « jolies seins pointus », « jolie chatte lisse », cest bien la fille Martin la fille de Jean-Paul et Catherine ? »
. Chaque bribe que je captais renforçait simultanément mon sentiment de honte et mon excitation. Je sentais mes seins durs et dressés et ma chatte plus quhumide, ce qui je le pense devait se remarquer vu ma position. Je pensais « que pensent-ils de moi ? me prennent-ils pour une salope ? ». Et ça nétait encore rien.
Après une demi-heure, David suggéra que nous marquions une pose pour que je repose mes bras et mes genoux posés au sol. Il maida à me relever et me fis la remarque que je me tortillais un peu. Gênée je finis par avouer que javais envie daller aux toilettes, me maudissant intérieurement davoir ingurgité ce grand verre de thé avant de venir. Il eut à nouveau son petit sourire que je trouvais pervers et me répondit « hé bien tu sais ou ça se trouve, dépêche-toi ! ». Je restais immobile, attendant quil me rende ma robe (les toilettes donnaient sur le petit hall dentrée). Mais il me regarda à nouveau, et donnant une nouvelle fois une claque sonore sur mes fesses me lançât « allez grouilles toi, on a dautres poses ensuite, a moins que tu ne préfères pisser ici devant nous ».
Comprenant quil ne plaisantait pas, et pour éviter cette humiliation supplémentaire je me dirigeais vers la porte, la franchit la mort dans lâme et me retrouvai nue dans le couloir. Dans la salle den face, ou le club e lecture était réuni, toutes les voix se turent instantanément et tous les regards convergèrent vers moi. Je me hâtais de traverser le couloir jusquau petit hall que je traversais aussi vite que me le permettait mes hauts talons, constatant que 3 adolescents y étaient, parcourant les différentes publications. Je mengouffrais dans les toilettes dame et refermais la porte. Après mêtre soulagée et lavée les mains je restais la une minute, ne sachant que faire. Mais jétais nue je nallais pas rester ici ni me sauver dehors, je devais bien y retourner. Je ressorti des toilettes, mefforçant, en vain, de garder une démarche naturelle et un air digne. Le temps de ressortir du hall, je vis les 3 ados, qui avaient bien sur sorti leurs téléphones, me mitrailler tout du long sans même se cacher. « Ça y est » me dis-je « cette fois je serai sur tous les réseaux sociaux ! ». Cette pensée si elle me terrorisa, mexcita en même temps, et tous mes efforts pour me calmer et ne pas laisser trop paraitre les réactions de mon corps furent vaines. Après avoir retraverser le couloir et offert une fois encore mon corps aux regards de lautre salle, je revins dans la grande salle le front aussi rouge, les seins aussi pointés et la chatte aussi mouillée que jen était partie.
David me guida à nouveau immédiatement sur lestrade et m intima de reprendre la pose précédente, maidant de ses mains et me positionner comme il le souhaitait. Je pensais un peu étonnée que nous allions refaire la même pose encore une fois, juste tournée un peu différemment (en fait de profils pour la majorité des participants, que ce soit côté gauche ou droit, mais il déclara alors « nous allons entamer les vraies poses érotiques » ! Je me trouvais personnellement déjà très érotique telle que jétais mais sur un signe de David un des participants se leva et David Confirma « cest Claude qui va commencer ».
Le dénommé Claude que je ne connaissais que de vue (un voisin dune cinquantaine dannée, que je croisais parfois) sapprocha face à moi et commença, à ma totale stupéfaction, à ouvrir son pantalon doù il fit émerger un sexe très honorable et déjà aux trois quarts en érection.
Voyant ce sexe a 20 centimètres de moi, je dus avoir un mouvement de recul car David me lança aussitôt dun ton sévère « ne bouge pas voyons, pour que les poses érotiques aient lair vraies il faut bien simuler laction. Tu débute mais tu devrais le savoir ».
