Et Moi J'Approuve...

- Suzanne… Suzanne ! Lançais-je à ma voisine alors qu’elle était en train d’étendre son linge.
Elle se retourna pour savoir qui pouvait bien l’appeler.
- Ah Alain ! C’est toi ?
- Oui ! Approche veux tu, j’ai quelque chose à te dire.
Elle épingla ce qu’elle tenait en main et s’avança à pas lents jusqu‘au grillage, à cause du terrain bosselé.
- Que veux tu ? Me fit-elle en s’arrêtant à un mètre de moi.
- J’ai un problème avec un de tes fils.
- Avec lequel ? J’en ai trois !
- Avec ton grand.
- Qu’est-ce qu’il a fait ?
- Il a baisé ma femme.
Je la vis pâlir, se décomposer, même.
- Tu… tu plaisantes là… au-moins ! Bafouillait-elle. Arrête Alain cela ne me fait… pas… pas rire.
- J’aurai bien aimé, crois-moi Suzanne.
- Et comment le sais-tu ?
- J’ai eu une discussion avec ma femme hier soir.
- Mon Dieu, fais que je suis en train de rêver.
Il y eu un instant de silence avant qu’elle reprenne la parole.
- Et que comptes-tu faire ? Me questionna-t-elle.
- Ce que tout homme dans ce cas doit faire. Ce vengé !
- Ce vengé ? S’insurgea-t-elle. Et cela consiste à quoi de se venger chez toi ?
- Lui mettre une doudoune, tiens !
- Non ! Tu déconnes ? Se révolta-t-elle.
- Il a touché ma propriété et pour cela il doit payer.
- Mais il est tout jeune.
- Cela ne la pas empêcher de mettre sa queue dans la chatte de ma femme.
- Je te comprends ! Fit-elle, mais il n’aurait pas un autre moyen pour réparer l’affront ?
- Tu en vois un, toi ?
- Pour ça il faudrait que j’y réfléchisse.
- Je n’ai pas le temps d’attendre, moi. Je veux régler l’affront au plus vite.
- Je sais bien, mais on parle de mon fils, là.
- A moins, que ! Fais je, en m’approchant d’elle à la toucher.
- A moins que quoi ? Répéta-t-elle, d’un air confiant.
Et, sans prévenir, je passais mes mains dans le décolleté de la blouse.


- Qu’est-ce que fait là ? Fit-elle en essayant d’échapper à ma main.
- Ne bouge pas. Répondais-je, alors que mes doigts se frayèrent un rapide passage entre la toile et la peau nue, pour presser fébrilement les seins.
Désireux d’en voir un peu plus, je déboutonnais prestement trois boutons de la blouse, et écartais les deux pans. Deux beaux seins blancs m’apparurent. L’eau à la bouche, je m’empressais de me les saisir, étreignis les chairs souples, puis pinçais les mamelons, exactement comme je l’aurai fait avec le pis de la vache. Tirant sur l’un et sur l’autre, d’un mouvement régulier, et cela à tour de rôle. Suzanne, la figure rouge de trouble et chaude excitation, se laissait traire, son souffle devenu rauque. Pris d’uns inspiration pervers, je lui comprimai les tétons, avec de plus en plus de sévices. La douleur se mêlant à la jouissance lui fit monter des larmes aux yeux.
- Je ne sais pas pourquoi, mais toute cette affaire me donne une sérieuse envie de baiser. Pas toi ? Fis-je en lâchant mon étreinte.
- Si cela suffit à effacer la dette de mon fiston, je suis d’accord de me donner à toi. Répondait-elle, en rangeant ses seins aux bouts enflammés et douloureux dans sa blouse.
- Tu en ais sûr ?
- Je ferais tout pour mon fils, je te dis.
- On va voir ça. Retrousse ta blouse que je vois ce que tu portes en-dessous.
- Ici ?
- Pourquoi ? Nous sommes pas bien ici ?