Je me figeais à nouveau dans la pose demandée et comme je le redoutais Claude vint presque frotter son sexe contre ma joue. « Allons ouvres la bouche ! » mintima David dune voix forte, et tandis que jécartais les lèvres, Claude menfourna son sexe en bouche comme si cela était naturel, alors que les murmures de la salle samplifiaient. Avant davoir pu réaliser ce qui se passait je me retrouvais à faire une quasi-fellation devant lassemblée. Claude qui maintenant était tout à fait raide et me remplissait la bouche, faisait des commentaires techniques « là ça va ? trop loin ? assez loin ? je me tourne un peu ? » Ce quoi David répondait sur le même ton « voilà encore un peu, non moins, caroline souris, voilà la cest parfait ». Claude qui avait fait quelques allez retour dans la bouche et que je sentais très tendu bougea un peu moins et je mefforçais aussi de rester immobile, tout en respirant un peu fort, mes mâchoires distendues par son sexe raide. Cela dura quelques minutes, mais à force de remuer un peu Claude ne résista pas. Je le sentis palpiter dans ma bouche et je sentis soudain des jets chauds envahir ma gorge. Je ne savais que faire, tout le monde nous observait, dessinant ou non. Il commençait à devenir moins dur mais ne se retirait pas. Alors au bout de 30 secondes je fus obligée davaler tout ce sperme accumulé dans ma gorge et qui gênait ma respiration. Jessayais dêtre discrète mais mes déglutissent néchappèrent à personne, et surtout pas à David qui sexclama en rigolant « ha mais nous avons une sacrée gourmande ! ».
Sous les rires de lassistance, Claude pas gêné se retira, rangeât son pénis maintenant demi flasque dans son pantalon et reparti a sa place en levant le pouce dun signe approbateur. Tandis que David regardait lassistance pour demander qui prendrait la suite, Mr Menard mon ancien professeur de lycée leva le bras et indiqua quun certain Henry souhait poser avec moi. Le prénom ne mévoquait rien mais sur un signe d assentiment de David, je vis cet autre professeur venu avec lui, dont je ne me rappelais plus le nom, se lever et tout me revins soudainement « Henry Dupin, professeur de français, avec qui javais toujours eu des notes nulles et que javais régulièrement moqué avec des camarades, à cause de son physique ingrat ». Il navait pas embelli avec lâge. Déjà rond et chauve à lépoque il était maintenant repoussant. Un gros ventre, des jambes courtes, une barbe rousse aussi fournie que son crane était dégarni, et un sourire répugnant tandis quil sapprochait à travers les pupitres. Son air réjouis et satisfait me donnait déjà la nausée. Je me répétais « ça nest pas possible pas lui, il ne va pas oser, en plus il a au moins 65 ans maintenant ». Mais cétait bien Mr Dupin qui était là et qui a peine arrivée devant moi déballa un sexe encore demi mou mais déjà de taille impressionnante. Il était monté comme un âne !
Il me regarda bien dans les yeux dun air de défi satisfait et mintima tout haut, « allons tu savais être bavarde à lépoque, ouvre donc la bouche même si cette fois si tu parleras moins ! ». Ce qui déclencha une nouvelle fois les rires e lassistance
Subjuguée, jécartais les mâchoires et je sentis son gros gland passer entre mes lèvres. Il resta un moment ainsi, puis prenant ma tête entre ses mains grasses il poussa lentement son sexe dans ma bouche, presque jusquà m. Jen avais les larmes aux yeux. Il fit quelques vas et vient, toujours lents, puis sinstalla enfin à mi-course et lança fièrement à la cantonade. « Voilà, vous pouvez continuer vos uvres ». Jentendis les crayons recommencer à gratter le papier ainsi que des murmures approbateurs « jolie vue », « elle ouvre bien », « bonne suceuse on dirait »
qui cherchaient de moins en moins à dissimuler leurs propos.
Jessayais de garder la pose (pas le choix) même si mes mâchoires distendues me faisaient souffrir, me demandant déjà si ce gros porc lui aussi craquerait rapidement dans ma bouche. Mais non, il resta la raide, à demi enfoncé en moi, à faire des commentaires à lassistance, racontant ma vie du lycée et expliquant la piètre élève que jétais à son cours. Le tout ponctué de remarque de son collègue présent et de mes deux ex-camarades de lycée ainsi que des questions de lassistance, avide de tout savoir et de mhumilier.