- Oui, mais le chemin par loin. Quelqu’un pourrait…
- Foutaise ! Au contraire cela donne du piment. Aller exécution Suzanne, dessape-toi !
- C’est bien pour mon fil !
- Oui c’est ça ! Murmurais-je pour moi-même.
- Pardon ! Fit-elle.
- T’occupe ! Et montre-moi ta culotte. Tu ne peux pas savoir à quel point j’ai envie de la découvrir ce que tu portes.
Se résignant, Suzanne retroussa sa blouse jusqu’au ventre, exhibant par ce geste une belle culotte en coton rose qu‘elle portait en dessous.

Et alors que je penchais pour scruter de plus près, la lingerie, elle lâcha l’ourlet de sa blouse, Coupant cour à l’exhibition. Plus de culotte ! Cela me mit dans une rage folle.
- Qui t’a dit de faire ça ?
Comme elle ne répondait pas, j’ajoutais.
- Tu crois que cela va suffire pour effacer l’ardoise de ton fiston ma cocotte. Pour punir ton geste, tu vas faire pipi devant moi.
- Quoi ?
- Oh ! Mais tu as bien entendu. Pipi là devant mes yeux, exécution ! Parce que vois-tu, ils aiment bien ça mes yeux, de voir une femme faire pipi.
- Alain tu n’ais pas sérieux.
- Ne discute pas ! Sinon je mets une bonne branlée à ton cher fiston…
- BON ! BON ! Fit-elle, domptée, fléchissant les genoux, puis elle écarta sa culotte de côté m’invitant à apercevoir ses poils noirs et embrouillés. Avec énervement, elle s‘accroupit, face à moi, puis écarta ses grosses cuisses blanches pour me présenter entièrement son sexe à ma vue. Mon regard se riva alors, sur les chairs roses qui bordèrent sa fente qui bâillait. Là je fus pris d’un désir fou. Qui me brûlait le ventre. Si intensément que je ne pus résister à la tentation de sortir mon trois pièces par la fenêtre de ma braguette et de commencer à me la masser entre deux doigts, tout en la fixant.
Elle fit mine de ne rien remarquer et se mit à pisser en cataracte sur l‘herbe. Elle avait une grosse envie, à en juger de l‘écoulement qui s‘éterniser. J’étais un peu près certain que le passage du liquide chaud dans ses muqueuses, devait la rendait toute chose. Autant que de faire ça, devant mes yeux. Surtout que je soupçonnais chez elle un certain intérêt pour ma personne.
Et comme pour me donner raison, elle ne se privait pas d’écarter plus que nécessaire ses cuisses ainsi que la culotte. Elle tenait vraiment à se montrer, et cela, le plus salement possible. Encourager par sa légèreté je lui demandais de se branler. Et bien sûr, elle s’exécuta, et sans la moindre réclamation.
Après avoir mouillé de salive le bout de ses doigts, elle les passa dans sa fente. Quelques aller et retour, et elle fit pénétrer la pointe de l’index dans son vagin, et tout en me fixant, elle se doigta. D‘un mouvement généreux, d’avant en arrière. Elle attendit que j‘éjacule pour changer son mode de caresse. Passant de la branlette à une caresse circulaire sur son clito. D’ailleurs elle ne mit pas longtemps à jouir, tant son excitation était forte. J’attendis qu’elle récupère, pour lui dire que j’aimerai inviter son fils à prendre un verre près de la piscine, le soir même. Bien sûr elle me demanda si j’avais l’intention de le punir.
- Mais où va tu cherchais cela ! Je ne suis pas le monstre que tu crois ! Et après un si belle représentation je reconnais avoir mis de l’eau dans mon vin. Je veux tout bonnement boire le verre de l’amitié avec lui… et après…
- Et après ? Répéta-t-elle.
- Je lui donnerais ma femme à baiser.
Suzanne resta un moment bouche bée, avant de pouvoir laisser échapper de sa bouche un :
- Alors pourquoi tout ce cinéma ?
- Tu l’as vue, non ? Juste pour avoir le plaisir d’avoir vue ta chatte. D’ailleurs je compte sur ta présence pour jouer la voyeuse ce soir.
- Ce n’est pas mon genre !
- Et bien tu te forceras ! Je te veux là ? Lui désignant du doigt le buisson mitoyen.
- Et pourquoi je ferais cela ?
- Je t’en dis pas plus, tu verras.
Comme convenu, le jeune homme vint nous rejoindre à l’heure indiquée. Je le remerciais d’être venu et le saluai en lui proposant une coupe de champagne. Mais son choix se porta plutôt sur un verre d’orange. Alors que ma femme emplissait son verre, je vis ses yeux caresser du regard le corps de ma femme. S’attardant sur ses hanches, avant de glisser sur ses formes aguichantes.
Au fil des minutes, la bouteille de champagne se vidait à vue d’œil, tandis que le soleil déclinait à l’horizon. L’alcool aidant, la conversation se fit imperceptiblement plus cordiale, plus amicale, voire par moments plus intime.

Je profitais que ma femme soit assise sur mes genoux pour glisser ma main entre les cuisses. Ma paume couvrant le renflement de sa chatte. Je pu constater que le tissu de sa culotte en nylon était à tordre.
Ne sachant quel comportement adopter le jeune homme très embarrassé par ce qui se déroulé sous ses yeux, bafouilla un :
- Je crois que je vais vous laisser, là !
- Pourquoi veux tu partir ? On n‘est pas bien ici ? Répondis-je on faisant ouvrir en grand le compas des jambes de ma femme. Facilitant ainsi l’accès des yeux de notre invité sur son intimité. Encourager, je lui massais de plus belle la chatte par dessus sa culotte. Malgré sa gêne, il ne perdit pas une miette, le cochon. Son regard vissé au mouvement de ma main.
- Tu vois ma chérie, je pense qu’il serait normal que tu lui en dévoiles un peu plus au jeune homme. Ça ne te dérange pas ?
- Mais pas du tout ! Répondait-elle en faisant glisser sa culotte le long de ses jambes. Et tout de suite après les rouvrit presque impudiquement pour continuer de s’abandonner à ma caresse.
- Tu as vu ça Thierry, comme mon doigt coulisse bien. Je pense que ta présence en est pour quelque chose.
Il avait les yeux qui sortaient de ses orbites, mais surtout, une bosse impressionnante qui tendait son short.
- Hum.. Ma chérie … tu aimes ?
- Oui …. J’aime …, roucoulait-elle
- Tu aimes mes doigts, mais dirais-tu d’une bite ?
- Oui, j’aime la bite …
- Tu aimes te faire enfiler … tu aimes sentir des centimètres de bite partout en toi …
- Oh oui …. C’est trop bon …. J’en veux …, disait-elle en gémissant.
Puis, ma main remontant le long de son corps, avant d’effleurer ses lèvres. Elle happait goulûment mon doigt et le suçait avec frénésie.
- La cochonne est chaude comme elle ne l’a encore jamais été ? Ce n’est pas vrai ma chérie ?
- Oui Alain, j’ai envie de me faire baiser.
- Tu veux une queue ?
- Oui… oui… oui !
- Mais moi tu vois, cela ne me dit rien de te la mettre. Je vais peut-être demander à notre invité si lui il veut.
Je regardais Thierry dans tous ses états et lui dis :
- Et toi ? T’as envie de lui mettre ta queue ?
- Oui, il veut ! Répondait ma femme, chaude comme de la braise.
Le pauvre garçon semblait comme pétrifié. Comme changé en statue de marbre. Impatiente, ma femme alla alors rejoindre l’invité. D’une main experte elle fit sauter les boutons de sa braguette et plongea directement sa main pour en sortir une queue que je jugeai de ma place bien dure et grosse. Immédiatement elle la saisit et y approcha ses lèvres, quelques léchouilles et elle l’enfourna. Le gland faisait une chique sur la joue de ma femme. Tout en les regardant je me déshabillais. Bite à l’air je m’approchais du couple. Faisant prendre la position à ma femme, sans pour cela qu’elle recrache la queue qu’elle pompait. Sans demi-mesure, je plongeais deux doigts dans sa chatte, qui ruisselait comme un marécage. La coquine sous l’introduction, ondulait sa croupe.