A un moment, David lui demanda sil souhaitait un souvenir de cette scène, et jentendis ce gros porc tout rouge indiquer que « au contraire, je serai ravi de conserver un souvenir ». « Allons souris un peu » mintima aussitôt David. Et tournant lentement autour de moi en tenant le téléphone que Mr Dupin lui avait tendu avec empressement, il immortalisa sur un petit fils ma suprême humiliation. Alors que David terminait son tour, et finissait le film sur un gros plan e mon visage, Mr Dupin en profita pour empoigner mes cheveux par ma queue de cheval senfoncer complètement au fond de ma gorge et tandis que lavais le cur au bord des lèvres, faire sans vergogne des vas et vient puissants. Au bout de deux minutes, il retira enfin sa queue violacée de ma bouche, et laisser échapper avec un râle de jouissance quil ne chercha même pas à des jets épais et écurants de son vieux sperme qui jaillirent partout sur mon visage et mes cheveux, me rendant momentanément à moitié aveugle dun il.
Tandis quil essuyait, sans aucune gêne, son sexe redevenu flasque dans les cheveux quil tenait encore et que David achevait son petit film, il ajouta lair à la fois professoral et pervers : « Finalement, cette fois-ci, nous allons peut-être réussir ton éducation ! »
Lassistance dès lors nhésita pas à commenter grassement ma prestation, « bonne salope », « quelle pute », « ses parents seraient fiers delle »
Bien sûr, pendant le temps restant, cette « pose » fu répétée de nombreuses fois, avec les participants qui « voulaient bien se dévouer pour la séance » comme le disait David, certains au fil de leur fantaisie se laissant aller dans ma bouche ou sur moi (principalement mon visage), souvent en immortalisant linstant sur leur portable.
Quand ils eurent fini, et alors quils sortaient de la salle je restais la, immobile, choquée, couverte de sperme sur la petite estrade, toujours à 4 pattes. David sapprocha alors, et en me fourrant à son tour son sexe en bouche et en remuant vigoureusement, me dit dune voix neutre : « jai oublié de te dire Caroline, chaque participant télécharge sur notre espace les clichés et films souvenir. Mais rassures toi, les règles u club te protègent ». Jattendis la suite mi inquiète mi rassurée. Il continua ses vas et vient en silence un moment, puis souriant bizarrement il termina : « Tant que tu es modèle pour nous, ces images restent privées, mais bien sur nous réalisons en revanche de très larges expositions si tu nes plus couverte par notre collaboration ».
Et tandis quil jouissait à son tour au fon de ma gorge, je compris très clairement la menace proférée « javais intérêt à revenir ».
Une fois retiré, et pendant que je me relevais enfin, il alla ramasser ma robe roulée en boule ans un coin de la salle, et me la jeta. « Allons dépêche-toi je dois fermer la salle, tu as deux minutes ! » Paniquée jenfilais et fermais ma robe le plus vite que je pus et réalisais que je ne disposais de rien pour essuyer les souillures qui maculaient mon visage et les cheveux. Lutilisation de ma robe, hélas légère et noire étant exclus, sous peine de provoquer des traces infamantes. Devant son air amusé alors quil regardait sa montre en mindiquant « une minute et tu sors ! » je me résolus avec horreur à la seule solution que jentrevoyais : je ramassais le maximum de sperme en passant frénétiquement mes doigts sur mon visage et dans mes cheveux poisseux et les nettoyais en les suçant, le tout bien sûr sous la camera implacable du téléphone de David hilare.
Et cest ainsi, à peine nettoyée, mais encore pleine effluves e spermes, quil me poussa dehors à la seconde même ou les eux minutes furent écoulées. Et répondant en baissant les yeux a son « à la prochaine, et bien le bonjour à tes parents ! » je me hâtait de entrer, humiliée, honteuse, sans oser regarder personne sur les trottoirs, et sans encore bien comprendre toutes les implications de ce qui sétait passé.
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