- Elle te suce bien ma femme ? Fis-je à Thierry, et cela assez fort pour que sa mère derrière le buisson l’entende.
- Oh oui… murmura-t-il.
- Je n’ai pas entendu. Hurle-le bon Dieu, nous sommes seul…
Le plaisir que ma femme lui procurer, lui fit perdre sa timidité, au point qu’il se lâcha et laissa échapper un :
- OUI C’EST BON… d’une voix gémissante.
Et dans un ultime soubresaut il déchargea. Ma femme l’avala jusqu’à la dernière goutte. Contente de son travail, elle se laissa choir sur un siège.
Je profitais qu’elle récupère pour me positionner alors entre ses cuisses.
- Maintenant j‘ai envie ! Lui fis-je en lui levant les jambes pour l’ouvrir totalement et je présentais ma verge à l’entrée de son antre humide. Je me suis enfoncé d’un coup de reins. Ça glisser sans problème au point d‘en mettre l‘eau à la bouche de notre invité.
- Mais vient Thierry, vient voir comment je baise ma femme.
Il se leva et vint nous rejoindre. Ma femme emprisonna aussitôt sa queue encore un peu molle dans sa main et se mit à la branler avec vigueur. Alors que de mon côté je la besognais, faisant rentrer puis complètement ressortir ma bite de sa chatte. La limant tout en la regardant branler la queue du jeunot qui durcissait.
- Je pense qu’il est temps garçon, de rendre le plaisir que la dame t’a donné ! Tu ne crois pas ? Fis-je en me retirant de la chatte brûlante, pour laisser ma place au jeune homme.
Je profitai qu’ils soient occupés à se donner du bon temps pour m’approcher discrètement du grillage.
- Suzanne… Suzanne es tu là ?
- Oui… fit-elle en sortant de derrière le buisson.
Je sautais le grillage pour aller la rejoindre. Sitôt sur elle, je ne me suis pas gêné pour glisser une main fureteuse sous sa blouse, et par ce geste m’apercevoir que la coquine ne portait pas de culotte. Mais aussi que son sexe était prêt à l’emploi. Elle fit mine de me repousser. Je lui chuchotais alors de ne pas faire de bruit, que son fils pouvait entendre, et bonjour le drame ! Elle feignait de céder à mon chantage à contre cœur. Elle s’immobilisa, me laissant m’emparer de son sexe, que je violais du bout du médium.
- Tu es un vrai cochon, Alain…
- T’ai-toi s’il te plaît, on pourrait nous entendre, fis-je, en prenant sa jambe droite sous mon bras pour ouvrir son sexe. Et en tâtonnant avec mon gland, je trouvais la fissure suintante. D’un seul coup de reins de la pénétrer à fond. Je me mis à la pilonner avec force. À chaque assaut de sa part, Suzanne était comme projetée en l’air. Mes muscles devenaient douloureux à force de hisser et de subir le poids de ma cavalière. Mais rien ne m’aurait arrêté à cet instant. Pour en finir le plus vite possible, je me suis mis donc à la besogner et besogner comme si ma vie en dépendait. Je besognais comme si rien ne devait résister à mes assauts furieux.
Bien sûr, l’orgasme nous happa en même temps. Devancé chez elle par un spasme de ses muscles intimes, par une turgescence record chez moi. Alors que je me vidais dans le tunnel doucereux du vagin. Je percevais nettement les contractions de son sexe, tandis qu’une plainte étouffée sortait de sa bouche, aussitôt suivi d’un « oh oui ! Oh oui ! Que c’est bon ! »

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